C'est la période de l'année où le stress sur les campus des universités et des grandes écoles est à son comble (c'est la saison, n'est-ce pas ?). Bien sûr, il y a la pression normale des cours et des examens de mi-parcours, mais il y a une pression supplémentaire due au fait que tout le monde sait où il fait son stage et ce qu'il fait pendant l'été. Pour beaucoup de gens, et j'en ai fait l'expérience moi aussi, c'est stressant pour ceux qui n'ont pas d'opportunité prévue pour l'été.La pressionLa pression pour trouver un stage d'été peut sembler écrasante, surtout quand on a l'impression que tout le monde autour de soi progresse à grands pas dans son développement professionnel. Il est naturel de s'interroger sur ses propres progrès et de se demander si l'on n'est pas en train de prendre du retard. Rappelez-vous que la réussite n'est pas une course et que chaque opportunité se présentera avec le temps. Faites confiance à votre voieBien qu'il puisse être décourageant de voir vos pairs décrocher des stages ou des emplois impressionnants pour lesquels vous avez également postulé, il est essentiel d'avoir confiance en votre propre parcours. La bonne opportunité se présentera au bon moment. Profitez de cette période pour explorer différentes options, nouer des contacts avec des professionnels dans votre domaine d'intérêt et continuer à améliorer vos compétences et vos connaissances.Il faut du temps pour acquérir de l'expérienceIl est facile de s'enfermer dans le cycle qui consiste à avoir besoin d'expérience pour acquérir de l'expérience. Chaque expérience, qu'elle soit grande ou petite, à l'école ou sur le lieu de travail, contribue à votre croissance et à votre développement. Acceptez le processus d'apprentissage et de croissance, et sachez que chaque opportunité, aussi petite soit-elle, est un tremplin vers la réalisation de vos objectifs. Le temps joue en votre faveurIl reste quelques mois avant le début des vacances d'été, ce qui laisse beaucoup de temps pour explorer diverses possibilités et trouver ce qui vous convient. Gardez l'esprit ouvert et soyez proactif dans votre recherche de nouvelles expériences. N'oubliez pas que les échecs et les refus font partie du voyage et qu'ils constituent des occasions d'apprentissage précieuses.Dernières réflexionsAvec tout le chaos qui accompagne la fin de l'année scolaire, il est important de se rappeler que ce n'est pas grave si vous n'avez pas encore trouvé de stage d'été. Acceptez l'incertitude, ayez confiance en votre parcours et croyez que la bonne occasion se présentera au bon moment. N'oubliez pas que le succès ne se définit pas par la vitesse à laquelle vous atteignez vos objectifs. Restez positif, proactif et fidèle à vous-même. Votre heure viendra, je vous le promets ! 

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Ces derniers temps, nous avons assisté à un changement dans notre façon de concevoir le travail et la réussite. La culture de l'effervescence, qui met l'accent sur la productivité constante et le travail à tout prix, est en train d'être éclipsée par une nouvelle tendance (même si j'espère qu'elle n'est pas du tout éphémère), qui consiste à donner la priorité au bien-être et à l'équilibre. Cette évolution est importante pour la génération Z, car elle signifie que l'on s'éloigne de l'idée traditionnelle de la réussite et que l'on adopte une approche plus réaliste du travail.L'essor et le déclin de la culture de l'effervescenceLa culture de l'effervescence, c'est-à-dire la célébration du surmenage et des modes de vie occupés glorifiés, a atteint son apogée dans les années 2010. Les influenceurs et les entrepreneurs présentaient fièrement leur travail incessant et leur manque de sommeil comme des signes de réussite, véhiculant l'idée que tout sacrifier pour le travail était le seul moyen de réussir.Des études ont montré que l'épuisement professionnel était courant parmi les travailleurs, beaucoup se sentant épuisés et insatisfaits de l'équilibre entre leur vie professionnelle et leur vie privée. La pandémie de COVID-19 a rendu ces problèmes encore plus évidents, car le travail à distance a brouillé les frontières entre vie professionnelle et vie personnelle, entraînant des niveaux records d'épuisement. Les défis économiques, tels que l'endettement des étudiants et les logements inabordables, ont également contribué à ce que la jeune génération s'éloigne complètement de la culture de l'effervescence.Le passage au bien-êtreAlors que la culture de l'effervescence perdait de son attrait, un nouveau discours a émergé, valorisant l'équilibre, les soins personnels et le bien-être. La génération Z a commencé à donner la priorité à sa santé mentale et émotionnelle plutôt qu'à une productivité constante. Les médias sociaux sont devenus une plateforme de discussion sur les effets négatifs du surmenage, ce qui explique la popularité croissante de hashtags tels que #AntiWork et #QuietQuitting.Au lieu de quitter complètement leur emploi, de nombreux jeunes professionnels ont adopté le concept de « démission tranquille », en fixant des limites et en se concentrant sur leur bien-être tout en continuant à assumer leurs responsabilités professionnelles. Des tendances telles que les « hush trips », où les employés travaillent à distance depuis leur lieu de vacances sans en parler à leur employeur, sont apparues comme un moyen pour les personnes surmenées de reprendre le contrôle de leur temps et de leur énergie.Remarque : l'expression « démission discrète » est souvent mal comprise et peut donner une image négative de la pratique saine consistant à fixer des limites sur le lieu de travail. Il est essentiel que les employés de la génération Z communiquent la nécessité de maintenir un équilibre entre vie professionnelle et vie privée et de donner la priorité à la santé mentale sans être étiquetés d'une manière qui sape leur véritable engagement envers leur travail, ou qui donne plutôt l'impression qu'ils veulent en fait démissionner ou cesser d'être performants dans leur travail. La révolution du bien-êtrePour la génération Z, rejeter la culture de l'effervescence ne signifie pas être paresseux. Il s'agit plutôt d'un désir de travailler d'une manière qui corresponde à leurs valeurs et à leurs priorités. Une étude Deloitte réalisée en 2023 a montré que l'équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée est une considération majeure pour 46 % des participants de la génération Z lorsqu'ils choisissent un emploi. La flexibilité, les options de travail à distance et les possibilités de développement personnel sont désormais considérées comme des éléments essentiels d'une carrière épanouissante.Les employeurs ont également pris conscience de ce changement, de nombreuses organisations améliorant les prestations de santé mentale et créant des environnements favorables pour leurs employés. Les options de travail à distance et de travail hybride sont encore largement disponibles, ce qui permet aux individus de concilier efficacement leur vie professionnelle et leur vie personnelle.Réflexions finalesPour la génération Z, l'argent n'est pas la seule motivation. Les entreprises qui accordent la priorité au bien-être de leurs employés, offrent de la flexibilité et promeuvent une culture de travail saine sont plus susceptibles d'attirer et de retenir les meilleurs talents dans cette nouvelle ère.À mon avis, mettre l'accent sur le bien-être personnel, c'est redéfinir ce qu'est la réussite, et ce changement est pour le mieux. Dire adieu à la culture de l'effervescence, c'est faire place à une approche du travail plus équilibrée, plus solidaire et plus épanouissante. 

Être étudiant dans un établissement d'enseignement supérieur ou un nouveau diplômé, c'est s'engager sur une voie pleine d'opportunités de croissance et de défis. Tout au long de ce parcours, vous rencontrerez inévitablement les mots « coaching » et « mentoring ». Bien que ces deux concepts soient parfois utilisés de manière interchangeable, ils ont en réalité des objectifs différents et offrent des avantages uniques. Examinons les principales différences entre un mentor et un coach afin de vous aider à mener à bien vos projets académiques et professionnels.Comprendre le coachingQu'est-ce que le coaching ?Le coaching est un processus personnalisé et dynamique qui vise à aider les individus à maximiser leur potentiel personnel et professionnel. Contrairement à un mentor, un coach ne fournit pas de solutions ou de conseils directs. Il agit plutôt comme un « partenaire de réflexion », qui vous aide à trouver vos propres réponses par le biais de conversations stimulantes et d'une réflexion personnelle.En quoi le coaching peut-il vous être utile en tant qu'étudiant ou nouveau diplômé ?En tant qu'étudiant ou nouveau diplômé, le coaching peut vous aider à renforcer votre développement personnel, à améliorer vos capacités d'étude, à fixer et à atteindre des objectifs académiques ou professionnels et à améliorer vos performances globales. Un coach peut vous aider dans des domaines tels que la gestion du temps, la gestion du stress, la prise de décision et le renforcement de la résilience, vous permettant ainsi d'atteindre votre plein potentiel (qui ne le souhaite pas ?!).Comprendre le mentoratQu'est-ce que le mentorat ?Le mentorat implique qu'une personne plus expérimentée partage ses connaissances, son expertise et ses idées pour guider votre développement personnel et professionnel. Contrairement au coaching, les relations de mentorat sont souvent à long terme et se concentrent sur les expériences et les conseils du mentor pour vous aider à naviguer dans votre parcours professionnel.Comment le mentorat peut-il vous être utile en tant qu'étudiant ?Le mentorat peut vous fournir une orientation, des conseils et un soutien inestimables au cours de votre parcours universitaire et de la préparation de votre future carrière. Un mentor peut vous aider à explorer différents parcours professionnels, à développer des compétences spécifiques à votre secteur d'activité, à élargir votre réseau professionnel et à vous familiariser avec les défis et les opportunités du monde réel.TLDR - Principales différences entre le coaching et le mentorat1. Focalisation et objectifs :Le coaching est axé sur l'avenir et les résultats, il vise à exploiter votre potentiel et à vous aider à découvrir de nouvelles approches pour relever les défis par vous-même.Le mentorat se concentre sur le partage d'expériences, de conseils et de sagesse pour guider votre développement global et votre carrière, souvent sur la base de l'expertise du mentor.2. Structure et durée :Le coaching suit un processus structuré avec des sessions programmées et des méthodologies spécifiques pour suivre la croissance et les progrès.Les relations de mentorat sont souvent plus souples dans leur structure et peuvent évoluer organiquement en fonction des besoins du bénéficiaire et des conseils du mentor.Où chercher du soutien + réflexions finalesEn tant qu'étudiant ou nouveau diplômé, vous pouvez être confronté à des situations où le coaching et le mentorat peuvent être bénéfiques. Que vous ayez besoin d'aide pour vos résultats scolaires, vos décisions professionnelles, votre croissance personnelle ou le développement de vos compétences, pensez à rechercher des coachs et des mentors au sein de votre établissement, de vos réseaux professionnels ou de plateformes en ligne (comme LinkedIn) pour vous accompagner sur la voie de la réussite.En comprenant les différences entre le coaching et le mentorat et en tirant parti des avantages uniques offerts par chaque approche, vous pouvez faire des choix éclairés qui vous guideront vers la réussite scolaire, le développement personnel et l'accomplissement de votre carrière. 

En tant qu'étudiant, nouveau diplômé ou professionnel débutant, des références solides constituent souvent une étape importante dans votre recherche d'emploi. Toutefois, il est essentiel de savoir reconnaître quand une référence est dépassée et quand il est temps d'envisager de choisir une autre référence plus récente. Voici quelques indicateurs et considérations clés pour vous aider à prendre cette décision : 1. Temps écoulé/connaissance du secteur et pertinenceD'une manière générale, les références, comme toute information, ont une durée de vie. En règle générale, les références datant de plus de cinq ans peuvent commencer à perdre de leur impact, en particulier dans les secteurs où la technologie et les meilleures pratiques évoluent rapidement. Lorsque vous évaluez la pertinence d'une référence, réfléchissez à l'ampleur des changements intervenus dans votre domaine depuis que cette personne a pris connaissance de votre travail. 2. Relations professionnelles et communicationÉvaluez la nature de votre relation professionnelle avec la personne qui vous sert de référence. Si vous n'avez pas travaillé ou communiqué avec elle depuis longtemps, sa capacité à parler de vos compétences actuelles, de vos réalisations et de votre éthique de travail peut être limitée. Une personne de référence qui n'est pas au courant de vos réalisations récentes n'est peut-être pas le meilleur défenseur de votre candidature. Par exemple, si vous êtes sur le point d'obtenir votre diplôme universitaire, un professeur ou un entraîneur de lycée n'est pas nécessairement la meilleure personne pour parler de vos réalisations actuelles. Remarque : évitez de faire appel à votre famille, à vos amis ou à d'anciens responsables de postes que vous n'avez pas quittés sur une note positive. L'inclusion de ces personnes donne lieu à des conversations embarrassantes et nuit à votre crédibilité. Par ailleurs, prévenez toujours vos références que quelqu'un pourrait les appeler - il est préférable d'être prévenu à l'avance au lieu d'être pris au dépourvu.  3. Crédibilité et réputationLa crédibilité de vos références est primordiale aux yeux des responsables du recrutement. Si la réputation de la personne s'est ternie au fil du temps ou si elle n'est plus perçue comme une figure de proue du secteur, il est peut-être temps de chercher une référence plus crédible. N'oubliez pas que vos références sont le reflet de votre réseau professionnel et de votre réputation. 4. Demandez l'avis de conseillers professionnels et de mentors :Si vous n'êtes pas sûr de la pertinence d'une référence, demandez l'avis de conseillers d'orientation professionnelle, de mentors ou de professeurs. Ils peuvent vous apporter un éclairage précieux et vous aider à déterminer s'il est temps de choisir une référence plus fraîche. Profitez de leur connaissance du secteur et de leur expérience pour avoir une nouvelle perspective sur vos choix de références.5. Établir de nouvelles relations de manière proactive :Il est essentiel d'établir de façon proactive de nouvelles relations avec des professionnels qui peuvent fournir des références actuelles et pertinentes. Les événements de réseautage, les conférences sectorielles, les activités parascolaires et les plateformes en ligne comme LinkedIn sont d'excellents moyens d'entrer en contact avec des références potentielles qui peuvent attester de vos compétences et de vos qualifications. L'établissement de nouvelles relations démontre votre capacité à vous adapter et à évoluer au sein de votre secteur, et des références fraîches issues de relations plus récentes peuvent renforcer votre image professionnelle. Remarque : ne vous contentez pas d'envoyer un message froid à quelqu'un sur LinkedIn pour lui demander d'être une référence pour vous. LinkedIn est un excellent tremplin pour nouer des contacts et créer des relations, mais réfléchissez à la façon dont la personne vous connaît réellement et si elle peut parler en toute confiance de votre caractère et de vos compétences avant de lui demander de se mouiller pour vous, faute de mieux. Dernières réflexions Bien que la fidélité à des références de longue date soit admirable, il est essentiel d'évaluer leur pertinence dans le contexte de votre recherche d'emploi actuelle. N'oubliez pas qu'il est important de choisir des références qui peuvent parler de vos capacités et de vos réalisations actuelles afin de mettre en valeur votre potentiel auprès d'employeurs potentiels.

Une récente enquête menée par Development Beyond Learning a révélé que les travailleurs de la génération Z perçoivent la semaine de travail de quatre jours comme une solution susceptible d'améliorer considérablement l'attrait des emplois. Les résultats de l'enquête ont montré que 93 % des répondants de la génération Z ont accueilli favorablement l'idée d'une semaine de travail condensée, soulignant le rôle crucial qu'elle joue dans l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée et dans la promotion du bien-être mental. À partir de cette année, la génération Z représentera environ 30 % de la main-d'œuvre mondiale, de sorte que notre opinion commence à avoir un certain poids.Le point de vue de la génération Z : Santé mentale, productivité et flexibilitéL'attitude extrêmement positive des membres de la génération Z à l'égard de la semaine de travail de quatre jours témoigne de leur attachement profond à l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Cette génération accorde une grande importance au temps personnel, aux activités de loisirs et à la santé mentale, reconnaissant l'importance de trouver un équilibre entre les engagements professionnels et le bien-être personnel.Pour en revenir à l'enquête, 90 % des personnes interrogées pensent qu'une semaine de travail de quatre jours améliorerait leur santé mentale. Lorsqu'on leur a demandé de décrire leurs projets pour ce jour de congé supplémentaire, l'accent a été mis principalement sur le bien-être personnel :- 31 % donneraient la priorité au repos et aux soins personnels ;- 27 % s'adonneraient à des passe-temps ou à des passions personnelles ;- 22 % passeraient du temps avec leur famille et leurs amis ;Les autres se concentreraient sur l'acquisition de nouvelles compétences ou le bénévolat.Les souhaits de la génération Z pour une semaine de travail de quatre joursL'enquête s'est intéressée de plus près à ce que les travailleurs de la génération Z envisagent dans le cadre d'une semaine de travail de quatre jours, et voici ce qu'il faut savoir :71 % pensent qu'une semaine de travail de quatre jours rendrait les emplois beaucoup plus attrayants, et 22 % la considèrent comme un facteur positif. 55 % ont exprimé leur confiance dans leur capacité à être plus productifs avec un horaire de travail condensé. 56 % se disent prêts à accepter une légère baisse de salaire pour avoir la possibilité de travailler moins longtemps.La génération Z accorde de l'importance à la flexibilité et à l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, et considère la semaine de quatre jours comme un moyen d'accroître l'attrait de l'emploi, la productivité et la satisfaction, même si cela implique une légère baisse de salaire.Préférences en matière de mise en œuvre et défis potentielsEn ce qui concerne la mise en œuvre d'une semaine de travail de quatre jours, les travailleurs de la génération Z ont des préférences claires :51 % préfèrent des horaires plus courts sans réduction de salaire.34 % préfèrent un horaire de travail comprimé avec des quarts de travail quotidiens plus longs.15 % n'ont pas encore décidé de leur préférence ou ne trouvent aucune des deux options attrayantes.Si les avantages d'une semaine de travail de quatre jours sont évidents, il y a aussi des défis à relever, comme l'ont indiqué certaines personnes interrogées :Stabilité financière : 82% des participants ont souligné l'importance de maintenir les niveaux de salaire actuels.Collaboration au sein de l'équipe : Des inquiétudes ont été exprimées quant à l'impact que la réduction des horaires de travail pourrait avoir sur les efforts de collaboration au sein des équipes.Micromanagement : Des appréhensions ont été exprimées quant à la manière dont une flexibilité accrue pourrait conduire à une surveillance et à un contrôle accrus sur le lieu de travail.Cela signifie que les employeurs doivent réfléchir à la manière dont une semaine de travail de quatre jours s'aligne sur les priorités de la génération Z, qui accorde de l'importance à la flexibilité et à l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée. L'adoption de ce modèle pourrait contribuer à attirer et à retenir les jeunes talents, mais elle nécessite également une planification minutieuse afin de maintenir la productivité et d'atteindre les objectifs de l'entreprise.Réflexions finalesLe point de vue de la génération Z sur la semaine de travail de quatre jours met en lumière l'importance qu'elle accorde à la santé mentale et au bien-être général. Bien que cette approche soit très prometteuse pour stimuler l'attrait de l'emploi et la productivité, il est clair que des recherches approfondies et des essais et erreurs seront nécessaires pour qu'elle fonctionne réellement. Alors que nous naviguons dans cette nouvelle ère de pratiques sur le lieu de travail, il est important de noter les avantages et les défis potentiels et de s'efforcer de créer un environnement de travail qui réponde aux besoins et aux aspirations des générations actuelles, mais aussi de la génération Z et des générations futures.TLDR : Je pense que la semaine de travail de quatre jours est une idée géniale si elle fonctionne et si elle permet la même productivité que la semaine de travail de cinq jours. Il s'agit essentiellement d'une question de priorités, et si j'avais la possibilité de donner la priorité à la productivité et à l'efficacité pendant un long week-end tous les week-ends, je le ferais.  

I recently came across an article that shared salary forecasts for 2025, and wanted to share some insights with all of you. As students and new grads navigate the job market, it's important to be aware of the industries and fields that are expecting significant pay increases in Canada in 2025, and with that, which ones aren’t. With the evolving economic landscape, certain sectors are projected to offer lucrative opportunities for those starting their careers (that’s us!). Let's dive into some key insights -  industries and areas of interest for students and new grads seeking promising career paths.1. Skilled Trades, Technology, and Engineering:The demand for skilled workers in industries such as technology and engineering continues to grow. Automation technicians and electromechanical workers are expected to experience an 8% pay increase, making these fields very rewarding for new graduates looking to enter the workforce.2. Information Technology (IT):The integration of digital technology in businesses has led to a surge in demand for IT professionals. Cloud architects, in particular, can anticipate a 10% salary boost. For students with a tech background, pursuing a career in IT could offer many opportunities for growth and development.3. Digital Marketing:The shift towards online marketing has created a rising need for digital marketing specialists. Intermediate positions in this field are projected to see a 9% salary increase, making it an attractive option for students interested in marketing and advertising careers. 4. Finance and Accounting:With the changing economic landscape, roles in finance and accounting are in high demand. Compensation analysts, for instance, can expect a 7% salary increase, reaching an average of $80,250 for intermediate positions. Students pursuing degrees in finance or accounting can explore promising career paths in these fields, which offer stability and growth potential.5. Human Resource Management:As companies focus on fostering inclusive work environments, human resource management roles are becoming increasingly vital. Salaries in this field are projected to increase by 12% in 2025, making it one of the most promising areas for new grads. Students interested in HR and organizational behavior can look forward to rewarding career opportunities in this field.Final ThoughtsAs we get closer and closer to the start of 2025, it becomes important for students and new grads beginning their career journeys to stay informed about the industries and fields with promising pay increases. By exploring opportunities in sectors such as skilled trades, technology, engineering, IT, digital marketing, finance, accounting, and human resource management, aspiring professionals can position themselves for success in the ever-evolving job market. 

Lorsque vous étudiez, trouvez-vous qu'il est plus facile de retenir les informations à l'aide de flashcards, de notes autocollantes colorées ou de vidéos, plutôt qu'en écoutant les enregistrements des cours ou en lisant le manuel ? Il y a de fortes chances que vous soyez un apprenant visuel. Les apprenants visuels s'épanouissent lorsque l'information est présentée dans un format visuel (bien sûr), en utilisant des images, des diagrammes et d'autres aides visuelles pour améliorer leur expérience d'apprentissage.Si vous vous identifiez comme un apprenant visuel, voici cinq techniques efficaces à prendre en compte pendant vos études :Utiliser des aides visuellesLes aides visuelles telles que les tableaux, les diagrammes et les illustrations peuvent contribuer à renforcer les concepts et à les rendre plus faciles à mémoriser. Lorsque vous étudiez, essayez de créer des représentations visuelles des informations que vous essayez d'apprendre et de retenir. Il peut s'agir de tableaux, de graphiques ou de calendriers qui organisent visuellement les points clés et les relations.  Adopter le code des couleursLe codage par couleur peut être un outil puissant pour les apprenants visuels afin de catégoriser et de mémoriser les informations de manière plus efficace. Les surligneurs ou les stylos de couleur peuvent être particulièrement utiles. Vous pouvez attribuer des couleurs différentes à différents sujets, thèmes ou types d'informations dans vos notes. Par exemple, le bleu peut être utilisé pour les informations importantes, le vert pour les définitions et les termes clés, et le rose pour les dates et les chiffres importants.  Regarder des vidéos et des tutorielsLes apprenants visuels ont souvent intérêt à regarder des vidéos ou des tutoriels pour compléter leur apprentissage. Des plateformes comme YouTube et d'autres sites d'apprentissage en ligne proposent une multitude de vidéos éducatives couvrant divers sujets. Les démonstrations visuelles peuvent apporter un niveau supplémentaire de compréhension et d'engagement, et peuvent être beaucoup plus utiles que la simple lecture d'un manuel. Créer des flashcards (physiques ou virtuelles)Les flashcards peuvent être un outil d'étude très polyvalent qui peut être bénéfique pour les apprenants visuels. Que vous préfériez les flashcards traditionnelles ou les applications de flashcards numériques comme Quizlet, la création de flashcards vous permet de condenser l'information en petits morceaux pour une révision rapide (ce qui rend l'étude beaucoup moins accablante). Si vous le pouvez, incluez des éléments visuels tels que des images, des diagrammes ou des textes codés en couleur sur vos flashcards afin d'en améliorer l'efficacité. Utiliser la cartographie de l'esprit pour les concepts complexesLa cartographie mentale est une technique visuelle qui peut aider les apprenants visuels à relier des idées et des concepts d'une manière structurée et créative. En créant une représentation visuelle de la manière dont différents éléments d'information sont liés, vous pouvez acquérir une compréhension plus profonde du sujet. Les cartes mentales permettent de lancer des idées, de résumer des points clés et de visualiser les relations entre différents sujets. Dernières réflexionsÀ tous les apprenants visuels, profitez de la variété des méthodes d'étude qui peuvent vous faciliter la vie. Les couleurs, les graphiques, les vidéos, les flashcards et les cartes mentales pourraient bien devenir vos meilleurs amis pour votre prochaine interrogation ou votre prochain examen final. Expérimentez pour trouver ce qui vous convient le mieux et tirez parti de vos préférences en matière d'apprentissage visuel pour optimiser vos séances d'étude ! Bonne chance ! 

Tout d'abord, je tiens à dire : Je suis vraiment désolée que votre interlocuteur ne se soit pas présenté. La frustration que vous ressentez est tout à fait justifiée.Lorsque vous passez un entretien d'embauche, vous voulez faire une bonne première impression. Pour ce faire, vous pouvez passer en revue les questions d'entretien les plus courantes et vous assurer que vous arrivez en avance ou, à tout le moins, à l'heure. Mais même si vous faites tout ce qu'il faut, il peut arriver que votre entretien ne se déroule pas tout à fait comme prévu, par exemple lorsque votre interlocuteur ne se présente pas à votre rendez-vous.Voici quelques conseils pour faire face à ce genre de situation :Réagissez de manière proactive et confirmez la non-présentationAvant d'agir, assurez-vous que l'intervieweur a bien manqué la réunion. Contactez votre interlocuteur (ou le recruteur qui l'a programmé) 5 à 10 minutes après l'heure de début prévue. Un message rapide et sans reproche vous permettra de confirmer s'il s'agit d'un malentendu ou d'un événement inattendu qui a entraîné l'absence. Le service des ressources humaines de l'entreprise ou la personne qui a organisé l'entretien doit confirmer si un malentendu ou un événement inattendu est à l'origine de l'absence de l'intervieweur.Je vérifie que vous êtes toujours disponible pour notre entretien de 14 heures (heure française) aujourd'hui. J'espère que tout va bien de votre côté et si vous devez reporter l'entretien, indiquez-moi quelques autres créneaux horaires qui vous conviennent cette semaine. Merci beaucoup !                                   »Ou si vous envoyez un courriel à un recruteur :Je vous informe que je n'ai pas encore eu de nouvelles de Melissa pour notre entretien de 14 heures (heure française) aujourd'hui. J'espère que tout va bien de son côté ; si nous devons reporter l'entretien, indiquez-moi quelques autres créneaux horaires qui vous conviennent cette semaine. Merci !Une fois la logistique réglée, vous aurez le temps de réfléchir à la situation et de définir les prochaines étapes.Déterminez si vous devez éviter cette entreprise ou nonBien que vous souhaitiez accorder le bénéfice du doute à votre interlocuteur, il est important d'observer si ce comportement est une situation ponctuelle ou s'il indique quelque chose de problématique à propos de l'équipe et/ou de l'entreprise.Posez-vous la question : Est-ce que quelqu'un d'autre dans cette entreprise a manqué ou reporté des conversations avec vous ?Les imprévus de dernière minute font-ils partie de la nature du travail ? L'interlocuteur a-t-il déjà répondu à vos courriels ?Comment vous êtes-vous senti dans les échanges que vous avez eus jusqu'à présent ? En fait, vous voulez simplement déterminer s'il s'agit d'une expérience négative ponctuelle, d'un problème de recrutement ou d'un signal d'alarme concernant les personnes et les équipes avec lesquelles vous allez travailler.Reconnaissez que cela n'a rien à voir avec vous Ne le prenez pas personnellement. Il est possible que votre interlocuteur ait dû faire face à une urgence au bureau (ou à la maison), qu'il ait des problèmes de connectivité ou qu'il y ait une explication tout à fait raisonnable à ce rendez-vous manqué. Quelle que soit la raison, je pense qu'il y a de bonnes chances que vous soyez reprogrammé et de nouveau inscrit sur son calendrier dans les jours qui suivent. Rappelez-vous la valeur que vous apportez à la table  Bien que cette expérience soit malheureuse, il y a tant de choses à garder à l'esprit : Vous avez obtenu un entretien ! Cela signifie que vous êtes suffisamment qualifié pour surpasser des tonnes d'autres candidats et obtenir un entretien. Pensez au temps et à l'énergie que vous avez consacrés à ce processus de candidature, et à ce que cette énergie et cette éthique de travail pourraient apporter à une nouvelle entreprise.Dernières réflexions Il peut être décourageant de rencontrer un candidat qui ne se présente pas à l'entretien, mais il est essentiel de réagir avec professionnalisme et tact. En confirmant l'absence et en assurant le suivi, vous pouvez gérer la situation et sauver l'opportunité (si vous le souhaitez). Profitez de cette expérience pour évaluer la fiabilité de l'entreprise et réfléchir à la manière dont elle s'aligne sur vos objectifs de carrière. N'oubliez pas que la manière dont vous gérez l'adversité est souvent tout aussi importante que les compétences et l'expérience que vous apportez. Bonne chance pour votre prochain entretien ! 

En tant qu'employé débutant, l'un des avantages que vous attendez avec impatience est le temps libre alloué (et payé), que ce soit pour un voyage tant attendu, des vacances ou simplement une pause bien méritée. Cependant, de nombreux Canadiens éprouvent un sentiment de culpabilité lorsqu'il s'agit d'utiliser leurs jours de vacances, à tel point qu'ils finissent par travailler pendant leurs congés ou, pire encore, par prendre moins de temps libre.Une enquête récente a révélé que 35 % des personnes interrogées avaient l'impression qu'on attendait toujours d'elles qu'elles travaillent pendant leurs vacances, ce qui ajoute encore à la culpabilité qu'elles ressentent si elles choisissent de ne pas le faire. En outre, la même enquête a montré que 37 % des participants canadiens prenaient moins de vacances, tandis que 20 % déclaraient ne pas en prendre du tout.Je pense que ces statistiques mettent en lumière un problème majeur sur le lieu de travail. Ce qui m'amène à rappeler à tout le monde, mais surtout aux employés débutants, qu'il ne faut pas hésiter à prendre les congés auxquels on a droit.Voyons pourquoi :C'est une partie de votre rémunérationJe tiens à vous rappeler que vos vacances font partie de votre rémunération. Tout comme votre salaire et vos avantages sociaux, les jours de congé sont un élément important de la rémunération globale que vous recevez pour votre travail. Il est important de reconnaître que les congés ne sont pas un supplément facultatif, mais un élément fondamental de la valeur que vous apportez à l'organisation pour laquelle vous travaillez.Vous pourriez être un meilleur employéIl a été démontré que le fait de prendre régulièrement des vacances (ou simplement d'utiliser tout son temps de vacances) a un impact positif sur la productivité et le bien-être général. De nombreux salariés qui prennent la totalité de leurs vacances reviennent au travail plus frais et motivés, mais ils font également preuve d'une productivité et d'une créativité accrues.Il est important de donner la priorité à votre bien-êtreIl est également essentiel de se rappeler que vos congés sont destinés à votre bien-être et à votre épanouissement personnel. Prendre une pause vous permet de vous détendre, de vous ressourcer et de passer du temps de qualité avec votre famille et vos amis. Ce rajeunissement contribue en fin de compte à votre bonheur général et à un meilleur équilibre entre le travail et la vie privée, ce qui fait de vous un employé plus efficace et plus satisfait.Réflexions finalesEn conclusion, il est important de reconnaître la valeur de vos jours de vacances en tant qu'employé débutant. Ne laissez pas la culpabilité vous empêcher de prendre les congés que vous méritez. Profitez de vos jours de vacances non seulement pour votre propre bénéfice, mais aussi pour l'impact positif qu'ils peuvent avoir sur votre rendement au travail et votre qualité de vie en général ! 

Le marché de l'emploi étant très compétitif, le travail en réseau devient de plus en plus important pour décrocher l'emploi de vos rêves. L'un des moyens les plus efficaces de tirer parti de votre réseau est de solliciter d'anciennes relations pour obtenir des pistes de travail. Ces relations, qu'il s'agisse d'anciens collègues, de camarades de classe ou de connaissances, peuvent fournir des informations précieuses, des recommandations et des opportunités qui ne sont peut-être pas facilement accessibles par le biais des méthodes « traditionnelles » de recherche d'emploi.Je sais ce que vous pensez : et si je n'ai rencontré cette personne qu'une seule fois ? Et si je n'ai pas entretenu la relation autant que je l'aurais dû ? Malgré l'hésitation et la gêne initiales, vous devez savoir que l'exploitation de ces relations « uniques » peut être incroyablement bénéfique pour votre recherche d'emploi (pour être honnête, la pire chose qu'elles puissent faire est de ne pas répondre ou de dire non). Dans ce cas, vous aurez au moins essayé).Voyons comment vous pouvez contacter efficacement vos anciennes relations pour obtenir des pistes d'emploi, qu'il s'agisse d'anciens proches ou de personnes que vous n'avez rencontrées que brièvement lors d'un événement de réseautage. Modèle de messageLe message initial que vous envoyez joue un rôle important dans l'obtention d'une réponse. Il doit être professionnel, concis et engageant. Voici un modèle que vous pouvez utiliser :Objet : Recherche de pistes et d'opportunités d'emploiBonjour [Nom du contact]J'espère que ce message vous conviendra. Ce fut un plaisir de vous rencontrer à [insérer] le mois dernier. Je sais que notre rencontre a été brève, mais j'ai été réellement impressionné par notre conversation et par votre connaissance du [secteur/domaine].Je suis actuellement en train d'explorer de nouvelles opportunités de carrière et je recherche activement des pistes d'emploi dans [industrie/domaine spécifique]. Je pense que votre vaste réseau et votre expérience dans le secteur pourraient me guider et m'aider dans ma recherche d'emploi.Si vous connaissez des offres d'emploi ou si vous pouvez me présenter à quelqu'un de votre réseau qui pourrait m'aider, je vous en serais très reconnaissant au moment où je franchis cette nouvelle étape de ma carrière.Je vous remercie de prendre en considération ma demande et j'espère avoir bientôt de vos nouvelles !Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées,[Votre nom] Quelques conseils que je peux partager Respectez toujours le temps de votre interlocuteur : les messages, réunions ou appels doivent être concis et porter sur un sujet précis.Exprimez votre gratitude en disant merci, surtout après avoir reçu de l'aide ou des conseils. Ne soyez pas pressant et évitez de faire pression sur vos contacts pour qu'ils vous recommandent ou vous fournissent des pistes d'emploi. S'ils se sentent à l'aise, ils le feront. Cherchez plutôt à obtenir des conseils et laissez les opportunités se développer naturellement.Dernières réflexionsTirez parti du réseau que vous vous êtes créé et exploitez-en tout le potentiel. Votre prochaine piste d'emploi pourrait bien être à portée de main si vous êtes prêt à tendre la main à un ancien contact. Bonne chance !

Saviez-vous qu'environ 70 % des offres d'emploi ne font pas l'objet d'une annonce publique ? Les recherches indiquent également qu'un pourcentage encore plus important d'emplois sont souvent pourvus grâce à des contacts personnels et professionnels. Nous savions tous que le marché de l'emploi était difficile, mais cela souligne l'importance de ne pas se contenter de cliquer et de postuler. Avant de commencer mon stage, j'ai passé un entretien pour un poste qui n'était même pas affiché ! C'est pourquoi je me sens prête à partager certaines choses que vous devez savoir lorsque vous exploitez des opportunités non annoncées :  Tous les emplois ne sont pas annoncés, c'est pourquoi il est important de travailler en réseau Je sais que vous le savez, mais je tenais à le préciser. Certaines entreprises s'appuient fortement sur les recommandations de personnes qu'elles connaissent et de leurs propres employés, tandis que d'autres privilégient l'embauche en interne. C'est là que le travail en réseau prend toute son importance.Il peut s'agir de commencer à faire savoir à sa famille et à ses amis que l'on souhaite trouver un emploi et le type d'emploi qui nous intéresse. Cela peut signifier tirer parti de LinkedIn pour nouer des contacts avec des inconnus qui occupent des postes susceptibles de vous intéresser. Quoi qu'il en soit, pour que les gens sachent que vous êtes à la recherche d'un emploi et que vous souhaitez en savoir plus, vous devez le faire savoir. Une fois que vous aurez noué des liens authentiques, il vous sera beaucoup plus facile de vous appuyer sur eux (et avec un peu de chance, vous pourrez obtenir une recommandation ou ils pourront envoyer votre CV à la bonne personne) !  Les associations professionnelles disposent de nombreuses ressources sectoriellesLes associations professionnelles, les conseils et les syndicats offrent des ressources précieuses aux demandeurs d'emploi. En devenant membre d'organisations liées au secteur, vous avez accès à des possibilités de mise en réseau, à des ressources de développement professionnel et même à des sites d'offres d'emploi exclusifs. En tirant parti de ces associations, vous pouvez avoir accès à des offres d'emploi cachées et à des recommandations dans votre domaine.À titre d'exemple (et dans un contexte personnel), j'ai adhéré l'année dernière à l'IABC (International Association of Business Communicators), ce qui m'a permis d'accéder à des offres d'emploi et à un programme de mentorat dans le cadre duquel j'ai rencontré un mentor de l'industrie ! Il est plus facile de dresser une liste des entreprises qui vous intéressent La création d'une liste d'entreprises correspondant à vos aspirations professionnelles est une étape importante dans la découverte d'opportunités d'emploi cachées. Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais il m'est souvent arrivé de voir un poste sur la page carrière d'une entreprise, mais de ne jamais le voir sur Indeed, Google Jobs ou LinkedIn. En contactant directement les entreprises qui vous intéressent pour vous renseigner sur les offres d'emploi non annoncées, vous pouvez découvrir des postes qui ne sont pas nécessairement répertoriés sur des sites d'offres d'emploi externes. Le bénévolat peut ouvrir la voie à l'emploiDe nombreuses personnes travaillent dans des domaines où le bénévolat ou les stages constituent un excellent moyen de faire valoir ses talents auprès d'un employeur potentiel, tout en se constituant un solide réseau de références. Quoi qu'il en soit, c'est une bonne chose d'ajouter de l'expérience à votre CV, mais cela peut aussi déboucher sur un emploi, alors profitez de ces opportunités. Après tout, pourquoi faire passer un entretien à quelqu'un qui sait qu'il peut compter sur vous et que vous êtes excellent ? Réflexions finales L'intégration de certaines de ces stratégies dans votre recherche d'emploi peut vous aider à naviguer efficacement sur le marché caché de l'emploi et à augmenter vos chances de trouver l'opportunité de carrière idéale. En misant sur le réseautage, en vous engageant dans des associations professionnelles, en ciblant des entreprises spécifiques et en faisant du bénévolat, vous pouvez débloquer des opportunités d'emploi cachées et ouvrir la voie à une transition de carrière réussie.D'autre part, il existe de nombreux sites d'emploi « inattendus » comme OCC. Mais vous lisez ceci, donc vous le savez déjà :) 

Lorsque vous postulez à une admission dans une université ou un établissement d'enseignement supérieur, à un emploi ou à une bourse d'études, il peut vous être demandé de joindre une ou plusieurs lettre(s) de recommandation. Ces lettres, généralement rédigées par des enseignants, des mentors ou des responsables, sont censées se porter garantes de vos qualifications et de votre caractère. Cela signifie qu'il est toujours utile de conserver une liste de personnes à qui vous pouvez vous adresser en cas de besoin.Une recommandation solide permet à la personne qui examine votre candidature d'apprendre à vous connaître au-delà de votre CV et de se faire une idée plus complète de qui vous êtes et de vos motivations. Je sais que le processus de demande d'une lettre de recommandation (en particulier par courrier électronique) peut sembler intimidant. Dans cet article de blog, je vous guiderai à travers quelques étapes afin que vous puissiez vous sentir plus à l'aise à l'idée d'en demander une. Comment demander une lettre de recommandation Tout d'abord, il est tout à fait normal de se sentir nerveux à l'idée de demander une lettre de recommandation. Bien que cela puisse vous mettre mal à l'aise au début, il s'agit d'une étape normale dans de nombreux processus de candidature.  Étape 1 : Identifier le bon recommandataire Lorsque vous choisissez une personne pour rédiger votre lettre de recommandation, il est important de choisir quelqu'un qui vous connaît bien et qui peut parler de vos points forts, de vos compétences et de vos qualités personnelles. Il s'agit souvent de personnes telles que des professeurs, des mentors, des superviseurs ou des collègues qui ont travaillé en étroite collaboration avec vous et qui peuvent fournir des informations détaillées sur vous en tant que personne et sur votre façon de travailler. Remarque : assurez-vous que la personne que vous choisissez a une opinion positive de vos compétences et qu'elle peut rédiger une recommandation solide en votre nom. La dernière chose à faire est de demander à quelqu'un qui n'a pas eu d'expérience positive avec vous ou qui ne vous connaît pas assez bien pour parler de vos compétences. Étape 2 : Préparation de la demandeAvant d'envoyer votre courriel, rassemblez les informations nécessaires pour aider votre recommandataire à rédiger une lettre complète. Vous pouvez notamment lui fournir un CV actualisé, une liste de réalisations spécifiques et des détails concernant l'établissement ou l'emploi auquel vous postulez. Plus vous fournirez d'informations, mieux ce sera, car il sera plus facile pour votre recommandataire de rédiger une lettre personnalisée mettant en valeur vos qualifications.Étape 3 : Rédiger une demande polie et formelle par courrier électroniqueIl est évident qu'il est toujours préférable de demander au recommandeur de vous rencontrer en personne. Mais je comprends que cela ne soit pas toujours possible si vous avez déménagé pour vos études ou votre travail et que vous n'avez pas un accès immédiat à cette personne. Lorsque vous rédigez votre courriel, il est important d'être professionnel, poli et respectueux. Utilisez une formule de salutation correspondant à votre relation avec la personne qui vous recommande (par exemple, Professeur Smith, M. Jones) et indiquez clairement l'objet de votre courriel dans le premier paragraphe et, idéalement, dans la ligne d'objet. Expliquez pourquoi vous lui demandez une recommandation et pourquoi vous pensez qu'il est la personne la mieux placée pour vous la donner. Il peut être utile d'ajouter quelques-uns de vos objectifs et de préciser en quoi leur soutien contribuerait à votre réussite.Remarque : indiquez clairement une date limite et toutes les instructions ou formulaires nécessaires à la soumission. Il est important de leur faciliter la tâche autant que possible. Après tout, il vous rendra service.[Exemple de demande par courrier électronique] Bonjour Professeur Smith,J'espère que vous allez bien. Je vous écris pour vous demander de m'aider à rédiger une lettre de recommandation pour ma candidature au programme d'études supérieures en sciences sociales de l'université XYZ. Ayant suivi votre cours sur les sciences sociales le semestre dernier, j'ai admiré votre style d'enseignement et votre enthousiasme pour la matière enseignée. Votre expertise et vos idées ont eu un impact sur ma passion pour ce domaine et ont façonné mes aspirations professionnelles.Votre lettre constituerait un appui solide à mes capacités académiques et à ma réussite potentielle dans le programme. J'ai joint une copie mise à jour de mon curriculum vitae, qui met en évidence certains de mes principaux projets et réalisations académiques. Je serais heureux de vous fournir toute information supplémentaire dont vous pourriez avoir besoin pour rédiger une lettre personnalisée.La date limite de candidature pour le programme est le 30 avril et, dans la mesure du possible, j'apprécierais beaucoup que la lettre soit soumise avant le 15 avril.Je vous remercie de bien vouloir prendre en considération ma demande. Je vous serais extrêmement reconnaissant de me soutenir dans cette entreprise et votre avis m'est très précieux. N'hésitez pas à me faire savoir si vous avez des questions ou si vous avez besoin d'informations supplémentaires.Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées,[Votre nom].Étape 4 : Suivi et expression de la gratitudeAprès avoir envoyé votre demande, il est important d'effectuer un suivi pour vous assurer que votre recommandeur a bien reçu votre courriel et pour lui exprimer vos remerciements. Si vous n'avez pas reçu de réponse au bout d'une semaine, envoyez un rappel amical. Une fois la lettre envoyée, envoyez un courriel ou un notel de remerciement sincère pour exprimer votre gratitude pour les efforts et le temps consacrés.Dernières réflexions Demander une lettre de recommandation par courrier électronique peut sembler intimidant, mais avec une bonne préparation et une demande polie et professionnelle, vous pouvez augmenter vos chances de recevoir une recommandation solide et percutante. N'oubliez pas de choisir des recommandataires qui peuvent parler de vos points forts, de leur fournir les informations nécessaires et d'exprimer votre gratitude pour leur soutien tout au long du processus. 

Naviguer sur le marché du travail en tant que candidat débutant peut être à la fois excitant et angoissant. Croyez-moi, je viens littéralement de le faire. Par expérience, je sais que lorsqu'il s'agit d'offres d'emploi, de nombreux candidats débutants se demandent s'ils doivent accepter la première offre de salaire qui leur est présentée ou s'ils doivent vraiment essayer de négocier leur salaire.Bien qu'elle puisse sembler décourageante, la négociation salariale est une étape importante qui peut avoir un impact à la fois sur votre trajectoire professionnelle et sur votre bien-être financier (évidemment).Voici ce que vous devez savoir :Sachez ce que vous valez Avant d'entamer des négociations salariales, prenez le temps d'étudier et de comprendre votre valeur sur le marché. Des sites web tels que Glassdoor peuvent fournir des informations précieuses sur ce que gagnent d'autres personnes occupant des fonctions similaires. En connaissant votre valeur marchande, vous pourrez prendre une décision plus éclairée au moment de négocier votre propre salaire.Fixer des attentes réalistesS'il est important de viser haut, il est également bon de fixer des attentes réalistes pour votre négociation. Vous devez tenir compte de facteurs tels que le coût de la vie dans votre région, les normes du secteur et les autres avantages offerts par l'employeur. Mettez en avant votre valeurAu cours du processus de négociation, vous devez mettre en avant vos compétences, vos qualifications et les contributions uniques qui font de vous un atout précieux pour l'entreprise. En démontrant la valeur que vous apportez à la table, vous pouvez renforcer vos arguments en faveur d'un salaire plus élevé.Tenez compte de l'attitude de l'employeur à l'égard de la négociationIl est important de noter que de nombreux employeurs sont ouverts aux négociations salariales, en particulier si on leur présente un argumentaire bien étayé en faveur d'une augmentation de salaire basée sur vos qualifications et la valeur du marché. De nombreux employeurs apprécient également les candidats qui défendent leurs intérêts et leur valeur. Dans l'ensemble : Vous devriez envisager de négocier dans ces circonstancesUne fois que vous avez reçu la lettre d'offre. Notez que l'entretien n'est ni le moment ni l'endroit pour mentionner le salaire. Si vous possédez des compétences ou une expérience uniques qui vous distinguent des autres candidats débutants, vous pouvez avoir la possibilité de négocier un salaire de départ plus élevé.Si le coût de la vie dans votre région est plus élevé que la moyenne. Si vous avez reçu plusieurs offres d'emploi, la négociation salariale peut vous aider à prendre une décision éclairée quant à l'emploi à accepter.Vous devriez éviter de négocier dans ces circonstancesSi vous avez peu ou pas d'expérience dans votre domaine, il peut être plus difficile de négocier un salaire de départ plus élevé.Si l'employeur a clairement indiqué que l'offre salariale initiale n'était pas négociable. Dans ce cas, tenter de négocier peut nuire à vos chances d'être embauché.S'il s'agit d'une offre réellement généreuse. Si les avantages et le salaire proposés sont compétitifs, ne changez rien. Vous avez peut-être trouvé une entreprise formidable qui apprécie vraiment votre potentiel, et vous ne devriez pas prendre de risques en demandant davantage. Dernières réflexions  Bien qu'elle puisse paraître intimidante, la négociation de votre salaire en tant que candidat débutant est une étape importante pour votre réussite. En connaissant votre valeur, en fixant des attentes réalistes, en défendant avec assurance votre valeur et en tenant compte de l'attitude de votre employeur à l'égard de la négociation, vous pouvez obtenir un salaire qui reflète vos compétences et vos contributions.  N'oubliez pas que le processus de négociation est l'occasion d'établir votre valeur dès le départ ! Nous vous souhaitons beaucoup de succès dans vos nouvelles fonctions ! 

En tant qu'étudiant ou jeune diplômé entrant sur le marché du travail, vous pouvez être confronté au défi de devoir parler en public pour votre travail. Qu'il s'agisse de faire des présentations à des clients, de prendre la parole lors de conférences ou de diriger des réunions, être capable de communiquer efficacement devant un public est une compétence précieuse qui peut grandement influencer votre réussite sur le marché du travail.Je sais ce que vous pensez... Je n'ai pas encore tout à fait réussi. En vérité, moi non plus. Mais si l'idée de parler en public vous rend nerveux, je suis là pour vous dire de ne pas vous inquiéter ! J'ai quelques stratégies et conseils pour vous aider à devenir un orateur confiant et compétent lorsque cela compte le plus.1. Saisissez l'occasion d'apprendre et de progresserLa prise de parole en public est une compétence qui peut être développée et améliorée avec de l'entraînement. Au lieu de la considérer comme une exigence effrayante, voyez-la comme une occasion d'améliorer vos capacités de communication et de vous développer sur le plan personnel et professionnel. En d'autres termes, si votre supérieur vous a demandé de faire une présentation, c'est qu'il a suffisamment confiance en vos capacités pour réussir. Prenez-le donc comme un compliment.  En adoptant un état d'esprit positif, vous pouvez considérer la prise de parole en public comme une compétence précieuse qui vous distinguera dans votre carrière.2. Rechercher des occasions de s'entraînerCherchez des occasions de vous entraîner à parler en public dans différents contextes. Il peut s'agir d'espérer faire un faux appel Zoom avec vos amis, de vous porter volontaire pour faire des présentations en classe ou de jouer un rôle de leader dans des groupes d'étudiants. Plus vous vous exposez à parler devant d'autres personnes, plus vous serez à l'aise et confiant.3. Préparez-vous minutieusementAvant toute prise de parole, la préparation est essentielle, mais vous le saviez déjà. Prenez le temps de faire des recherches sur votre sujet, d'organiser vos idées et de créer une présentation bien structurée. Entraînez-vous plusieurs fois pour vous familiariser avec le contenu de votre présentation et vous assurer qu'elle se déroule sans accroc. N'oubliez pas que plus vous aurez confiance en ce que vous dites, plus vous serez à l'aise lorsque vous parlerez. 4. Utiliser les ressources pour s'améliorerTirez parti des ressources disponibles pour vous aider à améliorer vos compétences en matière d'art oratoire. Il peut s'agir de tutoriels en ligne, de livres sur l'art oratoire, voire d'ateliers ou de cours d'art oratoire. Il existe également des tonnes d'applications et d'outils de prise de parole en public qui peuvent vous aider dans tous les domaines, de l'organisation de votre discours à la fourniture de commentaires sur votre prestation. Remarque : vous pouvez également demander à un outil d'intelligence artificielle de vous donner des commentaires sur votre discours ou votre prestation !5. Concentrez-vous sur l'engagement de votre publicLorsque vous parlez en public, il est important de vous rappeler que votre public est là pour entendre votre message. Il veut entendre ce que vous avez à dire. Concentrez-vous sur l'engagement de votre auditoire en racontant des histoires, en faisant preuve d'humour et en utilisant des éléments interactifs. En établissant un lien authentique avec votre public, vous pouvez créer une présentation plus percutante et plus mémorable.6. Travaillez à calmer votre nervositéIl est tout à fait naturel de ressentir une certaine nervosité avant de prendre la parole en public, mais il est important de gérer cette nervosité. Pratiquez la respiration profonde, les techniques de visualisation et les affirmations positives pour vous aider à calmer vos nerfs avant de monter sur scène. Envisagez de faire appel à un mentor ou à un coach (ou à votre manager) qui pourra vous guider et vous soutenir dans vos efforts pour surmonter votre peur de parler en public.7. Évaluez chaque expérience et tirez-en des leçonsIl n'y a que des progrès à faire à partir de maintenant ! Après chaque prise de parole en public, prenez le temps de l'introspection. Réfléchissez à ce qui s'est bien passé, à ce qui pourrait être amélioré et à la manière dont vous pouvez appliquer ces leçons lors de vos prochaines présentations. En cherchant continuellement à améliorer vos compétences, vous finirez par renforcer votre confiance en vous et deviendrez un orateur plus efficace.Réflexions finalesSi la perspective de devoir exceller dans l'art oratoire pour votre travail peut sembler intimidante, il est important de se rappeler qu'avec du dévouement et de la pratique, vous pouvez devenir un pro. Alors, relevez le défi, prenez-le comme un compliment et rappelez-vous que chaque occasion de parler en public est une chance de vous développer et de mettre en valeur vos capacités.Vous y arriverez ! 

Être étudiant peut être une expérience passionnante et enrichissante, mais elle peut aussi comporter son lot de défis et de stress (avec 20 ans d'expérience en tant qu'étudiant, je peux confirmer que c'est vrai). Il est essentiel de prendre soin de sa santé mentale et, heureusement, les collèges et universités canadiens offrent diverses ressources et systèmes de soutien pour aider les étudiants à faire face à leurs problèmes de santé mentale et aux défis qu'ils rencontrent. Dans ce blogue, nous examinerons comment vous pouvez obtenir du soutien en matière de santé mentale en tant qu'étudiant, et nous mettrons en évidence les ressources spécifiques offertes par les établissements d'enseignement canadiens. Voir aussi : Conseils de la psychothérapeute Victoria Emanuel sur l'autogestion de la santé des étudiants Voir aussi : Prendre soin de soi n'est pas égoïste 1. Reconnaître le besoin de soutienLa première étape vers la recherche d'un soutien en santé mentale est de reconnaître que vous en avez peut-être besoin. Je tiens à vous rappeler qu'il n'y a pas de mal à demander de l'aide. Il faut beaucoup de force pour tendre la main et donner la priorité à son bien-être. Que vous vous sentiez dépassé, anxieux, stressé ou que vous souffriez d'un problème de santé mentale, il existe des ressources pour vous aider.2. Explorez les ressources de votre campusChaque collège et université au Canada offre des ressources étudiantes uniques pour soutenir la santé mentale et le bien-être. Visitez le site Web de votre établissement et naviguez jusqu'à la page des services de bien-être ou de soutien aux étudiants. Vous y trouverez probablement des renseignements sur les services de counseling, les ateliers, les groupes de soutien et d'autres ressources en santé mentale adaptées aux étudiants. Voici quelques exemples :Université de Toronto : Centre de santé et de bien-êtreUniversité McGill : Student Wellness Hub (centre de bien-être pour les étudiants)Université de la Colombie-Britannique : Centre de bien-êtreUniversité de l'Alberta : Counselling & Clinical ServicesUniversité McMaster : Student Wellness Centre (Centre de bien-être des étudiants)Veuillez noter qu'il ne s'agit que d'exemples et qu'il est recommandé d'explorer les ressources de votre établissement. Si votre établissement ne figure pas dans cette liste, je vous encourage à faire votre propre recherche. 3. S'adresser aux services de conseilLa plupart des établissements d'enseignement supérieur mettent à la disposition des étudiants des services de conseil. Ces services proposent généralement des séances de conseil individuelles, des thérapies de groupe et des ateliers pour répondre à divers problèmes de santé mentale. Contactez le centre de conseil de votre établissement pour prendre rendez-vous ou vous renseigner sur les services disponibles.4. Profiter des groupes de soutien par les pairsDe nombreux établissements d'enseignement ont mis en place des groupes de soutien par les pairs où les étudiants peuvent entrer en contact avec d'autres personnes confrontées à des problèmes similaires. Ces groupes se concentrent souvent sur des sujets spécifiques tels que l'anxiété, la gestion du stress ou la dépression. La participation à des groupes de soutien par les pairs peut procurer un sentiment d'appartenance et de compréhension. Renseignez-vous sur ces groupes auprès du centre de bien-être des étudiants de votre établissement.5. Utiliser les ressources en ligneOutre les ressources disponibles sur le campus, plusieurs plateformes en ligne offrent un soutien et des ressources en matière de santé mentale spécialement conçues pour les étudiants. Les sites web suivants peuvent être des sources précieuses d'informations et d'outils :Mind Your MindHere2Talk (C.-B.)Good2TalkVeuillez noter qu'il est essentiel de rechercher une aide professionnelle auprès de thérapeutes et de conseillers agréés si vous êtes confronté à des problèmes de santé mentale graves ou persistants.Dernières réflexionsAccorder la priorité à votre santé mentale en tant qu'étudiant est crucial pour votre bien-être général et votre réussite scolaire. N'oubliez pas d'utiliser les ressources et les systèmes de soutien à votre disposition. N'oubliez pas que, même si ce blogue fournit un guide général, chaque collège ou université dispose de ressources qui lui sont propres ; n'oubliez donc pas de consulter le site Web de votre établissement pour obtenir des détails précis. 

Pour répondre rapidement à cette question, OUI.Selon HubSpot, 85 % des emplois sont pourvus grâce au réseautage.Mais, comme pour tout le reste, les résultats dépendent en grande partie de l'effort que vous y mettez.Établissez ces relationsEn tant que personne qui a commencé à prendre le réseautage au sérieux cette année, je peux confirmer en toute confiance que le réseautage fait une différence. Il m'a ouvert des portes et m'a notamment permis de décrocher des entretiens d'embauche pour des postes qui n'avaient même pas été publiés.Le travail en réseau va au-delà de la simple mise en relation avec d'autres personnes pour des opportunités d'emploi. Il s'agit de nouer des relations significatives dans votre secteur d'activité, de rencontrer des mentors et d'acquérir des connaissances auprès de professionnels expérimentés. Grâce au réseautage, j'ai pu puiser dans un grand nombre de connaissances et d'expertises qui ont contribué de manière significative à mon développement personnel et professionnel.Le réseautage n'est pas la seule solutionLe travail en réseau n'est pas la seule voie vers la réussite. J'ai récemment décroché un nouvel emploi sans avoir recours à mon réseau de relations. Cette expérience m'a rappelé que si le travail en réseau peut être puissant et offrir de grandes opportunités, il n'est pas la panacée en matière de recherche d'emploi.Même si le travail en réseau ne m'a pas directement permis de décrocher cet emploi spécifique, il a joué un rôle essentiel dans mon parcours personnel. Grâce au travail en réseau, j'ai eu le privilège de rencontrer et d'apprendre de mentors qui m'ont donné des orientations et des conseils inestimables. Leurs points de vue m'ont aidée à mieux naviguer dans ce nouveau secteur et, surtout, à prendre des décisions professionnelles éclairées.Il est essentiel de constituer un réseau solide, mais il est tout aussi important de perfectionner ses compétences, de se tenir au courant des tendances du secteur et de saisir les opportunités qui se présentent. Le réseautage complète vos efforts et augmente vos chances de réussite, mais il ne s'agit pas d'un raccourci pour atteindre vos objectifs.On obtient ce que l'on investitTirer le meilleur parti du travail en réseau demande des efforts, et il est important d'entrer en contact avec les bonnes personnes. Il est important d'établir des relations durables avec des personnes qui peuvent vous apporter un mentorat, des idées, des connaissances et un soutien précieux.Pour construire un réseau solide, il faut rechercher activement des personnes qui partagent vos intérêts, vos passions et vos aspirations professionnelles. Assistez à des événements spécifiques au secteur, contactez des professionnels via les médias sociaux et engagez avec eux des conversations constructives. Faites l'effort d'assurer un suivi régulier de vos nouveaux contacts et de trouver des moyens de leur offrir une aide et un soutien sincères en retour.N'oubliez pas que le travail en réseau ne se limite pas à ce que vous pouvez en retirer, mais qu'il s'agit d'une voie à double sens. Le travail en réseau ne doit pas être considéré comme une transaction. C'est au contraire un excellent moyen d'établir la confiance et de créer une communauté professionnelle solidaire. Réflexions finalesLe travail en réseau est un élément important du développement de carrière, car il constitue un excellent moyen d'évoluer, d'apprendre et de créer une communauté de soutien dans votre domaine. Profitez du réseautage non seulement pour les avantages immédiats qu'il apporte, mais aussi pour les relations à long terme et les connaissances qui peuvent potentiellement façonner votre parcours professionnel.N'oubliez pas que le travail en réseau ne se limite pas aux relations que vous établissez, mais qu'il vous offre également des opportunités et des connaissances.Le travail en réseau fonctionne. Je vous encourage tous à sortir de chez vous et à commencer à travailler en réseau - vous ne savez jamais quelles opportunités cela peut vous apporter.  

Vous vous préparez à un entretien d'embauche et vous vous sentez un peu dépassé à l'idée d'être confronté à des questions d'entretien situationnel ? Ne vous inquiétez pas, vous n'êtes pas seul.  De nombreux candidats trouvent ces types de questions difficiles, car elles vous obligent à démontrer vos compétences en matière de résolution de problèmes et à faire preuve de votre capacité à gérer différents scénarios.  Toutefois, avec les bonnes connaissances et la bonne préparation, vous pouvez aborder les questions d'entretien situationnel avec confiance et augmenter vos chances de réussite.Dans ce blog, nous allons explorer cinq points clés de l'article "5 Ways to Prepare for Situational Interview Questions" de la Harvard Business Review.  Ces informations vous aideront à comprendre comment anticiper ces questions et y répondre efficacement !Utilisez un format qui a fait ses preuves : La méthode STAR(T) (Situation, Task, Action, Result, Takeaways) ou CARL (Context, Action, Result, Learning) fournit un cadre structuré pour répondre aux questions de l'entretien situationnel. En suivant ce format, vous pouvez vous assurer de fournir les informations nécessaires de manière concise et organisée. Par exemple, lorsque vous discutez d'un problème que vous avez résolu, commencez par fournir le contexte de la situation, expliquez la tâche ou l'objectif, décrivez les actions que vous avez entreprises pour résoudre le problème, discutez des résultats de vos actions et réfléchissez aux principales conclusions ou aux leçons tirées de l'expérience.Se concentrer sur l'alignement : Il est important de montrer comment vos expériences passées correspondent aux exigences du poste pour lequel vous passez l'entretien. Examinez la description du poste et identifiez les compétences et qualifications spécifiques que vous possédez. Lorsque vous répondez à des questions situationnelles, mettez en évidence les expériences qui mettent en valeur ces compétences et aptitudes pertinentes. Assurez-vous de relier clairement les points pour l'intervieweur et expliquez comment vos expériences et vos réalisations correspondent aux exigences du poste et au type de candidat qu'il recherche. Adaptez vos histoires : Tenez compte de votre public lorsque vous déterminez le niveau de détail à inclure dans vos réponses. Les recruteurs peuvent ne pas avoir de connaissances techniques, vous simplifierez donc le langage technique pour vous assurer qu'ils comprennent les points principaux. En revanche, lorsque vous vous adressez à des responsables du recrutement ou à d'autres parties prenantes techniques, il est important de fournir davantage de détails techniques pour démontrer votre expertise et votre expérience pratique dans le domaine concerné. Soyez adaptable et modifiez votre discours tout au long du processus d'entretien en fonction de votre interlocuteur.Restez concis : Il est important que vos réponses soient concises et précises. Le respect de la "règle des deux minutes" vous permettra de communiquer efficacement vos points clés sans submerger votre interlocuteur avec trop d'informations. Répétez vos réponses à voix haute et chronométrez-vous pour être sûr de pouvoir présenter clairement vos informations en deux minutes. N'oubliez pas que les recruteurs apprécient les candidats capables de bien articuler leurs pensées et de séparer les détails importants des informations moins pertinentes.Demandez un retour d'information : Après avoir donné vos réponses, il est bon de demander à votre interlocuteur s'il a bien compris comment vous auriez géré la situation ou s'il a besoin de plus de détails. Vous montrez ainsi que vous êtes attentif aux besoins de l'enquêteur et que vous êtes prêt à fournir des informations supplémentaires si nécessaire. Si l'examinateur pose une question complémentaire, écoutez attentivement pour vous assurer que vous avez bien compris l'objet de la question et répondez de manière directe et concise.Exemples de questions pour un entretien situationnelDécrivez une situation où vous avez dû travailler sous pression pour respecter un délai. Comment avez-vous géré la situation et quel en a été le résultat ?Parlez-moi d'une situation où vous avez été confronté à un conflit avec un collègue. Que s'est-il passé ?Racontez un exemple de décision difficile que vous avez dû prendre au travail. Quels facteurs avez-vous pris en compte et comment êtes-vous parvenu à une conclusion ?Décrivez une situation où vous avez dû vous adapter à un changement majeur sur le lieu de travail. Comment avez-vous géré ce changement et quels en ont été les résultats ?Parlez-moi d'une situation où vous avez identifié un problème et pris l'initiative de le résoudre. Quelles mesures avez-vous prises et quel en a été le résultat ?Réflexions finalesEn suivant ces conseils et en vous entraînant à répondre aux questions courantes des entretiens situationnels, vous pourrez présenter en toute confiance vos compétences, vos expériences et vos aptitudes pour le poste. N'oubliez pas d'être clair, concis et de vous adapter aux besoins de votre auditoire.

Let’s be honest - the job market is competitive these days. Understanding how to read an entry level job description is a critical skill that can (maybe) make or break your chances of landing the job. By breaking down the various components of a job description, conducting thorough research, and crafting a tailored application, you can increase your chances of capturing the attention of recruiters.We spoke to Charlotte Marvin, Human Resources Manager at Total Credit Recovery Limited, about the right way to read an entry level job description, and she shared some valuable tips. [Please note the views and opinions expressed below are specific and individual to Charlotte, and not that of TCR.]  “Paying attention to the bulleted “requirements” of jobs is key - this is how recruiters will often decide what resumes to pre-screen, and which to reject without contact. If you don’t meet the minimum requirements for items such as location, working hours and availability, etc, its not worth a recruiters’ time to call you, when we know it doesn’t align right off the hop or if there will be a large barrier to getting you employed.” “When it comes to entry level jobs, a lot of applicants are either fresh out of school, new to the country, or experiencing a career change- or all 3 cases may apply to one applicant. For this reason, I’m a big fan of cover letters, especially when you have no work experience, or no relevant experience on your resume relating to the role you apply for.” “If you tell me in that cover letter that you understand you have no prior experience, but love a certain aspect of the job, then I’m more likely to call you. This helps show me that over other applicants, you want this role and have motivation, vs just appearing like you’ve applied for every job under the sun available on Indeed, which is how unrelated applications can sometimes appear.”Let’s dive a little deeper into how you should read a job description:  Breaking Down the Job Description A well-structured job description usually has several key sections, each providing important information for potential applicants. By reading and understanding these sections, you can gain deeper insights into the role and tailor your application accordingly. As Charlotte suggests, paying close attention to these sections is crucial in catching the recruiter's attention.1. Employment TypeTake note of the employment type mentioned in the job description. Understanding whether the position is full-time, part-time, temporary, or contract-based is essential in determining if the job aligns with your availability and preferences.2. LocationConsider the geographical location of the job. Pay attention to the location details provided in the job description. Assessing the location is important in determining if the job aligns with your lifestyle and needs, including factors such as commute times and potential relocation.3. Overview and ResponsibilitiesPay close attention to the overview and responsibilities section of the job description. Look for keywords and phrases that indicate the primary tasks and objectives of the role. Analyze these sections carefully to assess if your skills and interests align with the job requirements.4. Required QualificationsThoroughly read and analyze the qualifications section of the job description. Charlotte highlights the importance of taking note of specific skills, education, and experiences desired by the employer. Pay close attention to mandatory requirements as well as preferred qualifications that could give you a competitive edge. Assess how well your qualifications align with the job description to determine if you are a suitable candidate.It’s also important to note that even though the heading might say “required,” this list describes the ideal candidate, who may not exist! If you meet 60-70% of the requirements, and you feel you have the potential to excel in this role, apply anyway. (Please use your judgment: don’t apply to a role that asks for fluency in French if you only took the mandatory french class in grade 9.)Researching the CompanyIn addition to analyzing the job description, conducting thorough research on the company is important to your application and also your interest. Familiarizing yourself with the company's values, mission, and culture helps demonstrate your genuine interest in the position. Remember - it’s not just about if you’re a fit for the job, but if the company is a good fit for you. Utilize resources such as the company's website, social media platforms, and news articles to gather information that can help you tailor your application and showcase your alignment with the organization. Whatever information you come across can make you more enthusiastic about the role (yay!), or it could help you decide that the role isn’t for you. If you do find something that makes you excited to work there, mention it in your cover letter! Crafting a Compelling Cover LetterFor entry level job applicants like you and me, a well-crafted cover letter is incredibly valuable in showcasing your motivation and suitability for the role. As Charlotte emphasized, a tailored cover letter provides an opportunity to address any potential concerns and give context to your application. Highlight relevant skills, experiences, and transferable qualities, even if they come from outside traditional work settings. Explain how your unique background and perspective make you a valuable asset to the company, in addition to WHY you want to work there. Remember: It’s important to edit your cover letter according to each job - recruiters know when it’s simply a copy and paste cover letter.  Final Thoughts By focusing on requirements and tailoring cover letters to address any concerns or lack of experience, you can stand out from the crowd! Now’s your time to apply! Lots of new jobs are out now on OCC. Good luck!  

As a fresh grad, crafting an impactful resume with relevant skills can be challenging (believe me, I know). Recruiters are looking for specific skills and experiences that make you stand out from the competition. Let’s chat about the top 20 skills that every new grad should consider including on their resume:Communication: Strong written and verbal communication skills are essential for any job. Highlight experience with public speaking, writing, and collaborating with othersTime Management: Show that you can handle multiple tasks effectively by including examples of how you prioritized and organized your workload during internships or academic projects.Adaptability: Demonstrate your ability to adapt to new environments and work well under pressure by showcasing real-world examples where you effectively handled unexpected challenges. All of us were students during the pandemic - if that doesn’t scream adaptable, I don’t know what does. Leadership: Even if you haven't held leadership positions, highlight teamwork and leadership experiences, such as projects or mentoring roles in school. Problem-Solving: Employers value analytical skills. Include instances where you identified and solved problems, implemented innovative solutions, or contributed to process improvements.Technical Skills: Depending on your field, highlight relevant technical skills such as programming languages, software proficiency, or knowledge of specialized tools or programs. Research and Analytics: Showcase your ability to gather, analyze, and present data through research papers, thesis work, or any data-driven projects you worked on during your studies.Critical Thinking: Emphasize your ability to evaluate information objectively and make informed decisions, using real-life examples where you demonstrated critical thinking skills.Teamwork: Collaboration is super important in most workplaces. Highlight experiences in group projects, extracurricular activities, or internships that demonstrate your ability to work effectively in a team.Interpersonal Skills: Showcase your ability to build professional relationships, manage conflicts and work well with colleagues, clients, or customers. Emphasize your ability and willingness to listen actively, provide feedback, and communicate in different settings. Presentation Skills: Whether it's presenting a project or pitching ideas, employers appreciate candidates who can communicate effectively. Mention instances where you successfully presented ideas or findings to an audience.Problem Identification: Show your capability to identify issues and gaps. Discuss projects or internships where you pinpointed problems and proposed solutions.Self-Motivation: It's essential to demonstrate that you can work independently and take initiative. Include examples of self-driven projects or instances where you went above and beyond what was expected.Organization: Employers value candidates who can stay organized. Mention experiences where you efficiently managed resources, schedules, or events.Data Analysis: In the age of big data, the ability to analyze and interpret data is valuable. Showcase instances where you utilized data analysis techniques to draw meaningful insights.Digital Literacy: Demonstrate your proficiency with relevant digital tools, platforms, and social media, as these have become integral in many industries.Project Management: Highlight instances where you successfully managed projects from start to finish, taking into consideration milestones, deadlines, and resource allocation.Continuous Learning: Employers value candidates who have a thirst for knowledge and are eager to improve themselves. Mention any certifications, workshops, or online courses you've completed.  Customer Service: Emphasize your proficiency in providing excellent customer service. Discuss any experiences you've had working directly with customers, handling inquiries or complaints, and ensuring customer satisfaction.  Attention to Detail: Showcase your ability to focus on the fine details and maintain a high level of accuracy in your work. Highlight instances where your attention to detail resulted in error-free deliverables, meticulous documentation, or successful quality control.20 skills is a lot. I know you may have some questions, so here’s a few FAQs: How do I determine which skills to include on my resume?Consider the job description and requirements of the position you're applying for. Identify the key skills mentioned and align them with your own strengths and experiences. Also, think about the transferable skills you've gained through internships, projects, or extracurricular activities. Basically, if you have a skill - great, include it! If don’t have a skill - don’t include it. Should I include every skill I possess on my resume?It's important to tailor your resume to the specific job you're applying for. Include skills that are relevant to the position and highlight those that set you apart from other candidates. Avoid listing irrelevant or basic skills that are totally unrelated to the job you’re applying for. How can I showcase my skills effectively on my resume?In addition to listing skills, provide specific examples and achievements that demonstrate how you have utilized those skills in meaningful ways. Whenever possible, quantify your results to showcase your impact. For example, instead of saying "Excellent communication skills," mention "Effectively presented research findings to an audience of 100+ people."What if I lack experience in certain skills?If you are lacking experience in specific skills, focus on the skills you do have and emphasize your willingness to learn and grow. You can mention relevant coursework, personal projects, or initiatives you've taken to develop those skills. Additionally, emphasize your transferable skills, such as problem-solving or teamwork, which can be applied in various settings. Where should I place the skills section on my resume?There are different ways to structure your resume, but a common approach is to include a dedicated "Skills" section after your work experience or education section. This allows the hiring manager to quickly identify your key strengths without having to search through the entire document.Final Thoughts As a new grad, your resume should showcase a variety of skills that make you an attractive candidate to potential employers. By incorporating these 20 essential skills into your resume, you will increase your chances of securing the job you’re hoping for. Good luck!P.S. There are tons of new jobs for students and new grads on OCC - check it out! 

À l'approche de 2024, il est important de garder une longueur d'avance et de comprendre les tendances qui façonneront le monde du travail moderne. Récemment, je suis tombée sur un article perspicace de Forbes rédigé par Samantha Madhosingh, qui présente les principales tendances qui façonneront l'avenir du travail en 2024.Jetons un coup d'œil à ces tendances et à l'impact qu'elles pourraient avoir sur les emplois que nous occupons et que nous décrocherons cette année :Le retour au bureauComme nous le savons, le retour au bureau est une grande tendance. De nombreuses entreprises s'orientent vers un modèle hybride, mêlant à la fois le travail au bureau et le travail à distance. Bien que le travail à distance soit devenu populaire pendant la pandémie, des études ont montré que de nombreux employés ont envie de la structure et de l'interaction du travail au bureau. Cependant, la flexibilité du travail à distance est également très appréciée par les employés.À l'aube de 2024, les entreprises devront trouver un équilibre entre le travail au bureau et le travail à distance qui convienne à leurs équipes et à leurs employés.Fait amusant : certains analystes suggèrent que nous pourrions assister à un retour complet du travail au bureau d'ici 2026, mais pour l'instant, le modèle hybride devrait rester en vigueur.Transparence accrue des salairesLa transparence des salaires devient de plus en plus importante sur le lieu de travail. Une nouvelle législation oblige les entreprises à indiquer les fourchettes de salaires dans les descriptions de postes, ce qui permet de réduire les écarts de rémunération et de créer des discussions plus éclairées sur la rémunération.Les jeunes générations, telles que les Millennials et la Génération Z (comme nous), sont particulièrement ouvertes à la discussion sur les salaires et l'argent. Alors que la génération Z continue d'entrer dans le monde du travail, les jeunes générations sont particulièrement ouvertes à la discussion sur les salaires et l'argent.Priorité au bien-être mental et à la prévention de l'épuisement professionnelLe bien-être mental a, à juste titre, pris le devant de la scène ces dernières années et continuera d'être une priorité absolue pour les lieux de travail en 2024. L'épuisement professionnel et le stress au travail peuvent gravement nuire à la productivité, et des études montrent que plus de la moitié des employés souffrent d'un épuisement professionnel modéré.Pour faire face à ce problème, les entreprises s'attacheront à fournir des ressources et à mettre en œuvre des politiques donnant la priorité à la santé mentale. Les dirigeants devraient examiner la culture de leur entreprise et favoriser un environnement de confiance pour prévenir l'épuisement professionnel.Intégrer l'IA générativeL'intelligence artificielle (IA) transforme le lieu de travail, et l'IA générative devrait continuer à jouer un rôle en 2024. De nombreux professionnels ont déjà commencé à expérimenter des solutions basées sur l'IA, mais il y a encore beaucoup de place pour l'exploration et la compréhension.Cette année, nous pouvons nous attendre à voir les entreprises augmenter leurs investissements dans les solutions d'IA afin de comprendre comment elles peuvent être intégrées au sein des entreprises et comment cela affectera les rôles et les responsabilités des employés. En adoptant l'IA générative et en offrant une formation aux employés, nos employeurs peuvent explorer son potentiel, en améliorant la productivité et en rationalisant les flux de travail.Voir aussi : L'IA sur le lieu de travail : Comment elle change la donnePrendre soin de la planèteLe changement climatique et la durabilité environnementale sont des préoccupations mondiales majeures. Les salariés recherchent désormais des entreprises qui s'emploient activement à limiter les émissions de carbone, à réduire les déchets, à adopter des comportements plus respectueux de l'environnement et à améliorer la qualité de l'air. 

Non, vous ne l'avez PAS raté. La fenêtre d'embauche se prolonge au cours de la nouvelle année, car il est rare, voire impossible, que le cycle de recrutement se termine complètement à la fin de l'année.Le mois de janvier, en particulier, est un mois charnière dans le paysage de l'embauche. Dans cet article de blog, nous explorerons les opportunités uniques que la saison d'embauche du Nouvel An présente pour les demandeurs d'emploi et nous fournirons des stratégies concrètes pour vous aider à tirer le meilleur parti de cette période prometteuse.Tirez parti des résolutions du Nouvel An : Aligner les objectifs de carrièreAlors que les individus du monde entier se fixent de nouveaux objectifs et prennent de nouvelles résolutions pour l'année à venir, les responsables du recrutement et les entreprises réfléchissent également à leurs besoins en personnel ou s'efforcent de répondre aux besoins en personnel non satisfaits en décembre. Le mois de janvier est le moment idéal pour aligner vos objectifs de carrière sur les besoins changeants du marché de l'emploi. Révisez et mettez à jour vos objectifs de carrière, en veillant à ce qu'ils correspondent aux tendances de l'industrie et aux compétences demandées. Rédigez un récit convaincant autour de vos aspirations et soyez prêt à les formuler lors des entretiens et dans votre CV. La fenêtre d'embauche n'est pas encore fermée pour 2023 et de nombreux nouveaux postes s'ouvriront en 2024 - ne perdez pas de vue vos objectifs.Rafraîchissez votre marque professionnelle : Soignez votre imageLe début d'une nouvelle année est une excellente occasion de rafraîchir votre image professionnelle. Mettez à jour votre CV, en veillant à ce qu'il mette en évidence vos réalisations récentes et les nouvelles compétences que vous avez acquises. Prenez le temps de peaufiner votre profil LinkedIn, en ajoutant une photo professionnelle et en peaufinant votre résumé. Mettez en avant vos réalisations et vos contributions de l'année précédente, afin de montrer aux employeurs potentiels que vous êtes un candidat digne d'intérêt.Tirez parti des allocations budgétaires : Initiatives d'embauche en début d'annéeDe nombreuses entreprises reçoivent de nouvelles allocations budgétaires en début d'année, ce qui entraîne une recrudescence des activités de recrutement. Les demandeurs d'emploi peuvent tirer parti de ces initiatives de recrutement en début d'année en surveillant activement les sites d'offres d'emploi, les pages carrière des entreprises et les bulletins d'information sectoriels pour y trouver de nouvelles opportunités. Envoyez rapidement vos candidatures et adaptez votre lettre de motivation et votre curriculum vitae pour mettre en valeur vos compétences et vos expériences qui correspondent aux besoins spécifiques des entreprises qui recrutent.Renouvellement du réseau : S'engager avec une énergie nouvelleLe mois de janvier apporte un sentiment d'énergie renouvelée, ce qui en fait le moment idéal pour revitaliser votre réseau professionnel. Participez à des événements industriels, virtuels ou en personne, pour entrer en contact avec des professionnels dans votre domaine. Participez aux forums et discussions en ligne liés à votre secteur d'activité pour rester informé des tendances actuelles. Profitez de l'optimisme de la saison pour contacter des personnes-ressources en vue d'entretiens informatifs ou pour exprimer votre intérêt pour des opportunités potentielles.Préparez-vous à des changements rapides : Restez prêt pour les entretiensLa saison de recrutement de janvier peut évoluer rapidement, les entreprises cherchant à pourvoir les postes rapidement. En tant que candidat, il est essentiel d'être toujours prêt pour un entretien. Entraînez-vous à répondre aux questions d'entretien les plus courantes, faites des recherches sur les entreprises qui vous intéressent et préparez des questions réfléchies à l'intention des employeurs potentiels. Veillez à ce que vos références professionnelles soient à jour et prêtes à se porter garantes de vos compétences et de vos qualifications.

En tant qu'étudiant entrant dans la vie active, la perspective de négocier son salaire peut être à la fois exaltante et décourageante. Si l'idée d'obtenir une rémunération bien méritée est excitante, le processus de négociation en intimide plus d'un. Pourtant, maîtriser l'art de la négociation salariale est une compétence cruciale qui peut avoir un impact significatif sur votre avenir financier. Dans cet article de blog, nous allons explorer trois conseils pour aider les étudiants à exceller dans les négociations salariales. Faites des recherches et sachez ce que vous valez :  L'une des erreurs les plus courantes commises lors des négociations salariales est de sous-évaluer ses compétences et ses qualifications. Avant d'entamer des négociations, prenez le temps de vous renseigner sur les normes du secteur, les fourchettes de salaires de l'entreprise et la rémunération moyenne pour des fonctions similaires dans votre région. Des sites web tels que Glassdoor, Payscale et LinkedIn peuvent fournir des informations précieuses sur les attentes salariales.   Dressez une liste de vos réalisations, de vos compétences et de toute expérience pertinente qui apporte une valeur ajoutée au poste. Cette liste servira de base à votre négociation et vous permettra d'expliquer pourquoi vous méritez le salaire que vous demandez. La confiance en vos capacités et une bonne compréhension de votre valeur sur le marché renforceront votre position à la table des négociations.Pratiquer une communication efficace :   Une communication efficace est la clé d'une négociation salariale réussie. Entraînez-vous à articuler vos réalisations, vos compétences et les raisons pour lesquelles vous méritez un salaire plus élevé. Préparez-vous à donner des exemples précis de la valeur ajoutée que vous avez apportée dans vos fonctions précédentes ou dans vos études.   Pendant les négociations, concentrez-vous sur la valeur que vous apportez à l'organisation plutôt que sur vos besoins personnels. Les employeurs sont plus susceptibles de répondre positivement à des arguments fondés sur votre contribution à l'équipe, votre capacité à résoudre des problèmes et votre engagement en faveur du développement professionnel.   En outre, soyez attentif et écoutez activement. Comprendre le point de vue de l'employeur et être ouvert au compromis peut créer un environnement de négociation positif. N'oubliez pas que les négociations se déroulent dans les deux sens et que l'objectif est de parvenir à un accord mutuellement bénéfique. Le choix du moment est primordial :  Le moment de la négociation salariale est crucial. Idéalement, vous devriez attendre qu'une offre d'emploi vous soit faite avant de discuter de la rémunération. Cela vous permet d'évaluer l'ensemble de l'offre, y compris les avantages, avant d'entamer les négociations.  Exprimez votre enthousiasme pour le poste et l'entreprise avant de discuter du salaire. Vous vous concentrerez ainsi sur l'opportunité qui vous est offerte plutôt que sur l'aspect financier. Si possible, reportez la discussion sur le salaire jusqu'à ce que vous ayez bien compris vos responsabilités et les attentes liées au poste.  Si l'on vous demande quelles sont vos attentes salariales au début du processus, donnez une fourchette large basée sur vos recherches. Cela vous permettra de faire preuve de souplesse et vous évitera de vous sous-évaluer avant d'avoir pleinement compris les exigences du poste. Maîtriser l'art de la négociation salariale est une compétence qui peut avoir un impact considérable sur votre bien-être financier tout au long de votre carrière. Comme l'a dit Roger Fisher, expert en négociation et professeur à la faculté de droit de Harvard : "Le plus difficile dans une négociation, ou presque, c'est de s'assurer que l'on se débarrasse des émotions et que l'on s'en tient aux faits". En effectuant des recherches approfondies, en pratiquant une communication efficace et en comprenant l'importance du choix du moment, les étudiants peuvent aborder les négociations avec confiance et augmenter leurs chances d'obtenir une rémunération compétitive. N'oubliez pas que la négociation de votre salaire n'est pas qu'une question d'argent : il s'agit de reconnaître et de communiquer la valeur que vous apportez à la table.  

Croyez-moi, je sais que le refus d'un emploi peut être décourageant et démotivant. Cependant, il est important de se rappeler que ce ne sont pas toujours vos qualifications ou vos compétences qui sont en cause. Parfois, un manque de connexion avec l'employeur peut être le facteur décisif. Dans ce blog, nous allons explorer les idées et les conseils partagés par Ali Gharaei, un recruteur de Reichmann International Development Corporation, un employeur qui recrute actuellement sur OCC, sur la façon de rebondir après un refus d'emploi et de trouver la bonne personne pour votre carrière. Selon Ali, "quelle que soit la perfection de votre candidature, il arrive qu'un autre candidat obtienne le poste au détriment du vôtre parce qu'il n'a pas réussi à établir un lien avec l'employeur. Ne vous laissez pas abattre par un refus, il vous suffit de trouver l'emploi qui vous convient, où votre personnalité et vos compétences seront appréciées et où vous vivrez en retour une expérience plus agréable dans votre carrière". Ce conseil souligne l'importance des compétences interpersonnelles et de l'établissement d'un lien avec les employeurs potentiels. S'il est facile de se décourager après avoir essuyé un refus, il nous rappelle que cela ne reflète pas toujours nos capacités ou nos qualifications. Ne le prenez pas personnellement Il est facile de se sentir frustré ou de remettre en question ses capacités après avoir essuyé un refus. Cependant, il est essentiel de se rappeler que, parfois, cela est dû à des facteurs indépendants de votre volonté. Cela ne signifie pas que vous n'êtes pas assez bon, mais plutôt qu'il y avait un meilleur candidat pour le poste en question. Ne vous laissez pas abattre par un refus ; voyez-le plutôt comme une occasion de trouver un poste qui vous conviendra mieux ! Trouver le bon profil Au lieu de vous attarder sur le rejet, concentrez votre énergie sur la recherche d'un environnement de travail où votre personnalité et vos compétences sont réellement appréciées. Recherchez des organisations qui correspondent à vos valeurs et qui offrent une culture propice à votre épanouissement. En trouvant ce qui vous convient, vous améliorerez votre carrière et profiterez d'un parcours professionnel plus épanouissant. Faites preuve de résilience La capacité à rebondir après un rejet exige de la résilience (plus facile à dire qu'à faire, je sais). Considérez chaque refus comme une expérience d'apprentissage et une opportunité de croissance. Utilisez les commentaires reçus, le cas échéant, pour identifier les domaines à améliorer et continuer à affiner vos compétences et votre expertise. Réseautez et connectez-vous La constitution d'un réseau professionnel solide peut augmenter vos chances de trouver la bonne personne. Participez à des événements sectoriels, rejoignez des communautés en ligne pertinentes et entrez en contact avec des professionnels dans votre domaine d'intérêt. Le réseautage offre de précieuses occasions de rencontrer des employeurs potentiels et de se faire une idée des diverses possibilités d'emploi.  

Ce n'est un secret pour personne que l'intelligence artificielle (IA) s'intègre dans divers secteurs de notre vie, y compris dans le processus de candidature à un emploi. De nombreuses entreprises utilisent des outils d'IA pour rationaliser le processus de recrutement et identifier les candidats les plus appropriés. Cependant, même si l'utilisation d'outils d'IA tels que ChatGPT peut être bénéfique pour affiner votre CV et votre lettre de motivation, il est important de prendre en compte les bonnes pratiques lorsque vous postulez à un emploi afin d'augmenter vos chances de réussite.Qu'en pensent les recruteurs ?Après quelques recherches, il semble que l'opinion des recruteurs sur les candidats utilisant l'IA varie. Certains reconnaissent les avantages de l'utilisation d'outils d'IA pour améliorer les candidatures, tandis que d'autres ne sont pas d'accord. Selon un rapport 2023 insights de l'éditeur de logiciels RH iCIMS, 39 % des professionnels des RH estiment que l'utilisation de l'IA par un candidat au cours du processus d'embauche est un facteur décisif. Pourtant, au moins 25 % des employeurs eux-mêmes utilisent l'IA et l'automatisation dans le cadre de l'embauche et du recrutement, et d'autres prévoient d'adopter cette technologie au cours des prochaines années.Il convient de noter que l'utilisation de l'IA dans votre recherche d'emploi peut s'avérer extrêmement utile lorsqu'il s'agit de trouver des synonymes ou de reformuler les choses. Il s'agit d'un outil et d'une ressource utiles pour trouver des mots clés, trouver d'autres façons de dire les choses et présenter vos compétences et vos expériences de la meilleure façon possible.Le consensusVotre candidature doit ressembler à ce que vous avez écrit. L'IA ne peut pas vraiment expliquer pourquoi ou à quel point vous voulez travailler dans une entreprise. Vous seul pouvez le faire. Mettre l'accent sur les compétences en matière d'IA pourrait vous aider au cours du processus d'embaucheIl pourrait s'agir de démontrer vos connaissances en matière d'IA lors des entretiens, en expliquant simplement comment vous pourriez intégrer des outils d'IA dans les flux de travail.Voir aussi : L'IA sur le lieu de travail : Comment elle change la donneIl est important de faire preuve de prudence lorsque vous utilisez l'IA dans votre candidature. Il est possible qu'elle fasse plus de mal que de bien.À faire et à ne pas faireL'utilisation de l'IA, telle que ChatGPT, dans les candidatures à un emploi peut présenter des avantages si elle est effectuée correctement et avec prudence. D'après ce que j'ai pu constater, voici quelques points à faire et à ne pas faire lorsqu'il s'agit d'utiliser l'IA dans votre demande d'emploi :À faire :Utiliser l'IA pour faire du brainstorming et affiner les premières ébauches de votre candidature.Réviser et éditer le contenu généré par l'IA pour s'assurer qu'il est exact.Faites des recherches sur l'utilisation de l'IA par l'entreprisePrésenter les projets et les connaissances en matière d'IA de manière professionnelle lors des entretiens.Faites preuve de discernement pour déterminer l'utilisation éthique de l'IA.À éviter :Soumettre du contenu généré par l'IA sans l'avoir lu et modifié.Mentir dans votre CV parce que l'IA vous l'a demandéS'en remettre entièrement à l'IA pour rédiger votre candidature à votre place. Oublier de personnaliser les résultats généraux de l'IA pour les adapter à des rôles spécifiquesSupposer que les recruteurs ne détecteront pas le contenu généré par l'IA.  Dernières réflexionsNous savons que l'IA est en train de transformer le processus de candidature, et en choisissant soigneusement les domaines dans lesquels vous l'intégrez, vous pouvez augmenter vos chances d'être remarqué.Examinez attentivement toutes ces informations avant de confier à l'IA le soin de rédiger toutes vos candidatures à votre place. Bonne chance pour vos candidatures !  

Ces dernières années, TikTok est rapidement devenue bien plus qu'une application de danse et de vidéos amusantes. Aujourd'hui, pour certains utilisateurs, la plateforme est la plaque tournante d'une tonne de conseils sur tout ce qui touche à la carrière. #CareerTok compte actuellement plus de 1,5 milliard de vues, avec des contenus qui traitent de sujets aussi variés que les conseils pour les entretiens, les moyens de pimenter sa lettre de motivation, la manière de négocier son salaire, l'entrée sur le marché du travail en tant que jeune, et bien d'autres choses encore.En tant qu'adepte fréquent de #CareerTok, je suis tombé sur d'excellents conseils. Décortiquons-les afin que tu puisses les utiliser pour espérer décrocher un emploi sur Outcome Campus Connect (OCC). Quelques conseils utiles"Je ne fais que suivre"Mari Carmen Pizarro, coach en leadership et en carrière, insiste sur l'importance d'éviter les phrases du type "Je ne fais que suivre" lorsque vous communiquez avec des employeurs potentiels. En utilisant de telles phrases, vous diminuez involontairement votre autorité et donnez l'impression que votre relation est basée uniquement sur la satisfaction de vos besoins. Au lieu de cela, M. Pizarro suggère de formuler votre suivi avec assurance en demandant quelque chose comme "Est-il judicieux de prendre un appel pour XYZ ?". Cette approche renforce votre confiance et montre que vous êtes activement engagé dans la poursuite de vos objectifs. 3 choses à faire le premier jour Erin Mcgoff, créatrice de contenu, met en lumière trois actions essentielles souvent négligées le premier jour d'un nouvel emploi. Tout d'abord, elle insiste sur l'importance de donner dès le départ un ton positif à vos interactions et relations professionnelles. Deuxièmement, elle conseille de créer un dossier dans le nuage pour stocker les compliments, les récompenses et les réalisations que vous recevez, afin d'y accéder facilement lorsque vous mettez à jour votre CV ou que vous vous préparez à de futures opportunités d'emploi. Enfin, elle souligne l'importance de fixer poliment des normes et des limites, car il est essentiel d'établir très tôt ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire dans le cadre de votre fonction. Comment se démarquer lors d'un entretien La recruteuse et personnalité de TikTok, thatcareercoachcaty, explique que se démarquer lors d'un entretien ne dépend pas uniquement du CV et de la formation. Elle encourage plutôt les candidats à se concentrer sur les questions qu'ils posent pendant l'entretien. En montrant un intérêt sincère pour l'entreprise et en comprenant le rôle, les candidats peuvent se démarquer. Voici quelques-unes des questions qu'elle recommande de poser Pourquoi ce poste est-il ouvert ? Comment le succès est-il mesuré dans cette fonction ? Quelle est la définition de l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée dans l'entreprise ? Des questions réfléchies et bien préparées peuvent laisser une impression durable et mettre en évidence votre enthousiasme et votre dévouement.Erin Mcgoff, créatrice de contenu, met en lumière trois actions essentielles souvent négligées le premier jour d'un nouvel emploi. Premièrement, elle souligne l'importance de donner dès le départ un ton positif à vos interactions et relations professionnelles. Deuxièmement, elle conseille de créer un dossier dans le nuage pour stocker les compliments, les récompenses et les réalisations que vous recevez, afin d'y accéder facilement lorsque vous mettez à jour votre CV ou que vous vous préparez à de futures opportunités d'emploi. Enfin, elle souligne l'importance de fixer poliment des normes et des limites, car il est essentiel d'établir très tôt ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire dans le cadre de votre fonction. Comment se démarquer lors d'un entretienLa recruteuse et personnalité de TikTok, thatcareercoachcaty, explique que se démarquer lors d'un entretien ne dépend pas uniquement du CV et de la formation. Elle encourage plutôt les candidats à se concentrer sur les questions qu'ils posent pendant l'entretien. En montrant un intérêt sincère pour l'entreprise et en comprenant le rôle, les candidats peuvent se démarquer. Voici quelques-unes des questions qu'elle recommande de poser Pourquoi ce poste est-il ouvert ? Comment le succès est-il mesuré dans cette fonction ? Quelle est la définition de l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée dans l'entreprise ? Des questions réfléchies et bien préparées peuvent laisser une impression durable et mettre en évidence votre enthousiasme et votre dévouement. Décrocher un emploi à l'OCCMaintenant que nous avons exploré ces précieux conseils de carrière de TikTok, appliquons ces connaissances pour espérer décrocher un emploi sur OCC.OCC offre une plateforme fiable et complète pour trouver des opportunités de carrière passionnantes.Voici comment vous pouvez tirer parti de ces conseils : Des suivis confiants : Utilisez les conseils de Mari pour encadrer avec confiance votre communication de suivi avec des employeurs potentiels sur OCC.Évitez d'utiliser des phrases qui sapent votre autorité et montrez plutôt que vous poursuivez activement vos objectifs. Adopter un ton positif :Appliquez la suggestion d'Erin pour donner un ton positif à vos interactions sur Outcome Campus Connect.Faites preuve de professionnalisme, nouez des relations et abordez votre recherche d'emploi avec enthousiasme et positivité. Des questions d'entretien réfléchies :Lors des entretiens facilités par Outcome Campus Connect, utilisez les conseils de Caty pour vous démarquer.Posez des questions perspicaces qui démontrent votre intérêt pour l'entreprise et le poste, en mettant en avant votre dévouement et votre enthousiasme. Réflexions finales#CareerTok est une excellente ressource sur les médias sociaux, en particulier pour les nouveaux diplômés et les jeunes qui commencent à entrer sur le marché du travail. Il y a beaucoup de conseils précieux partagés sur les médias sociaux que nous pouvons utiliser à notre avantage dans notre recherche d'emploi !Il y a beaucoup de nouveaux emplois sur le site du CCO - jetez-y un coup d'œil ! 

Les entretiens d'embauche peuvent être une expérience éprouvante, surtout lorsqu'il s'agit de décrocher l'emploi de ses rêves. Les candidats tombent souvent dans le piège du "halo de connaissances", en supposant que leur expertise et leurs compétences dans leur fonction actuelle seront automatiquement synonymes de succès lors des entretiens. Or, cette hypothèse peut nuire aux chances de décrocher un poste si l'on ne se prépare pas en conséquence.Examinons le concept du piège du halo de connaissances, ses implications dans les entretiens d'embauche et l'importance de se montrer sous son meilleur jour au cours du processus d'entretien.Le piège du halo de connaissancesJe suis tombé sur un article intéressant sur LinkedIn dans lequel Daniel Rizea, directeur de l'ingénierie chez Google, parle de ce qu'il appelle "le piège du halo de la connaissance". Ce concept fait référence au faux sentiment de préparation qu'éprouvent les candidats lorsqu'ils excellent dans leur emploi actuel.Ce n'est pas parce qu'une personne s'acquitte bien de ses responsabilités quotidiennes qu'elle est assurée de réussir un entretien d'embauche. Les tâches accomplies lors d'un entretien peuvent être très différentes, exigeant des candidats qu'ils mettent en avant leurs capacités de résolution de problèmes, leur adaptabilité et leurs connaissances théoriques, qui peuvent ne pas correspondre aux exigences de leur poste habituel. Rizea suggère que si vous n'avez pas participé activement à des entretiens, indépendamment de votre ancienneté ou de votre expérience, il y a de fortes chances que vous ne soyez pas bon dans ce domaine.Implications dans les entretiens d'embaucheLes entretiens d'embauche sont conçus pour évaluer l'aptitude d'un candidat à occuper un poste spécifique, et ils impliquent souvent l'évaluation d'un large éventail de compétences allant au-delà de celles exercées dans le cadre du poste actuel. Si des performances professionnelles impressionnantes sont un gage de compétence, il est tout aussi essentiel que les candidats démontrent leur capacité à relever de nouveaux défis et à acquérir de nouvelles compétences. Se contenter de s'appuyer sur son expertise existante ne permettra probablement pas de mettre en valeur les qualités et le potentiel nécessaires pour exceller dans le nouveau rôle.Préparation de l'entretienPour éviter le piège du halo de connaissances, les candidats doivent consacrer du temps et des efforts à la préparation de l'entretien. Cela implique de faire des recherches sur l'entreprise et le poste, de se familiariser avec les questions d'entretien les plus courantes et d'élaborer des réponses bien pensées. Les candidats doivent s'entraîner à répondre à ces questions de manière concise et articulée. En se préparant minutieusement, les candidats peuvent aborder avec confiance différents scénarios d'entretien et s'assurer qu'ils sont bien équipés pour donner le meilleur d'eux-mêmes au cours de l'entretien.Voir aussi : Surmonter le trac avant l'entretien : Comment répondre en toute confiance aux questions d'entretien de type "boule de neige" ?Se présenter sous son meilleur jourS'il est important de se préparer soigneusement aux entretiens, il est tout aussi important pour les candidats de se présenter de manière authentique. Une passion et un enthousiasme sincères pour le poste, entre autres, peuvent avoir un impact significatif sur la perception de l'intervieweur. Les employeurs ne recherchent pas seulement des compétences techniques, mais aussi des candidats qui s'alignent sur la culture de l'entreprise et démontrent un réel désir de contribuer à l'organisation. En faisant preuve d'un réel enthousiasme pour l'opportunité qui leur est offerte, les candidats peuvent se démarquer de la concurrence.

Hourra ! C'est la période de l'année où les fantômes et les lutins sortent pour jouer, et le bureau ne fait pas exception à la règle. Bien que nous aimions avoir peur pendant Halloween, il y a un endroit que nous préférons garder à l'abri des frayeurs : le lieu de travail. Mais attention, car en vous cachant parmi vos collègues, vous risquez de découvrir chez vos managers des traits de caractère qui vous feront froid dans le dos et qui sont plus effrayants que n'importe quelle maison hantée. Dans cet article de blog, nous allons explorer les caractéristiques à surveiller chez votre patron, afin de rendre votre vie professionnelle un peu plus sinistre (mais pas dans le bon sens du terme).Le micromanager fantômeImaginez : vous travaillez avec application à votre bureau lorsque vous sentez soudain un souffle froid sur votre cou. Vous vous retournez, et voilà votre supérieur qui plane comme un fantôme, scrutant vos moindres faits et gestes. Si votre patron fait de la microgestion dans tous les aspects de votre travail, il a le trait obsédant du "micromanager fantôme". C'est lui qui ne vous laisse pas respirer sans son approbation. Leur obsession du contrôle peut vous donner la chair de poule et faire de votre travail un véritable cauchemar.Conseils pour faire face au micromanager fantôme :Lorsque vous avez affaire à un micro-manager, essayez de comprendre son point de vue et posez des questions approfondies pour voir s'il y a des moyens de vous gérer de manière à ce qu'il ne ressente pas le besoin de contrôler constamment votre travail et de le guider. Gardez les lignes de communication ouvertes afin qu'ils comprennent le type d'espace dont vous avez besoin pour faire votre travail et la manière dont vous travaillez de manière optimale pour obtenir le meilleur résultat possible - ahem, celui que vous et eux recherchez ! Si tout le reste échoue, demandez un entretien privé pour parler de ce que vous ressentez et de la manière dont le micro-management entrave vos capacités de travail. Si cela ne fonctionne toujours pas, vous pouvez demander à une tierce personne au sein de l'entreprise, un médiateur, de parler avec vous deux et de remédier au problème de style de management avec vous.Le Zombie DeadlinerAvez-vous déjà eu un manager qui vous confie des tâches puis disparaît dans l'abîme, pour ne réapparaître qu'une fois l'échéance passée, tel un zombie sortant de sa tombe ? Ces "Zombie Deadliners" sont des experts de la procrastination et peuvent transformer n'importe quel projet en une course effrénée pour respecter les délais de dernière minute. Méfiez-vous d'eux, ils pourraient bien vous faire perdre la raison ! Conseils pour faire face à une personne zombie qui ne veut pas entendre parler d'elle :Encore une fois, essayez de voir leur point de vue, cela échoue rarement et c'est crucial dans un environnement de travail où chacun pense différemment et fonctionne à un niveau unique pour donner le meilleur de lui-même. Si vous avez l'impression qu'on vous délègue des tâches ou que vous travaillez aux côtés de quelqu'un pour atteindre une étape importante, mais que les délais ne sont pas clairs ou que les objectifs disparaissent, abordez la question et essayez de clarifier la façon dont cela influence votre capacité à travailler avec succès. Parfois, les gens se sentent dépassés et ne savent même pas que leur style de travail a un impact négatif sur les autres.Le draineur d'énergie pour vampiresLes vampires ne sortent pas seulement la nuit - certains d'entre eux se cachent également à la lumière du jour ! Les "vampires draineurs d'énergie" sont des managers qui semblent se nourrir de votre énergie et de votre enthousiasme. Ils drainent votre force vitale avec des réunions interminables, des rapports fastidieux et des demandes incessantes, vous laissant l'impression d'être une coquille vide et sans vie.Conseils pour faire face à un draineur d'énergie :Il arrive que des événements de la vie personnelle influencent la façon dont on interagit avec les autres, et pas toujours de façon positive, édifiante et énergisante. Si vous vous sentez épuisé par un membre de votre équipe, essayez de dépersonnaliser la situation et de reconnaître qu'elle n'a probablement pas grand-chose à voir avec vous. Ensuite, si vous n'y parvenez pas, vous pouvez vous attaquer au problème - peut-être en prenant un café avec cette personne et en évoquant gentiment le manque de synergie entre vos styles de communication, que vous aimeriez corriger. Si tout le reste échoue, demandez à un médiateur au sein de votre équipe de vous aider à trouver un terrain d'entente.Le loup-garou (changeur d'humeur)Si les sautes d'humeur de votre supérieur sont imprévisibles, vous avez peut-être affaire à un "loup-garou changeur d'humeur". Un jour, il est jovial et accessible, et le lendemain, il est hargneux et irritable. Cette imprévisibilité peut vous faire marcher sur des œufs et vous faire craindre sa prochaine transformation.Conseils pour faire face à un collègue loup-garou :Gardez à l'esprit qu'il peut ressentir toute la gamme des émotions humaines, ce qui est très humain, et ayez de l'empathie pour cette personne. Si ce point de vue ne vous aide pas, essayez d'en parler avec lui. Si cela échoue... encore une fois... trouvez un médiateur dans votre équipe qui pourra vous aider à vous diriger vers des pâturages plus prévisibles et moins lunatiques.La momie de la communicationEnveloppée dans des pansements anciens, la "momie de la communication" est votre manager qui semble allergique à une communication régulière et claire. Il enfouit les informations essentielles sous des couches de jargon et d'instructions vagues, ce qui donne l'impression de déchiffrer un ancien hiéroglyphe égyptien. Ce n'est pas une fouille archéologique amusante lorsque vous essayez de comprendre ses attentes. Conseils pour faire face à une collègue "maman de la communication" :Eek ! C'est une question difficile. Face à ceux qui n'aiment pas la communication claire ou qui ne sont pas doués pour cela, il vous incombe de vous mettre au niveau et de surcommuniquer.  Le langage que vous choisissez et les formats que vous utilisez pour communiquer votre message doivent être multiples - ne vous contentez pas de le dire, envoyez-le par courriel, Slack ou Teams en guise de suivi. Si cela ne fonctionne pas, vous devrez y remédier - vous voyez un thème récurrent dans ce billet de blog ?  Si Halloween est l'occasion de s'amuser et de vivre des sensations fortes, les traits de caractère des managers effrayants ne sont pas une plaisanterie. Ils peuvent transformer votre lieu de travail en une maison hantée où règnent le stress et la frustration. Mais ne craignez rien, car vous pouvez toujours brandir le flambeau du professionnalisme et vous exprimer lorsque vous rencontrez ces caractéristiques effrayantes. Grâce à une communication ouverte, vous pouvez aider votre manager à se débarrasser de ses traits sinistres et à se transformer en un leader plus accessible et plus efficace. Après tout, le travail doit être un plaisir, pas un piège.... ;) 

Au cours du processus de recherche d'emploi, vous devez constamment vous présenter, et des présentations efficaces peuvent laisser une impression durable. Lors de salons de l'emploi, d'événements de réseautage ou même d'entretiens, vous avez l'occasion de raconter votre histoire. Bien sûr, vous racontez différentes versions de cette histoire dans votre CV et votre lettre de motivation, mais il est parfois difficile de savoir quand dire quoi.J'ai élaboré un guide (avec des exemples) pour vous aider à déterminer le meilleur moment pour utiliser différentes techniques de présentation, telles que l'elevator pitch, la biographie écrite et la réponse à la question "Parlez-moi de vous".L'elevator pitchQuand l'utiliser ? En personne, lors d'événements de réseautage, de salons de l'emploi ou lorsque vous disposez de peu de temps pour faire bonne impression.Pourquoi l'utiliser ? Une introduction concise et percutante met en valeur vos compétences, votre expérience et votre proposition de valeur. Le réseautage n'est rien d'autre qu'une discussion, alors considérez-la comme une conversation au cours de laquelle vous partagez les faits les plus marquants à votre sujet. Ce à quoi cela peut ressembler :Lors d'un salon de l'emploi :"Bonjour, je m'appelle Courtney, je suis étudiante en relations publiques et j'aimerais travailler dans le domaine de la communication marketing"."Enchanté de vous rencontrer ! Quel est le domaine du marketing qui vous intéresse ?""L'été dernier, j'ai fait un stage dans une entreprise d'apprentissage et de développement où j'ai aidé à lancer une nouvelle marque B2C sur les réseaux sociaux. J'ai réalisé que j'aimais vraiment écrire et créer du contenu, alors je cherche à utiliser ces compétences dans un rôle à plein temps. Avez-vous des postes à pourvoir dans le domaine de la communication marketing ?Lors d'un événement de réseautage :"Bonjour, je m'appelle Courtney. Je suis étudiante diplômée en relations publiques et je suis ici parce que je cherche comment démarrer ma carrière dans le marketing.""Enchanté de vous rencontrer ! Je suis responsable du marketing chez Acme. Quel est le domaine du marketing qui vous intéresse ?""C'est très intéressant ! L'été dernier, j'ai fait un stage dans une entreprise de formation et de développement où j'ai aidé à lancer une nouvelle marque B2C sur les médias sociaux. J'ai réalisé que j'aimais vraiment écrire et créer du contenu, alors j'explore les domaines dans lesquels je pourrais appliquer ces compétences. Pourriez-vous me parler un peu de ce que vous faites dans votre rôle ?" Biographie écriteQuand l'utiliser ? Les biographies écrites sont couramment utilisées dans les lettres de motivation, les CV et les profils de médias sociaux, comme LinkedIn.Pourquoi l'utiliser ?La biographie est un excellent moyen de parler de vous avec vos propres mots, en mettant en avant votre parcours professionnel et vos réalisations.Lorsque les recruteurs consultent votre profil LinkedIn, par exemple, votre biographie peut leur donner un aperçu rapide de vous en tant que candidat.Voici à quoi elle peut ressembler :"J'ai toujours été passionnée par l'écriture et la compréhension des consommateurs, c'est pourquoi j'ai su qu'étudier le commerce et les relations publiques était la bonne voie.Grâce à mes études et à mes stages, j'ai perfectionné mes compétences en matière d'écriture, de montage vidéo et de création de contenu.Je collabore à la rédaction de l'OCC, je fais des claquettes et je suis une grande fan de papeterie. "Parlez-moi de vous"Quand l'utiliser ? Le plus souvent dans le cadre d'entretiens d'embauche ou de conversations informelles sur les réseaux.Pourquoi l'utiliser ? Pour donner un bref aperçu de votre parcours professionnel, de vos compétences, de votre formation et de vos centres d'intérêt, afin de préparer le terrain pour la suite de la discussion.À quoi cela peut ressembler :Je viens d'obtenir un diplôme en commerce de l'Université McMaster et je suis actuellement étudiante diplômée en relations publiques au Humber College. Au cours de mes études, j'ai eu l'occasion d'explorer des possibilités dans les domaines du marketing, des communications et de la satisfaction de la clientèle.Lors de mon stage le plus récent au sein de l'entreprise XYZ, j'ai eu beaucoup de liberté dans la création d'une stratégie de médias sociaux pour le lancement d'un nouveau produit.Pendant cette période, j'ai réalisé que j'aimais travailler de manière transversale avec différentes personnes et équipes, être créatif et travailler sur des projets qui me mettent au défi.Réflexions finalesEn adaptant votre introduction à la situation, vous pouvez transmettre correctement vos compétences, votre expérience et votre passion.N'oubliez pas de personnaliser chaque introduction en fonction de la demande d'emploi ou de l'opportunité spécifique, tout en préservant l'authenticité de votre marque personnelle.

Dans le monde des entretiens d'embauche, certaines questions sont strictement interdites. Il est important que vous sachiez quelles questions sont acceptables et quelles questions ne peuvent pas vous être posées - quelles questions vous avez le droit de NE PAS répondre.Pour vous aider à vous préparer à l'entretien, notre équipe a dressé une liste de quelques-unes des questions qui ne peuvent pas vous être posées :"Avez-vous l'intention d'avoir des enfants bientôt ?": Cette question est invasive et potentiellement discriminatoire. Lors de l'évaluation des candidats, l'accent doit être mis sur leurs qualifications, leurs compétences et leur expérience, plutôt que sur leur vie personnelle ou leurs choix en matière de procréation. Non. Pas d'accord. "Quelle est votre religion ? S'enquérir des croyances religieuses d'un candidat constitue une atteinte directe à sa vie privée et une menace de violation de son droit à pratiquer sa foi sans discrimination. "Avez-vous des problèmes de santé ? Les questions sur la santé, les handicaps ou les maladies passées d'un candidat sont non seulement inappropriées, mais également illégales. Votre santé est votre affaire, pas celle d'une entreprise. "Quel âge avez-vous ? en quelle année êtes-vous né ? Les questions liées à l'âge sont interdites car elles peuvent conduire à une discrimination fondée sur l'âge. L'accent doit toujours être mis sur les qualifications et l'expérience du candidat, et non sur sa date de naissance.  "Quel est votre état civil ? La situation de famille n'a rien à voir avec les qualifications d'un candidat et sa capacité à exercer le travail. Poser des questions à ce sujet est inapproprié et peut conduire à une discrimination fondée sur le sexe et la situation matrimoniale. Cette question, comme les autres jusqu'à présent, n'est acceptable à aucun niveau. "Parlez-moi de vos affiliations politiques" : Les affiliations politiques n'ont pas leur place dans la salle d'entretien. Interroger les candidats sur leurs convictions ou leurs activités politiques n'est pas seulement inapproprié, mais peut conduire à des discriminations et à des préjugés. "Quelle est votre orientation sexuelle ? Ouah ! Dans le contexte actuel de diversité et d'intégration sur le lieu de travail, il est essentiel de respecter et de protéger les droits et la vie privée de chaque candidat. Poser des questions sur l'orientation sexuelle d'un candidat est non seulement invasif, mais aussi discriminatoire. "A quel âge espérez-vous prendre votre retraite ? Non ! Vous n'avez pas besoin de répondre à cette question. Vos plans de retraite sont faits pour vous.Lors de la préparation des entretiens, n'oubliez pas que certaines questions doivent rester strictement interdites. Les responsables du recrutement doivent éviter de poser des questions sur des sujets personnels, sensibles ou discriminatoires et s'en tenir à des questions permettant d'évaluer les compétences, les qualifications et l'expérience d'un candidat, dans l'esprit d'un processus de recrutement respectueux, équitable et inclusif.

Les entretiens d'embauche s'apparentent à une partie d'échecs aux enjeux élevés, dans laquelle les candidats et les responsables de l'embauche effectuent des mouvements stratégiques. Alors que vous pensez vous être préparé à toutes les questions possibles et imaginables, une balle courbe vous est lancée. Ces questions inattendues et souvent difficiles peuvent vous rendre nerveux. Mais ne vous inquiétez pas ! Dans cet article de blog, nous allons explorer les questions d'entretien les plus courantes et vous donner des conseils pour vous aider à les aborder en toute confiance.1. "Parlez-moi d'un moment où vous avez échoué" : Cette question vise à évaluer votre capacité à faire face à l'adversité et à apprendre de vos erreurs. Plutôt que de vous concentrer sur l'échec lui-même, mettez l'accent sur ce que vous avez appris et sur la manière dont cela a fait de vous un meilleur professionnel. Donnez un exemple précis et n'ayez pas peur de faire preuve de vulnérabilité et d'humilité. **Conseil:** Préparez quelques histoires bien préparées sur votre évolution professionnelle grâce à l'échec, afin de les partager.2. "Si vous étiez un animal, que seriez-vous et pourquoi ?": Les questions de ce type visent à évaluer votre créativité, votre capacité à penser de façon autonome et votre conscience de soi. Lorsque vous répondez, pensez aux qualités de l'animal choisi et à la manière dont elles sont liées à vos points forts et au rôle pour lequel vous postulez.  **Conseil:** Réfléchissez à votre réponse à l'avance pour vous assurer qu'elle reflète votre aptitude à occuper le poste. 3. "Si vous étiez un super-héros, quel serait votre super-pouvoir et comment l'utiliseriez-vous dans le cadre de ce travail ? Cette question évalue votre créativité et votre compréhension de l'adéquation entre vos points forts et le poste. Choisissez un superpouvoir qui met en valeur vos compétences professionnelles et expliquez comment vous l'utiliseriez pour exceller dans ce poste. **Conseil:** Familiarisez-vous avec la description du poste pour adapter votre réponse de manière efficace.4. "Dites-moi quelque chose qui ne figure pas sur votre CV" : Les intervieweurs utilisent cette question pour approfondir votre personnalité et découvrir vos qualités uniques. Racontez une anecdote personnelle ou un passe-temps qui met en valeur votre caractère ou vos compétences. **Conseil : préparez une histoire courte et convaincante qui aidera les recruteurs à voir un autre aspect de votre personnalité.5."Racontez-moi une fois où vous avez été confronté à une dynamique difficile sur le lieu de travail et comment vous l'avez surmontée" :Il s'agit d'une question difficile car vous devez aborder la dynamique elle-même avec légèreté, en vous assurant que vous exprimez la situation d'un point de vue objectif et démocratique qui se concentre réellement sur le résultat final positif pour montrer comment vous gérez les défis de l'équipe plutôt que de mettre l'accent sur les rouages de la difficulté elle-même.6. "Que pouvez-vous faire pour nous que personne d'autre ne peut faire ? Nous ne pouvons pas répondre à cette question pour vous, mais nous pouvons vous dire d'être aussi honnête que possible, peut-être que la réponse est que vous ne pouvez pas faire quelque chose que personne d'autre ne peut faire - et ce n'est pas grave. Quelle que soit votre réponse, le fait d'y réfléchir à l'avance vous permettra d'être prêt à répondre avec votre propre expression.7. "Imaginez un environnement de travail parfait, pouvez-vous me le décrire ? C'est l'occasion d'exprimer vos valeurs et ce que vous recherchez dans un environnement de travail. Conseil : si vous vous renseignez à l'avance sur l'entreprise, vous pourrez voir quels types de valeurs et de culture elle propose et essayer d'aligner votre réponse sur ce que l'entreprise propose déjà, tout en donnant à votre interlocuteur l'occasion de vraiment vous connaître et de savoir ce que vous voulez.8. "Racontez-nous une fois où vous avez dû réfléchir à tête reposée et comment cela s'est passé" : Réfléchir à l'avance à votre réponse à cette question vous aidera certainement à donner une réponse plus fluide, car c'est le type de réponse qui peut être difficile à trouver... en marchant ! Conseil : Concentrez-vous sur le résultat final et reliez-le à la manière dont il a contribué aux succès de l'équipe plutôt qu'au stress du moment - c'est une évidence, en fait.Les questions d'entretien de type "Curveball" peuvent vous prendre au dépourvu, mais avec de la préparation, vous pouvez y faire face en toute confiance. Rappelez-vous que ces questions ne sont pas destinées à vous piéger, mais à évaluer vos compétences en matière de résolution de problèmes, votre créativité et votre adéquation culturelle.Ne laissez donc pas la nervosité vous envahir avant l'entretien.Considérez ces questions inattendues comme des occasions de mettre en valeur votre capacité d'adaptation et vos qualités uniques.Préparez-vous à l'avance, restez calme et n'oubliez pas que votre capacité à gérer les imprévus peut vous distinguer des autres candidats et vous permettre de réussir votre entretien.

Trouver un emploi peut être une tâche décourageante, surtout si vous ne connaissez pas les bonnes questions à poser. En maîtrisant l'art du questionnement efficace, vous pouvez augmenter vos chances de réussite.Examinons l'importance de poser les bonnes questions à chaque étape du processus de recherche d'emploi, de la recherche à l'entretien.Les avantages d'un questionnement efficaceDémonstration d'intérêt et d'engagement: Poser des questions réfléchies tout au long du processus de recherche d'emploi montre aux employeurs que vous êtes réellement intéressé par le poste, l'entreprise et son avenir. Cela peut vous distinguer d'autres candidats qui manquent de curiosité. Permet une prise de décision éclairée: En posant des questions, vous recueillez des informations précieuses qui peuvent vous aider à prendre des décisions éclairées sur les offres d'emploi. Comprendre les aspects clés d'un rôle, de la culture d'entreprise ou des possibilités d'évolution vous permet d'évaluer si un emploi correspond à vos aspirations et à vos objectifs de carrière. Créer une impression positive: Poser des questions intelligentes et pertinentes vous rend mémorable aux yeux des employeurs. Cela montre que vous êtes préparé, proactif et capable d'esprit critique - autant de qualités du candidat qu'ils recherchent !  Quand demander quoi ?Phase de recherchePoser des questions pendant la phase de recherche vous aide à recueillir des informations sur les employeurs potentiels et les possibilités d'emploi.Voici quelques exemples de questions que vous pouvez poser :Culture de l'entreprise : Quelles sont les valeurs auxquelles l'entreprise accorde la priorité ? Quel est le style de gestion de l'entreprise ? D'autres personnes de cette organisation ont-elles eu des expériences positives ?Description du poste : Y a-t-il des compétences ou des expériences spécifiques que l'entreprise recherche chez un candidat ?Possibilités de croissance : Quels sont les programmes de développement de carrière ou les possibilités d'avancement disponibles ?Réseautage et entretiens d'informationEngager des conversations avec des professionnels du secteur que vous visez est un moyen efficace de recueillir des informations et d'élargir votre réseau. Lorsque vous interagissez avec des professionnels du secteur, posez des questions telles que :Tendances du secteur: Quels changements ou développements prévoyez-vous dans ce domaine ?Compétences requises: Quelles compétences ou certifications spécifiques me rendraient plus compétitif ?Recommandations de l'entreprise: Me suggérez-vous d'explorer d'autres organisations pour des opportunités potentielles ?Étape de la candidature et de l'entretienPoser des questions pertinentes lors des entretiens d'embauche ne démontre pas seulement votre intérêt pour le poste, mais vous permet également d'évaluer si le poste correspond à vos objectifs et à vos valeurs. Pensez à poser des questions :Attentes liées au rôle: Quelles sont les responsabilités quotidiennes de ce poste ? Quel serait votre meilleur conseil à une personne qui débute dans cette fonction ?Dynamique de l'équipe: Pouvez-vous m'en dire plus sur l'équipe avec laquelle je vais travailler ? Quelle est la chose la plus inattendue que vous ayez apprise au cours de votre séjour dans l'entreprise X ?Vision de l'entreprise: Quels sont les objectifs et les projets à long terme de l'entreprise ?Réflexions finalesMaîtriser l'art du questionnement efficace est une compétence que tout chercheur d'emploi devrait acquérir. En posant les bonnes questions à chaque étape du processus de recherche d'emploi, vous pouvez recueillir des informations précieuses, prendre des décisions éclairées et laisser une impression durable sur les employeurs potentiels. Alors, commencez dès aujourd'hui à créer votre propre liste de questions préférées à poser ! Bonne chance !

Êtes-vous sur le circuit des entretiens (ou espérez-vous l'être) ? Travailler pour une entreprise qui fonctionne sur la base de la confiance, avec une culture de la confiance pour les membres de l'équipe, se traduit par une plus grande productivité, une meilleure rétention, des niveaux de bonheur plus élevés, des taux d'épuisement professionnel et des congés de maladie plus faibles, etc.Voici quelques signaux d'alarme indiquent que l'entreprise qui vous intéresse fonctionne très probablement avec des employés dans leur cercle de confiance.1. ROWE (environnement de travail axé sur les résultats) :L'environnement de travail axé sur les résultats, ou ROWE, est un concept passionnant qui mesure les performances des employés en fonction des résultats, plutôt que du nombre d'heures travaillées. Dans un tel environnement, les employés sont libres de gérer leur temps et de travailler de n'importe où, tant qu'ils atteignent leurs objectifs. Cette approche favorise la confiance dans la capacité des employés à gérer leurs tâches de manière efficace et efficiente.2. Des modalités de travail flexibles :La flexibilité est la pierre angulaire de l'instauration de la confiance dans les lieux de travail modernes. Les employeurs proposent des formules de travail flexibles, telles que le travail à distance, les horaires flexibles et la semaine de travail comprimée. Ces options permettent aux employés d'équilibrer leur vie personnelle et professionnelle, ce qui se traduit par une plus grande satisfaction au travail et une plus grande loyauté.3. Une communication ouverte et honnête :La transparence et la communication ouverte sont essentielles pour instaurer la confiance. Les employeurs favorisent une culture dans laquelle les employés peuvent exprimer ouvertement leurs opinions, leurs préoccupations et leurs idées. Des sessions régulières de feedback, des réunions publiques et des boîtes à idées anonymes ne sont que quelques exemples des moyens mis en œuvre pour y parvenir.4. L'accent mis sur le bien-être :Les employeurs modernes accordent la priorité au bien-être de leurs employés. Ils fournissent des ressources telles que des programmes de bien-être, un soutien à la santé mentale et des initiatives qui favorisent un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Lorsque les employés se sentent valorisés en tant qu'individus, la confiance s'installe naturellement.5. Reconnaissance et appréciation :Reconnaître et apprécier les contributions des salariés est une stratégie puissante pour instaurer la confiance. Les employeurs mettent en œuvre des programmes visant à célébrer les réalisations, les étapes importantes et les performances exceptionnelles. Les félicitations et les récompenses régulières créent une atmosphère positive et de confiance.6. Développement des compétences et opportunités de croissance :Investir dans la croissance des employés démontre un engagement en faveur de leur réussite. Les employeurs offrent des possibilités de développement des compétences, des programmes de mentorat et des voies d'avancement claires. Lorsque les salariés entrevoient un avenir au sein de l'organisation, la confiance dans les intentions de l'employeur s'en trouve renforcée. 7. Initiatives en matière de diversité et d'inclusion :Les lieux de travail inclusifs favorisent la confiance entre les employés d'origines diverses. Les employeurs mettent en œuvre des programmes de diversité et d'inclusion, en veillant à ce que toutes les voix soient entendues et valorisées. Lorsque les employés ont le sentiment d'appartenir à un groupe, la confiance dans l'organisation se renforce.8. Intégration de la vie professionnelle et de la vie privée :Les employeurs modernes comprennent que le travail fait partie de la vie et n'en est pas séparé. Ils encouragent l'intégration de la vie professionnelle et de la vie privée en offrant des avantages tels que des congés payés, des congés familiaux et un soutien aux soignants. Cette approche montre que l'employeur accorde de l'importance au bien-être général de son personnel.9. Prise de décision agile :Les employeurs adoptent de plus en plus des processus de prise de décision agiles, permettant aux équipes de prendre des décisions rapidement et de s'adapter à des circonstances changeantes. Cette approche responsabilise les employés et renforce la confiance en les impliquant dans les choix importants.10. Pratiques éthiques et durables :La confiance s'étend au-delà du lieu de travail à la communauté au sens large. Les employeurs qui adoptent des pratiques commerciales éthiques et durables renforcent la confiance des employés et des clients. Les initiatives de développement durable et les efforts de responsabilité sociale des entreprises sont au cœur de cette approche. En conclusion, les employeurs modernes redéfinissent activement la culture du lieu de travail en plaçant la confiance au cœur de leurs stratégies. Grâce au ROWE, à la flexibilité, à une communication ouverte et à un engagement en faveur du bien-être des employés, ils créent des environnements où la confiance prospère. En mettant en œuvre ces tactiques, elles ne se contentent pas d'attirer et de retenir les meilleurs talents, mais inspirent également un sentiment d'utilité, d'engagement et de dévouement à leur personnel. Dans de tels lieux de travail, la confiance devient la base sur laquelle se construisent le succès et la croissance.

La recherche d'un emploi peut être un processus complexe, c'est pourquoi il peut être utile de comprendre les rôles des recruteurs et des gestionnaires de recrutement. Tous deux jouent un rôle important dans le processus d'embauche, mais ils ont des perspectives et des responsabilités différentes.Voyons ce que fait un recruteur et comment il peut vous aider dans votre recherche d'emploi. En comprenant les principales différences entre les recruteurs et les responsables du recrutement, vous pourrez faire une bonne première impression, poser les bonnes questions et, avec un peu de chance, décrocher l'emploi auquel vous pensez.Remarque : certains postes du CCO vous donnent la possibilité de contacter directement le recruteur !Qui fait quoi ? Les recruteurs : Les entremetteursLes recruteurs (parfois appelés spécialistes de l'acquisition de talents) jouent un rôle important en aidant les organisations à trouver les bons candidats pour les postes à pourvoir. Ils servent d'intermédiaires entre les demandeurs d'emploi et les employeurs et facilitent le processus d'embauche du début à la fin.Le recruteur est généralement le premier point de contact et le principal point de contact pendant le processus d'entretien. Il contribue au bon déroulement du processus d'entretien et finit par proposer des offres d'emploi.Conseils aux demandeurs d'emploi : Établissez des relations avec les recruteurs de votre secteur d'activité afin d'obtenir des contacts et des opportunités de valeur. Créez des réseaux avec eux, engagez-vous sur des plateformes professionnelles et assistez à des événements sectoriels.Tirez parti des connaissances des recruteurs sur le marché de l'emploi pour adapter votre CV et vos préparatifs d'entretien aux exigences actuelles du marché.Maintenez une communication ouverte avec les recruteurs et répondez rapidement à leurs appels et à leurs courriels, car ils peuvent avoir des informations précieuses ou des opportunités à saisir rapidement.Les responsables du recrutement : Les gardiensLes responsables du recrutement sont les personnes qui, au sein d'une entreprise, sont chargées de prendre les décisions finales en matière de recrutement. Ils occupent généralement des fonctions de direction ou de département et savent exactement quel type de candidat ils recherchent. L'objectif principal du responsable du recrutement est de trouver un candidat qui s'intégrera parfaitement à son équipe.Il est également important de noter que le responsable du recrutement sera votre supérieur direct si vous êtes embauché. Vos premiers entretiens (après la présélection par le recruteur) se dérouleront probablement avec le responsable du recrutement.Conseils aux demandeurs d'emploi :Adaptez votre candidature en personnalisant votre CV et votre lettre de motivation pour mettre en valeur vos qualifications. Les responsables du recrutement s'intéressent aux candidats qui possèdent les compétences et l'expérience nécessaires pour le poste à pourvoir. Faites des recherches sur l'entreprise pour montrer votre intérêt réel à travailler pour elle. Cela vous sera utile, en particulier lors du processus d'entretien.Les responsables du recrutement donnent la priorité aux candidats qui s'intègrent bien à l'environnement de travail de l'entreprise. Vous pouvez mettre en évidence votre adéquation en insistant sur l'adaptabilité, le travail d'équipe et l'alignement sur les valeurs de l'organisation au cours du processus d'entretien.Conseil de pro : Inscrivez-vous dès aujourd'hui à la communauté du CCO pour avoir accès à des centaines d'emplois et mettre en pratique vos nouvelles connaissances sur les recruteurs et les gestionnaires d'embauche ! 

Avez-vous déjà trouvé votre raison d'être ? Dans un monde qui évolue rapidement et qui est rempli de distractions, trouver sa raison d'être peut souvent ressembler à une quête insaisissable. Pour compliquer les choses, de nombreuses personnes n'ont pas qu'un seul objectif et l'évolution de leur(s) objectif(s) peut donc être une cible mouvante - un voyage d'apprentissage tout au long de la vie (soupir).Pourquoi est-il important de trouver un but ? En fin de compte, les êtres humains qui ont une raison d'être reconnaissent clairement le sens de ce qu'ils font, la raison pour laquelle ils le font et la valeur de ce qu'ils font. En identifiant notre objectif, en particulier en ce qui concerne notre carrière, nous pouvons voir plus clairement le chemin à suivre et les étapes à franchir, et agir plus délibérément et plus efficacement. En outre, le fait d'avoir un objectif réduit le taux de rebondissement lorsque les choses tournent mal. Nous savons que quelque chose n'a pas fonctionné, mais nous avons aussi les moyens et le courage de le maintenir parce que notre mission et notre vision sont plus vastes et plus importantes que toutes les erreurs commises en cours de route. Trouver une raison d'être signifie trouver une motivation, dans presque tous les cas, et c'est pourquoi il faut donner la priorité à la recherche d'une raison d'être lorsque l'on démarre son activité. Dans ce blog, nous nous inspirons de certains enseignements de Jay Shetty sur la recherche d'une raison d'être pour vous aider à trouver la vôtre !Utilisez l'autoréflexion comme un outil pour susciter des questions exploratoires sur votre chemin vers la raison d'êtreJay Shetty insiste sur l'importance de l'auto-réflexion comme fondement de la recherche d'un but. Commencez par vous poser des questions exploratoires :Quels sont les valeurs et les principes les plus importants pour moi ?Quelles sont les activités qui me passionnent et me procurent de la joie ?Quels sont mes points forts et mes talents ?Comment puis-je apporter une contribution positive au monde ?L'auto-réflexion est la clé qui vous permettra de découvrir votre véritable personnalité et l'objectif qui s'y rattache.Ne sous-estimez pas le pouvoir de la passion pour vous guider sur la bonne voieJay parle souvent de l'importance d'embrasser ses passions. Quels sont les activités ou les intérêts qui vous font vibrer ? Vos passions contiennent souvent des indices vitaux sur votre but. Identifier et cultiver ces passions peut vous mener vers une vie plus satisfaisante. Ne sous-estimez pas le pouvoir de la passion pour vous guider sur le bon cheminJay parle souvent de l'importance d'embrasser ses passions. Quels sont les activités ou les intérêts qui vous font vibrer ? Vos passions contiennent souvent des indices vitaux sur votre objectif. Identifier et cultiver ces passions peut vous mener vers une vie plus satisfaisante.Prenez le temps de vous familiariser avec vos compétences et vos talents innésJay Shetty encourage les individus à exploiter leurs compétences et leurs talents innés. Réfléchissez à ce dans quoi vous excellez sans effort et explorez comment vous pouvez utiliser ces capacités pour servir les autres ou avoir un impact significatif. Vos compétences peuvent vous permettre d'atteindre votre objectif.Fixer des objectifs intentionnelsLa définition d'objectifs significatifs est au cœur de la philosophie de Jay. Élaborez des objectifs à court et à long terme qui correspondent à vos valeurs et à vos passions. Ces objectifs servent de feuille de route et vous guident vers une vie qui vous ressemble. Rechercher la sagesse et l'inspirationL'œuvre de Jay Shetty est une riche source de sagesse et d'inspiration. Plongez dans ses livres, ses podcasts et ses vidéos pour découvrir votre but. L'expérience et les enseignements de Jay Shetty peuvent vous apporter de nouvelles perspectives et vous guider dans votre cheminement.Considérer les défis comme une source de croissanceLes défis font partie intégrante du développement personnel et de la découverte de l'objectif, un concept sur lequel Jay Shetty insiste. Acceptez les difficultés comme des occasions d'en apprendre davantage sur vous-même et sur votre objectif. Surmonter les obstacles peut vous rapprocher de votre véritable vocation.Expérimenter et apprendreJay Shetty encourage les individus à explorer divers intérêts et parcours professionnels. Soyez ouvert à l'expérimentation et apprenez de vos expériences.Découvrir ce qui ne correspond pas à votre objectif est aussi utile que de trouver ce qui y correspond.Ne sous-estimez pas le sens important que vous pouvez trouver en servant les autresContribuer au bien-être des autres est un thème central dans le travail de Jay. Cherchez des occasions d'aider et de servir votre communauté. Faire du bénévolat pour des causes qui vous passionnent peut vous rapprocher de votre objectif à un niveau plus profond.Pour faire court, les enseignements de Jay Shetty sur la recherche d'une raison d'être offrent une feuille de route profonde pour une vie plus riche de sens. Rappelez-vous que le voyage vers l'objectif est personnel et qu'il exige de la patience, de la découverte de soi et un engagement à grandir. En vous engageant sur ce chemin, votre but deviendra plus clair et votre vie sera remplie d'un sens plus profond et d'un plus grand épanouissement. 

Dans la poursuite d'une carrière réussie et épanouissante, ce ne sont souvent pas les obstacles extérieurs qui nous retiennent, mais les limites que nous nous imposons. Ces limites que nous nous imposons à nous-mêmes peuvent se manifester sous la forme de doutes, de peur de l'échec ou même d'un manque de confiance en nos propres capacités. Cependant, il est essentiel de surmonter ces obstacles pour prendre la bonne direction dans votre carrière et atteindre vos objectifs. Comme l'a dit l'auteur Gabby Bernstein, "la seule chose qui vous empêche d'obtenir ce que vous voulez, c'est l'histoire que vous vous racontez". Dans cet article de blog, nous explorons le concept des limites que l'on s'impose à soi-même, leur impact sur notre carrière et les stratégies pratiques pour se libérer des systèmes de croyances limitatifs, en s'inspirant de la sagesse de Gabby Bernstein. Comprendre les limites que l'on s'impose Les limites que nous nous imposons sont les barrières mentales que nous créons et qui entravent nos progrès et notre potentiel. Elles peuvent prendre de nombreuses formes, telles que Le discours négatif sur soi : Le fait de se critiquer constamment et de douter de ses capacités peut éroder notre confiance en soi et entraver nos progrès. La peur de l'échec : La peur de faire des erreurs ou d'échouer peut nous paralyser et nous empêcher de prendre des risques qui pourraient conduire à une évolution de carrière. La comparaison : Le fait de se comparer constamment aux autres peut entraîner un sentiment d'inadéquation et nous empêcher de reconnaître nos forces uniques. Syndrome de l'imposteur : le fait de croire que nous ne méritons pas nos réalisations ou que nous ne sommes pas aussi capables que les autres peut limiter notre progression professionnelle. L'impact des limites que vous vous fixez sur votre carrière Les limites que vous vous fixez peuvent avoir un impact profond sur votre carrière, et ce de plusieurs façons:Stagnation : Vous pouvez vous retrouver coincé dans un emploi qui ne vous satisfait pas parce que vous pensez que vous n'êtes pas qualifié pour quelque chose de mieux. Occasions manquées : La peur et le doute peuvent vous faire passer à côté d'opportunités d'avancement ou de développement personnel. Manque d'innovation : Se retenir à cause de la peur peut nuire à votre créativité et à votre sens de l'innovation, qui sont essentiels à l'évolution de votre carrière. Problèmes de santé : Le stress et l'anxiété causés par les limites que l'on s'impose peuvent entraîner des problèmes de santé physique et mentale, ce qui nuit encore plus à votre carrière.Se libérer des limites que l'on s'impose. Se libérer des limites que l'on s'impose Maintenant que nous comprenons l'impact des limites que nous nous imposons à nous-mêmes sur notre carrière, explorons les stratégies permettant de les surmonter : Conscience de soi : Sachez reconnaître les moments où vous vous livrez à un discours négatif ou à des croyances limitatives. La tenue d'un journal et la pratique de la pleine conscience peuvent vous aider à prendre conscience de vos schémas de pensée. 

Le self-stockage est l'un des secteurs qui connaît la croissance la plus rapide en Ontario et il offre de nombreuses possibilités de croissance de carrière aux étudiants et aux nouveaux diplômés qui souhaitent entrer dans ce domaine en pleine évolution. En 2023, la Société d'évaluation foncière des municipalités (SÉFM) a constaté qu'il y avait 37,3 millions de pieds carrés d'entreposage libre-service en Ontario, ce qui a augmenté de 9 % au cours des trois dernières années avec l'ajout de 4,2 millions de pieds carrés. Certaines des principales raisons qui ont contribué à la croissance de l'industrie du self-stockage au cours des dernières années semblent être la réduction des effectifs, le dégagement d'espace pour permettre davantage d'options de travail à domicile, et les espaces de vie plus petits dans les centres urbains.Un autre avantage est que le secteur du self-stockage offre des opportunités de carrière stables, car c'est l'un des rares secteurs qui n'est pas affecté par le ralentissement économique et la récession. On pense souvent à tort que les types d'opportunités de carrière disponibles dans le secteur du self-stockage se limitent à des emplois de main-d'œuvre générale, ce qui est tout à fait faux. Le self-stockage est un secteur à multiples facettes qui offre des possibilités d'emploi dans un large éventail de disciplines différentes. Outcome Campus Connect vous offre maintenant des possibilités d'emploi dans ce secteur en pleine expansion, grâce à nos partenaires employeurs de Storwell, l'une des entreprises à la croissance la plus rapide au Canada et un employeur qui diversifie maintenant ses offres pour inclure un hôtel - oui, vous avez bien lu, un hôtel !Voici quelques informations supplémentaires sur cette entreprise prometteuse et sur les postes qu'elle recrute actuellement sur notre plateforme.À propos de StorwellStorwell est l'une des principales entreprises d'entreposage de la région du Grand Toronto. Elle offre des services d'entreposage libre-service à Mississauga, à Etobicoke et à Scarborough. Storwell Self Storage offre des carrières dans une multitude de domaines différents, y compris l'informatique, le développement de logiciels, les ventes, le marketing, la sécurité, l'entretien, et plus encore.Storwell offre des solutions d'entreposage accessibles et abordables depuis plus de 20 ans. L'entreprise familiale s'étend sur 4 générations et est fière de favoriser une culture d'entreprise positive et accueillante. Storwell aide à former de grands leaders qui veillent à ce que les employés se sentent valorisés, avec une vision commune de l'objectif et de la réussite. En tant que membre à part entière de Storwell, vous travaillerez directement avec les propriétaires de l'entreprise et vous aurez l'occasion d'apporter vos propres idées au fur et à mesure que vous évoluerez dans votre rôle au sein de l'entreprise. À propos des enchères de stockage en ligne BID13 de StorwellLes enchères de stockage en ligne constituent un autre secteur de l'industrie du self-stockage qui a connu une croissance significative au cours des dernières années. Pendant la pandémie de COVID 19, presque toutes les ventes aux enchères de stockage ont été transférées sur des plates-formes en ligne. Au cours de cette période, BID13 est devenu l'un des plus grands sites d'enchères de stockage en ligne d'Amérique du Nord, avec des milliers d'enchères quotidiennes au Canada et aux États-Unis. Travailler chez BID13 signifie que vous êtes à la pointe de la technologie des ventes aux enchères en ligne. Il s'agit d'un secteur extrêmement intéressant pour les jeunes diplômés en informatique, en commerce ou en marketing et communication. BID13 est une entreprise en pleine expansion. Si vous êtes intéressé par un environnement dynamique offrant d'énormes possibilités de croissance, BID13 est une excellente option.Outre des salaires compétitifs et une multitude d'avantages sociaux, BID13 participe activement à des conférences sectorielles qui sont autant d'occasions de se constituer un réseau. Récemment, l'équipe de BID13 a tenu un stand à la conférence et au salon professionnel de la SSA à l'hôtel MGM Grand de Las Vegas.À propos de l'hôtel Rook, la nouvelle offre de StorwellEn plus des unités d'entreposage libre-service et des ventes aux enchères d'entreposage en ligne, notre entreprise s'est lancée dans un nouveau projet passionnant, l'hôtel Rook. Le Rook Hotel est un hôtel de haute technologie au cœur de Mississauga. Situé en face de Square One et à 15 minutes de l'aéroport Pearson de Toronto, cet hôtel sera composé de technologies de pointe et offrira une expérience innovante et inédite. Tout comme le self-stockage, l'industrie hôtelière a connu une croissance soutenue au cours de la dernière décennie et offre de formidables opportunités aux jeunes diplômés qui souhaitent faire carrière dans l'hôtellerie, la gestion immobilière, le développement de bâtiments, les technologies de l'information, les services de restauration, et bien plus encore. Offres d'emploiVoici quelques-unes des dernières offres d'emploi disponibles chez Storwell Self Storage, BID13 Online Storage Auctions, et The Rook Hotel. Tous ces postes offrent la possibilité de travailler à distance ou de manière hybride.Titre du poste : Ingénieur logiciel embarquéLieu de travail : Mississauga, Ontario- Travail à distance disponible Type de poste Temps plein Échelle salariale : 67 000 $ - 75 000 $ par annéeDescription : En tant que développeur de logiciels embarqués, vous serez chargé de l'architecture, de la conception, de la construction et de la mise à l'essai de logiciels embarqués pour l'hôtel Rook. Dans ce rôle, vous participerez à la conception et à la mise en œuvre du prototype et du développement de diverses technologies nécessaires à l'hôtel Rook. Le candidat retenu devra également faire preuve d'excellentes pratiques de développement et d'une collaboration sans faille. Titre du poste : Graphiste seniorLieu de travail : A distance Type de poste Temps plein Fourchette de salaire : 70 000 $ - 75 000 $ par anDescription : Nous sommes à la recherche d'un concepteur compétent et talentueux : Nous sommes à la recherche d'un designer compétent et talentueux qui a de l'expérience dans la conception de sites Web, de téléphones mobiles et d'imprimés. Vous collaborerez avec l'équipe web et marketing pour maintenir les multiples applications web de l'entreprise, et serez également responsable de la création de matériel marketing imprimé et en ligne selon les besoins. Le candidat idéal sera capable de prendre des idées écrites, des idées orales ou des modèles de conception existants, et de développer ces directives pour aboutir à une conception propre, soignée, cohérente et fonctionnelle.Titre du poste : Créateur de contenu pour les médias sociauxLieu de travail : Mississauga, Ontario- Travail à distance disponibleType d'emploi : Temps plein/temps partiel/horaireÉchelle salariale : 17,00 $ à 19,00 $ de l'heureDescription du poste : Il s'agit d'un poste à temps partiel ou à temps plein pour soutenir notre équipe de communication et vous relèverez de notre directeur de la technologie. La principale responsabilité du créateur de contenu pour les médias sociaux sera de créer et de mettre en œuvre une stratégie de marque et une stratégie sociale pour stimuler la présence en ligne de l'hôtel Rook's, en mettant en valeur l'état d'avancement de la construction et en invitant à la visibilité en créant et en publiant des blogs, et divers messages sur les médias sociaux.Titre du poste : Recruteur RHLieu de travail : Mississauga, Ontario- Travail à distance disponibleType d'emploi Temps plein Échelle salariale : 50 000 $ - 55 000 $ par année Description du poste : Êtes-vous notre prochain recruteur étoile ?Vous aimez relever le défi de recruter un large éventail de postes et de jouer un rôle de premier plan dans le recrutement et la sélection de joueurs de premier plan pour l'organisation ?Vous êtes quelqu'un qui prend des initiatives et qui peut faire plus avec moins ? Nous sommes à la recherche d'un recruteur RH prêt à se mettre au travail au sein de notre groupe de sociétés qui comprend notre entreprise Storwell Self Storage.Titre du poste : Représentant du développement des ventesLieu de travail : Scarborough, Ontario- HybrideType de poste Temps plein Échelle salariale : À déterminer en fonction de l'expérience pertinenteDescription : Il s'agit d'un poste hybride à temps plein : Il s'agit d'un poste hybride à temps plein (travail à domicile 2 jours par semaine et participation au bureau 3 jours par semaine). Le candidat sélectionné participera également à des salons professionnels dans toute l'Amérique du Nord. Un passeport valide est donc nécessaire, ainsi que la volonté de voyager. En tant que représentant du développement des ventes, vous serez rattaché à notre directeur de la technologie. La mission du représentant du développement des ventes est de développer notre réseau en ligne et d'être responsable de la prospection des clients potentiels. Le représentant du développement des ventes sera un atout clé pour le BID13 à un niveau exceptionnellement élevé, permettant à l'entreprise de se développer et d'atteindre ses objectifs en matière de revenus et de rentabilité.Les carrières comprennent une variété d'avantages tels que des primes annuelles, des événements d'entreprise et des réductions exclusives pour les employés. Connectez-vous ou inscrivez-vous à Outcome Campus Connect pour découvrir ces postes et postuler directement dès aujourd'hui

Tout d'abord, comment se fait-il que la rentrée scolaire ait déjà eu lieu ? J'ai l'impression que c'était hier que je célébrais l'obtention de mon diplôme de premier cycle. Et pourtant, me voici en train de me préparer à un autre chapitre passionnant : l'obtention d'un certificat d'études supérieures en relations publiques au Collège Humber.  Avant de plonger dans les détails de cette nouvelle aventure, j'aimerais prendre quelques minutes pour expliquer pourquoi j'ai décidé de poursuivre mes études. Alors, installez-vous confortablement et joignez-vous à moi pour que je vous parle de mes motivations, de mon amour de l'apprentissage et des possibilités passionnantes qui s'offrent à vous dans le monde des relations publiques.   Je voulais combler les lacunes de ma formation en affaires  Bien que le diplôme que j'ai obtenu à l'Université McMaster m'ait fourni une base incroyablement solide en affaires et de nombreuses expériences pertinentes, il m'a laissé un petit goût d'inachevé - en particulier un aperçu du monde des relations publiques. Après y avoir réfléchi, je me suis rendu compte qu'en raison de la connectivité numérique du monde actuel, des stratégies de relations publiques efficaces peuvent en fait faire ou défaire une entreprise. En obtenant ce certificat d'études supérieures, je suis convaincue que je pourrai combler mes lacunes personnelles et faire en sorte que ma formation soit complète et adaptée aux défis du monde des affaires et de la communication d'aujourd'hui.Je voulais approfondir mes connaissances Mon goût pour l'apprentissage est toujours un moteur dans ma vie, que ce soit en poursuivant mes études, en participant à des activités extrascolaires intéressantes ou en effectuant un nouveau stage. Pour moi, obtenir ce certificat d'études supérieures en relations publiques n'est pas seulement un moyen d'acquérir un autre titre (même si c'est un bonus appréciable) ; c'est un moyen de me plonger dans un domaine qui m'intrigue, qui me met au défi et qui me passionne énormément. Il s'agit également d'acquérir de nouvelles perspectives et de nouveaux points de vue qui peuvent enrichir ma vie personnelle et professionnelle. Je suis très enthousiaste à l'idée de me plonger dans les complexités des relations publiques, d'apprendre des experts du domaine et de maintenir mon esprit toujours curieux en éveil, à l'intérieur et à l'extérieur de la salle de classe.  Je voulais être plus sûre de moi pour faire du marketing  Je suis toujours à la recherche de moyens de me démarquer ou de me rendre plus commercialisable - la poursuite de ce certificat est un excellent moyen pour moi de le faire.Bien que j'aie acquis des compétences et des connaissances précieuses au cours de mes années de licence, je veux être encore plus sûre de moi pour me présenter à des employeurs potentiels.Soyons clairs : ce certificat ne me permettra pas d'obtenir un emploi en soi, mais il me fournira une plateforme pour raconter une histoire.En tant que professionnel des relations publiques, je saurai comment créer une histoire convaincante et je comprendrai vraiment l'art de la marque personnelle. Je peux affirmer en toute confiance que ce programme me donnera encore plus d'assurance pour me présenter à un entretien d'embauche ou tenir une conversation avec un dirigeant d'entreprise et lui expliquer mon expérience et la valeur que je peux apporter au monde professionnel des relations publiques.Je voulais m'ouvrir davantage à l'innovation numérique par le biais de l'apprentissage  Le monde des relations publiques étant en constante évolution, je savais qu'il était important pour moi de comprendre que l'acquisition de nouvelles compétences pour ce qui fonctionne aujourd'hui était cruciale pour la réussite de ma carrière. L'ère numérique a transformé notre façon de communiquer, et le secteur des relations publiques ne fait pas exception (évidemment). Les médias sociaux, le marketing de contenu et l'analyse des données font désormais partie intégrante des stratégies modernes de relations publiques. Pour rester pertinente et efficace, je savais que je devais en apprendre encore plus pour rester à la pointe du progrès. L'obtention de ce certificat d'études supérieures ne consiste pas seulement à s'adapter aux dernières tendances, mais aussi à les adopter, à expérimenter de nouveaux outils et de nouvelles techniques, et à devenir une communicatrice numérique compétente.Je voulais élargir mes perspectives de carrière.  En fin de compte, je considère ce voyage comme un investissement dans mon avenir. Le secteur des relations publiques est très dynamique et offre de nombreuses possibilités de carrière passionnantes (et en pleine expansion). Qu'il s'agisse de marketing, de communication d'entreprise, de gestion de crise ou d'affaires publiques, une formation en relations publiques ouvre des portes sur des fonctions et des secteurs divers auxquels je n'aurais peut-être pas eu accès aussi facilement autrement. Je suis impatiente d'explorer ces possibilités le moment venu et de me positionner en tant que professionnelle polyvalente capable de s'adapter aux exigences changeantes du monde des affaires et de la communication.Réflexions finales  En fin de compte, ce certificat me permettra-t-il d'obtenir une promotion immédiate ? Probablement pas. Me donnera-t-il une énorme augmentation ou une longueur d'avance sur chacun de mes concurrents ? Pas nécessairement. En revanche, ce certificat d'études supérieures me permettra d'élargir mes connaissances sur la profession et d'entrer en contact avec des personnes talentueuses et performantes qui pourront m'aider à orienter ma carrière.  Cela signifie-t-il que vous devriez également obtenir un certificat d'études supérieures en relations publiques ? Peut-être, peut-être pas (c'est à vous de décider !). En ce qui me concerne, je suis très enthousiaste à l'idée de poursuivre mes études et je peux affirmer en toute confiance qu'en terminant le programme, je me rapprocherai un peu plus de mes objectifs personnels et professionnels.

Imaginez un peu : Le mois de septembre arrive et ce n'est pas seulement la saison des épices pour la citrouille - c'est aussi le moment idéal pour la recherche d'emploi, grâce à la "vague de septembre". La vague de septembre fait référence à l'augmentation significative des offres d'emploi et des activités de recrutement qui ont tendance à se produire entre la fête du travail (le premier lundi de septembre) et l'Halloween (le 31 octobre). Selon une étude de Glassdoor, le mois de septembre se classe régulièrement parmi les meilleurs mois pour les offres d'emploi, avec une augmentation notable par rapport aux mois précédents. Cette hausse n'est pas limitée à un secteur spécifique, mais est plutôt un phénomène généralisé qui s'étend à de nombreux domaines tels que la technologie, la finance, la santé, etc.Explorons le concept de la vague de septembre et comprenons comment elle peut potentiellement vous aider à trouver un nouvel emploi !Facteurs à l'origine de la hausseFin de l'année fiscale : De nombreuses entreprises fonctionnent sur la base d'un exercice fiscal aligné sur l'année civile. Ainsi, lorsque l'exercice fiscal touche à sa fin, les entreprises prennent souvent le temps de réévaluer leurs finances et leurs objectifs stratégiques. Cette évaluation peut conduire à des ajustements des effectifs, notamment à l'embauche de nouveaux talents pour soutenir les projets et initiatives à venir.Planification post-estivale : Les mois d'été sont généralement synonymes de vacances et d'une atmosphère plus détendue sur le lieu de travail. Toutefois, à l'approche du mois de septembre, les entreprises se concentrent à nouveau sur leurs activités régulières. Cette transition incite généralement les entreprises à intensifier leurs efforts de recrutement afin de combler les lacunes en matière de personnel qui ont pu apparaître au cours des mois d'été.Allocations budgétaires : Avec les nouveaux budgets établis pour l'année fiscale à venir, les entreprises ont une vision plus claire des ressources financières disponibles pour l'embauche de nouveaux employés. Cette clarté financière facilite le processus de recrutement, car les contraintes budgétaires sont souvent un facteur déterminant dans les décisions d'embauche.  Conseil de pro :Consultez toujours le site web de l'entreprise pour les offres d'emploi - les grandes entreprises évitent parfois d'utiliser les tableaux d'affichage des offres d'emploi ou de publier des postes sur LinkedIn.Mettez en avant votre flexibilité : Le mois de septembre marque généralement le début de nouveaux projets et initiatives à l'échelle de l'entreprise, ce qui en fait le moment idéal pour recruter de nouveaux talents (c'est-à-dire vous !). Mettez en avant votre adaptabilité, votre volonté d'apprendre et votre capacité à contribuer efficacement à de nouvelles équipes et à de nouveaux projets.Les employeurs qui souhaitent intensifier leurs efforts au cours du dernier trimestre de l'année seront particulièrement attirés par les candidats qui peuvent s'intégrer de manière transparente dans leurs flux de travail existants.La vague de septembre peut-elle vous aider à trouver un emploi ?La vague d'offres d'emploi de septembre peut être un moment incroyablement favorable pour augmenter vos chances de trouver un emploi.L'augmentation de l'activité de recrutement augmente la probabilité de trouver un emploi correspondant à vos compétences et à vos intérêts.Bien sûr, l'augmentation de l'activité de recrutement se traduit par un afflux de candidats, ce qui peut créer une atmosphère de concurrence, mais elle offre également de nombreuses possibilités de réseautage et d'établissement de liens au sein des secteurs d'activité.En fin de compte, l'utilisation efficace de la vague de septembre peut augmenter considérablement vos chances d'être embauché !

Le retour à l'école après les mois d'été demande de la préparation - croyez-moi, je l'ai fait plusieurs années de suite. Pour vous aider à conquérir la rentrée, j'ai préparé une liste de contrôle complète qui vous guidera, étape par étape, pour rendre la transition vers l'année scolaire et le campus aussi facile que possible. Vous trouverez la liste de contrôle complète ici [n'oubliez pas d'en faire une copie] !Bien sûr, ce ne serait pas le début d'une nouvelle année scolaire sans prendre en compte les conséquences académiques, financières et personnelles du statut d'étudiant et sans se préparer mentalement à ce qui vous attend.Voici quelques éléments qui vous aideront à organiser votre vie afin d'éviter d'être débordé :Préparation académiqueÀ l'approche du semestre d'automne, il est essentiel de poser des bases solides pour votre parcours universitaire. Commencez par examiner attentivement le plan de chacun de vos cours (dès qu'il sera disponible). Prenez note des dates cruciales, notamment celles des examens, des devoirs et des échéances des projets. Croyez-moi, le fait d'avoir une vision claire de vos responsabilités académiques vous aidera à planifier efficacement votre temps et à le gérer parallèlement à tous vos autres engagements. Envisagez de mettre en place un système d'organisation numérique pour garder une trace des devoirs et du matériel de cours, ce qui contribuera à la rationalisation et à la réussite du semestre. Je recommande vivement l'utilisation d'une feuille de calcul ou d'un modèle Notion pour assurer le suivi de ces éléments (consultez notre IG @joinoutcomecampusconnect pour un mini-tutoriel !)Préparation financièreUne planification financière efficace est essentielle à la réussite du semestre.Confirmez les aides financières, les bourses ou les prêts que vous avez contractés et assurez-vous que les frais de scolarité sont réglés avant la date d'échéance (c'est le cas dès maintenant, alors ne remettez pas cela à plus tard). L'élaboration d'un budget détaillé englobant toutes vos dépenses - y compris l'épicerie, les transports et les loisirs - vous aidera à gérer efficacement vos finances. Pour ceux qui cherchent un emploi à temps partiel, trouvez un emploi ou un stage et coordonnez votre emploi du temps avec vos cours afin de trouver un équilibre entre vos engagements académiques et professionnels.Remarque : le CCO a toujours des offres d'emploi sur son tableau d'affichage des offres d'emploi ! Consultez-le ! Ressources académiquesProfitez pleinement des ressources académiques mises à votre disposition.Familiarisez-vous avec les offres de la bibliothèque, y compris les bases de données en ligne et les politiques d'emprunt.Recherchez les options de tutorat, les groupes d'étude et les centres de soutien académique sur le campus pour vous assurer que vous avez accès à une aide précieuse en cas de besoin.En outre, prenez contact avec le centre d'orientation professionnelle pour explorer les possibilités de stages, de salons de l'emploi et d'ateliers qui contribueront à votre développement personnel et professionnel. La plupart des écoles disposent d'un site d'offres d'emploi spécialement conçu pour leurs étudiants, alors profitez-en tant que vous êtes étudiant !Engagement social et développement personnelVotre expérience universitaire s'étend au-delà de la salle de classe. Explorez les possibilités d'engagement social et de développement personnel en recherchant et en rejoignant des clubs, des organisations et des groupes d'étudiants qui correspondent à vos centres d'intérêt.En participant aux séances d'introduction ou aux assemblées générales annuelles, vous rencontrerez des personnes partageant les mêmes idées que vous et vous élargirez votre réseau.Notez les dates importantes des séances d'orientation, des événements de bienvenue et des opportunités de réseautage pour vous assurer de tirer le meilleur parti de votre expérience universitaire. Prenez l'initiative d'entrer en contact avec d'autres étudiants, des colocataires et des camarades de classe afin de nouer des relations durables qui contribueront à une expérience riche et épanouissante à l'école.Voir aussi : L'expérience extrascolaire fait de vous un candidat à part entière.Prendre soin de soi et se sentir bien.Soins personnels et bien-êtreAccordez la priorité à vos soins personnels afin de maintenir un mode de vie sain et équilibré. Établissez une routine de sommeil cohérente qui favorise votre concentration et votre niveau d'énergie.Planifiez des repas et des collations nutritifs qui vous fourniront la subsistance nécessaire pour exceller dans vos études.Intégrez une activité physique régulière dans votre emploi du temps afin de réduire le stress et de promouvoir le bien-être général. Pratiquez des techniques de soulagement du stress telles que la méditation, la pleine conscience ou la tenue d'un journal afin de vous assurer que vous êtes équipé pour gérer efficacement les défis du semestre.Voir aussi : Conseils de la psychothérapeute Victoria Emanuel sur l'autogestion de la santé des étudiantsTransports et déplacementsSi vous devez vous rendre sur le campus, prenez les dispositions nécessaires en matière de transport. Planifiez votre itinéraire et votre emploi du temps, et assurez-vous d'avoir toutes les informations dont vous avez besoin pour effectuer votre trajet quotidien sans encombre (même si vous marchez, il est toujours bon de savoir où vous allez avant le premier jour). Si vous utilisez un véhicule, confirmez les permis de stationnement ou les dispositions prises pour éviter tout problème de dernière minute.Final Thoughts Getting ready for a new semester in college or university is a little bit like putting together pieces of a puzzle. By checking off the different items on this checklist, you’re setting yourself up for an awesome (and successful) school year. Get ready to rock your semester - we’re rooting for you!  

À l'écoute de vos vraies passions : Guider le chemin de la vie avec des intérêts authentiques plutôt qu'avec de fausses ambitionsDans un monde souvent guidé par les attentes de la société et les influences extérieures, il est trop facile de se retrouver à suivre des voies qui ne correspondent pas à notre personnalité authentique. L'attrait de la validation externe et la pression exercée pour se conformer à certaines normes peuvent nous éloigner de nos véritables passions. Il est toutefois essentiel de reconnaître la différence entre les intérêts authentiques et les ambitions superficielles, et de laisser vos vraies passions guider le parcours de votre vie.Comprendre la différenceAvant d'aborder la question de savoir comment vous laisser guider par vos véritables intérêts plutôt que par de fausses ambitions, il est important de comprendre la distinction entre ces deux types d'intérêts :Les vrais intérêts :Les véritables intérêts sont les activités, les passe-temps et les poursuites qui suscitent véritablement de la joie et de l'enthousiasme en vous. Ce sont les choses auxquelles vous vous adonneriez même s'il n'y avait pas de récompense ou de reconnaissance extérieure. Ces centres d'intérêt reflètent votre personnalité authentique et contribuent à votre sentiment général de bien-être et d'épanouissement.Fausses ambitions :Les fausses ambitions, en revanche, sont des activités que vous pouvez choisir en raison de pressions sociales, d'attentes extérieures ou d'un désir de statut et de reconnaissance. Elles peuvent consister à poursuivre des objectifs qui ne correspondent pas à vos véritables passions, mais qui sont poursuivis uniquement dans le but de paraître réussir ou de répondre aux attentes des autres. Cultiver la conscience de soiLa première étape pour se laisser guider par ses véritables intérêts consiste à cultiver la conscience de soi. Prenez le temps de réfléchir à vos passions et à vos aspirations sans vous laisser influencer par des facteurs externes. Posez-vous la question :Qu'est-ce qui me passionne vraiment ? Dressez une liste des activités qui vous procurent véritablement de la joie et de l'épanouissement. Pensez à ce que vous aimiez faire lorsque vous étiez enfant, car ces centres d'intérêt précoces sont souvent révélateurs de vos véritables passions.Quand est-ce que je perds la notion du temps ? Identifiez les activités qui vous immergent si profondément que vous en perdez la notion du temps. C'est souvent le signe d'une véritable passion en résonance avec votre être profond.Quelles sont mes valeurs ? Réfléchissez à vos valeurs personnelles. L'alignement de vos activités sur vos valeurs peut vous apporter un profond sentiment d'utilité et de satisfaction.Surmonter les attentes de la sociétéL'un des plus grands défis à relever pour se laisser guider par ses intérêts réels est de s'affranchir des attentes de la société. Voici comment y parvenir :Acceptez d'être unique : Rappelez-vous que votre parcours est le vôtre. Acceptez votre singularité et comprenez que votre chemin peut être différent de celui des autres, et c'est tout à fait normal.Ignorer le bruit : Ignorez le bruit des opinions et des jugements extérieurs. Restez concentré sur ce qui compte vraiment pour vous et ne laissez pas les autres dicter vos choix.Recadrer le succès : Redéfinissez le succès selon vos propres termes. Au lieu de mesurer le succès à l'aune de critères externes, mesurez-le à la satisfaction et à l'épanouissement que vous ressentez lorsque vous vous consacrez à vos véritables centres d'intérêt. Passer à l'actionIdentifier vos véritables centres d'intérêt n'est qu'un début.Pour qu'ils vous guident vraiment, vous devez passer à l'action :Fixez des objectifs authentiques : Fixez des objectifs qui correspondent à vos véritables passions.Ces objectifs seront plus motivants et plus satisfaisants à long terme.Apprendre en permanence : Investissez du temps dans l'apprentissage et l'amélioration des activités que vous avez choisies.La passion alimente souvent le désir de progresser et d'exceller.Relever les défis : Les défis font inévitablement partie de tout voyage.Lorsque vous poursuivez vos véritables intérêts, les défis sont plus susceptibles d'être relevés avec détermination et résilience.Réflexions finales: Dans un monde qui glorifie souvent les ambitions superficielles, il est essentiel de reconnaître l'importance de se laisser guider par ses véritables intérêts. En embrassant vos passions et en alignant votre parcours de vie sur elles, vous pouvez mener une existence plus authentique, plus épanouissante et plus satisfaisante.N'oubliez pas que vos passions ne sont pas des distractions frivoles - elles sont la clé d'une vie riche en objectifs et en sens. Alors, laissez vos véritables centres d'intérêt éclairer le chemin et embarquez pour un voyage qui n'appartient qu'à vous.

Saviez-vous que l'être humain moyen a environ 50 000 pensées par jour et que 95 % de ces pensées se répètent chaque jour ? L'ensemble de nos pensées crée notre état d'esprit, qui peut être propice à la croissance ou nous inciter à agir et à nous sentir petits (er-than).Quels sont les récits que vous vous racontez ?Une fois que vous avez déterminé ce que votre dialogue intérieur dit sur votre potentiel, vous pouvez le décortiquer. Où cette histoire a-t-elle commencé ? Êtes-vous tombé dans une relation malsaine avec votre valeur personnelle ? Comment pouvez-vous y mettre fin ?Parfois, notre dialogue intérieur, ce récit, prend son essor sous l'effet d'influences extérieures. Reconnaître qui et quoi a contribué à votre état d'esprit actuel peut vous aider à comprendre ce dont vous n'avez plus besoin (et, parfois, qui vous n'avez plus besoin autour de vous) et avec qui vous devriez passer plus de temps. Les personnes et l'énergie dont nous nous entourons sont vraiment importantes.En tant qu'étudiant ou jeune diplômé, les croyances autolimitatives sont particulièrement néfastes, car c'est une période où vous travaillez dur pour développer vos compétences, votre réseau et votre compréhension de la valeur que vous pouvez apporter à une organisation. (Dans la recherche d'un emploi, les croyances autolimitatives peuvent ressembler à ce qui suit : "Je suis nul en entretien", ou "Je vais envoyer une candidature mais c'est inutile, je n'aurai pas de réponse" OU "Bien sûr, je vais accepter cette offre d'emploi dérisoire parce que c'est ma seule option et que c'est mieux que rien").En tant qu'employé, les croyances autolimitatives peuvent commencer à s'installer en raison d'une culture d'entreprise malsaine. Une culture d'entreprise positive vous renforce et vous offre des opportunités de mentorat et de croissance pour favoriser la rétention. Les cultures d'entreprise doivent également reconnaître si la dynamique des collègues entrave les progrès et identifier les moyens d'y mettre fin. Il est possible que les autres essaient de projeter sur vous des croyances autolimitatives, mais c'est à vous de décider si vous acceptez ou non ces croyances (indice : ne le faites pas).Pour surmonter les discours négatifs et prendre en main votre carrière (et votre vie), il existe de nombreux conseils, mais celui que nous préférons vient de cette conférence de Simon Sinek. Regardez ici et découvrez ci-dessous nos sept meilleurs conseils tirés de cette conférence.Quelques moyens de surmonter les obstacles à la réussite que vous vous êtes fixés personnellement1. Commencez par le pourquoi : Trouver sa raison d'êtreLe concept "Start with Why" de Sinek s'applique parfaitement aux étudiants et aux diplômés. Identifiez les raisons pour lesquelles vous poursuivez vos études ou la carrière que vous avez choisie. Qu'est-ce qui vous motive ? Le fait de vous connecter à votre but intérieur alimente votre motivation à surmonter les défis et à dépasser les croyances limitatives.2. Identifiez votre état d'esprit actuel et recadrez votre discours négatifAnalysez vos pensées actuelles, écrivez-les même. Certaines vous surprendront peut-être (et n'oubliez pas que vous les répétez tous les jours). Identifiez le moment où vous pensez que ces pensées ont commencé et, parfois, qui a contribué à les former si ce n'est pas vous seul. Éliminez les énergies négatives de votre vie afin de ne pas être entouré de personnes qui ne vous soutiennent pas, en particulier au moment où vous en avez le plus besoin. Essayez ensuite de retravailler vos pensées lorsque la négativité s'insinue. Au lieu de dire "je ne suis pas assez bon" ou "je ne peux pas faire ça", recadrez votre discours. Remplacez ces pensées par "J'apprends et je m'améliore" ou "Ce défi va m'aider à grandir". Les affirmations positives remodèlent votre état d'esprit et encouragent une perspective orientée vers la croissance, et si vous les répétez, elles vous viendront plus naturellement.3. Relever des défis pour développer un état d'esprit de croissanceEn tant qu'étudiant ou jeune diplômé, il est essentiel d'adopter un état d'esprit de croissance. Considérez les défis comme des occasions d'apprendre et de vous améliorer. Rappelez-vous que les revers ne sont pas des échecs mais des tremplins vers vos objectifs et que, après tout, vous êtes novice en la matière. Ce changement d'état d'esprit vous aide à considérer les limitations comme des obstacles temporaires qui peuvent être surmontés avec des efforts et de la résilience et vous aide également à parler à vos employeurs de ce que vous voulez faire et de la manière dont vous voulez évoluer.4. La connexion et le soutien continus sont essentielsN'hésitez pas à demander le soutien de vos pairs, de vos mentors ou de vos professeurs. S'entourer de personnes qui croient en votre potentiel et remettent en question vos croyances limitatives peut vous apporter des informations précieuses. Engagez des conversations sur vos objectifs ; la diversité des points de vue peut offrir des perspectives nouvelles qui font tomber les barrières que vous vous êtes imposées. Soyez honnête sur votre situation et sur les personnes qui peuvent vous aider. C'est un excellent moyen de développer le respect de soi.5. Célébrez les petites victoires et le chemin parcouruIl est important de célébrer même les plus petites réussites. Qu'il s'agisse de réussir un examen ou de décrocher un entretien, le fait de reconnaître les progrès accomplis renforce votre confiance en vous. Chaque réalisation prouve que les limites que vous percevez ne sont pas insurmontables. Le recul est de 20/20, mais si vous pouvez identifier la manière dont vous progressez dans l'instant, vous aurez une meilleure idée de qui vous êtes et de ce vers quoi vous vous dirigez. Cela vous aidera à vous sentir plus positif.6. Restez persévérantLa persévérance est l'alliée de tous. N'oubliez pas que la croissance et le progrès nécessitent de l'engagement et du temps. Les défis académiques et les recherches d'emploi peuvent connaître des revers, comme toute autre chose dans la vie, mais ce sont des occasions d'apprendre et d'affiner votre approche. Restez persévérant et considérez chaque obstacle comme une chance de progresser, en particulier lorsque c'est le plus difficile.7. Passez à l'action pour prendre votre vie en mainL'action est essentielle. Chaque jour, faites de petits pas vers vos objectifs, même s'ils vous paraissent insignifiants. Sinek nous rappelle que pour prouver nos capacités, il faut agir et être déterminé. Chaque mesure prise, aussi petite soit-elle, renforce votre confiance en vos capacités. (Petit conseil : faites votre lit tous les matins. Cela peut paraître idiot, mais c'est une façon d'être productif et d'éliminer immédiatement le chaos).En résumé ?En commençant par votre objectif, en vous entourant de personnes qui croient en vous et vous soutiennent, en identifiant et en recadrant votre propre discours, en embrassant la croissance, en recherchant du soutien, en célébrant les progrès, en restant persévérant et en passant à l'action, vous pouvez vous libérer de vos croyances limitatives. Il est important de noter que vous avez le pouvoir de remodeler vos croyances et de façonner votre récit - SEUL vous avez la maîtrise de votre avenir. Avec de la détermination et un état d'esprit positif, vous pouvez libérer votre véritable potentiel et ouvrir la voie à un avenir (et à une vie) rempli d'objectifs et de succès.

Dans le monde rapide et compétitif dans lequel nous vivons, le réseautage et l'établissement de liens significatifs sont généralement considérés comme essentiels à la réussite. Si les événements formels de mise en réseau et les réunions d'affaires sont indéniablement importants, ce sont les bavardages apparemment insignifiants et les conversations décontractées qui peuvent avoir un impact étonnamment remarquable sur notre parcours vers la réussite. Que vous soyez étudiant comme moi, professionnel ou simplement en quête de développement personnel, l'apprentissage de "l'art" du bavardage peut s'avérer un outil puissant à avoir dans sa poche.Le pouvoir des liens de cause à effetLe small talk, par définition, consiste en des conversations légères et sans engagement avec des connaissances ou des inconnus. Bien qu'il semble assez superficiel, il sert en fait un objectif crucial : briser la glace et établir des liens. Ces conversations apparemment sans importance mais décontractées créent une atmosphère confortable, permettant à des conversations plus profondes d'évoluer naturellement au fil du temps.Dans un cadre professionnel, le bavardage peut contribuer à instaurer la confiance et la familiarité avec des collègues, des clients ou des investisseurs potentiels. Dans les situations sociales, il peut conduire à de nouvelles amitiés ou même à des opportunités inattendues. Si l'on y réfléchit bien, le bavardage est un peu le ciment des relations, qui nous permet d'en savoir plus sur les intérêts, les expériences et les aspirations des uns et des autres, et qui nous prépare à des conversations plus substantielles. Ouvrir des portes aux opportunitésL'une des conséquences les plus importantes de la maîtrise de l'art de la conversation est la possibilité de créer des opportunités inattendues. On ne sait jamais qui l'on peut rencontrer ni quelles opportunités peuvent naître d'une conversation apparemment anodine !Imaginez un peu : vous engagez la conversation avec quelqu'un en attendant votre café. Cette personne pourrait s'avérer être un partenaire commercial potentiel, un mentor précieux ou une personne liée à un secteur que vous avez toujours voulu explorer. Les opportunités se cachent souvent derrière des conversations anodines, qui n'attendent que vous pour en profiter !Le réseautage peut aller au-delà des cartes de visiteLes événements de réseautage traditionnels impliquent souvent l'échange de cartes de visite et de brèves présentations (auxquelles j'ai l'impression de m'être préparée sans relâche en poursuivant mes études de commerce au cours des cinq dernières années). Bien que ces deux activités aient leur raison d'être, les conversations à bâtons rompus permettent d'établir des liens plus authentiques et plus durables. Il ne s'agit pas seulement de ce que vous pouvez offrir à quelqu'un, mais aussi d'établir une véritable connexion humaine.Lorsque vous engagez des conversations informelles, que vous posez des questions ouvertes et que vous écoutez activement les réponses, vous créez un environnement dans lequel les gens se sentent à la fois valorisés et respectés. Par conséquent, ils sont plus susceptibles de se souvenir de vous et seront prêts à vous soutenir lorsque la bonne occasion se présentera. Améliorez vos compétences en communication et votre confiance en vousDevenir un pro des petites conversations ne sert pas seulement à impressionner les autres et à devenir leur ami ; cela permet également de renforcer votre propre confiance en vous et vos compétences en matière de communication. Plus vous vous entraînerez à avoir des conversations informelles, plus vous serez à l'aise dans diverses situations sociales. Avec le temps, cette aisance s'étendra au-delà des rencontres professionnelles et commencera à se faire sentir dans votre vie personnelle.En quoi cela est-il important ? Les communicateurs confiants peuvent exprimer leurs idées plus clairement, négocier efficacement et collaborer sans heurts avec les autres. Ces compétences sont inestimables dans toute entreprise - qu'il s'agisse de présenter un nouveau projet, de diriger une équipe ou simplement de naviguer dans les complexités des relations dans votre vie personnelle.Soyez authentiqueSi les petites conversations peuvent contribuer à ouvrir des portes et à créer des opportunités, il est important de se rappeler que l'authenticité doit être au cœur de vos préoccupations. Les gens sont généralement perspicaces et peuvent sentir qu'une conversation n'est pas sincère ou qu'elle est uniquement motivée par le gain personnel (je sais, je suis passé par là).Je vous encourage à aborder la conversation avec un intérêt sincère et une curiosité pour les autres. Soyez à l'écoute et n'ayez pas peur de partager vos propres histoires et expériences. En fin de compte, l'authenticité crée la confiance, et la confiance permet d'établir des liens et des relations plus profonds. Dernières réflexionsLes petites conversations peuvent sembler insignifiantes, mais leur impact sur nos vies personnelles et professionnelles est immense. En vous efforçant de devenir un pro de la petite conversation, vous pouvez ouvrir des portes à des opportunités, construire des relations durables, renforcer votre confiance en vous et vos compétences en communication, embrasser l'authenticité et vous rappeler que chaque interaction est une chance d'apprendre et de grandir.La prochaine fois que vous vous retrouverez dans une conversation apparemment banale, j'espère que vous vous souviendrez de l'impact important qu'elle peut avoir sur votre chemin vers le succès !

Vous êtes-vous déjà demandé si les choses "mineures" de la vie font vraiment une grande différence ? Eh bien, il s'avère que le choix de la "bonne" mineure au cours de vos études post-secondaires peut s'avérer un atout inattendu pour votre carrière (je parle d'expérience). Si votre matière principale constitue une base solide, la compléter par une mineure choisie de manière stratégique peut vous donner un avantage significatif dans votre parcours post-universitaire.Voyons les cinq meilleures mineures qui peuvent vous aider à améliorer votre carrière et à combler le fossé entre votre matière principale et les connaissances pratiques recherchées par les employeurs :Mineure en psychologie pour les étudiants en marketing : Le marketing consiste à comprendre le comportement des consommateurs et à créer des campagnes efficaces. Une mineure en psychologie peut apporter aux étudiants en marketing des connaissances précieuses sur la motivation humaine, la prise de décision et les déclencheurs émotionnels. Ces connaissances peuvent vous aider à élaborer des stratégies de marketing plus persuasives, à optimiser l'expérience des utilisateurs et à adapter votre message pour qu'il ait une réelle résonance auprès de votre public cible.  Mineure en gestion d'entreprise pour les ingénieurs : Les ingénieurs possèdent de solides compétences techniques, mais l'intégration de compétences commerciales pratiques peut vous distinguer. Une mineure en commerce peut vous apporter des connaissances dans des domaines tels que la gestion de projet, la budgétisation et l'esprit d'entreprise. Cette combinaison vous permet non seulement de concevoir des solutions innovantes, mais aussi de comprendre leur viabilité commerciale, de gérer efficacement les ressources et même de lancer votre propre entreprise axée sur l'ingénierie.Mineure en économie pour les étudiants en commerce : Les compétences quantitatives et les capacités de résolution de problèmes acquises dans le cadre d'une mineure en économie constituent une base polyvalente applicable à de nombreux secteurs d'activité, ce qui vous donne un avantage précieux dans le monde dynamique des affaires. Elles aiguisent la pensée analytique et l'interprétation des données, ce qui vous permet de prendre des décisions éclairées sur des marchés concurrentiels. Grâce à une solide maîtrise des concepts économiques, tels que la dynamique de l'offre et de la demande, les stratégies de fixation des prix et les tendances du marché, les étudiants sont mieux armés pour occuper des postes dans les domaines de l'analyse financière, de la planification stratégique et de la gestion des opérations.Mineure en informatique pour les étudiants en graphisme : Si vous êtes passionné par la conception graphique, compléter votre formation par une mineure en informatique peut vous ouvrir de nombreuses perspectives. Une mineure en informatique peut vous permettre d'acquérir des compétences en programmation, des connaissances en développement web et une compréhension de la conception de l'expérience utilisateur. Cette combinaison peut faire de vous un concepteur bien équilibré, capable de traduire efficacement des concepts créatifs en conceptions numériques pratiques et conviviales.Mineure en études environnementales pour les étudiants en politique publique : Pour les étudiants qui se spécialisent en politique publique ou en sciences politiques, une mineure en études environnementales peut être très bénéfique. La durabilité et les préoccupations environnementales devenant de plus en plus importantes dans l'élaboration des politiques et la gouvernance, une formation en études environnementales peut vous permettre de mieux comprendre les complexités entourant les questions de durabilité. Cela vous permettra de proposer des solutions pratiques et durables qui s'alignent sur les objectifs environnementaux.Réflexions finales : En choisissant stratégiquement une mineure qui complète votre majeure, vous pouvez améliorer vos perspectives de carrière et vous démarquer sur un marché de l'emploi concurrentiel (par exemple, j'étais diplômée en marketing/affaires et j'ai fait une mineure en innovation parce que c'était le plus logique pour moi). N'oubliez pas que les exemples présentés ici ne sont qu'un point de départ et qu'ils montrent comment diverses disciplines peuvent s'entrecroiser pour créer des ensembles de compétences bien équilibrés que les employeurs apprécient. Bonne chance dans le choix de votre mineure, et n'oubliez pas que si elles ne font pas de votre diplôme ou de vos perspectives de carrière un succès ou un échec, elles peuvent certainement enrichir vos connaissances et les possibilités qui s'offrent à vous ! 

Il faut se rendre à l'évidence : l'intelligence artificielle (IA) s'est imposée comme un outil puissant qui transforme divers aspects de notre vie. L'un des domaines où son impact est particulièrement important est le lieu de travail (si vous ne l'avez pas encore remarqué). En tant que stagiaire au sein d'une organisation qui encourage activement l'utilisation éthique de l'IA, j'ai pu constater de visu l'incroyable potentiel de cette technologie pour améliorer les flux de travail et accroître l'efficacité dans notre vie quotidienne.Voyons comment l'IA change la donne sur le lieu de travail et l'importance des considérations éthiques dans sa mise en œuvre.Comment l'IA peut-elle être utilisée sur le lieu de travail ?L'IA peut être utilisée de nombreuses façons sur le lieu de travail pour améliorer notre expérience. En voici quelques exemples :ChatGPT : C'est probablement le plus connu et vous connaissez probablement déjà ses fonctions. Ce chatbot alimenté par l'IA peut générer des réponses semblables à celles d'un humain en fonction des données saisies, ce qui le rend utile pour diverses tâches telles que la rédaction d'e-mails, la génération de contenu ou la fourniture d'une assistance à la clientèle. Salesforce Einstein : Il s'agit d'une plateforme alimentée par l'IA qui offre des analyses prédictives, de l'automatisation et des recommandations intelligentes. Elle aide les organisations à améliorer la gestion de la relation client, les prévisions de vente et les campagnes de marketing personnalisées.UiPath : Il s'agit d'une plateforme d'automatisation des processus robotiques (RPA) de premier plan qui utilise l'IA pour automatiser les tâches répétitives, la saisie de données et l'optimisation des flux de travail. Elle aide les organisations à accroître leur productivité, à réduire les erreurs et à améliorer leur efficacité opérationnelle. Copy.ai : Il s'agit d'un outil de rédaction alimenté par l'IA qui aide à générer du contenu, y compris des textes de marketing, des articles de blog, des légendes de médias sociaux, et plus encore. Il s'appuie sur des algorithmes de traitement du langage naturel et d'apprentissage automatique pour faciliter les tâches de rédaction créative. H2O.ai : Cette entreprise propose des plateformes d'IA et d'apprentissage automatique qui permettent aux organisations de construire et de déployer des modèles prédictifs, d'effectuer des analyses de données et d'automatiser les processus de prise de décision. Leurs outils sont conçus pour faciliter la compréhension des données et la transformation de l'entreprise.Quelques avantages de l'utilisation de l'IA sur le lieu de travailL'utilisation de l'IA au travail présente de nombreux avantages pour les employeurs, les employés et les clients. En voici quelques-uns :Efficacité et productivité accrues : L'IA se chargeant des tâches répétitives, elle libère nos précieuses ressources humaines pour qu'elles se concentrent sur ce qui est amusant - le travail stratégique et créatif qui donne de vrais résultats, et conduit à une efficacité et une productivité accrues.Quelques avantages de l'utilisation de l'IA sur le lieu de travailL'utilisation de l'IA au travail présente de nombreux avantages pour les employeurs, les employés et les clients. En voici quelques-uns :Efficacité et productivité accrues : L'IA se chargeant des tâches répétitives, elle libère nos précieuses ressources humaines pour qu'elles se concentrent sur ce qui est amusant - le travail stratégique et créatif qui donne de vrais résultats et conduit à une augmentation de l'efficacité et de la productivité. Amélioration de la prise de décision : Grâce aux analyses et aux informations fournies par l'IA, nous pouvons désormais prendre des décisions incroyablement fondées sur des données, et ne plus nous fier uniquement à notre intuition ou à nos suppositions. L'IA nous fournit des informations et des prévisions précieuses qui optimisent nos processus et nous aident à atteindre nos objectifs de croissance. Amélioration de l'expérience client : L'IA permet de personnaliser l'expérience client. Elle nous permet de formuler des recommandations pertinentes, d'élaborer des campagnes de marketing personnalisées et de fournir un service d'assistance à la clientèle à la vitesse de l'éclair.Quelques défis liés à l'utilisation de l'IA sur le lieu de travail :Malgré ses avantages, sa mise en œuvre sur le lieu de travail pose également plusieurs défis que les organisations doivent relever. Les plus pertinents sont les suivants :Préoccupations éthiques et partialité : lorsqu'il s'agit d'algorithmes d'IA, nos organisations doivent être particulièrement attentives à l'éthique. Les biais dans les données ou la prise de décision algorithmique peuvent entraîner des résultats injustes. C'est pourquoi les organisations doivent faire de la transparence, de l'équité et de la responsabilité une priorité absolue pour s'assurer que l'IA est utilisée de manière responsable et que les clients peuvent se sentir à l'aise et avoir confiance dans le travail effectué.  Fiabilité : L'IA n'est pas parfaite et ne constitue pas une réponse universelle. Elle peut commettre des erreurs qui affectent nos résultats d'apprentissage ou nos évaluations. Elle peut également mal fonctionner ou se bloquer en raison de problèmes techniques ou de bogues.  Adaptation du personnel : L'introduction de l'IA dans nos flux de travail signifie que des changements sont à venir. Il est tout à fait naturel que les employés s'inquiètent d'un déplacement d'emploi. En communiquant clairement, en dispensant une formation et en proposant des programmes de perfectionnement, les organisations peuvent aider leurs équipes à adopter les technologies de l'IA et à mettre en évidence le potentiel de collaboration qu'elles apportent à l'équipe. Comment évoluer et adopter l'IA dans les flux de travail existants sans compromettre l'éthique ?En tant qu'employés en pleine évolution technologique et désireux d'intégrer l'IA dans nos flux de travail existants, nous avons la responsabilité de l'utiliser à bon escient et de manière éthique.Les conseils suivants vous aideront à utiliser l'IA correctement sans compromettre votre intégrité :Faire preuve d'esprit critique : nous ne devrions jamais faire confiance ou suivre aveuglément ce que l'IA nous dit.Nous devrions toujours remettre en question son exactitude, sa validité et sa pertinence.Nous devons également comparer ses résultats avec d'autres sources de recherche, de données et/ou de retour d'information.Être conscient :Nous devons savoir comment fonctionne l'IA et comprendre ses limites et ses implications.Nous devons également être conscients de nos droits et de nos responsabilités lorsque nous l'utilisons.Par exemple, si toutes les informations relatives à vos clients doivent rester confidentielles, cela inclut les données introduites dans la plupart des plateformes d'IA.Réflexions finalesL'impact de l'IA sur le lieu de travail est indéniable et son potentiel ne cesse de croître.Alors que nous embrassons les capacités de l'IA, il est essentiel de se rappeler que la technologie devrait toujours servir d'outil pour nous rendre autonomes, et non pour nous remplacer.À mesure que nous avançons, gardons l'esprit ouvert et continuons à nous adapter à ce paysage en constante évolution ! 

Pourquoi perdre du temps à essayer de lancer votre carrière sur des sites d'emploi où les employeurs ne recherchent pas spécifiquement des étudiants et des diplômés récents ? Nous avons un éventail impressionnant d'employeurs de premier plan partout au Canada qui cherchent à embaucher des étudiants et des nouveaux diplômés de partout au pays (ahem, en ce moment même).Voici dix occasions extraordinaires pour les étudiants et les nouveaux diplômés du Canada sur Campus Connect Outcome dès maintenant : Ville de Terrace - Ingénieur concepteurToronto Global - Stagiaire, Perspectives d'affaires (attraction des investissements)Pratt & Whitney - Stagiaire, Analyste d'affaires/Service à la clientèleBombardier - Marketing de l'expérience clientElite Class Development Inc - Stagiaire en administrationPrairie Mountain Health - Étudiant d'été, Services de thérapieFortis BC - Ingénierie coopérative, lignes de distributionGouvernement de l'Ontario - Entretien des aéronefs, apprenti en ingénierie Discovery Centre, assistant aux événementsBig Viking Games - Généraliste en ressources humainesAlors, qu'attendez-vous ? Votre cheminement de carrière commence aujourd'hui au CCO ! Connectez-vous ou inscrivez-vous pour accéder aux offres d'emploi de tout le Canada (gratuitement). 

Reconnaître ses erreurs et en assumer la responsabilité est une caractéristique essentielle dans tout environnement professionnel. C'est une preuve d'intégrité, de responsabilité et de volonté d'apprendre et de progresser. Voici quelques mesures que vous pouvez prendre pour assumer vos erreurs et les surmonter au travail :Reconnaître et admettre son erreur : La première étape consiste à être honnête avec vous-même et à admettre que vous avez commis une erreur. Évitez la tentation de nier ou de dissimuler l'erreur. Comprenez que les erreurs arrivent à tout le monde et qu'elles font partie du processus d'apprentissage. Prenez des mesures immédiates : Une fois que vous avez pris conscience de votre erreur, il est essentiel de prendre des mesures immédiates pour en atténuer les conséquences négatives. Évaluez l'impact de votre erreur et déterminez ce qu'il faut faire pour rectifier la situation. Si nécessaire, informez rapidement votre supérieur hiérarchique ou les parties prenantes concernées. Présentez vos excuses et communiquez : Assumez la responsabilité de votre erreur en présentant vos excuses à toutes les personnes concernées. Soyez sincère et authentique dans vos excuses. Expliquez clairement ce qui n'a pas fonctionné, pourquoi cela s'est produit et quelles mesures vous prenez pour éviter que des erreurs similaires ne se reproduisent à l'avenir. Cette transparence contribue à instaurer un climat de confiance et démontre votre volonté de tirer les leçons de cette expérience. Tirez les leçons de l'erreur : Réfléchissez à votre erreur et analysez ce qui l'a provoquée. Comprenez les causes profondes et identifiez les domaines dans lesquels vous pouvez vous améliorer. Envisagez de demander un retour d'information ou des conseils à des collègues ou à des mentors afin d'obtenir des perspectives et des points de vue différents. Utilisez ces connaissances pour élaborer des stratégies visant à éviter des erreurs similaires à l'avenir. Mettez en œuvre des mesures correctives : Sur la base de votre analyse, élaborez un plan pour éviter que des erreurs similaires ne se reproduisent à l'avenir. Il peut s'agir d'affiner vos processus de travail, de suivre une formation complémentaire ou de mettre en place de nouveaux contrôles et équilibres. Partagez votre plan avec les parties concernées afin de démontrer votre engagement en faveur de la croissance et de l'amélioration. Concentrez-vous sur les solutions : Au lieu de vous attarder sur l'erreur, concentrez-vous sur la recherche de solutions. Soyez proactif et prenez les mesures nécessaires pour remédier aux conséquences négatives de votre erreur. En faisant preuve d'initiative pour résoudre le problème, vous pouvez en minimiser l'impact et regagner la confiance de vos collègues et de vos supérieurs. Gardez une attitude positive : Il est important de conserver une attitude positive tout au long du processus. Les erreurs sont des opportunités de croissance et d'apprentissage. Considérez-les comme des leçons précieuses et restez optimiste. Évitez d'être trop dur avec vous-même et utilisez l'expérience pour développer la résilience et un état d'esprit de croissance. Démontrez constamment que vous vous améliorez : La véritable mesure de l'acceptation de vos erreurs est la façon dont vous appliquez les leçons apprises à votre travail futur. Faites constamment preuve de croissance, d'amélioration et d'une approche proactive. Montrez que vous avez pris votre erreur à cœur et que vous êtes devenu un professionnel plus fiable et plus compétent.N'oubliez pas que le fait d'assumer ses erreurs est un signe de force et de maturité.En suivant ces étapes, vous pouvez surmonter vos erreurs et les transformer en opportunités de développement personnel et professionnel.

Trouver un emploi adéquat peut prendre du temps et parfois, franchement, le processus est nul. Par exemple, il arrive que, malgré tous nos efforts, nous ne recevions pas l'offre d'emploi que nous espérions, alors qu'elle aurait pu nous convenir. Les refus font naturellement partie du processus de recherche d'emploi, et comprendre les raisons qui les motivent peut fournir des indications précieuses pour la prospection future.Voici les trois principales raisons pour lesquelles les candidats se voient refuser un emploi et les moyens de surmonter ces obstacles :Manque de compétences et d'expérience : L'une des raisons les plus courantes des refus d'embauche est le manque de compétences et d'expérience pertinentes. Les employeurs recherchent souvent des candidats qui possèdent les qualifications et l'expérience nécessaires pour effectuer le travail de manière efficace. Si vous ne parvenez pas à démontrer que vous répondez aux exigences énoncées dans la description du poste, vos chances de décrocher le poste diminuent.Pour surmonter cet obstacle, il est essentiel d'examiner attentivement la description du poste et d'adapter votre dossier de candidature afin de mettre en évidence vos compétences et expériences pertinentes. Envisagez d'acquérir des compétences supplémentaires ou des certifications par le biais de cours, d'ateliers ou de travail bénévole afin d'améliorer votre profil. En démontrant votre volonté d'apprendre et de vous adapter, vous deviendrez un candidat plus attractif pour de futures opportunités. De plus, en rejoignant Outcome Campus Connect, vous éviterez les devinettes : les employeurs présents sur notre site sont spécifiquement à la recherche d'étudiants et de jeunes diplômés talentueux. Un exemple concret ? Votre interlocuteur cherchera quelqu'un qui sort de l'école ou qui étudie encore - un énorme avantage par rapport à d'autres sites d'emploi.   2. Mauvaise adéquation culturelle (sur le lieu de travail) : Si les compétences et l'expérience sont essentielles, les entreprises apprécient également les candidats qui s'intègrent parfaitement à leur culture d'entreprise. L'adéquation culturelle englobe les valeurs partagées, l'éthique de travail, les styles de communication et la compatibilité globale avec l'environnement de l'entreprise. Un candidat qui ne correspond pas à la culture de l'entreprise risque d'être écarté au profit d'autres candidats qui lui conviennent mieux.Pour résoudre ce problème, il est important de se renseigner sur la culture de l'entreprise avant de postuler à un poste. Familiarisez-vous avec les valeurs, la mission et l'environnement de travail de l'organisation. Lors des entretiens, mettez l'accent sur votre capacité à vous adapter à différentes cultures professionnelles, mettez en avant vos compétences interpersonnelles et soulignez les cas où vous avez collaboré avec succès au sein d'équipes diverses. En démontrant votre compatibilité avec la culture de l'entreprise, vous augmentez vos chances d'être sélectionné pour le poste.     3. Faible performance lors de l'entretien : Même si vous possédez les compétences et l'expérience nécessaires, un entretien médiocre peut avoir un impact considérable sur vos chances de décrocher un emploi. Les entretiens sont l'occasion pour les employeurs d'évaluer vos compétences en matière de communication, vos capacités à résoudre des problèmes et votre manière de gérer la pression. Un entretien médiocre peut donner l'impression que vous êtes désintéressé ou mal préparé, ce qui peut conduire à un rejet.Pour améliorer vos compétences en matière d'entretien, la pratique et la préparation sont essentielles. Faites des recherches sur les questions d'entretien les plus courantes et formulez des réponses réfléchies. Répétez vos réponses en faisant attention à votre langage corporel, à votre ton et à votre articulation. Demandez l'avis de vos amis, de votre famille ou de vos mentors lors de simulations d'entretien afin d'affiner votre technique. En outre, recueillez des informations sur l'entreprise et le secteur d'activité afin de démontrer votre intérêt sincère et votre compréhension au cours de l'entretien.En résumé, les refus d'embauche font partie du parcours professionnel, et le fait de comprendre les raisons de ces refus peut vous aider à progresser et à améliorer vos chances lors de vos futures candidatures. En vous attaquant aux écueils courants que sont le manque de compétences et d'expérience pertinentes, une mauvaise adéquation culturelle et des performances médiocres en entretien, vous pouvez améliorer l'ensemble de votre candidature et augmenter vos chances de décrocher l'emploi de vos rêves. N'oubliez pas que la persévérance, l'amélioration continue de soi et un état d'esprit positif sont essentiels pour naviguer avec succès sur le marché du travail. 

Dans le domaine des candidatures à un emploi, deux documents clés jouent un rôle essentiel dans la mise en valeur de vos compétences et de vos qualifications : la lettre de motivation et la lettre d'accompagnement. Bien qu'elles aient des objectifs similaires, il existe des différences significatives entre les deux. Comprendre ces distinctions est essentiel pour les demandeurs d'emploi qui souhaitent faire forte impression sur les employeurs potentiels. Dans cet article de blog, nous allons explorer les disparités entre une lettre de motivation et une lettre d'accompagnement, en soulignant leurs avantages uniques dans le processus de candidature.Avant de plonger dans les différences, clarifions l'objectif de chaque document. Une lettre d'intérêt, également appelée lettre de prospection, exprime votre curiosité et votre enthousiasme à l'égard d'une entreprise ou d'une organisation, même si celle-ci n'a pas publié d'offres d'emploi. En revanche, une lettre de motivation est jointe à votre curriculum vitae lorsque vous postulez à un emploi spécifique. Les deux documents visent à vous présenter aux employeurs potentiels, à mettre en évidence vos qualifications et à démontrer que vous êtes fait pour l'entreprise.Lettre d'intérêt : Une lettre d'intérêt est un excellent outil pour exprimer votre désir de travailler pour une entreprise donnée. Ses principaux avantages sont les suivantsExploration : Une lettre d'intérêt vous permet d'approcher les entreprises que vous admirez, qu'elles aient ou non des postes à pourvoir. Elle vous donne la possibilité d'explorer les opportunités potentielles et d'exprimer votre passion pour leur secteur d'activité ou leur mission.Réseautage : L'envoi d'une lettre d'intérêt peut permettre de nouer des liens précieux et de créer des opportunités de mise en réseau. Même si l'entreprise n'a pas de poste à pourvoir dans l'immédiat, elle peut conserver vos informations dans ses dossiers ou vous recommander à d'autres entreprises de son réseau.Approche personnalisée : Étant donné qu'une lettre de motivation n'est pas liée à une offre d'emploi spécifique, vous avez la liberté de présenter vos compétences, vos expériences et vos réalisations d'une manière plus personnalisée. Vous pouvez souligner comment votre parcours unique correspond aux valeurs et aux objectifs de l'entreprise.Lettre de motivation : Une lettre de motivation, adaptée à une demande d'emploi spécifique, offre des avantages distincts dans le processus d'embauche :Pertinence directe : Contrairement à une lettre d'intérêt, une lettre de motivation porte sur une offre d'emploi spécifique, ce qui vous permet d'aligner directement vos qualifications sur les exigences et les responsabilités énoncées dans la description du poste. Cette approche personnalisée démontre votre attention et votre aptitude à occuper le poste.Mise en valeur des réalisations : Une lettre de motivation vous permet de mettre en évidence les réalisations, les expériences et les compétences les plus pertinentes pour le poste à pourvoir. Cette approche ciblée aide les employeurs à reconnaître rapidement votre valeur et votre contribution potentielle.Démonstration de l'adéquation : La lettre de motivation est l'occasion de montrer comment vos compétences et votre expérience correspondent aux besoins et à la culture de l'entreprise. En abordant les exigences spécifiques du poste et les valeurs de l'entreprise, vous pouvez démontrer votre compréhension de l'organisation et votre adéquation potentielle avec son environnement de travail.Bien que la lettre de motivation et la lettre d'accompagnement présentent certaines similitudes, elles se distinguent par leurs objectifs et leurs avantages spécifiques. Une lettre d'intérêt vous permet d'explorer des opportunités potentielles, d'exprimer votre enthousiasme pour une entreprise et d'établir des contacts. En revanche, une lettre de motivation vous permet d'adapter vos qualifications directement à une offre d'emploi spécifique, de mettre en avant des réalisations pertinentes et de démontrer que vous êtes à votre place dans l'entreprise. En comprenant les distinctions entre ces deux documents, les demandeurs d'emploi peuvent les utiliser efficacement pour se démarquer de la concurrence et augmenter leurs chances de décrocher le poste qu'ils souhaitent. 

Afin de poursuivre une carrière dans le codage, il existe différents diplômes que les étudiants peuvent acquérir pour obtenir les connaissances et les compétences nécessaires.Voici quelques parcours éducatifs courants pour les aspirants codeurs :Licence en informatique : Une licence en informatique permet d'acquérir des bases complètes en matière de codage, d'algorithmes, de structures de données, de développement de logiciels et d'autres concepts informatiques fondamentaux. Ce diplôme s'obtient généralement en quatre ans et est largement reconnu par les employeurs.Licence en génie logiciel : Semblable à l'informatique, la licence en génie logiciel se concentre sur les principes du développement de logiciels, les modèles de conception, les tests de logiciels et la gestion de projets. Il permet aux étudiants d'acquérir les compétences nécessaires pour créer des systèmes logiciels robustes et évolutifs.Diplôme d'associé en programmation informatique : Les diplômes en programmation informatique offrent un programme d'études condensé qui se concentre spécifiquement sur les compétences en codage et le développement de logiciels. Ces programmes peuvent souvent être achevés en deux ans ou moins, ce qui constitue un point d'entrée plus rapide dans le secteur du codage.Bootcamps et camps d'entraînement au codage : Les bootcamps de codage sont des programmes de formation intensifs et de courte durée qui se concentrent sur l'enseignement de compétences pratiques en matière de codage. Ils sont généralement immersifs et pratiques, et proposent un programme condensé qui peut être suivi en quelques semaines ou quelques mois. Les bootcamps sont un choix populaire pour les personnes qui souhaitent acquérir rapidement des compétences en codage et s'orienter vers une carrière dans ce domaine.Cours et tutoriels en ligne : Il existe une multitude de cours et de tutoriels en ligne qui couvrent différents langages, cadres et concepts de programmation. Des plateformes comme Udemy, Coursera et CodeAcademy proposent un large éventail de cours de codage, dont beaucoup sont à rythme libre et permettent aux individus d'apprendre à leur convenance.Certifications : Bien qu'elles ne remplacent pas un diplôme, les certifications peuvent constituer un ajout précieux au CV d'un codeur. Les certifications dans des langages de programmation, des cadres de travail ou des technologies spécifiques démontrent la compétence et le dévouement dans un domaine particulier du codage.Il est important de noter que si l'éducation formelle peut constituer une base solide, le codage est un domaine où l'expérience pratique et l'apprentissage continu sont très appréciés. De nombreux codeurs qui réussissent sont autodidactes ou ont acquis des compétences grâce à des projets concrets et à la pratique du monde réel. En fin de compte, le choix de la filière de formation dépend des préférences personnelles, des objectifs et du niveau d'approfondissement et de spécialisation souhaité.Voici quelques avantages que vous tirerez de l'apprentissage du codage :Compétences en matière de résolution de problèmes : Le codage vous apprend à décomposer des problèmes complexes en parties plus petites et gérables et à développer des solutions étape par étape. Ces compétences en matière de résolution de problèmes sont précieuses dans divers aspects de la vie, et pas seulement en programmation. La pensée informatique : Le codage vous aide à développer la pensée informatique, qui consiste à analyser et à résoudre des problèmes de manière logique. Ce type de réflexion facilite la prise de décision et améliore vos capacités cognitives générales.Esprit d'entreprise: Les compétences en codage vous permettent de donner vie à vos idées. Que vous souhaitiez développer une application mobile, créer un site web ou construire un logiciel, le fait de savoir coder vous permet de prendre le contrôle et de concrétiser vos idées.Comprendre la technologie: Le codage vous permet de mieux comprendre le fonctionnement de la technologie. Cela vous permet de naviguer plus efficacement dans le monde numérique, d'être informé des avancées technologiques et de prendre des décisions éclairées dans une société axée sur la technologie.Perspectives de carrière: La demande de programmeurs qualifiés ne cesse de croître dans tous les secteurs d'activité. Apprendre à coder ouvre de nombreuses perspectives de carrière dans des domaines tels que le développement de logiciels, le développement web, la science des données, l'intelligence artificielle, la cybersécurité, etc.Un excellent potentiel de rémunération: Les codeurs peuvent s'attendre à un salaire de départ, au Canada, de 60 000 à 110 000 $.Examinons maintenant quelques cheminements de carrière courants dans le domaine du codage:Développeur/ingénieur en logiciel: Les développeurs de logiciels conçoivent, développent et maintiennent des applications logicielles.Ils travaillent avec des langages de programmation, des cadres et des outils pour créer des solutions logicielles fonctionnelles et efficaces.Développeur web: Les développeurs web sont spécialisés dans la création de sites et d'applications web.Ils travaillent avec des technologies frontales (HTML, CSS, JavaScript) et des technologies dorsales (scripts côté serveur, bases de données) pour créer des sites web interactifs et conviviaux.Scientifique des données: Les scientifiques des données analysent et interprètent des données complexes pour en extraire des informations utiles.Ils utilisent des langages de programmation tels que Python ou R pour manipuler, analyser et visualiser les données et construire des modèles d'apprentissage automatique pour l'analyse prédictive.Développeur d'applications mobiles: Les développeurs d'applications mobiles créent des applications pour les smartphones et les tablettes.Ils travaillent avec des plateformes comme iOS ou Android et utilisent des langages de programmation comme Swift ou Java pour développer des applications mobiles.Ingénieur DevOps: Les ingénieurs DevOps font le lien entre le développement et les opérations. Ils se concentrent sur l'automatisation des processus de développement de logiciels, la gestion de l'infrastructure et la garantie d'une collaboration harmonieuse entre les différentes équipes.Analyste en cybersécurité: Les analystes en cybersécurité protègent les systèmes et réseaux informatiques contre les menaces potentielles. Il développe des protocoles de sécurité, surveille les vulnérabilités et répond aux incidents de sécurité.Concepteur UX/UI: Les concepteurs UX/UI créent des interfaces conviviales et visuellement attrayantes pour les sites web et les applications. Ils combinent les principes de conception, la recherche sur les utilisateurs et les compétences en matière de codage pour offrir des expériences utilisateur optimales.N'oubliez pas que ces carrières ne s'excluent pas mutuellement et qu'il existe de nombreux autres rôles spécialisés dans le domaine du codage. Le choix dépend de vos intérêts, de vos aptitudes et des compétences spécifiques que vous développez.

Félicitations aux diplômés ! Vous avez achevé avec succès votre parcours universitaire et êtes maintenant prêts à entrer dans le monde professionnel. Trouver un emploi rapidement après l'obtention de son diplôme peut être à la fois excitant et difficile. Toutefois, en adoptant la bonne approche et un plan ciblé, vous pouvez augmenter vos chances de décrocher un emploi rapidement. Dans cet article de blog, nous vous présentons sept étapes efficaces pour vous aider à naviguer dans le processus de recherche d'emploi et à décrocher rapidement le poste de vos rêves.Définissez vos objectifs de carrière :Avant de commencer à postuler, prenez le temps de réfléchir à vos objectifs de carrière et à vos aspirations. Réfléchissez à vos passions, à vos compétences et à vos centres d'intérêt, et identifiez les secteurs d'activité ou les fonctions qui y correspondent. En ayant une vision claire de ce que vous voulez accomplir, vous pourrez mieux cibler vos efforts de recherche d'emploi et adapter vos candidatures en conséquence.Rédigez un CV et une lettre de motivation impressionnants :Votre CV et votre lettre de motivation sont les premières impressions que vous donnez aux employeurs potentiels. Prenez le temps de créer un CV convaincant et professionnel qui mette en valeur vos compétences, vos expériences et vos réalisations. Personnalisez-le pour qu'il corresponde aux exigences de chaque poste auquel vous postulez. De même, rédigez une lettre de motivation bien conçue qui met en avant votre enthousiasme, explique vos qualifications et démontre votre connaissance de l'entreprise à laquelle vous postulez.Tirez parti de votre réseau :Le réseautage est un outil puissant dans le processus de recherche d'emploi. Contactez votre famille, vos amis, vos professeurs, vos anciens élèves et les professionnels du secteur pour leur faire savoir que vous êtes activement à la recherche d'un emploi. Participer à des salons de l'emploi, à des manifestations sectorielles et s'inscrire sur des plateformes de réseautage professionnel telles que LinkedIn peut être utile. Souvent, les offres d'emploi sont partagées au sein des réseaux avant d'être annoncées publiquement, ce qui vous donne un avantage concurrentiel.Profitez des stages et des postes de débutant :Envisagez de commencer votre carrière par un stage ou un poste de débutant. Ces opportunités offrent une expérience pratique précieuse, vous permettent d'explorer différents secteurs d'activité et de vous constituer un réseau de contacts. Même si le poste n'est pas celui de vos rêves, il peut servir de tremplin vers la carrière que vous souhaitez. (Vous trouverez de nombreux postes vacants sur notre plateforme !)Soignez votre présence en ligne :À l'ère du numérique, votre présence en ligne peut avoir un impact significatif sur vos perspectives d'emploi. Veillez à ce que vos profils de médias sociaux, en particulier LinkedIn, soient à jour et professionnels. Supprimez tout contenu ou message inapproprié qui pourrait nuire à vos chances de décrocher un emploi. En outre, envisagez de créer un site web personnel ou un portfolio en ligne pour présenter votre travail et vos réalisations.Se préparer aux entretiens :Une fois que vous avez obtenu un entretien, une préparation minutieuse est essentielle. Faites des recherches approfondies sur l'entreprise, comprenez ses valeurs, ses produits/services et les tendances du secteur. Entraînez-vous à répondre aux questions d'entretien les plus courantes et préparez des réponses réfléchies qui mettent en valeur vos compétences et vos expériences. Habillez-vous de manière professionnelle, arrivez en avance et donnez une impression positive par votre langage corporel et votre attitude confiante.Apprentissage continu et développement des compétences :L'apprentissage ne s'arrête pas avec l'obtention du diplôme. Tenez-vous au courant des tendances de l'industrie, des avancées technologiques et des compétences pertinentes dans votre domaine. Inscrivez-vous à des cours en ligne, participez à des ateliers ou obtenez des certifications afin d'améliorer vos connaissances et de vous rendre plus attractif aux yeux des employeurs.La recherche d'un emploi après l'obtention d'un diplôme exige de la persévérance, de la résilience et une approche stratégique. En définissant vos objectifs de carrière, en rédigeant un CV solide, en exploitant votre réseau, en profitant de stages et en maintenant une présence professionnelle en ligne, vous serez en bonne position pour réussir. N'oubliez pas de bien vous préparer aux entretiens et de ne jamais cesser d'apprendre. Relevez les défis, restez concentré et, bientôt, vous décrocherez un emploi qui correspond à vos aspirations et vous mettra sur la voie d'une carrière épanouissante. Bonne chance ! 

L'obtention d'un diplôme marque une étape importante dans notre vie, remplie d'émotions et surtout d'un sentiment d'accomplissement (si vous n'en êtes pas encore là, ne vous inquiétez pas, cela viendra !) Alors que je suis fière d'être diplômée de l'Université McMaster, avec un baccalauréat spécialisé en commerce, un stage réussi et une mineure en innovation, je ne peux m'empêcher de réfléchir à l'incroyable parcours qui m'a menée jusqu'ici. Cette réflexion m'a poussé à partager cinq leçons inestimables qui m'ont façonné et qui, je l'espère, pourront inspirer d'autres personnes dans leur propre cheminement.Entrons dans le vif du sujet :Considérer les revers et les échecs comme des opportunités de croissanceDans la vie, les revers et les échecs sont inévitables. Cependant, j'ai appris que le plus important est la façon dont nous y réagissons. En recadrant les défis et en leur permettant d'alimenter ma détermination, j'ai pu constater de première main qu'ils peuvent me propulser vers l'avant. N'oubliez pas que chaque revers (ou échec au cours de calcul de première année) est une occasion d'apprendre, de s'adapter et de devenir une version plus résiliente de vous-même.2. L'apprentissage par l'expérience est votre amiSi l'enseignement en classe constitue une base solide, c'est par l'application pratique que les connaissances se consolident vraiment. Les stages, les projets, les études de cas et les autres possibilités d'apprentissage par l'expérience sont le meilleur moyen de consolider les connaissances acquises en classe. En m'engageant activement dans des scénarios du monde réel, j'ai non seulement renforcé ma confiance en moi, mais j'ai également acquis une meilleure compréhension de la manière dont les concepts se traduisent par des résultats tangibles. Ne sous-estimez pas le pouvoir de l'application de ce que vous avez appris en classe à des situations réelles.3. Trouvez votre communauté et favorisez l'appartenanceLorsque vous devenez membre d'un club ou d'une communauté, c'est souvent comme si vous trouviez vos semblables et que vous ressentiez un réel sentiment d'appartenance. Au cours de mes études de premier cycle, j'ai découvert l'immense valeur des activités extrascolaires qui m'enthousiasmaient et correspondaient à mes passions, à mes intérêts et à mes objectifs futurs. Ces engagements m'ont non seulement procuré un sentiment d'appartenance, mais ils m'ont également permis d'évoluer sur le plan personnel et professionnel. Saisissez la chance d'entrer en contact avec des personnes qui partagent votre enthousiasme et voyez comment votre expérience globale s'en trouvera améliorée.4. Poser des questions et demander de l'aide est une bonne choseN'ayez jamais peur de poser des questions ou de demander de l'aide à votre système de soutien et rappelez-vous que la plupart des gens sont dans le même bateau et naviguent en terrain inconnu. Ce faisant, vous ouvrez des portes à la connaissance, à la collaboration et au soutien. Acceptez l'incertitude, l'aventure qui accompagne le processus d'apprentissage et sachez que les autres sont là et prêts à vous aider, tout comme vous êtes là et prêt à les aider.5. Faire confiance au processusRegardons les choses en face : personne n'a toutes les réponses, et c'est tout à fait normal. Même si nous avons l'impression que nous devrions avoir tout compris, nous avons en fait beaucoup de temps devant nous. La vie, c'est le voyage, pas seulement la destination, et j'ai appris à faire confiance au processus.

Bonjour, chers lecteurs ! Je m'appelle Courtney Crites et, récemment diplômée de l'Université McMaster, où j'ai obtenu un baccalauréat spécialisé en commerce, je suis maintenant à l'aube d'un nouveau chapitre passionnant de ma vie. À l'automne, je suivrai le programme de certificat d'études supérieures en relations publiques du Humber College, un pas en avant dans la poursuite de ma passion pour la communication efficace. Parallèlement à mes études, je travaille actuellement comme créatrice de contenu pour Outcome Campus Connect, où j'ai eu le privilège de constater directement l'impact remarquable que cette plateforme a eu sur moi.Lorsque je réfléchis à mon parcours en tant qu'étudiante créatrice de contenu pour Outcome Campus Connect (OCC) au cours des dix derniers mois, je suis submergée de gratitude pour l'expérience inestimable que j'ai acquise. C'est très spécial pour moi de pouvoir partager mon parcours personnel de croissance et l'impact qu'a eu le fait de travailler pour OCC sur mon parcours d'étudiante créatrice de contenu et maintenant de nouvelle diplômée bien préparée.Entrons dans le vif du sujet, si vous le voulez bien :Découvrir le pouvoir de la voix des étudiants : Outcome Campus Connect est une plateforme dédiée exclusivement à la croissance et au développement des étudiants et des diplômés des universités et des établissements d'enseignement supérieur. Dès que j'ai fait partie de cette petite mais puissante équipe de contenu, j'ai compris l'importance d'amplifier les voix des étudiants comme la mienne. En tant que créatrice de contenu pour le CCO, j'ai bénéficié d'un espace sûr où j'ai pu exprimer librement mes pensées, mes points de vue et mes expériences sur une plateforme qui valorise mon point de vue. Cela m'a non seulement aidée à développer ma voix unique, mais m'a aussi exposée à divers points de vue et a inspiré des conversations intéressantes au sein de notre communauté OCC.Partager mon opinion personnelle : L'expérience extrascolaire fait de vous un candidat à part entière.Se connecter et collaborer : Outcome Campus Connect a joué un rôle déterminant dans le développement de ma confiance en moi pour favoriser les contacts et faciliter les collaborations entre mes pairs et les professionnels de l'industrie. L'exploration du tableau d'affichage des offres d'emploi du CCO au cours de ma dernière recherche d'emploi m'a permis de découvrir une multitude de possibilités de stages, d'emplois à temps partiel et même de postes à temps plein après la fin de mes études. En développant ma capacité à nouer des contacts grâce à mon travail de créateur de contenu (en particulier en me mettant en relation avec des personnes pour étayer des articles), j'ai pu obtenir des conseils et construire un solide réseau professionnel, dont je me sens très chanceuse de pouvoir bénéficier au moment où je commence à passer du statut d'étudiante à celui d'étudiante diplômée.Un article à lire absolument, qui s'appuie sur des informations externes : Les conseils de la psychothérapeute Victoria Emanuele pour aider les étudiants à prendre soin d'eux-mêmesCombler le fossé : Alors que je termine mes études de premier cycle, je me sens très chanceuse d'être une créatrice de contenu du CPO, principalement pour l'impact transformateur qu'il a eu sur mon développement personnel. L'engagement d'Orbis et du CPO à responsabiliser les étudiants et les diplômés a nourri mon potentiel, perfectionné mes compétences en tant que rédacteur et créateur de contenu, et m'a donné la confiance nécessaire pour relever de nouveaux défis. Grâce aux expériences et aux ressources inestimables fournies par mon CCO au cours des dix derniers mois (et j'espère qu'il y en aura encore beaucoup d'autres !), je me sens très bien équipée pour apporter une contribution significative dans mon domaine (le marketing et les relations publiques) et me forger un avenir prometteur.Un article dont je suis fière : Comment envoyer des courriels de manière efficace dans le cadre de votre recherche d'emploiDernières réflexionsSi vous m'aviez dit en août 2022 que je serais l'écrivain que je suis aujourd'hui, je ne sais pas si je l'aurais cru. Le CCO m'a permis d'évoluer énormément, tant sur le plan personnel que professionnel, et je me réjouis de continuer à travailler avec eux, en m'améliorant chaque semaine en tant que rédactrice et créatrice de contenu !

Dans le monde du travail compétitif d'aujourd'hui, trouver le bon équilibre entre confiance et humilité peut avoir un impact significatif sur la trajectoire de carrière d'une personne. Alors que le narcissisme est souvent associé à des connotations négatives, des recherches récentes ont mis en lumière un nouveau concept : le narcissique humble. Ce mélange intrigant de traits de caractère offre une perspective unique pour naviguer dans le monde professionnel. Dans cet article de blog, nous allons explorer l'idée d'un narcissique humble dans l'environnement professionnel et discuter de la façon dont l'adoption de ses pratiques peut accroître la réussite au travail.Qu'est-ce qu'un narcissique : un narcissique est une personne qui fait preuve d'un amour-propre excessif, d'un égocentrisme et d'un sens grandiose de sa propre importance. Il a souvent un sens exagéré de ses droits et recherche constamment l'admiration et l'attention des autres. Les narcissiques ont tendance à manquer d'empathie et ont des difficultés à établir des liens authentiques et significatifs avec les gens.Le terme "narcissique" trouve son origine dans la mythologie grecque, plus précisément dans l'histoire de Narcisse. Selon ce mythe, Narcisse était un beau jeune homme connu pour son extraordinaire attrait physique. Cependant, il était aussi exceptionnellement fier et arrogant. Un jour, Narcisse rencontra son propre reflet dans une mare d'eau et en devint amoureux, croyant qu'il s'agissait d'une image parfaite et sans défaut. Il était tellement captivé par son propre reflet qu'il ne pouvait s'en détacher et finit par mourir au bord de la piscine.Le concept de narcissisme en psychologie tire ses racines de ce récit mythologique. Le terme a été introduit pour la première fois par Sigmund Freud, le célèbre psychanalyste, qui l'a utilisé pour décrire un trait de personnalité caractérisé par un amour excessif de soi et un manque de considération pour les autres. Depuis, la compréhension et l'étude du narcissisme ont évolué, donnant lieu à diverses théories et approches psychologiques.Comprendre la psychologie du narcissisme : Pour approfondir le concept d'un narcissique humble, il est essentiel de comprendre la psychologie qui sous-tend le narcissisme lui-même. Dans son exposé TED éclairant intitulé "La psychologie du narcissisme", W. Keith Campbell souligne que le narcissisme existe sur un spectre allant d'un niveau sain à un niveau pathologique. Alors que le narcissisme pathologique se caractérise par un sens grandiose de la suffisance et un manque d'empathie, le narcissisme sain se manifeste par une estime de soi positive qui encourage l'épanouissement personnel et la réussite.Identifier les deux types de narcissiques au travail : Dans son article TED Ideas, "The 2 Types of Narcissists You'll Meet at Work", Emma Seppälä souligne l'importance de faire la distinction entre les narcissiques manifestes et les narcissiques cachés sur le lieu de travail. Les narcissiques manifestes sont plus facilement reconnaissables, car ils affichent un sens prononcé des droits, recherchent constamment l'attention et sont motivés par le pouvoir et la reconnaissance. En revanche, les narcissiques cachés ont tendance à masquer leur égocentrisme derrière une façade d'humilité et de sympathie, ce qui les rend plus difficiles à détecter.Le narcissique humble : Une combinaison gagnante : Un narcissique humble est une personne qui possède des niveaux sains de traits narcissiques, tels que la confiance, l'assurance et l'ambition, tout en faisant preuve d'une véritable humilité, d'empathie et d'une volonté de collaborer. Cette combinaison unique peut être la recette du succès sur le lieu de travail. Voici quelques pratiques que l'on peut envisager d'adopter en s'inspirant du livre de recettes du narcissique humble :Réflexion sur soi et prise de conscience : Les narcissiques humbles excellent dans l'autoréflexion, reconnaissant leurs forces et leurs faiblesses. Prenez le temps d'évaluer objectivement vos propres capacités, d'identifier les points à améliorer tout en embrassant et en exploitant vos points forts. Confiance et affirmation de soi : Faites preuve de confiance et d'assurance, mais aussi d'humilité. Reconnaissez vos propres réalisations et capacités, et n'hésitez pas à exprimer vos idées et vos opinions de manière respectueuse. N'oubliez pas de reconnaître et d'apprécier les contributions des autres. Empathie et collaboration : Développez et entretenez l'empathie envers vos collègues et les membres de votre équipe. Cherchez à comprendre leurs points de vue, écoutez activement et favorisez un environnement inclusif et positif. Les efforts de collaboration aboutissent souvent à des solutions plus innovantes et à une dynamique d'équipe plus forte. Apprentissage et croissance continus : Les narcissiques humbles sont avides de connaissances et de développement personnel. Investissez dans le développement professionnel continu, cherchez à obtenir un retour d'information et saisissez les occasions d'élargir votre éventail de compétences. Abordez les défis avec un état d'esprit de croissance, en les considérant comme des opportunités d'apprentissage et d'amélioration. La gratitude dans la réussite et l'échec : Lorsque vous célébrez vos réussites, n'oubliez pas de faire preuve de gratitude et de reconnaître les contributions des autres qui ont contribué à votre succès. De même, lorsque vous êtes confronté à des revers ou à des échecs, considérez-les comme des expériences d'apprentissage et utilisez-les comme des tremplins pour votre développement personnel et professionnel.Trouver un équilibre entre confiance et humilité est essentiel pour réussir dans le monde du travail moderne. En adoptant les pratiques d'un narcissique humble, vous pouvez exploiter les aspects positifs d'un narcissisme sain tout en favorisant l'empathie, la collaboration et le développement personnel. Rappelez-vous que l'humilité ne signifie pas minimiser vos réalisations ou votre valeur personnelle ; elle implique plutôt de reconnaître la valeur des autres et de créer un environnement qui favorise la réussite collective. Embrassez le narcissique (humble) qui sommeille en vous ! 

Lorsqu'il s'agit de rechercher un emploi, le courrier électronique peut être un outil incroyablement puissant. Qu'il s'agisse de donner suite à une candidature, de planifier un entretien ou d'envoyer une note de remerciement, vos courriels peuvent faire une grande différence dans la façon dont vous êtes perçu par les employeurs potentiels. Vous trouverez ci-dessous des conseils et des modèles pour vous aider à envoyer des courriels efficaces pendant votre recherche d'emploi.Meilleures pratiques générales pour l'envoi de courriels lors d'une recherche d'emploiAvant de nous pencher sur des modèles spécifiques, passons en revue les meilleures pratiques générales pour l'envoi de courriels lors d'une recherche d'emploi :Faites en sorte que vos courriels soient courts et précis. Les recruteurs et les responsables du recrutement sont des personnes très occupées et, comme vous pouvez l'imaginer, ils préfèrent ne pas lire un long courriel s'ils n'y sont pas obligés Utilisez une adresse électronique professionnelle. Si votre adresse électronique actuelle est du type "partygurl88@gmail.com", vous devriez envisager d'en créer une nouvelle qui soit plus appropriée à la recherche d'un emploi. S'adresser au destinataire par son nom. Utilisez le prénom de la personne (par exemple, "Bonjour Jane") si vous avez déjà eu un contact avec elle. Si vous n'avez pas encore eu de contact, utilisez son nom complet et son titre (par exemple : "Bonjour Jean Dupont, responsable du recrutement"). Utilisez une grammaire et une orthographe correctes. Les fautes de frappe et de grammaire peuvent donner l'impression que vous êtes négligent et non professionnel Évitez d'utiliser de l'argot ou un langage informel. Même si vous envoyez un courriel à un recruteur qui vous semble sympathique, il est important de garder un langage professionnel Utilisez un objet clair. Faites en sorte que le destinataire comprenne facilement l'objet de votre courriel en utilisant un objet clair et descriptif (par exemple : "Merci" ou "Suivi de l'entretien"). Incluez un appel à l'action clair. Indiquez clairement ce que vous attendez du destinataire (par exemple : "Veuillez me faire savoir si je peux vous apporter quelque chose de plus" ou "Je me réjouis d'avoir de vos nouvelles", etc.)ModèlesModèle de courriel de première prise de contactBonjour [Nom du responsable du recrutement],J'espère que cet e-mail vous conviendra. Je m'appelle [Votre nom]. Je suis [insérer votre poste actuel ou votre formation] et j'ai [insérer le nombre d'années d'expérience] d'années d'expérience dans [insérer le nombre d'années d'expérience]. J'ai [insérer une réalisation digne d'intérêt]. J'ai beaucoup appris au fil des ans et je suis très passionné par ce que je fais.J'ai appris par [personne/site web] que votre entreprise cherchait à pourvoir un poste à temps plein pour [titre du poste]. J'ai entendu des commentaires élogieux sur l'engagement de votre entreprise à l'égard de [quelque chose qui vous tient à cœur], et je suis enthousiaste à l'idée d'en savoir plus sur les possibilités qui s'offrent à moi au sein de votre organisation.Je serais ravi d'entrer en contact avec vous et d'avoir l'occasion d'en savoir plus sur vos attentes. Pourrions-nous fixer un rendez-vous téléphonique la semaine prochaine ? Je suis libre [insérer 3 créneaux horaires], mais je suis prêt à faire preuve de souplesse.N'hésitez pas à me faire part de votre avis et je me réjouis d'avoir de vos nouvelles !Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées,[Votre nom]Modèle d'e-mail de remerciementAprès un entretien d'embauche, il est toujours bon d'envoyer un courriel de remerciement à l'interviewer. Voici un modèle que vous pouvez utiliser :Bonjour [Nom de l'interviewer],J'espère que ce courriel vous trouvera en bonne santé. Je tenais à vous exprimer ma sincère gratitude pour m'avoir donné l'occasion de passer un entretien pour le [poste] à [nom de l'entreprise]. Ce fut un plaisir de vous rencontrer et de discuter de l'adéquation de mes compétences et de mon expérience avec les exigences du poste.Notre conversation a renforcé mon enthousiasme à l'idée de rejoindre votre équipe et de contribuer au succès de [Nom de l'entreprise]. Notre conversation a encore renforcé mon enthousiasme pour le poste. Je suis convaincu que ma formation en [compétences/expérience pertinentes] et ma passion pour [aspect spécifique de l'entreprise] font de moi un candidat idéal pour ce poste.Encore une fois, je vous remercie pour votre honnêteté, votre perspicacité et le temps que vous m'avez consacré aujourd'hui. N'hésitez pas à me contacter si vous avez besoin d'informations complémentaires ou si vous avez d'autres questions.J'attends avec impatience que vous me contactiez au sujet des prochaines étapes.Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées,[Votre nom].Modèle de courriel de suiviSi vous n'avez pas eu de nouvelles d'un recruteur ou d'un responsable du recrutement après avoir envoyé votre candidature ou passé un entretien, vous pouvez envoyer un courriel de suivi. Voici un modèle que vous pouvez utiliser :Bonjour [Nom du recruteur/responsable de l'embauche],J'espère que ce courriel vous trouvera en bonne santé. Je voulais faire le point sur ma [candidature récente/entretien récent] pour le poste de [titre du poste] à [nom de l'entreprise]. Je suis très intéressé par l'opportunité de rejoindre votre équipe et je voulais vérifier le statut de ma candidature.N'hésitez pas à me faire savoir si je peux fournir des informations supplémentaires pour étayer ma candidature. Je vous remercie de votre temps et de votre attention, et j'attends avec impatience une réponse de votre part.Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées,[Votre nom]Dernières réflexionsC'est vrai, l'envoi de courriels efficaces pendant votre recherche d'emploi peut augmenter vos chances de réussite ! En intégrant les meilleures pratiques et les meilleurs modèles dans votre recherche d'emploi, vous pouvez vous présenter comme un candidat professionnel qui se démarque de la concurrence.N'oubliez pas de personnaliser vos courriels, d'exprimer votre gratitude et de maintenir une communication claire et concise. Votre étiquette et votre souci du détail démontreront votre professionnalisme et votre désir de rejoindre leur équipe, ce qui laissera une impression positive à vos employeurs potentiels ! Bonne chance dans votre recherche d'emploi ! 

Pour faire carrière dans le marketing, il existe plusieurs options de diplômes que vous pouvez envisager. Voici quelques choix courants :Licence en marketing : Une licence en marketing fournit des bases complètes sur les principes du marketing, le comportement des consommateurs, les études de marché, la publicité, l'image de marque et les ventes. Ce diplôme peut constituer un point de départ solide pour des postes de marketing de niveau débutant. Licence en administration des affaires : Une licence en gestion d'entreprise avec une spécialisation en marketing peut également mener à une carrière dans le marketing. Ce diplôme offre une compréhension plus large des fonctions commerciales tout en intégrant des cours de marketing. MBA en marketing : Un master en administration des affaires avec spécialisation en marketing s'appuie sur les cours suivis au niveau de la licence et vise à mieux vous préparer à occuper des postes de haut niveau. Il peut comprendre des cours tels que le comportement et le développement organisationnels, la stratégie de marque, le marketing stratégique, etc. Licence en communication : Une licence en communication, en particulier avec une spécialisation en marketing ou en publicité, peut être utile pour les carrières en marketing. Il met l'accent sur les compétences en matière de communication efficace, les stratégies de diffusion de messages et les relations avec les médias. Licence en publicité : Une licence spécialisée en publicité met l'accent sur les stratégies publicitaires, le développement créatif, la planification des médias et la gestion des campagnes. Il peut être utile pour les postes qui impliquent principalement de la publicité et des promotions. Maîtrise en publicité : Une fois que vous avez terminé un programme de premier cycle, vous pouvez choisir d'en apprendre davantage sur la production et la gestion des publicités. La publicité et le marketing fonctionnent en parallèle et une formation dans ces deux domaines est essentielle pour réussir. Parmi les principaux sujets abordés, citons la théorie de la publicité, les méthodes de recherche en matière de publicité et la stratégie de communication. Master of Science en gestion du marketing : Un master en gestion du marketing permet d'acquérir des compétences spécifiques au marketing et des techniques administratives dans le but d'accéder à des postes de direction dans des entreprises qui ont besoin d'aide dans les domaines suivants : études de marché, gestion des comptes, stratégie de produit et gestion de la conception et de la fabrication, par exemple. Licence en marketing numérique : Compte tenu de l'importance croissante des plateformes numériques, un diplôme en marketing numérique vous permet d'acquérir des compétences en matière de marketing en ligne, de marketing des médias sociaux, d'optimisation des moteurs de recherche (SEO), d'analyse du Web et de publicité numérique. Licence en psychologie ou en sociologie : Bien qu'ils ne soient pas directement liés au marketing, les diplômes en psychologie ou en sociologie permettent de mieux comprendre le comportement des consommateurs, les processus de prise de décision et les techniques d'étude de marché. Ces domaines peuvent être utiles pour comprendre les publics cibles.Une fois que vous avez suivi une formation qui vous donne plus de chances d'entrer et de réussir dans une carrière en marketing, si vous cherchez à devenir un stratège de marque, vous devrez faire preuve de patience et d'engagement envers votre métier. L'apprentissage des nombreuses facettes d'un secteur du marketing en constante évolution exige que vous aimiez réellement votre travail et que vous restiez curieux, et que vous fassiez preuve d'agilité dans votre approche, ce qui vous aidera à rester innovant. Le calendrier exact peut varier en fonction des circonstances individuelles et de la voie que vous choisissez de suivre. Toutefois, voici quelques étapes générales à suivre pour devenir un stratège de marque chevronné :Acquérir de l'expérience au niveau débutant : Après avoir obtenu votre diplôme, acquérez une expérience pratique dans le domaine du marketing ou de la publicité. Recherchez des postes de débutant dans des services de marketing, des agences de publicité ou des fonctions de gestion de la marque. Cette expérience vous permettra d'acquérir une base de connaissances et de compétences dans le secteur. La durée de cette phase peut varier, mais il est courant de passer 2 à 4 ans à un poste de débutant.Formation supérieure : si vous appréciez votre travail jusqu'à présent, envisagez d'obtenir un master dans un domaine pertinent, tel que la gestion des marques, le marketing ou la publicité (voir les exemples ci-dessus). Cette étape est facultative, mais elle peut vous permettre d'acquérir des connaissances plus approfondies et des compétences spécialisées. Il faut généralement 1 à 2 ans pour obtenir une maîtrise.Spécialisation et développement des compétences : Tout en acquérant une expérience pratique, concentrez-vous sur le développement de compétences spécifiques liées à la stratégie de marque. Il s'agit notamment de comprendre le comportement des consommateurs, les techniques d'étude de marché, le positionnement de la marque, les stratégies de communication et le développement créatif. Tenez-vous au courant des tendances et des évolutions du secteur en participant à des ateliers, des conférences et des cours en ligne. Il existe de nombreuses offres en ligne qui peuvent vous aider à affiner vos compétences et à obtenir des certifications professionnelles depuis le confort de votre domicile et pour une fraction du prix des établissements d'enseignement traditionnels. L'apprentissage continu est essentiel à votre réussite dans ce rôle, car vous devrez être à l'affût de tout ce qui se passe en même temps.Trouvez un mentor et continuez à travailler en réseau : Cherchez des occasions d'apprendre auprès de stratèges de marque chevronnés et de personnes faisant partie de votre équipe ou de votre organisation. N'ayez pas peur de poser des questions, d'avoir des discussions informatives autour d'un café et d'exprimer votre désir de perfectionner votre art - avec leur soutien, espérons-le. N'hésitez pas non plus à entrer en contact avec des professionnels du secteur dans le cadre d'événements de mise en réseau, de conférences sectorielles ou de plateformes en ligne. Les mentors peuvent vous fournir des conseils, des informations et un soutien précieux au fur et à mesure que vous progressez dans votre carrière.Restez fidèle à votre vision et ayez confiance en elle : Aucune idée n'est trop grande si elle est divisée en étapes. Tant que vous avez une destination claire, vous pouvez travailler à rebours pour élaborer une stratégie en vue de l'atteindre. N'ayez pas peur de présenter à votre équipe des idées ambitieuses, audacieuses ou farfelues. Le marketing exige de la créativité et si vous êtes vraiment créatif, il se peut que vos idées soient nouvelles pour beaucoup de gens parce qu'elles n'ont pas encore été mises en œuvre.Écoutez : Vous ne serez pas bon dans ce que vous faites si vous n'êtes pas à l'écoute des pensées, des idées, des objectifs et des motivations des autres, ainsi que des sentiments et des attitudes de l'environnement dans lequel vous travaillez.Devenir un stratège de marque chevronné est un parcours continu qui nécessite une combinaison de formation, d'expérience et d'apprentissage continu. Il est important d'être proactif, de rechercher des opportunités de croissance et d'affiner continuellement ses compétences pour exceller dans ce domaine.

Avez-vous déjà hésité à demander une promotion ou une augmentation de salaire bien méritée ? Vous n'êtes pas le seul ! Mais n'ayez crainte, nous vous offrons quelques conseils précieux :Voici les raisons qui retiennent souvent les employés :La peur du rejet : Ne laissez pas la peur du "non" entraver votre progression. Acceptez le rejet comme faisant partie du chemin vers le succès.Manque de confiance : Croyez en vous et en vos capacités. Reconnaissez votre valeur et l'impact que vous avez eu. Vous êtes capable de plus !Incertitude et syndrome de l'imposteur : il est naturel de douter de soi, mais souvenez-vous de vos réalisations et de la valeur que vous apportez. Libérez-vous des croyances qui vous limitent !La peur de faire des vagues : Sortir de sa zone de confort peut être intimidant, mais c'est souvent en prenant des risques que l'on progresse. Osez défendre votre cause !Manque d'information : La connaissance, c'est le pouvoir. Recherchez des références salariales et rassemblez des preuves de vos contributions. Préparez-vous avec des faits et des chiffres solides.Perception de cupidité ou de droit : défendre ce que vous méritez n'est pas de l'égoïsme - c'est un signe de valeur personnelle. Communiquez votre valeur avec confiance et professionnalisme.Absence de plan de carrière clair : Si votre organisation manque de clarté sur les possibilités d'évolution, prenez votre destin en main. Identifiez vos objectifs et présentez des arguments convaincants en faveur de l'avancement.Lorsque le moment est venu d'entamer la "conversation sur la promotion et l'augmentation", suivez les étapes suivantes :Évaluez vos performances : Examinez objectivement vos réalisations, vos projets et vos responsabilités supplémentaires. Rassemblez des preuves concrètes de votre valeur.Recherchez des références salariales : Comprenez les taux du marché pour votre fonction et votre secteur d'activité. Utilisez des sources fiables pour déterminer une fourchette de salaire réaliste.Réfléchissez au moment opportun : Choisissez un moment opportun, par exemple lors d'un entretien d'évaluation ou après avoir franchi une étape importante. Évitez les périodes sensibles pour votre supérieur ou pour l'entreprise.Fixez un rendez-vous : Demandez un entretien spécifique pour discuter de votre progression de carrière et de vos objectifs. Donnez à votre supérieur le temps de se préparer et de comprendre vos intentions.Préparez votre dossier : Élaborez un argumentaire convaincant mettant en évidence vos contributions et votre alignement sur les objectifs de l'entreprise. Insistez sur la valeur que vous apportez à l'organisation.Entraînez-vous à la présentation : Répétez vos points clés et vos réponses aux objections potentielles. Vous renforcerez ainsi votre confiance en vous et assurerez une présentation sans heurts.Soyez professionnel et confiant : Pendant la réunion, faites preuve de professionnalisme et d'assurance. Formulez clairement votre demande et mettez l'accent sur l'impact positif qu'elle aura sur votre carrière et sur l'entreprise.Parlez de vos objectifs futurs : Faites part de vos aspirations en matière de croissance et montrez comment une promotion serait bénéfique à la fois pour vous et pour l'organisation.Soyez ouvert à la négociation : Même si le résultat souhaité n'est pas entièrement atteint, soyez ouvert à l'exploration d'autres avantages ou responsabilités qui contribuent à votre développement professionnel.Discutez de vos objectifs futurs : Faites part de vos aspirations en matière d'évolution et montrez comment une promotion serait bénéfique à la fois pour vous et pour l'organisation.Soyez ouvert à la négociation : Même si le résultat souhaité n'est pas entièrement atteint, soyez ouvert à l'exploration d'autres avantages ou responsabilités qui contribuent à votre développement professionnel.Assurez un suivi par écrit : Envoyez un courriel de suivi réfléchi résumant les principaux points abordés et réitérant votre demande. Gardez la conversation à l'esprit de votre supérieur.Rappelez-vous que le fait d'aborder cette conversation de manière stratégique ne garantit pas des résultats immédiats, mais augmente considérablement vos chances de réussite. Restez positif, misez sur vous-même et ayez confiance en votre travail. Votre potentiel est illimité ! 

Les conflits sont inévitables sur le lieu de travail. Lorsque des individus différents se rencontrent, des désaccords et des conflits d'intérêts sont inévitables. Toutefois, la manière dont nous gérons ces conflits détermine s'ils nuisent à l'environnement de travail ou s'ils constituent des opportunités de croissance et de collaboration. La résolution efficace des conflits est une compétence vitale pour tout employé ou manager, car elle permet non seulement d'améliorer le travail d'équipe, mais aussi de promouvoir la productivité et la satisfaction générale au travail. Dans cet article de blog, nous allons explorer les stratégies et les meilleures pratiques pour résoudre les conflits au travail et favoriser un environnement de travail harmonieux et productif.Encourager une communication ouverte :La première étape vers la résolution des conflits consiste à établir une culture de communication ouverte. Encouragez les employés à exprimer leurs préoccupations, leurs idées et leurs opinions de manière respectueuse. Écoutez activement le point de vue de chacun, en créant un espace sûr où ils se sentent entendus et compris. Cela permet non seulement d'identifier les problèmes sous-jacents, mais aussi d'éviter l'escalade des conflits en les abordant à un stade précoce.Pratiquer l'empathie et la compréhension :L'empathie joue un rôle crucial dans la résolution des conflits. Mettez-vous à la place des autres personnes impliquées dans le conflit, en cherchant à comprendre leurs points de vue, leurs motivations et leurs préoccupations. Reconnaissez que les gens ont des antécédents, des expériences et des styles de communication différents. En faisant preuve d'empathie, vous créez un environnement qui favorise la compréhension, réduit les tensions et promeut un état d'esprit collaboratif.Identifier la cause première :En cas de conflit, il est essentiel d'identifier les causes sous-jacentes plutôt que de se contenter d'aborder les problèmes de surface. Encouragez les personnes concernées à réfléchir aux raisons profondes de leurs désaccords. Y a-t-il des erreurs de communication, des différences de valeurs ou des objectifs contradictoires ? En allant plus loin, vous pouvez découvrir la véritable source du conflit et trouver une solution plus efficace.Rechercher une solution gagnant-gagnant :La résolution des conflits ne consiste pas à déterminer les gagnants ou les perdants, mais à trouver une solution mutuellement bénéfique. Encouragez les individus à lancer des idées et des alternatives en collaboration, en promouvant le compromis et la coopération. Cherchez un terrain d'entente et des objectifs communs, en soulignant les domaines dans lesquels les deux parties peuvent atteindre leurs objectifs sans compromettre les intérêts des autres. Une approche gagnant-gagnant favorise les relations positives et renforce la dynamique globale de l'équipe.Recourir à la médiation et à la facilitation :En cas de conflit complexe ou d'escalade, il convient d'envisager de faire appel à un tiers neutre pour jouer le rôle de médiateur et faciliter le processus de résolution. Un médiateur compétent peut faciliter la communication, garantir l'équité et guider les parties en conflit vers une solution mutuellement acceptable. La médiation offre un environnement structuré pour un dialogue ouvert et peut s'avérer très efficace pour résoudre des conflits profondément enracinés.Encourager le développement de compétences en matière de résolution des conflits :La résolution des conflits doit être considérée comme un ensemble de compétences essentielles sur le lieu de travail. Offrez aux employés des possibilités de formation et de développement pour qu'ils améliorent leurs compétences en matière de résolution des conflits. Ces programmes peuvent être axés sur l'écoute active, la communication efficace, la négociation et l'intelligence émotionnelle. En dotant les individus de ces outils, vous leur donnez les moyens d'aborder les conflits de manière constructive et de contribuer à un environnement de travail positif.Mettre en œuvre des politiques et des procédures claires :L'établissement de politiques et de procédures claires en matière de résolution des conflits définit les attentes et fournit un cadre pour le traitement des différends. Communiquez ces lignes directrices à tous les employés, en veillant à ce qu'ils comprennent le processus et sachent à qui s'adresser en cas de conflit. Des procédures claires permettent non seulement de rationaliser la résolution des conflits, mais aussi de promouvoir l'équité et la transparence au sein de l'organisation.La résolution des conflits est un aspect essentiel de tout lieu de travail prospère. En favorisant une communication ouverte, l'empathie et la compréhension, les organisations peuvent transformer les conflits en opportunités de croissance et de collaboration. Encourager un état d'esprit gagnant-gagnant, recourir à la médiation si nécessaire et investir dans le développement des compétences en matière de résolution des conflits sont des éléments clés pour créer un environnement de travail harmonieux. En donnant la priorité à la résolution des conflits, les entreprises peuvent améliorer la productivité, le travail d'équipe et la satisfaction au travail, ce qui se traduit en fin de compte par une réussite à long terme.

Le traditionnel travail de bureau de 9 à 5 est progressivement remplacé par une approche plus souple et plus dynamique, connue sous le nom de travail asynchrone. Le travail asynchrone est un style dans lequel les employés sont libres d'accomplir leurs tâches et de collaborer avec les membres de leur équipe sans être limités par une communication stricte en "temps réel" ou par des horaires rigides. Cette évolution prend de l'ampleur, et pour cause. Nous explorons ci-dessous le concept du travail asynchrone et la manière dont il peut révolutionner la productivité, le bien-être des employés et le travail d'équipe.Productivité accrue : L'un des principaux avantages du travail asynchrone est le potentiel d'amélioration de la productivité. En permettant aux employés de travailler selon leur propre horaire, ils peuvent optimiser leur niveau d'énergie et se concentrer pendant leurs heures les plus productives. Cette flexibilité permet aux individus de mieux gérer leurs responsabilités personnelles et professionnelles, réduisant ainsi le stress et les distractions. Lorsque les employés peuvent déterminer leur propre rythme et travailler de manière autonome, ils voient souvent leur créativité, leur capacité à résoudre des problèmes et leur rendement global s'améliorer. L'élimination des interruptions constantes provenant des plateformes de communication en temps réel peut également entraîner une diminution des distractions et des périodes ininterrompues de travail approfondi. Équilibre entre vie professionnelle et vie privée et bien-être des employés : Le travail asynchrone favorise un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, ce qui est essentiel pour le bien-être et la satisfaction des employés. En ayant la possibilité de choisir où et quand ils travaillent, les salariés ont la liberté de structurer leur journée en fonction de leurs engagements personnels, tels que la garde d'enfants, la remise en forme ou la pratique d'un hobby. Cette flexibilité peut réduire l'épuisement professionnel, augmenter la satisfaction au travail et améliorer la santé mentale. En accordant aux salariés une plus grande maîtrise de leur temps, les entreprises peuvent favoriser une culture de la confiance et permettre aux individus de s'approprier simultanément leur travail et leur vie personnelle. Collaboration mondiale et flexibilité des fuseaux horaires : Dans un monde de plus en plus interconnecté, le travail asynchrone fait tomber les barrières géographiques et permet une collaboration mondiale. Lorsque les membres d'une équipe sont répartis sur différents fuseaux horaires, la communication synchrone devient un défi. Le travail asynchrone permet aux membres de l'équipe de travailler à leur propre rythme, en apportant leur contribution et en passant le relais à leurs collègues situés dans d'autres fuseaux horaires. Cette approche permet non seulement d'assurer des transferts plus fluides, mais aussi de faciliter un flux de travail continu, ce qui accroît l'efficacité et accélère l'achèvement du projet. Elle ouvre également la porte à une main-d'œuvre plus diversifiée, car la localisation n'est plus une limite à la collaboration. Une plus grande attention portée à la qualité et à la prise de décision réfléchie : Le travail asynchrone encourage les employés à aborder les tâches et la prise de décision de manière réfléchie et intentionnelle. Sans la pression des réponses immédiates, les employés ont le temps de rassembler des informations, de mener des recherches et d'examiner attentivement leurs contributions. Cela permet d'obtenir des résultats de meilleure qualité, des idées plus innovantes et une résolution approfondie des problèmes. Grâce au travail asynchrone, les décisions sont prises sur la base d'une analyse et d'une réflexion plutôt que d'opinions précipitées, ce qui contribue à de meilleurs résultats globaux. Réduction de la surcharge des réunions : Les réunions sont souvent critiquées pour leur caractère chronophage et improductif. Le travail asynchrone permet de réduire considérablement le recours aux réunions synchrones. Au lieu de passer des heures en réunions successives, les équipes peuvent utiliser des outils asynchrones pour collaborer, partager des mises à jour et discuter d'idées. Ce changement minimise les interruptions et permet aux individus de consacrer des blocs de temps ininterrompus à leurs tâches, ce qui se traduit par une augmentation de la productivité et de la concentration.L'adoption du travail asynchrone peut révolutionner le lieu de travail. En donnant la priorité à la flexibilité, à la productivité, au bien-être des employés et à la collaboration mondiale, les organisations peuvent libérer tout le potentiel de leurs équipes. Si la communication synchrone conserve sa valeur, l'intégration de pratiques asynchrones favorise un environnement de travail plus équilibré, plus efficace et plus inclusif et, grâce à ce changement, les organisations peuvent s'adapter à l'évolution des besoins et des attentes des employés d'aujourd'hui. Le résultat ? Une main-d'œuvre plus heureuse et plus engagée et, en fin de compte, une plus grande réussite.

Dans le paysage commercial hautement compétitif d'aujourd'hui, conserver les meilleurs talents est devenu une préoccupation majeure pour les organisations. Les entreprises investissent de plus en plus dans des stratégies visant à retenir leurs employés qualifiés, reconnaissant que le coût de la rotation du personnel va au-delà des implications financières directes. Un outil puissant qui a pris de l'ampleur ces dernières années est l'"entretien de maintien dans l'emploi". Contrairement aux entretiens de départ traditionnels, les entretiens de maintien sont axés sur l'engagement des employés qui sont encore dans l'entreprise, en créant une opportunité de dialogue et en comprenant leurs besoins et leurs aspirations. Dans cet article de blog, nous examinons l'importance des entretiens de maintien dans l'emploi et la manière dont ils peuvent favoriser la fidélisation des employés et la réussite de l'organisation.Qu'est-ce qu'un entretien de maintien dans l'emploi ?Les entretiens de maintien en poste sont des conversations structurées entre les employés et leurs responsables, conçues pour identifier les facteurs qui contribuent à la satisfaction et à l'engagement des employés. Contrairement aux évaluations des performances, qui se concentrent généralement sur les performances passées, les entretiens de maintien sont orientés vers l'avenir et cherchent à comprendre les motivations, les préoccupations et les aspirations des employés afin d'aider les organisations à conserver leurs précieux talents.Stratégie proactive de maintien en poste du personnel : Les entretiens de maintien dans l'emploi permettent aux entreprises d'adopter une approche proactive du maintien dans l'emploi, plutôt que d'attendre les entretiens de sortie lorsqu'il est peut-être trop tard. En engageant régulièrement les employés dans des conversations significatives, les employeurs peuvent identifier les problèmes potentiels et les traiter avant qu'ils ne deviennent critiques, augmentant ainsi la probabilité de retenir les employés les plus performants.Approche individualisée : Chaque employé a des besoins, des aspirations et des motivations qui lui sont propres. Les entretiens d'embauche offrent une plateforme de dialogue ouverte et permettent aux managers d'obtenir des informations précieuses sur les motivations de chaque employé. En adaptant les stratégies d'engagement et de développement aux préférences individuelles, les entreprises peuvent créer une expérience de travail plus personnalisée et plus satisfaisante, ce qui accroît la satisfaction et la fidélité des employés.Engagement et satisfaction des employés : Se sentir valorisé et écouté est un élément essentiel de l'engagement des salariés et de leur satisfaction au travail. Les entretiens d'embauche démontrent un intérêt sincère pour les opinions, les préoccupations et les aspirations professionnelles des employés, ce qui leur donne le sentiment d'être respectés et appréciés. Cet engagement accru a un impact positif sur la satisfaction professionnelle globale, la productivité et l'engagement envers l'organisation.Découvrir les défis et les préoccupations : Les entretiens de fin de carrière permettent aux employés d'exprimer les difficultés ou les préoccupations auxquelles ils peuvent être confrontés au sein de l'organisation. En abordant ces questions de manière proactive, les employeurs peuvent créer un environnement de travail favorable, prévenir les risques d'épuisement professionnel et améliorer l'expérience des employés. En outre, en identifiant les thèmes communs ou les défis récurrents, les organisations peuvent prendre des décisions fondées sur des données afin d'améliorer la culture et les pratiques générales sur le lieu de travail.Développement des talents et planification de la relève : Les entretiens de maintien en poste peuvent aider les entreprises à identifier les employés à fort potentiel et à créer des plans de développement sur mesure. En discutant des objectifs à long terme, des aspirations et des plans de carrière, les responsables peuvent aligner les objectifs des employés sur les objectifs stratégiques de l'organisation. Cela favorise non seulement le développement professionnel, mais établit également une feuille de route claire pour la planification de la succession, ce qui permet aux organisations de cultiver les talents internes et de pourvoir les postes critiques à l'intérieur de l'entreprise.Rétention (ROI) : Un taux de rotation élevé peut constituer une ponction importante sur les ressources, à la fois en termes de temps et d'argent. Le coût du recrutement, de l'intégration et de la formation des nouveaux employés est souvent bien plus élevé que l'investissement dans la fidélisation des talents existants. Les entretiens de maintien dans l'emploi constituent un moyen rentable de conserver les employés clés et de réduire le taux de rotation, ce qui se traduit par une augmentation de la productivité et de la réussite globale de l'organisation.Mettre en œuvre des entretiens de maintien dans l'emploi efficacesPour exploiter tout le potentiel des entretiens de maintien dans l'emploi, les entreprises doivent prendre en compte les meilleures pratiques suivantes :Former les managers : Fournir une formation complète aux managers afin qu'ils puissent mener des entretiens de maintien dans l'emploi efficaces. Ils doivent acquérir des compétences en matière d'écoute active, d'empathie et de capacité à poser des questions ouvertes pour favoriser des conversations fructueuses.Garantir la confidentialité : Assurez aux employés que leurs commentaires resteront confidentiels afin d'encourager une communication ouverte et honnête au cours des entretiens d'embauche. Cela permet d'instaurer la confiance et de faciliter un véritable dialogue.Agir : Agissez sur la base des informations recueillies au cours des entretiens. Élaborez des plans d'action pour répondre aux préoccupations, offrir des possibilités de croissance et améliorer la satisfaction des employés. Communiquez les progrès réalisés pour montrer aux employés que leurs commentaires sont appréciés et pris en compte.Planifier régulièrement les entretiens de suivi : Intégrez les entretiens de suivi dans les pratiques régulières de gestion des performances, telles que les évaluations trimestrielles ou annuelles. La cohérence est essentielle pour créer une culture de l'engagement et de la fidélisation.À une époque où la rétention des talents est un impératif stratégique, les entretiens de maintien en poste offrent aux entreprises un outil puissant pour comprendre et répondre aux besoins et aux aspirations de leurs employés. En menant ces conversations proactives, les entreprises peuvent favoriser l'engagement, améliorer la satisfaction au travail et augmenter les taux de rétention. Les enseignements tirés des entretiens de recrutement ne profitent pas seulement aux employés individuels, mais contribuent également à façonner une organisation prospère et réussie à long terme. En investissant dans les entretiens d'embauche, les entreprises peuvent cultiver une culture de communication ouverte, d'épanouissement des employés et de loyauté, ce qui, en fin de compte, favorise la réussite de l'organisation.Si vous travaillez pour une entreprise qui n'a pas encore mis en place d'entretiens d'embauche, pourquoi ne pas le demander ? Si la culture de votre entreprise est ouverte et réceptive aux améliorations, il s'agira d'un outil à valeur ajoutée dont elle appréciera d'être informée. 

Ah, la douce liberté de l'été ! Que vous vous prélassiez au bord de la piscine, que vous partiez en voyage ou que vous souhaitiez simplement rattraper votre retard en matière de lecture (pour le plaisir ou pour apprendre... plutôt que pour votre cours de chimie de niveau 4), j'ai dressé une liste de lectures d'été rien que pour vous. Voici 10 recommandations basées sur le type de livre que vous recherchez !Si tu cherches...Une lecture légère à la plage ou au parc : Happy Place, d'Emily Henry : Un roman d'amour contemporain qui suit l'histoire de deux meilleures amies aux personnalités opposées, qui se lancent dans une tradition annuelle de vacances d'été. Avec ses personnages charmants, ses plaisanteries pleines d'esprit et son exploration sincère de l'amitié et de l'amour, ce livre est le choix idéal pour une lecture d'été, en particulier pour ceux qui aiment un mélange d'humour, de nostalgie et de moments tendres. J'adore me rendre dans un parc voisin pendant ma pause déjeuner en été, c'est donc une excellente option pour un livre à lire sous le soleil ! Découverte d'un premier auteur autochtone : Becoming Kin, de Patty Krawec et Nick Estes : Ce livre est une puissante collection d'essais qui explore les luttes indigènes pour la justice, la terre et la souveraineté. Ce livre propose des récits personnels et des analyses perspicaces qui mettent en lumière la lutte actuelle pour les droits des autochtones, la remise en question des structures et la vision d'un avenir enraciné dans la solidarité. Pour tous ceux qui souhaitent comprendre les perspectives autochtones, je sais que ce livre est une lecture très stimulante. Un classique à lire d'une traite : L'homme invisible, de Ralph Ellison : Il s'agit d'un roman révolutionnaire de la littérature américaine qui suit le parcours d'un narrateur afro-américain anonyme naviguant dans les complexités de l'identité raciale, de l'invisibilité sociale et de la découverte personnelle, vivant aux États-Unis au début des années 1900. Tous les lecteurs intéressés par une exploration profonde de l'expérience afro-américaine, des effets de l'oppression systémique et de la quête de l'identité individuelle trouveront absolument ce livre passionnant et instructif. A change of perspective : 101 Essays That Will Change The Way You Think (Un changement de perspective : 101 essais qui changeront votre façon de penser), par Brianna Weist : Il s'agit d'une collection d'essais qui suscite la réflexion et couvre un large éventail de sujets, notamment le développement personnel, la spiritualité, les relations et l'autoréflexion. L'écriture vous incite vraiment à remettre en question vos croyances, à élargir vos perspectives et à vous lancer dans un voyage de découverte de soi. Ce livre est parfait pour une lecture rapide et pour les personnes en quête d'inspiration et d'une compréhension plus profonde d'elles-mêmes et du monde qui les entoure. Un titre qui fait fureur sur #BookTok : Le chant d'Achille, de Madeline Miller : Le nombre de fois où j'ai vu ce livre mentionné sur TikTok est une raison suffisante pour le lire ! Il s'agit d'une relecture captivante de l'histoire mythologique d'Achille, le héros grec de la guerre de Troie, du point de vue de son compagnon et amant, Patrocle. Tous les lecteurs qui apprécient la mythologie grecque, les récits magnifiquement élaborés et les histoires à résonance émotionnelle seront conquis par ce livre et sa représentation extrêmement vivante des légendes antiques.  Un livre pour vous aider à apprendre quelque chose de nouveau : Why We Sleep, par Matthew Walker : Il s'agit d'une exploration fascinante de la science derrière le sommeil et de son rôle crucial dans notre santé et notre bien-être en général. Ce livre est incontournable pour toute personne désireuse de comprendre la science du sommeil, d'améliorer ses habitudes et de donner la priorité au rôle vital du sommeil dans notre vie. Il fournit des informations instructives et révélatrices qui inciteront les lecteurs à réévaluer leurs habitudes de sommeil et à apporter des changements positifs pour une meilleure santé générale.  Un livre de cuisine pour votre temps libre : Half Baked Harvest, de Tieghan Gerard : Half Baked Harvest fait beaucoup parler de lui ces derniers temps ! Il s'agit d'un livre de cuisine rempli de recettes délicieuses et accessibles qui mettent l'accent sur la simplicité sans sacrifier la saveur. Que vous soyez un cuisinier chevronné ou un novice en cuisine, il s'agit d'une excellente ressource pour tous ceux qui veulent explorer de nouvelles saveurs et savourer des repas faits maison pendant leur temps libre ! Quelques conseils à suivre : Atomic Habits, de James Clear : si vous cherchez à optimiser votre productivité, à améliorer vos habitudes et à faire des progrès progressifs mais significatifs vers vos objectifs, ce livre est fait pour vous. Il s'agit d'un guide transformateur qui explore le pouvoir des petites habitudes et leurs effets cumulatifs sur la réussite personnelle et professionnelle. Ce livre propose des stratégies et des conseils pratiques et réalisables pour construire des habitudes positives, briser les mauvaises et créer un environnement propice à un changement durable.  Un thriller dont vous n'avez peut-être pas entendu parler : When No One is Watching, d'Alyssa Cole : ce thriller captivant explore les thèmes de l'embourgeoisement, des tensions raciales et du suspense psychologique, en suivant Sydney Green, qui soupçonne une sinistre conspiration dans son quartier de Brooklyn. Ce livre est à la fois captivant et stimulant, car il aborde les questions de race, de communauté et de secrets, ce qui en fait un excellent choix pour les amateurs de thrillers psychologiques et de commentaires sociaux. Une biographie d'un modèle emblématique : The Light We Carry, de Michelle Obama : Cette biographie inspirante et perspicace offre une sagesse pratique et des stratégies puissantes pour naviguer dans l'incertitude et rester équilibré dans le monde d'aujourd'hui. Au travers d'histoires fraîches, de réflexions personnelles et de discussions franches, Michelle Obama aborde des questions importantes sur l'établissement de relations, la recherche de la force dans les différences et le dépassement du doute de soi. Il s'agit d'un ouvrage absolument incontournable pour tous ceux qui sont en quête de conseils et d'inspiration - sa confiance, sa détermination et sa vision du monde ne manqueront pas de vous inspirer en tant que lecteur et en tant qu'individu.  

La capacité à générer et à mettre en œuvre de grandes idées est cruciale pour la réussite d'une équipe. Les entreprises recherchent des employés qui non seulement ont une pensée innovante, mais qui ont aussi la volonté et la capacité de transformer ces idées en résultats tangibles. Dans cet article de blog, nous allons explorer les stratégies essentielles et les changements d'état d'esprit qui peuvent vous permettre de devenir un employé qui exécute efficacement les grandes idées.Favoriser un état d'esprit de croissance : Adopter un état d'esprit de croissance est fondamental pour libérer votre potentiel. Soyez convaincu que vos capacités et votre intelligence peuvent être développées grâce au dévouement et à un travail acharné. Reconnaissez que les échecs sont des tremplins vers la réussite et considérez les obstacles comme des opportunités de croissance. En cultivant un état d'esprit de croissance, vous serez plus enclin à prendre des risques, à expérimenter et, en fin de compte, à mettre en œuvre de grandes idées avec résilience. Cherchez à acquérir des connaissances et des compétences : Pour mettre en œuvre de grandes idées, vous devez continuellement élargir votre base de connaissances et développer de nouvelles compétences. Profitez des opportunités d'apprentissage telles que les programmes de formation, les ateliers, les cours en ligne et les conférences sectorielles. Tenez-vous au courant des dernières tendances et avancées dans votre domaine. En élargissant votre expertise, vous disposerez des outils nécessaires pour mettre en œuvre efficacement vos grandes idées. Cultivez l'esprit de collaboration : Les grandes idées fleurissent souvent lorsque les individus se réunissent et mettent leurs forces en synergie. Favorisez l'esprit de collaboration en recherchant activement des points de vue différents et en appréciant la contribution de vos collègues. Participez à des discussions fructueuses, à des séances de brainstorming et à des collaborations interfonctionnelles. Accepter le retour d'information et être réceptif aux critiques constructives, car elles peuvent permettre d'améliorer l'exécution et les idées. Décomposer les grandes idées en étapes réalisables : La mise en œuvre de grandes idées peut sembler insurmontable si elle n'est pas correctement organisée. Décomposez vos objectifs ambitieux en étapes plus petites et réalisables. Créez une feuille de route claire avec des étapes et des échéances précises. Cette approche vous permet de vous concentrer sur une tâche à la fois, ce qui rend le processus d'exécution global plus facile à gérer et moins intimidant. Évaluez régulièrement vos progrès et procédez aux ajustements nécessaires. Faire preuve d'agilité et d'adaptabilité : Le paysage commercial est dynamique et les défis imprévus sont inévitables. Il est essentiel de faire preuve d'agilité et d'adaptabilité lorsque l'on met en œuvre de grandes idées. Acceptez le changement avec un état d'esprit positif, soyez ouvert à de nouvelles stratégies et ajustez vos plans si nécessaire. La flexibilité vous permet de pivoter rapidement, de tirer parti des nouvelles opportunités et de surmonter les obstacles qui peuvent se présenter en cours de route. Cultiver des compétences de communication efficaces : De solides compétences en communication sont essentielles pour mettre en œuvre de grandes idées, car elles facilitent une collaboration efficace et garantissent que votre vision est clairement comprise. Formulez vos idées avec assurance et concision, en adaptant votre message aux différentes parties prenantes. Pratiquez l'écoute active pour favoriser une meilleure compréhension et recueillir des informations précieuses. Une communication claire et transparente permet d'instaurer la confiance et d'obtenir le soutien de vos idées. Développer la résilience et la persévérance : La mise en œuvre de grandes idées se fait rarement sans heurts. Il y aura des revers, des échecs et des moments de doute. Il est essentiel de faire preuve de résilience et de persévérance pour rester motivé et surmonter les obstacles. Tirez les leçons de vos échecs, adaptez votre approche et restez fidèle à votre vision. Rappelez-vous que les personnes qui ont le mieux réussi ont souvent dû relever de nombreux défis avant d'atteindre leurs objectifs. Pour devenir un employé capable de mettre en œuvre de grandes idées, il faut combiner un état d'esprit, des compétences et des stratégies. Adoptez un état d'esprit de croissance, recherchez continuellement des connaissances et collaborez avec les autres. Décomposez les grandes idées en étapes réalisables, restez agile et adaptable, et communiquez efficacement. Par-dessus tout, développez votre résilience et persévérez malgré les revers. En suivant ces principes, vous serez sur la bonne voie pour mettre en œuvre de grandes idées et avoir un impact significatif sur votre organisation.

Dans le paysage universitaire actuel, rapide et exigeant, les étudiants se retrouvent souvent pris dans un tourbillon de responsabilités, de pressions et d'échéances, ce qui les laisse parfois épuisés et démotivés. Pour faire la lumière sur le rôle crucial du repos et de la relaxation dans la vie des étudiants, j'ai contacté Victoria Emanuele, une psychothérapeute chevronnée avec une compréhension et une passion profondes pour la santé mentale et le bien-être, qui possède et gère Moving Mountains Psychotherapy (@mm.psychotherapy sur Instagram).Ci-dessous, nous allons explorer les idées de Victoria et découvrir l'importance de donner la priorité aux soins personnels, de trouver un équilibre et de nourrir la santé mentale grâce au pouvoir réparateur du repos et de la relaxation :Pourquoi le repos et la relaxation sont-ils importants pour les étudiants, en particulier pendant les vacances d'été ?Le maintien d'un équilibre sain est très important, surtout en raison de la nature exigeante de l'année scolaire. Jongler avec les tâches académiques, les engagements sociaux et d'autres responsabilités peut vous donner l'impression d'être épuisé. Il est essentiel de donner la priorité à l'autonomie et d'être à l'écoute de son corps et de son esprit tout au long de l'année, mais surtout pendant les mois d'été. Prendre le temps de se ressourcer et de récupérer après la saison des études et des examens vous aidera à aborder l'année scolaire ou le travail à venir avec un état d'esprit revigoré. Investir dans le soin de soi vous permet non seulement de vous ressourcer, mais aussi de vous doter de l'énergie nécessaire pour poursuivre vos objectifs et exceller dans vos activités. En accordant la priorité aux soins personnels, vous pouvez nourrir votre bien-être, améliorer votre productivité générale et aborder vos tâches avec plus d'énergie et d'intention.Y a-t-il des activités ou des pratiques spécifiques que vous recommanderiez aux étudiants pour les aider à se détendre et à se ressourcer ?Trouver la bonne approche pour prendre soin de soi et se détendre peut s'avérer difficile, tout simplement parce que c'est différent pour tout le monde. Être à l'écoute de son corps et de son esprit signifie reconnaître et honorer ses besoins uniques, qui peuvent être différents d'une personne à l'autre. Certains jours, vous pouvez ressentir le besoin de vous détendre et de vous adonner à des activités discrètes, tandis que d'autres jours, vous pouvez avoir envie de bouger, de socialiser ou de vous isoler. Je pense que la pleine conscience est à l'origine d'une grande partie de la relaxation. J'encourage toujours les gens à intégrer la pleine conscience dans leur vie de la manière qui leur convient le mieux, car elle améliore la concentration et permet d'être présent dans l'instant, plutôt que d'être accaparé par des pensées du passé ou de l'avenir. Il peut s'agir de méditation ou de yoga, mais aussi de savourer le moment présent, de pratiquer des exercices de respiration profonde ou de discuter avec des amis ou des membres de la famille de ce que l'on ressent. Sachant que la relaxation et les soins personnels sont des expériences très individuelles, il est important d'explorer et de découvrir ce qui fonctionne le mieux pour vous. Profitez de la diversité des méthodes de relaxation et trouvez ce qui correspond à vos besoins et à vos préférences. Comment les étudiants peuvent-ils s'efforcer de concilier repos et détente avec d'autres activités importantes telles que les emplois d'été, les stages ou les études ?Il peut être difficile de trouver un équilibre dans sa vie, mais il s'agit souvent d'une question de conscience de soi. Il est important de savoir reconnaître les moments où l'on met toute son énergie dans un seul domaine et de faire des efforts conscients pour éviter cela. L'un des moyens que j'ai trouvés efficaces pour y parvenir est de demander des comptes à des amis, à la famille ou même à un thérapeute. Il peut également être très utile de se créer un emploi du temps équilibré. Par exemple, si vous travaillez de 9 à 5, veillez à consacrer du temps le soir pour prendre soin de vous et à vous adonner à des activités que vous aimez le week-end. De cette façon, vous pouvez donner la priorité à votre bien-être personnel et aux choses que vous aimez en dehors du travail, qu'il s'agisse d'un passe-temps, de regarder la télévision ou de faire de l'exercice.Il est essentiel de veiller à ne pas consacrer toute son énergie à un seul aspect de sa vie, qu'il s'agisse du travail ou de la détente. Rechercher l'équilibre, c'est remplir les différents domaines de sa vie pour éviter l'épuisement. J'encourage toujours les gens à se rappeler que l'équilibre est assez subjectif et qu'il varie d'une personne à l'autre. Certaines personnes peuvent avoir besoin de plus d'interactions sociales, tandis que d'autres peuvent avoir besoin de plus de temps seul. Il s'agit de comprendre à quoi ressemble l'équilibre pour vous et de vous assurer que vous ne vous épuisez pas en vous engageant trop dans une seule chose.Quels sont les avantages pour les étudiants de prendre le temps de se reposer et de se ressourcer pendant l'été ?Prendre le temps de se reposer et de se ressourcer peut avoir des effets bénéfiques notables, en particulier lors de la transition vers une nouvelle année scolaire. Se permettre de se reposer sans se sentir coupable crée un état d'esprit positif et un regain de motivation. En accordant la priorité au repos, vous vous donnez les moyens de réussir en étant capable d'équilibrer vos engagements et d'aborder votre travail avec clarté et concentration. Lorsque vous vous autorisez à vous reposer, vous créez un cycle positif. Vous devenez plus motivé, plus énergique et plus dévoué à votre travail. Prendre le temps de se reposer et de se ressourcer pendant l'été permet d'aborder l'année scolaire à venir en se sentant rafraîchi et non pas continuellement épuisé.Quelles sont les conséquences négatives ou les difficultés que les étudiants peuvent rencontrer s'ils ne prennent pas le temps de se reposer ?L'épuisement professionnel est la première chose qui vient à l'esprit et qui affecte les individus dans différents domaines de leur vie, qu'il s'agisse du travail, de l'école ou d'autres responsabilités. Lorsque nous négligeons de nous accorder le temps nécessaire pour nous reposer et répondre à nos propres besoins, nous pouvons nous sentir épuisés, manquer de motivation et perdre notre enthousiasme ou notre passion pour les choses que nous aimions auparavant. Cet épuisement peut avoir un impact significatif sur notre humeur, nous laissant avec de l'anxiété, de la tristesse ou une diminution du désir d'interaction sociale. Il crée une spirale négative dont il peut être difficile de sortir. La base de l'autosoin réside dans l'établissement d'une boucle de rétroaction positive. En reconnaissant l'importance du repos et en en faisant une priorité, nous pouvons prévenir l'épuisement professionnel et éviter de tomber dans un cycle négatif. Prendre le temps de se reposer nous permet de nous ressourcer, de retrouver notre motivation et de conserver notre enthousiasme pour les choses que nous aimons. Il est vraiment important de se défaire de l'idée fausse selon laquelle le repos est improductif et indulgent ; au contraire, il s'agit d'un élément essentiel pour maintenir un bien-être général et une productivité soutenue.Quel est le meilleur conseil que vous puissiez donner aux étudiants ?Au milieu des difficultés, on peut avoir l'impression que le temps est compté et que tout pèse lourd. Rappelez-vous que vous avez le temps de trouver une solution. Donnez la priorité à vos soins personnels et à votre santé mentale. Il est très important de prendre soin de vous, car si vous n'êtes pas heureux et épanoui, les efforts que vous avez déployés n'en valent pas vraiment la peine. Il sera toujours temps d'aller à l'école ou de trouver un emploi, mais prendre soin de soi est la base de toute nouvelle étape de la vie.

Un leadership efficace est l'élément vital de toute organisation prospère. Elle est la force directrice qui influence la culture, les performances et l'orientation générale d'une entreprise. Un bon leadership inspire et motive les équipes, tandis qu'un mauvais leadership peut conduire à la démotivation et à la stagnation. Dans cet article de blog, nous allons explorer la différence entre un bon et un mauvais leadership organisationnel, en nous inspirant du célèbre expert en leadership, Simon Sinek.Vision et objectif : l'une des principales distinctions entre un bon et un mauvais leadership réside dans la capacité à formuler une vision et un objectif convaincants pour l'organisation. Les bons dirigeants inspirent leurs équipes en brossant un tableau vivant de l'avenir et en mettant l'accent sur le "pourquoi" de leur travail. Simon Sinek insiste souvent sur l'importance de commencer par le "pourquoi". Par exemple, des dirigeants comme Steve Jobs d'Apple ou Elon Musk de Tesla ont réussi à inspirer les autres en communiquant un sens clair de l'objectif et de la vision de leur entreprise. En revanche, les mauvais dirigeants manquent souvent d'une vision cohérente ou peinent à la communiquer efficacement. Cela entraîne la confusion et le désengagement des membres de l'équipe, qui ne comprennent pas l'objectif global de leur travail. Ces dirigeants peuvent privilégier les gains à court terme au détriment des objectifs à long terme, ce qui conduit les employés à perdre confiance dans la direction de l'organisation. Confiance et empathie : la confiance est le fondement de toute relation réussie, et il en va de même pour le leadership. Les bons dirigeants favorisent un environnement de confiance et de sécurité psychologique, permettant aux individus de prendre des risques, d'exprimer leurs opinions et de donner le meilleur d'eux-mêmes. Ils écoutent activement, font preuve d'empathie à l'égard des difficultés rencontrées par les membres de leur équipe et leur apportent leur soutien en cas de besoin. Simon Sinek souligne l'importance de créer un cercle de sécurité, où les membres de l'équipe se sentent valorisés et soutenus. À l'inverse, les mauvais leaders érodent la confiance en pratiquant la microgestion, en manquant de transparence et en se concentrant sur le blâme plutôt que sur l'apprentissage à partir des erreurs commises. Ces dirigeants peuvent faire preuve de mauvaises compétences en matière de communication, ne pas écouter les préoccupations de leur équipe et donner la priorité à leurs propres intérêts plutôt qu'à ceux de leurs employés. Il en résulte un environnement de travail toxique qui étouffe la créativité, l'innovation et la collaboration. Développement et croissance : Les bons dirigeants investissent dans le développement et la croissance de leurs employés. Ils offrent des possibilités d'apprentissage, de mentorat et d'avancement. En responsabilisant les membres de leur équipe et en cultivant leurs talents, ils créent une culture d'amélioration continue. Simon Sinek encourage les dirigeants à avoir un "esprit infini", en se concentrant sur le développement à long terme plutôt que sur les gains à court terme. En revanche, les mauvais dirigeants peuvent accumuler les connaissances et les opportunités, entravant ainsi le développement des membres de leur équipe. Ils peuvent se sentir menacés par le potentiel de leurs employés et ne pas leur apporter le soutien et les conseils nécessaires à leur développement professionnel. Il en résulte une main-d'œuvre stagnante qui manque de motivation et ne parvient pas à atteindre ses objectifs. Dans l'ensemble, un bon leadership ouvre la voie à la réussite de l'organisation, tandis qu'un mauvais leadership peut conduire à la frustration, au désengagement et à une baisse de la productivité (ce qui n'est pas choquant, n'est-ce pas ?). Simon Sinek est réputé pour son travail en faveur d'un leadership organisationnel efficace. Ses travaux montrent que la vision et l'objectif, la confiance et l'empathie, ainsi que les possibilités de développement et de croissance ne sont que quelques-uns des éléments qui distinguent les leaders efficaces de leurs homologues inefficaces. Les dirigeants en herbe devraient s'efforcer d'inspirer, d'instaurer la confiance et de favoriser l'apprentissage continu et l'acquisition de nouvelles compétences au sein de leur organisation. En adoptant ces qualités et ces pratiques, ils peuvent créer un environnement dans lequel les individus sont motivés, engagés et habilités à réaliser leur plein potentiel, propulsant ainsi l'organisation et son personnel vers de nouveaux sommets. 

Sur le marché du travail compétitif d'aujourd'hui, l'expertise technique seule ne suffit souvent pas pour décrocher l'emploi de ses rêves. Les employeurs reconnaissent de plus en plus la valeur des aptitudes sociales et recherchent des candidats qui peuvent non seulement exceller dans leurs fonctions, mais aussi s'épanouir dans un environnement de travail collaboratif et dynamique. Dans cet article de blog, nous allons explorer des stratégies efficaces pour exprimer vos aptitudes sociales en tant que candidat à l'emploi, ce qui vous permettra de vous démarquer et de démontrer votre capacité à établir des liens, à communiquer et à collaborer avec les autres.Mettre en avant des compétences de communication efficacesUne communication efficace est la pierre angulaire de l'aptitude sociale. Démontrez vos compétences en communication tout au long du processus de candidature :a. Un CV et une lettre de motivation bien rédigés : Rédigez un CV et une lettre de motivation clairs et concis qui mettent en évidence votre capacité à articuler des idées, à présenter des informations et à exprimer votre passion pour le poste. Veillez à la grammaire, au ton et à l'organisation pour créer une première impression forte.b. Répondre de manière engageante aux questions de l'entretien : Pendant les entretiens, écoutez activement les questions posées et répondez de manière réfléchie. Soyez concis, mais informatif, et donnez des exemples précis de vos expériences qui mettent en évidence votre capacité à communiquer efficacement avec des collègues, des clients ou des membres de l'équipe.c. Écoute active : Faites preuve d'une écoute active lors des entretiens ou des conversations. Faites preuve d'un intérêt sincère, maintenez le contact visuel et posez des questions complémentaires pertinentes pour démontrer votre engagement et votre compréhension du point de vue des autres.    2. Mettre en avant les expériences de collaboration et de travail en équipeLes employeurs apprécient les candidats capables de travailler en équipe et de favoriser un environnement de travail positif. Voici comment vous pouvez mettre en valeur vos compétences en matière de collaboration :a. Mettez l'accent sur les projets d'équipe : Mettez en avant les projets ou initiatives de collaboration auxquels vous avez participé au cours de votre carrière universitaire ou professionnelle. Décrivez votre rôle, vos contributions et la manière dont vous avez collaboré efficacement avec d'autres personnes pour atteindre des objectifs communs.b. Partagez vos réussites : Donnez des exemples précis de situations où vous avez collaboré avec succès avec des équipes diverses pour relever des défis ou obtenir des résultats exceptionnels. Parlez de votre capacité à écouter, à respecter les opinions des autres et à contribuer de manière constructive aux discussions de groupe.c. Activités bénévoles et extrascolaires : Parlez de tout travail bénévole ou de toute participation à des activités extrascolaires qui ont nécessité un travail d'équipe. Soulignez comment ces expériences vous ont permis de collaborer efficacement, de résoudre des conflits et de travailler à la réalisation d'objectifs communs.       3. Faire preuve d'empathie et d'intelligence émotionnelleL'empathie et l'intelligence émotionnelle sont des composantes essentielles de l'aptitude sociale. Les employeurs apprécient les candidats capables de comprendre et de communiquer avec les autres sur le plan émotionnel :a. Faire preuve d'empathie : exprimez votre empathie en racontant des histoires qui démontrent votre capacité à comprendre les expériences, les points de vue ou les défis des autres et à vous y référer. Expliquez comment vous avez soutenu des collègues ou des clients dans des situations difficiles et contribué à créer un environnement de travail positif.b. Conscience de soi : Réfléchissez à vos propres forces et faiblesses et soyez prêt à discuter des domaines dans lesquels vous avez activement travaillé pour améliorer vos compétences interpersonnelles. Les employeurs apprécient les candidats qui font preuve d'une bonne connaissance de soi et d'un engagement en faveur du développement personnel.c. Résolution de conflits : Décrivez des situations dans lesquelles vous avez résolu efficacement des conflits ou apaisé des situations tendues de manière professionnelle. Soulignez votre capacité à rester calme, à écouter activement, à trouver un terrain d'entente et à chercher des solutions mutuellement bénéfiques.    4. Cultiver une présence en ligne positiveÀ l'ère du numérique, les employeurs évaluent souvent la présence en ligne des candidats. Veillez à ce que vos profils de médias sociaux et vos interactions en ligne reflètent vos aptitudes sociales :a. Profils professionnels en ligne : Optimisez votre profil LinkedIn et les autres plateformes professionnelles pertinentes. Mettez en avant vos compétences interpersonnelles, vos expériences de travail en équipe, ainsi que tout témoignage ou approbation démontrant vos aptitudes sociales.b. Interactions en ligne réfléchies : Participez à des conversations en ligne intéressantes en rapport avec votre domaine d'intérêt. Démontrez votre capacité à communiquer de manière respectueuse, à proposer des idées et à collaborer avec d'autres personnes au sein de communautés numériques.c. Portfolio ou blog en ligne : Mettez en valeur vos compétences interpersonnelles en créant un portfolio en ligne ou en écrivant pour un blog personnel en rapport avec la carrière qui vous intéresse - cela peut également vous aider à mettre en valeur votre personnalité.    5. Préparez-vous à ce que votre employeur potentiel vous demande de démontrer vos aptitudes sociales lors de l'entretien :a. Les entretiens comportementaux : Les questions d'entretien comportemental évaluent les expériences passées des candidats et leurs réactions dans des situations sociales. En posant des questions ouvertes qui vous demandent de donner des exemples de la manière dont vous avez géré le travail d'équipe, la résolution de conflits ou des scénarios interpersonnels difficiles dans le passé, vous donnez à votre interlocuteur un meilleur aperçu de votre caractère, en particulier dans l'environnement professionnel.b. Exercices de jeux de rôle : Cette technique d'entretien simule des scénarios réels que vous êtes susceptible de rencontrer dans le cadre du poste envisagé et aide les employeurs à évaluer la manière dont vous communiquez, collaborez et naviguez dans ces situations, tout en prêtant attention à votre capacité à faire preuve d'empathie, à écouter activement et à répondre de manière efficace.c. Vérification des références : On vous demandera (très probablement) des références ! En s'adressant à ceux pour qui vous avez travaillé, avec qui vous avez travaillé et à vos pairs, votre futur employeur peut se faire une idée de vos aptitudes sociales. Ce faisant, il vous posera des questions spécifiques sur votre capacité à travailler en équipe, à communiquer efficacement et à nouer des relations avec vos collègues et vos clients - sans pression (mais avec tellement de pression) !d. Entretiens d'équipe : Un entretien avec une seule personne peut être éprouvant pour la plupart des gens, mais un entretien en équipe fait intervenir plusieurs membres de l'équipe, tout au long du processus d'entretien, pour évaluer votre capacité à interagir et à vous engager avec les autres. Les entretiens d'équipe donnent à votre employeur des indications précieuses sur la manière dont vous réagissez à différentes personnalités, sur votre capacité à vous adapter à différents styles de communication et sur votre compatibilité globale avec l'équipe.e. Évaluations de la personnalité et de l'intelligence émotionnelle : L'intelligence émotionnelle est étroitement liée aux aptitudes sociales. Votre employeur peut intégrer des évaluations ou des exercices qui mesurent votre intelligence émotionnelle, y compris la conscience de soi, l'autorégulation, la motivation, l'empathie et les compétences sociales, et/ou ajouter des tests de personnalité pour mieux comprendre votre façon de réagir.Alors que le lieu de travail continue d'évoluer, le recrutement pour les aptitudes sociales est désormais un élément essentiel dans la constitution d'équipes performantes et dans la conduite du succès. En prenant en compte les aptitudes sociales d'un candidat en plus de son expérience et de l'ensemble de ses compétences, les organisations cherchent à favoriser des environnements plus collaboratifs, des communications efficaces et une résolution rapide des problèmes. En comprenant ce qu'est l'aptitude sociale et comment vous pouvez l'exprimer, vous ajoutez un avantage concurrentiel à votre candidature, à votre impression lors de l'entretien et à votre candidature en général. Mieux encore, en reliant votre sens des aptitudes sociales et votre ensemble de compétences sociales à celles qui sont nécessaires pour prospérer au sein de l'entreprise et de l'équipe, vous avez plus de chances de réussir à long terme.  

Recevoir un refus d'embauche peut être décourageant, mais il est essentiel de se rappeler qu'il s'agit d'un élément courant du processus de recherche d'emploi. Ce qui distingue les professionnels qui réussissent, c'est leur capacité à gérer le rejet avec élégance et à l'utiliser comme une opportunité de croissance. Dans cet article de blog, nous verrons comment rédiger une réponse professionnelle à un refus d'emploi et nous fournirons des exemples et des liens utiles pour vous aider à rebondir plus fort.Reconnaissez et exprimez votre appréciation : Lorsque vous recevez un refus d'embauche, il est essentiel de prendre acte de la décision et d'exprimer votre reconnaissance pour l'opportunité qui vous a été donnée de postuler et de passer un entretien. Vous ferez ainsi preuve de professionnalisme et de gratitude et laisserez une impression positive pour vos futures interactions avec l'entreprise. Voici un exemple :"Cher [Nom de l'interviewer],J'espère que ce courriel vous trouvera en bonne santé. Je tenais à vous remercier d'avoir examiné ma candidature au [poste] de [entreprise]. Bien que je sois déçu d'apprendre que je n'ai pas été sélectionné pour le poste, j'apprécie sincèrement l'opportunité qui m'a été donnée de passer un entretien et d'acquérir des connaissances précieuses sur la vision et la culture de [l'entreprise]. Le professionnalisme et l'expertise de votre équipe ont été une véritable source d'inspiration".   2. Demandez un retour d'information constructif : Demander poliment un retour d'information est un excellent moyen d'obtenir des informations précieuses sur votre candidature et vos performances lors de l'entretien. Cela montre votre volonté de vous améliorer et peut vous fournir des conseils précieux pour vos projets futurs. En voici un exemple :"Si cela ne vous dérange pas trop, je vous serais reconnaissant de bien vouloir me donner votre avis sur ma candidature et mon entretien. Comprendre les domaines dans lesquels je peux améliorer mes compétences et mes qualifications sera d'une valeur inestimable pour mon développement professionnel. Je vous remercie d'avance pour le temps que vous m'avez consacré et l'attention que vous m'avez accordée."  3. Exprimez votre intérêt pour l'entreprise et proposez votre aide : Réaffirmez votre intérêt pour l'entreprise et la possibilité d'apporter votre contribution dans d'autres domaines. Vous démontrez ainsi votre engagement et votre professionnalisme tout en laissant la porte ouverte à de futures opportunités. En voici un exemple :"Bien que je n'aie pas obtenu le [poste], mon enthousiasme pour [l'entreprise] reste intact. Je crois en la mission et aux valeurs de l'entreprise, et je serais ravi d'explorer d'autres voies potentielles où je pourrais apporter mes compétences et mon expertise. Veuillez me garder à l'esprit pour toute opportunité future qui pourrait se présenter". 4. Garder une attitude positive : Même si un refus peut être décourageant, il est essentiel de conserver une attitude positive et de ne pas le laisser vous détourner de vos objectifs. Rappelez-vous que les recherches d'emploi impliquent souvent de nombreux refus avant de trouver la bonne personne. Faites part de votre optimisme et de votre gratitude dans votre réponse. En voici un exemple :"Une fois de plus, je tiens à exprimer ma gratitude pour l'examen de ma candidature et pour l'occasion qui m'a été donnée d'en savoir plus sur [l'entreprise]. Je suis persuadé que nos chemins se croiseront à nouveau à l'avenir. Je vous souhaite, ainsi qu'à [l'entreprise], beaucoup de succès et de croissance."Liens utiles :Comment faire face à un refus d'emploi : https://www.forbes.com/sites/ashleystahl/2018/09/03/how-to-deal-with-job-rejection/?sh=1a106ae0b71f8 Tips for Responding to a Job Rejection (8 conseils pour répondre à un refus d'embauche) : https://www.thebalancecareers.com/how-to-respond-to-a-job-rejection-letter-with-examples-2063749Comment répondre à un courriel de refus (avec des exemples) : https://www.indeed.com/career-advice/finding-a-job/how-to-respond-to-a-rejection-email-with-examplesLa rédaction d'une réponse professionnelle à un refus d'embauche est une compétence essentielle qui distingue les professionnels qui réussissent. En reconnaissant et en exprimant votre appréciation, en recherchant un retour d'information, en exprimant un intérêt continu et en conservant une attitude positive, vous pouvez rebondir plus fort et maintenir vos aspirations professionnelles sur la bonne voie. N'oubliez pas qu'un refus n'est pas le reflet de votre valeur et qu'il ne marque pas la fin de votre carrière.

L'obtention d'un diplôme est une étape importante, et c'est un moment propice à la fois à la célébration et à la réflexion. Alors que vous vous préparez à franchir la prochaine étape de votre parcours, il est important de vous rappeler que de nombreuses personnes ont parcouru ce chemin avant vous (et avec vous), et qu'elles ont de précieux conseils à partager. Voici quelques paroles de sagesse de jeunes diplômés qui vous aideront à traverser cette période passionnante et parfois accablante :"Prenez le temps d'accepter ce changement. Tout sera nouveau - les gens, l'environnement et les choses que vous ferez, mais prenez le temps de réfléchir. Réfléchissez bien à vos prochaines étapes et à ce que vous voulez faire dans les années à venir. En attendant, ayez confiance en vous et soyez positif. Tout finira par s'arranger. Tentez votre chance !" - Janhvi TiwariLe conseil de Janhvi consiste à accepter le changement et à tenter sa chance. Nous vivons une période de transition majeure et il est important de prendre le temps de réfléchir à ses objectifs et à ses aspirations. Réfléchissez à ce que vous voulez faire dans les prochaines années et n'ayez pas peur de prendre des risques pour y parvenir."Félicitations pour l'obtention de votre diplôme - ce n'est certainement pas un exploit facile et tous vos efforts méritent d'être célébrés ! C'est un moment très excitant, mais aussi très intimidant. En tant que jeune diplômée, je comprends parfaitement les sentiments de doute et d'incertitude quant à l'avenir. Lorsque je suis dans ces états, je me rappelle de garder les choses en perspective et de me dire qu'il y aura tant d'opportunités et de personnes qui soutiendront ma réussite. Il n'y a pas d'urgence à être là où nous pensons que nous devrions être, car nous grandissons tous les jours. Même si nous n'en avons pas l'impression, nous avons tellement de temps pour devenir la personne que nous aspirons à être. N'ayez pas peur d'être vu en train d'essayer, saisissez les opportunités qui se présentent et vous ne saurez jamais où vous finirez ! Vous l'aurez compris !" - Tina LamLe conseil de Tina est de garder les choses en perspective et de ne pas être trop dur avec soi-même. Il y aura des hauts et des bas dans votre parcours, mais il est important de vous rappeler que vous avez beaucoup de gens qui souhaitent que vous réussissiez. Il n'y a pas d'urgence à arriver là où vous allez, alors n'ayez pas peur de prendre des risques et d'essayer de nouvelles choses - vous ne savez jamais où elles peuvent vous mener."Félicitations pour votre diplôme ! C'est un accomplissement parmi tant d'autres et si je devais vous donner un conseil, ce serait de toujours célébrer vos accomplissements, qu'ils soient grands ou petits. Qu'il s'agisse d'un entretien, du premier jour d'un nouvel emploi ou de la célébration d'un anniversaire de plus de 10 ans, prenez toujours le temps de réfléchir et d'être fier de tout ce que vous avez accompli en cours de route pour arriver là où vous êtes. Un autre conseil est de ne pas avoir peur de l'échec lorsque vous entamez ce nouveau chapitre. Il fait naturellement partie du processus d'apprentissage et peut vous aider à grandir et à vous améliorer ! Prenez soin de vous tout au long de votre parcours. Accordez la priorité à votre santé physique et mentale, reposez-vous suffisamment et faites des pauses lorsque vous en avez besoin. N'oubliez pas que vous ne pouvez pas verser de l'eau d'une tasse vide, alors assurez-vous d'abord de vous remplir ! - Emma DobsonLe conseil d'Emma est de célébrer ses réussites et de ne pas avoir peur de l'échec. Il est facile de se laisser emporter par le quotidien, mais il est important de prendre du recul et de réfléchir à tout ce que l'on a accompli. Et lorsqu'il s'agit d'échec, n'oubliez pas qu'il fait naturellement partie du processus d'apprentissage et que votre priorité absolue doit être de prendre soin de vous."Mon meilleur conseil est d'être ouvert au changement - l'obtention d'un diplôme d'études postsecondaires s'accompagne de beaucoup d'émotions contradictoires. Je voyais l'école comme mon filet de sécurité, chaque année je redoublais deux semestres avec cinq classes et j'étais habituée à la routine. Après avoir obtenu son diplôme, on se rend compte qu'il faut s'adapter au changement, qu'il s'agisse de commencer sa carrière ou de poursuivre un autre cycle d'études. Deuxièmement, nouez des liens - il est très important de nouer des contacts avec vos pairs, votre famille et vos amis après l'obtention de votre diplôme. Souvent, cela vous aidera à franchir la prochaine étape de votre carrière. Enfin, continuez à poursuivre vos rêves et faites ce que vous pensez être le mieux pour vous. Pendant que vous êtes encore jeune, vous pouvez essayer de nouveaux emplois, vous inscrire à des formations continues pour développer votre passion, essayer des cours en ligne, être une meilleure version de vous-même et continuer à aller de l'avant.  - Lauren NigroLe conseil de Lauren est d'être ouvert au changement. L'obtention d'un diplôme peut être un ajustement important, et il est important d'être flexible et adaptable. Que vous commenciez un nouvel emploi, que vous poursuiviez vos études ou que vous exploriez différentes voies professionnelles, soyez ouvert à de nouvelles expériences et à de nouvelles opportunités. Nouer des liens avec des personnes travaillant dans votre domaine peut s'avérer extrêmement utile pour trouver de nouvelles opportunités et faire progresser votre carrière. N'hésitez pas à prendre contact avec des personnes que vous admirez ou à participer à des événements de réseautage. En fin de compte, c'est le moment d'explorer de nouvelles opportunités, d'essayer de nouvelles choses et de prendre des risques. "Félicitations pour votre diplôme ! C'est une période passionnante, pleine de nouvelles possibilités et d'opportunités. En tant que jeune diplômé, je sais à quel point il peut être difficile de s'orienter dans le monde de l'après-université. Tout d'abord, ne soyez pas trop dur avec vous-même. L'obtention d'un diplôme est un accomplissement majeur et vous devez être fier de vous pour être arrivé jusqu'ici. Ce n'est pas grave si vous n'avez pas encore tout compris. Deuxièmement, soyez ouvert aux nouvelles expériences. C'est le moment d'essayer de nouvelles choses, de rencontrer de nouvelles personnes et de sortir de votre zone de confort - vous ne savez jamais quelles opportunités peuvent se présenter à vous. Enfin, n'oubliez pas de prendre soin de vous. Il est facile de se laisser emporter par l'agitation de la vie post-universitaire, mais il est important de prendre du temps pour soi et pour les personnes qui vous sont chères. N'oubliez pas que vous avez tout ce qu'il faut ! L'obtention du diplôme n'est qu'un début et il y a tant de choses passionnantes à venir. - Courtney CritesJe vous conseille d'être fiers de ce que vous avez accompli et de ne pas être trop durs avec vous-même si vous n'avez pas encore tout compris (je sais que ce n'est pas mon cas). Vous devez vous réjouir des nouvelles expériences et opportunités qui se présentent à vous et vous rendre compte de toutes les possibilités qui s'offrent à vous. Concentrez-vous sur l'appréciation de cette nouvelle phase de votre vie et souriez en sachant que vous garderez de bons souvenirs de votre expérience post-secondaire.N'oubliez pas qu'en tant que jeune diplômé, vous avez déjà accompli beaucoup de choses. Et avec le bon état d'esprit, la bonne attitude et la bonne éthique de travail, vous pouvez accomplir encore plus de choses dans les années à venir. Prenez donc ces paroles de sagesse à cœur et continuez à aller de l'avant ! Félicitations !

Félicitations aux jeunes diplômés et à ceux qui le seront bientôt dans tout le Canada ! L'obtention d'un diplôme est une période excitante remplie de reconnaissance, de célébrations et de promesses. Cependant, après l'obtention du diplôme, il est courant de se sentir un peu perdu. Vous n'êtes plus étudiant, votre horaire, votre charge de travail, votre situation de vie, votre environnement et vos attentes changent rapidement. Si vous ne savez pas qui vous êtes ou qui vous voulez devenir, ni quelle voie professionnelle suivre, sachez que vous n'êtes pas seul.La bonne nouvelle, c'est que la découverte de votre nouvelle destination peut se faire étape par étape, jour après jour. En fait, de petits changements cohérents, associés à une réflexion sur soi, peuvent conduire à des transformations épiques. Heureusement, il existe des livres et des théories entières qui décrivent cette approche.L'une de ces théories est celle des "habitudes atomiques" de James Clear, qui met l'accent sur les petites améliorations constantes au fil du temps pour aboutir à des résultats significatifs. La clé d'un changement durable est de se concentrer sur de petites habitudes faciles à gérer et à intégrer dans la routine quotidienne. Clear suggère de diviser les grands objectifs en étapes plus petites et plus réalisables et de suivre les progrès au fil du temps pour rester motivé et sur la bonne voie.Seth Godin, auteur de "The Practice : Shipping Creative Work", et ancien dirigeant de .com, propose que nous atteignions mieux nos objectifs lorsque nous reconnaissons et comprenons comment nous pouvons créer une valeur durable avec notre travail - une valeur pour les autres. Au lieu de se contenter de travailler dur, il insiste sur la nécessité d'adopter une approche intentionnelle afin que notre travail quotidien, notre pratique, soit porteur de sens."Il existe une pratique accessible à chacun d'entre nous, celle d'embrasser le processus de création au service du mieux. La pratique n'est pas le moyen d'obtenir le résultat, la pratique est le résultat" - Seth Godin, The Practice : Expédier le travail créatifEn tant que jeunes diplômés, vous pouvez utiliser ces théories pour atteindre vos objectifs de carrière en suivant les étapes suivantes :Définissez vos objectifs professionnels : Commencez par fixer des objectifs professionnels clairs et spécifiques. Identifiez ce que vous voulez réaliser dans votre carrière et où vous voulez être dans les prochaines années.Alignez votre système de valeurs sur vos objectifs : Réussir sa carrière est une chose, mais réussir sa vie en est une autre. Cela peut en être une autre. L'astuce est que le succès durable est un équilibre subtil entre ce que vous faites, qui vous êtes, qui vous voulez être, ce en quoi vous croyez et ce que vous défendez. Examinez vos objectifs de carrière et intégrez l'autoréflexion pour affiner chacun d'entre eux afin que votre vision de l'avenir soit alignée sur la personne que vous voulez être - pour vous-même et pour le monde.Décomposez vos objectifs en habitudes atomiques : Une fois que vous avez défini vos objectifs de carrière, décomposez-les en petites habitudes atomiques faciles à gérer. Par exemple, si votre objectif est d'acquérir de solides compétences en rédaction, vous pourriez commencer par écrire 10 minutes par jour.Mettez au point un système de suivi des habitudes : Utilisez un système de suivi des habitudes pour contrôler vos progrès et vous responsabiliser. Vous pouvez utiliser un carnet physique, une application de suivi des habitudes ou même une simple feuille de calcul pour suivre vos habitudes quotidiennes et mesurer vos progrès au fil du temps.Accepter l'échec et en tirer des leçons : Comprendre que l'échec fait naturellement partie du processus d'apprentissage. Utilisez la technique de l'autopsie de l'échec pour anticiper les problèmes et les obstacles potentiels qui pourraient survenir à l'avenir et les traiter de manière proactive avant qu'ils ne se produisent.Se concentrer sur l'impact : Plutôt que de travailler dur, concentrez-vous sur la création d'un impact dans votre travail. Utilisez l'approche de Seth Godin pour mesurer les progrès et vous concentrer sur la valeur que vous créez pour votre organisation et vos clients.Améliorez continuellement : N'ayez pas peur d'expérimenter différentes habitudes et routines pour trouver ce qui vous convient le mieux. Si une habitude ne fonctionne pas, modifiez-la ou essayez quelque chose de nouveau jusqu'à ce que vous trouviez une routine qui vous convienne.En suivant ces étapes, vous pouvez utiliser les habitudes pour atteindre vos objectifs professionnels et devenir ce que vous voulez être. N'oubliez pas de commencer modestement, de suivre vos progrès, d'accepter l'échec, de vous concentrer sur l'impact et de vous améliorer continuellement. Grâce à ces habitudes, les jeunes diplômés peuvent développer les compétences et les habitudes dont ils ont besoin pour réussir dans la carrière qu'ils ont choisie et créer l'impact qu'ils souhaitent. Alors, allez-y, faites le premier pas vers vos objectifs et croyez en vous !Et n'oubliez pas : "Tout le monde est un génie, mais si vous jugez un poisson sur sa capacité à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu'il est stupide." - Albert Einstein. Qui que vous soyez, quoi que vous décidiez de faire, il n'y a pas de voie unique. Si vos "habitudes atomiques" quotidiennes sont intentionnelles et en accord avec votre voix intérieure, continuez à avancer. 

Vous voulez reprendre vos études, mais vous n'êtes pas sûr que ce soit le bon choix. Je comprends - il y a tellement de facteurs qui peuvent faire que l'école doctorale semble être un bon ou un mauvais choix - je le sais, j'ai récemment pris la décision de poursuivre un programme d'études supérieures. D'après mon expérience, avant de choisir une école doctorale, posez-vous les questions suivantes : 1. Qu'est-ce qui me motive à poursuivre des études supérieures ?Savoir pourquoi vous voulez poursuivre des études supérieures semble évident, mais ne négligez pas l'importance de votre réponse. En ayant une vision claire de votre carrière et de la manière dont les études supérieures vous aideront à l'atteindre, vous faites le travail préparatoire avant de faire un grand saut (et un grand investissement). Par exemple, si votre objectif est de gagner plus d'argent en obtenant un autre diplôme, réfléchissez au temps et à l'argent que coûteront les études supérieures et demandez-vous si ces ressources seront suffisamment utiles pour votre future carrière. Il est possible que vos ressources soient mieux utilisées ailleurs, alors étudiez toutes les possibilités. Mais si votre objectif est d'améliorer vos perspectives de carrière, d'acquérir de nouvelles compétences et connaissances et de poursuivre une passion ou un domaine d'étude spécifique, il est probable que l'école doctorale soit quelque chose que vous devriez vraiment envisager.  2. Suis-je (vraiment) prêt pour cela ?Soyons réalistes : toute formation postsecondaire coûte cher, et les études supérieures ne font pas exception à la règle. Avant de vous engager à y consacrer du temps et de l'argent, je vous encourage à réfléchir à votre niveau d'endettement actuel, aux frais de scolarité et au salaire que vous prévoyez d'obtenir après avoir obtenu votre diplôme. (Ce point a été abordé dans le paragraphe précédent, mais si le coût de votre programme et le taux d'intérêt sur les prêts étudiants sont très élevés, ce qui se traduit par un endettement permanent, demandez-vous si l'investissement en vaut la peine à long terme).  Bien que la poursuite d'études supérieures puisse nécessiter certains sacrifices, assurez-vous qu'ils n'auront pas d'incidence négative sur d'autres aspects de votre vie, qu'il s'agisse de votre situation financière ou de votre vie personnelle.3. Cela améliorera-t-il mes perspectives de carrière ?Dans certains secteurs, l'expérience professionnelle a tendance à être plus précieuse que l'apprentissage livresque que vous faites à l'école supérieure ; c'est particulièrement vrai si vous voulez un poste où les compétences pratiques sont très appréciées par les employeurs. Je vous encourage à dresser une liste des différents postes que vous pouvez envisager d'occuper après vos études. Sur ces offres d'emploi, notez ce qui est généralement exigé - faut-il des diplômes d'études supérieures ? Ou bien ces postes et ces employeurs privilégient-ils une expérience professionnelle antérieure ? N'hésitez pas à tisser des liens et à demander à votre entourage, et à leurs "cercles", ce qu'ils ont trouvé comme réponse jusqu'à présent dans leur parcours professionnel.Dernières réflexionsIl peut être difficile de décider si l'école doctorale est faite pour vous. En fin de compte, c'est à vous de choisir et les circonstances de la vie et les motivations sous-jacentes de chacun sont uniques, mais ce que l'on dit est vrai : il n'y a pas de mauvais choix, il n'y a que ce qui est bon pour vous. 

Quelles sont les industries qui connaissent la croissance la plus rapide au Canada cette année ?Les données annoncent une abondance d'opportunités futures à travers le Canada dans les domaines suivants : technologie, soins de santé, énergies renouvelables, intelligence artificielle, commerce électronique, technologies propres, industries créatives, analyse de données et construction. C'est également une bonne chose, car le nombre de diplômés à l'échelle nationale a augmenté.Entre 2000 et 2020, le nombre de diplômés dans le pays est passé de 176 556 à 326 991. Si vous êtes un employeur, c'est fantastique, tout comme pour le pays et la future main-d'œuvre, mais cela signifie aussi que la concurrence s'intensifie. Heureusement, il y a des choses que vous pouvez faire pour vous démarquer de vos pairs et faire en sorte que votre CV atteigne le sommet de la pile, à chaque fois. Doublement génial, plus il y a de candidats formés sur le marché, plus il y a d'innovation, plus il y a besoin, sans doute, d'équipes plus importantes et plus l'économie est stable - pour tous.Examinez les secteurs en croissance afin de pouvoir planifier votre carrière en sachant où se trouve la plus grande croissance possible. En tant que jeune diplômé, nous vous recommandons d'identifier les opportunités dans ces secteurs qui correspondent le mieux à votre diplôme. Vous avez des doutes ? Vous connaissez le vieil adage : postulez quand même. Quelles sont les compétences les plus recherchées par les employeurs au Canada cette année ? Compétences numériques : Avec la numérisation croissante du lieu de travail, les compétences numériques telles que le codage, le développement Web, l'analyse de données et le marketing numérique sont très demandées.Compétences non techniques : Les employeurs apprécient les compétences non techniques telles que la communication, la collaboration, l'adaptabilité, la résolution de problèmes et la pensée critique, car elles permettent aux employés de bien travailler en équipe et de s'acquitter de tâches complexes.Compétences commerciales : Les diplômés ayant une connaissance des concepts commerciaux tels que l'analyse financière, la gestion de projet et la stratégie commerciale sont très demandés.Compétences commerciales : La capacité à vendre des produits ou des services est toujours recherchée, en particulier dans des secteurs tels que la technologie et les logiciels.Compétences en matière de service à la clientèle : Avec l'essor du commerce électronique, les compétences en matière de service à la clientèle, telles que l'empathie, la résolution de problèmes et la communication, sont de plus en plus importantes.Compétences en marketing : Les diplômés ayant des compétences en marketing numérique, en marketing des médias sociaux et en marketing de contenu sont très demandés.Compétences dans le domaine de la santé : Le secteur de la santé est l'un de ceux qui connaissent la croissance la plus rapide au Canada, et les diplômés ayant des compétences liées à la santé, telles que les soins infirmiers, la physiothérapie et la technologie médicale, sont très demandés.Compétences créatives : Les industries telles que le design, les médias et le divertissement ont besoin de diplômés ayant des compétences en conception graphique, en production vidéo, en écriture et dans d'autres disciplines créatives.Compétences en matière d'environnement et de développement durable : Les diplômés ayant des connaissances en matière de durabilité environnementale, d'énergie verte et de pratiques respectueuses de l'environnement sont recherchés dans des secteurs tels que la construction, l'ingénierie et les transports.Compétences linguistiques : Dans un pays multiculturel comme le Canada, les diplômés qui parlent couramment plusieurs langues sont très appréciés dans des secteurs tels que le tourisme, l'hôtellerie et le service à la clientèle.Comment puis-je mettre en valeur mes compétences dans mon CV pour augmenter mes chances d'être embauché ?Lorsque vous créez votre CV, nous vous recommandons de créer une section spécifique aux compétences que vous adapterez à chaque candidature en fonction de la description du poste, du secteur d'activité et de l'entreprise avec laquelle vous souhaitez décrocher un entretien. En limitant cette section aux 10 à 15 compétences les plus importantes pour le poste, vous éviterez d'encombrer votre CV et vous conserverez un langage direct et fort. Pour que votre CV reste simple et facile à lire, incorporez également des messages sur vos compétences dans chaque fonction en donnant des exemples du travail que vous avez effectué et de vos réalisations. Bien entendu, les badges et les récompenses peuvent être des gages de réussite significatifs à partager.Que puis-je faire, au-delà de la candidature, pour attirer l'attention du recruteur ou du responsable du recrutement ?Il existe des trucs et astuces classiques que vous pouvez essayer pour que votre candidature atteigne les bons destinataires. Par exemple, si l'offre d'emploi mentionne le nom du professionnel des ressources humaines, du recruteur ou du membre de l'équipe qui recrute, vous pouvez les contacter pour leur faire part de votre intérêt à rejoindre leur équipe et vous présenter, personnalisant ainsi le processus tout en signalant votre candidature auprès d'eux. Un autre élément important à prendre en compte est votre présence numérique. À l'heure actuelle, que disent de vous vos profils sociaux et de recherche d'emploi ? Si vous pouvez aligner votre identité en ligne avec ce que vous apportez, votre candidature s'en trouvera facilitée, en particulier pour les postes dans le domaine du marketing ou dans les entreprises qui investissent fortement dans leur présence en ligne. 

Vous est-il déjà arrivé de consulter LinkedIn et de voir vos relations partager des informations sur leurs récentes promotions ou leur arrivée dans des entreprises pour lesquelles vous avez toujours voulu travailler ? Vous craignez que votre carrière ne progresse pas comme elle le devrait ou vous êtes toujours à la recherche de la prochaine "grande chance" ? Ce sentiment est connu sous le nom de FOMO de carrière, ou la peur de passer à côté de tant de choses dans votre carrière, alors qu'il semble que tout le monde réussit et connaît plus de succès que vous.Ce sentiment peut avoir un impact significatif sur votre satisfaction au travail et votre bien-être général, et peut avoir des répercussions négatives sur votre vie professionnelle. Voici quelques moyens d'éviter et de contrôler ce sentiment :         1. Faites une pause sur LinkedInNous ne pouvons pas contrôler les actions des autres, ni ce qui leur arrive, mais nous pouvons contrôler ce à quoi nous nous exposons. Parfois, il peut être difficile de se sentir vraiment heureux pour ses pairs lorsque leurs réalisations nous dépassent. Cependant, il est important de reconnaître que ces sentiments ne font pas de vous une mauvaise personne, ils signifient simplement qu'il est peut-être temps de faire une pause sur la plateforme qui vous rend anxieux et intensifie votre FOMO de carrière. En limitant votre exposition à LinkedIn, une plateforme qui peut déclencher votre FOMO, vous serez en mesure de réduire les comparaisons, de diminuer la pression, d'augmenter la pleine conscience et de prendre du recul par rapport à votre propre situation et à vos priorités.          2.  Définissez vos objectifs professionnels  Définir vos objectifs de carrière signifie fixer des objectifs clairs, spécifiques et mesurables qui correspondent à vos intérêts, à vos valeurs et à vos points forts sur le lieu de travail. Travailler sur cette définition peut vous apporter clarté et concentration, ce qui vous permettra d'améliorer votre prise de décision, de réduire votre anxiété et d'accroître votre motivation. Lorsque vous avez une idée claire de ce que vous voulez réaliser, vous pouvez vous concentrer sur cet objectif et refuser en toute confiance les opportunités qui ne correspondent pas à vos objectifs, au lieu d'avoir l'impression de passer à côté de quelque chose. En vous concentrant sur vos propres objectifs de carrière, plutôt que sur les succès et les réalisations de vos pairs, vous pouvez éviter le piège de l'obsession de la carrière et progresser vers votre définition personnelle de la réussite.3. Construire un système de soutienLa mise en place d'un système de soutien est l'une des choses les plus importantes que vous puissiez faire pour éviter l'obsession de la carrière. Trouver des personnes comme des mentors, des collègues, des amis et des membres de la famille pour vous soutenir peut créer un sentiment d'appartenance et améliorer votre communication, ce qui peut stimuler votre performance au travail et vous positionner en tant que membre d'une équipe. Un système de soutien peut vous guider, vous conseiller, vous encourager et vous donner une perspective sur votre parcours professionnel et sur la manière de rester concentré sur vos objectifs de carrière et de les atteindre. Dernières réflexionsLa peur de manquer des opportunités de carrière peut être un véritable défi dans le monde hautement connecté d'aujourd'hui. Il est important de noter que le succès n'est pas un concept unique et que votre parcours est unique, tout comme les objectifs de carrière de chacun.En fin de compte, ce n'est pas en vous laissant dominer par le FOMO que vous ferez partie des projets les plus intéressants avec les meilleures personnes, que vous maximiserez votre potentiel et que vous vous sentirez épanoui et heureux au travail. Continuez à vous développer et à vous efforcer d'être la meilleure version de vous-même et de vivre votre propre définition du succès ! 

Certains emplois exigent beaucoup de patience et d'entregent, ce qui ne convient pas à tout le monde. Il ne fait aucun doute que si vous appartenez à cette catégorie, le travail à domicile présente d'énormes avantages et que de nombreuses entreprises au Canada cherchent actuellement à pourvoir des postes qui nécessitent très peu d'interaction en personne.  Les emplois à domicile les plus demandés au Canada cet été, selon les tendances actuelles et les offres d'emploi, sont les suivants :  Rédacteur de contenu : Avec le besoin croissant de contenu numérique, la demande de rédacteurs de contenu capables de créer un contenu attrayant et informatif pour les sites Web, les blogs et les plateformes de médias sociaux est élevée. Canadian News Media et Hive Media recherchent actuellement des rédacteurs de contenu en ligne pour rejoindre leurs équipes par l'intermédiaire du CCO. Tuteur en ligne : Avec l'essor de l'apprentissage à distance dû à la pandémie, la demande de tuteurs en ligne capables d'apporter un soutien scolaire ou linguistique aux étudiants à distance est en augmentation. Liberty Tutoring recrute actuellement des tuteurs en ligne pour rejoindre son équipe, par l'intermédiaire du CCO. Développeur web : Les entreprises ayant de plus en plus besoin d'une forte présence en ligne, la demande de développeurs web capables de concevoir et de développer des sites et des applications web est élevée. CAE inc. cherche actuellement à embaucher un développeur complet pour se joindre à son équipe dans un environnement de travail (hybride) - consultez le poste sur le CCO. Assistant virtuel : Comme les entreprises continuent de s'adapter aux environnements de travail à distance, la demande d'assistants virtuels capables de fournir un soutien administratif à distance augmente. L'école de médecine Whispering Song cherche actuellement à ajouter un assistant administratif à son équipe en pleine croissance, trouvez le poste sur OCC. Concepteur graphique : Avec le besoin d'un contenu numérique visuellement attrayant et efficace, la demande de graphistes capables de créer des logos, des infographies et d'autres conceptions visuelles pour les sites web et les plateformes de médias sociaux est élevée. AdHome Creative recherche un graphiste pour rejoindre son équipe par l'intermédiaire du CCO. Gestionnaire des médias sociaux : Avec l'importance des médias sociaux pour les entreprises et les organisations, la demande de gestionnaires de médias sociaux capables de créer et de gérer le contenu des médias sociaux est en augmentation. L'Université Western est à la recherche d'un ambassadeur de bibliothèque, médias sociaux, par l'intermédiaire de l'OCC. Ce poste nécessite des réunions en personne une fois par semaine. Spécialiste de la saisie de données : En raison de la nécessité de gérer des données précises et à jour, la demande de spécialistes de la saisie de données capables d'entrer et de gérer des données dans des systèmes informatiques ou des bases de données est élevée. Spécialiste du marketing en ligne : Avec le passage au marketing numérique, la demande de spécialistes du marketing en ligne capables de créer et de gérer des campagnes de marketing numérique pour des entreprises ou des organisations est en augmentation. Représentant du service clientèle/des ventes en ligne : Avec le passage aux achats en ligne, la demande de représentants du service à la clientèle et des ventes qui peuvent soutenir les ventes de produits et les services, à distance, est très élevée.Il est important de noter que la demande pour certains types de travail à domicile peut varier en fonction du secteur et de l'entreprise. Il ne s'agit là que de quelques exemples que nous avons trouvés et qui, nous l'espérons, vous guideront dans la recherche de votre prochain poste.   

C'est vrai, un employeur peut modifier votre description de poste. Cela peut sembler bizarre, mais le fait est que les descriptions de poste ne sont pas gravées dans le marbre et que votre employeur peut les adapter pour répondre à l'évolution des besoins de l'entreprise ou pour qu'elles correspondent mieux à vos compétences et à vos points forts. Cependant, toute modification de votre description de poste doit vous être communiquée clairement et vous devez avoir la possibilité d'en discuter avec votre employeur afin de vous assurer que vous comprenez parfaitement vos nouvelles responsabilités et que vous vous sentez à l'aise avec elles. En outre, toute modification de votre description de poste peut se répercuter sur votre salaire, vos avantages ou d'autres aspects de votre emploi ; il est donc important d'examiner et de comprendre attentivement toute mise à jour de votre description de poste.Pour quelles raisons un employeur pourrait-il modifier votre description de poste ?Un employeur peut modifier la description du poste d'un employé pour diverses raisons, notamment les suivantesLes besoins de l'entreprise : L'évolution de l'entreprise peut entraîner des changements dans l'organisation ou la conduite du travail. L'employeur peut avoir besoin d'adapter les tâches du poste pour suivre l'évolution des nouvelles technologies, des demandes des clients ou des changements dans l'industrie.  Performance : Si un employé ne répond pas aux attentes définies dans sa description de poste actuelle, l'employeur peut réviser les tâches du poste pour mieux les adapter aux compétences et aux points forts de l'employé. Par ailleurs, si un salarié réalise des performances exceptionnelles, l'employeur peut modifier sa description de poste afin de lui proposer de nouveaux défis et des possibilités d'évolution - une mutation latérale ou une promotion, par exemple.  Restructuration : Lorsqu'une entreprise fait l'objet d'un processus de restructuration, les descriptions de poste peuvent être adaptées aux nouveaux rôles et responsabilités.  Changements organisationnels : Un employeur peut être amené à modifier les fonctions d'un poste en raison de changements dans la structure organisationnelle de l'entreprise, tels que des fusions, des acquisitions ou des cessions.  Conformité : Les employeurs peuvent être amenés à modifier les descriptions de poste pour garantir la conformité avec les exigences légales ou réglementaires, telles que les règles de sécurité sur le lieu de travail ou les règles spécifiques à un secteur d'activité.Dans l'ensemble, un employeur peut modifier la description de poste d'un employé pour de nombreuses raisons, et il est important de communiquer avec votre employeur pour bien comprendre les changements apportés à votre rôle et à vos responsabilités.Si un employeur modifie la description du poste d'un employé, ce dernier peut poser les questions suivantes :Qu'est-ce qui a changé dans la description du poste ? Pourquoi la description du poste a-t-elle changé ? Ces changements entraîneront-ils des modifications de la rémunération ou des avantages des employés ? Les modifications apportées à la description du poste auront-elles une incidence sur les heures de travail ou les horaires de l'employé ? L'employé aura-t-il besoin d'une formation ou d'un soutien supplémentaire pour assumer ses nouvelles responsabilités ? Les modifications apportées à la description du poste auront-elles une incidence sur les possibilités d'évolution de carrière de l'employé au sein de l'entreprise ?Une période d'essai est-elle prévue pour les nouvelles responsabilités ? Dans l'affirmative, quelle en sera la durée et quelles en sont les modalités ? Comment les performances de l'employé seront-elles évaluées dans le cadre de ses nouvelles responsabilités ? L'employé peut-il donner son avis ou son feedback sur les changements apportés à la description de poste ?Il est important que les salariés comprennent les changements apportés à leur description de poste et la manière dont ils affecteront leur travail et leur évolution de carrière au sein de l'entreprise. Ces questions peuvent aider à clarifier toute préoccupation ou confusion que l'employé pourrait avoir.  En fin de compte, l'employeur modifie une description de poste pour répondre au mieux aux besoins de l'entreprise en reflétant les points forts de l'employé, mais dans certains cas, cette modification est étroitement liée à des stratégies commerciales plus larges ou, parfois, à des préoccupations. Une communication ouverte et le fait de poser les bonnes questions aideront les deux parties à long terme. N'ayez pas peur de vous exprimer et de dire ce qu'il faut pour obtenir les informations essentielles qui vous permettront de faire ce qu'il faut pour votre carrière.  

Pour réussir en tant que salarié, il est important de connaître les compétences que vous avez acquises au cours de votre formation et la manière dont elles peuvent être appliquées sur le lieu de travail. Cela vous aidera à combler le fossé entre la théorie et la pratique.Voici comment vous pouvez orienter vous-même ce que vous avez appris pour favoriser la réussite dans le monde réel, sur le lieu de travail : Dressez une liste des compétences acquises à l'école et mettez-les en rapport avec les applications professionnelles pertinentes. Cela peut vous aider à identifier les compétences acquises qui ont pu être négligées. Si vous ne savez pas par où commencer, imaginez une expérience de cartographie mentale où vous commencez par le plus grand nombre - toutes les choses que vous vous souvenez avoir apprises et toutes les compétences que vous espérez appliquer dans votre rôle - et ensuite vous reliez les points.2. Identifiez comment ces compétences peuvent se traduire dans les différents aspects de votre nouvelle fonction. Les résultats vous surprendront peut-être. Par exemple, la prise de parole en public et les présentations que vous avez faites en classe peuvent se traduire par des compétences de communication fondamentales pour mener à bien des réunions. Le simple fait de comprendre ce que vous apportez à la table permettra de contextualiser la valeur que vous apportez à chaque aspect de votre rôle, ce qui vous donnera confiance et vous permettra de mieux vous connaître en tant qu'employé tout en révélant les domaines dans lesquels vous avez des possibilités de croissance. Par exemple, s'il vous manque une compétence, vous pouvez chercher un mentor au sein de votre équipe ou ailleurs, dont vous savez qu'il est très bon dans ce domaine, ou acquérir ces compétences par le biais de programmes de formation continue.3. Prenez l'initiative d'appliquer ce que vous avez appris et de chercher des moyens d'élargir vos connaissances et de vous améliorer. N'attendez pas simplement que les opportunités viennent à vous ! Prenez l'initiative d'appliquer les connaissances acquises en classe chaque fois que vous le pouvez, notamment en demandant un retour d'information, des conseils (mentors, collègues, responsables) et peut-être même des cours (voir point 5). Cela peut démontrer votre valeur aux yeux de votre employeur et vous aider à développer vos compétences et vos connaissances.4. Continuez à apprendre et restez au fait des tendances du secteur. L'apprentissage est continu et je vous encourage à vous rappeler que l'apprentissage ne s'arrête pas lorsque vous quittez la salle de classe. Il est important de continuer à chercher des occasions d'apprendre et de se développer, à la fois sur le lieu de travail et en dehors. Assistez à des séances de formation, lisez des livres et des articles sur votre domaine, participez à des activités de développement professionnel, recherchez des systèmes de soutien (mentors, responsables, collègues, amis) qui peuvent vous enseigner ce qu'ils savent, et recherchez des environnements de travail qui offrent un soutien financier ou des programmes pour investir dans votre développement professionnel continu.Réflexions finales : Bien que toutes les merveilleuses compétences que vous avez acquises au cours de vos études universitaires soient formidables, je pense que l'une des choses les plus importantes que vous avez apprises est de ne jamais abandonner. La résilience que vous avez développée est exactement ce que les employeurs recherchent - ils veulent des personnes en qui ils peuvent avoir confiance pour continuer à avancer même quand les choses sont difficiles.

Je suis sûr qu'à ce stade, aucun d'entre nous n'est étranger au travail à distance. Bien que le travail à distance soit une option pratique, il s'accompagne également de son lot de défis, en particulier lorsqu'il s'agit du processus d'intégration. En tant que nouvel employé, il est parfois facile de se sentir déconnecté de son équipe et dépassé par ses nouvelles responsabilités.Pour aider les nouveaux employés (à distance) à naviguer dans ce processus, j'ai dressé une liste de conseils pour l'intégration à distance. De l'aménagement de votre espace de travail à l'établissement de relations avec vos coéquipiers, ces conseils vous aideront à prendre un bon départ dans vos nouvelles fonctions, même si vous travaillez à domicile.Entrons dans le vif du sujet :1. Rencontrez vos nouvelles amiesC'est le premier de la liste parce que c'est sans doute le plus important - vos coéquipiers sont ceux avec qui vous passerez une grande partie de votre temps (virtuellement) et qui peuvent rendre votre expérience tellement meilleure (je parle en connaissance de cause).Il peut être difficile de nouer des relations à distance, mais il est important de faire un effort pour apprendre à connaître vos collègues. Planifiez des discussions virtuelles autour d'un café ou des réunions avec eux afin de vous présenter et d'en apprendre davantage sur votre équipe et ses rôles. Profitez de ce moment pour poser toutes les questions que vous pourriez avoir et pour établir des attentes en matière de collaboration et de communication.2. Constituez votre boîte à outilsEfforcez-vous de vous familiariser avec les outils de communication et de collaboration utilisés par votre nouvelle entreprise. Il peut s'agir de chats vidéo, d'applications de messagerie, de nouveaux logiciels ou d'autres outils numériques.Il peut être difficile d'apprendre quelque chose de nouveau, en particulier lorsque quelque chose d'autre a été la norme pendant si longtemps, alors prenez le temps d'apprendre à utiliser efficacement les outils spécifiques à votre entreprise. Je sais que lorsque j'ai obtenu un nouvel emploi et que je suis passée de Google Suite à Microsoft, j'ai dû m'adapter, mais cela s'est fait beaucoup plus facilement parce que j'ai fait l'effort de naviguer sur la plateforme et de me constituer une nouvelle boîte à outils !3. Aménagez votre espace WFHAssurez-vous de disposer d'un espace de travail dédié, propice à votre productivité et doté de tous les équipements et outils nécessaires à l'exercice de vos nouvelles fonctions. De nombreuses entreprises qui proposent des environnements de travail flexibles et à distance offrent à leurs employés une allocation pour s'assurer qu'ils sont entièrement équipés pour travailler à domicile ! Profitez-en et assurez-vous que vous êtes prêt à réussir avec un espace de travail dans lequel vous aimerez travailler tous les jours. Pour moi, quelques éléments ont changé la donne : un support pour ordinateur portable, un clavier sans fil et une bonne lampe de bureau !4. L'organisation est votre meilleure amieL'intégration peut sembler écrasante, en particulier parce qu'il y a tant à lire, tant à apprendre et tant de personnes à rencontrer. Faites de votre mieux pour rester organisé en prenant des notes et en dressant des listes afin de rester sur la bonne voie et d'avoir à portée de main tout ce dont vous pourriez avoir besoin pour vous y référer. Veillez à suivre vos progrès et à respecter les délais qui vous sont impartis, afin de rester maître de vos tâches et de répondre aux attentes, voire de les dépasser.5. Élaborer un plan de communicationTravaillez avec votre supérieur pour établir un plan de communication régulier, y compris des contrôles réguliers et des mises à jour sur les progrès que vous réalisez dans votre nouveau rôle. Ce plan, associé aux relations que vous établissez avec vos coéquipiers, vous permettra de rester sur la bonne voie et de pouvoir poser des questions et demander de l'aide en cas de besoin.D'après mon expérience, au cours de ma première semaine, il m'a été très utile de discuter avec mon supérieur des attentes en matière de communication et des méthodes préférées, et de prévoir des réunions individuelles récurrentes pour que nous puissions faire le point et réfléchir à mes progrès. Réflexions finales : L'intégration à distance comporte des défis et nécessite une certaine ouverture d'esprit, mais en mettant en œuvre ces conseils, vous serez en mesure de naviguer dans le processus avec succès et confiance. En faisant un effort conscient pour rester engagé, organisé et communicatif, vous serez en mesure d'établir une base solide pour votre expérience de travail à distance et de devenir une nouvelle recrue phénoménale pour votre équipe.  J'espère que vous apprécierez le travail à distance autant que moi ! Je vous souhaite bonne chance dans vos préparatifs d'intégration à distance. 

Dans cette série sur le devenir, nous explorons des professions recherchées et disséquons ce que cela signifie vraiment de devenir ce métier. De l'étude à la pratique, chaque métier est différent. Ci-dessous, nous allons nous pencher sur le métier d'architecte.Qu'est-ce qu'un architecte ? Que fait-il ?En termes simples, un architecte est qualifié pour concevoir, planifier et superviser la construction de bâtiments, de maisons et de structures. Au-delà de la créativité, la conception d'un bâtiment est également structurelle (bien sûr) et comporte donc un élément scientifique - vous devez vous conformer aux souhaits du client, si vous concevez pour un client, et aux normes, codes, lois et règlements locaux de la région où la construction a lieu, afin de garantir la conformité et la sécurité de toutes les parties concernées.À quoi ressemblent les tâches quotidiennes d'un architecte ?Comme dans toute profession, les tâches quotidiennes diffèrent, mais il y a des éléments fixes qui seront constants dans votre rôle d'architecte :  travailler sur des plans de construction,  (nombreuses réunions),  la coordination ou la gestion du personnel  la facturation des clients ou la préparation des factures pour le service financier,  l'examen du travail des entrepreneurs, la gestion des employés et des clients,  gérer les attentes des clients et communiquer avec eux,  concevoir et élaborer la vision de votre projet (souvent en collaboration),  superviser le site où se déroule la construction, calculer (pour mettre à l'échelle les projets et respecter le budget), Selon la manière dont vous travaillez et l'endroit où vous travaillez, la recherche de votre prochain projet peut également figurer en tête de votre liste. Quels sont les rôles que l'on peut jouer en tant qu'architecte ?  Stage Architectes et concepteurs Chef de projet ou architecte de projet Architecte ou concepteur principal Chef de service ou cadre supérieur Associés juniors de niveau intermédiaire Associés principauxQuels sont les exemples de différents types d'architecture à envisager pour une carrière ?Architecture résidentielle Architecture commerciale Architecture paysagère Architecture d'intérieur Architecture de design urbain Architecture écologique Architecture industrielleQue dois-je étudier pour devenir architecte ? De quel diplôme ai-je besoin ?La majorité des architectes au Canada obtiennent une licence ou une maîtrise en architecture d'une université ou d'un programme approuvé par le Conseil canadien de certification en architecture (CCCA). Une autre façon de devenir architecte consiste à suivre un apprentissage dans le cadre du programme Syllabus de l'IRAC.Pour devenir architecte, vous devez d'abord acquérir de l'expérience en plus de votre formation dans le cadre du programme de stage en architecture. Au Canada, ce programme est offert à l'échelle provinciale par l'entremise des associations d'architectes, et vous devez présenter une demande pour y être accepté. Une fois accepté, vous devrez trouver un mentor, un architecte agréé qui guidera votre travail pendant une période donnée, en veillant à ce que vous répondiez aux critères de réussite du programme de stage en architecture. L'ensemble de ce processus représente environ trois ans de votre temps, en plus de votre formation.Les compétences typiques exigées des architectes sont les suivantes:compétences techniques en matière de conception, compétences en calcul : mathématiques, algèbre, géométrie, maîtrise de la conception assistée par ordinateur (CAO), d'AutoCAD, de Revit Architecture, de SketchUp, deFusion 360, de l'impression 3D et des logiciels de conception associés, compétences relationnelles pour soutenir les projets et les ventes, créativité et vision, de solides compétences en matière de communication, patience, compréhension et connaissance des lois, règlements et codes les plus récents pour chaque construction/région, compétences en leadership, compétences en matière de réseautage, compétences en matière de résolution de problèmes, et bien plus encore !Où les architectes travaillent-ils généralement ?En règle générale, les architectes travaillent pour des cabinets d'architecture ou de manière indépendante.  À partir de là, les architectes agréés peuvent travailler pourdes entreprises de construction, des promoteurs immobiliers, des particuliers, des entreprises,  des écoles, le secteur public, organisations (sports, musées, galeries d'art), le commerce de détail,et bien d'autres encore.Combien les architectes gagnent-ils par an ?Au début, les architectes gagnent environ 79 000 $ par an, mais au fur et à mesure qu'ils développent leur portfolio, leur salaire peut augmenter considérablement. Le salaire moyen d'un architecte au Canada est de 147 000 $ par an et un architecte qui réussit peut gagner jusqu'à 221 000 $ par an.Les cinq styles architecturaux les plus populaires au Canada sont les suivants :Cottage  Traditionnel Moderne Artisanal Ranch Les cinq cabinets d'architectes et petits studios les plus en vue au Canada sont les suivants :ACDF MGA, Michael Green Architecture Omar Gandhi Diamond Schmitt Atelier RZLBD 

Commençons par examiner à quel point le lieu de travail a changé au cours de la dernière décennie, d'accord ? Non, commençons par sept ! En 2016, à peine 4 % des salariés de notre pays travaillaient à domicile, et il n'a fallu que trois ans pour que ce pourcentage grimpe en flèche (26 %), sous l'effet, bien sûr, d'une pandémie mondiale autrefois inimaginable : COVID-19. Tout comme le virus ne devait pas être sous-estimé, sa capacité à transformer à peu près tout ce que nous faisons et la manière dont nous travaillons a changé (potentiellement) pour toujours et de toutes les manières.Aujourd'hui, après la pandémie, environ 39 % des emplois dans le monde se prêtent à une approche de travail à domicile, tandis qu'une étude de Statistique Canada, intitulée "Impacts de la pandémie de COVID-19 sur la croissance de la productivité au Canada", réalisée par Weimin Wang, a finalement conclu qu'il n'existe aucune preuve concluante montrant que le travail à domicile augmente OU réduit la productivité ou les performances de l'industrie. Notamment, Wang a constaté que près de six travailleurs sur dix titulaires d'une licence ou d'un diplôme d'études supérieures peuvent travailler à domicile, contre 10 % de leurs homologues - ceux qui n'ont pas de diplôme d'études secondaires -, de sorte que l'on peut dire que le travail à domicile est un privilège très important détenu par les privilégiés, dans l'ensemble.La question n'est donc pas de savoir si le travail à domicile influe sur les taux de productivité de l'industrie ; nous savons qu'une grande partie des emplois, dans toute une série d'industries, au niveau mondial, peuvent être exercés à domicile, et le fait est que nous ne sommes qu'à 10 % de la moitié des "travailleurs (privilégiés) de la Terre" qui exercent leur activité à domicile. Ce que nous voulons savoir, c'est si le travail à domicile est vraiment efficace, à long terme et sur le plan humain.Après tout, des études ont montré que le fait de se sentir connecté aux autres est un besoin humain fondamental. Les sociologues Debra Umberson et Jennifer Karas Montez soulignent que les relations interpersonnelles ont un impact significatif sur notre santé globale - mentale, comportementale, physique et même sur la mortalité. La bonne vieille hiérarchie des besoins de Maslow présente même notre besoin de connexion humaine sous le besoin psychologique d'"appartenance et d'amour" et théorise ce besoin psychologique fondamental de chaque être humain comme étant à la base de l'accomplissement de soi - la pointe de la pyramide. Il semble que notre espèce ne puisse pas atteindre son potentiel sans d'abord se conquérir et se comprendre, c'est-à-dire sans se connecter. L'établissement de relations est important, tout comme la communauté, et je me demande si un monde du travail éloigné nous aide vraiment à nous connecter.Le Forum économique mondial a constaté que le travail à domicile limite notre capacité, en tant qu'employés et pour les entreprises, à nouer des relations saines et à apprendre de nos pairs, tout en freinant l'évolution de notre carrière. Il a constaté que le travail à domicile entrave notre capacité à susciter des conversations spontanées, à nous connecter véritablement et à recevoir un retour d'information qui contribue à façonner notre approche de notre travail et notre valeur (perçue) au sein d'une équipe. Soupir. Ne vous découragez pas, les données ne penchent que légèrement en faveur du bureau, mais le simple fait de ne pas pouvoir avoir des conversations spontanées, catalyseurs de relations, au sein d'une équipe, donne une impression de grandeur, n'est-ce pas ?  Au-delà de la connexion aux autres, il est essentiel d'être connecté à soi-même et c'est là que les avis sur le travail à distance sont à nouveau partagés ! Il apparaît que le travail à domicile offre des distractions différentes, mais parfois moins (personne à qui parler spontanément, à l'exception de votre chat, n'est-ce pas ?) Ce que l'on constate aujourd'hui, c'est qu'un travailleur du millénaire sur trois déclare se sentir dépassé par le manque d'équilibre entre vie professionnelle et vie privée lorsqu'il travaille à domicile (les limites deviennent floues). Cependant, il existe des tactiques préventives pour atténuer ces sentiments et, en fait, de nombreuses façons dont l'employé et l'employeur peuvent s'adapter pour renforcer le soutien au travail à distance - une grande partie de ces tactiques consiste à accepter que le travail à domicile ne peut pas avoir la même apparence ou les mêmes "règles" que le travail au bureau.  Cela a incité de nombreuses personnes à se tourner vers la technologie, à s'appuyer sur les mises à jour des messages de statut, à soigner leur agenda, à optimiser les canaux Teams et Slack, et à se ménager du temps personnel. Réfléchissant à l'évolution du travail à distance, de nombreux employeurs adoptent désormais le concept de travail hybride. Il ne s'agit pas seulement de réfléchir à la manière dont les employés travaillent à distance, mais aussi d'examiner attentivement à quoi peut ressembler le bureau et comment on peut s'y sentir pour mieux soutenir les travailleurs lorsqu'ils viennent s'atteler à leur tâche. Ces méthodologies et ces nouvelles approches nous aident à créer un espace pour nous reconnecter avec "l'être humain", et pas seulement avec "l'employé".  Il semble que le travail à domicile ne repose pas uniquement sur l'individu, mais aussi sur l'effort collectif. Bien que les employés aient des personnalités différentes, la santé et le potentiel de l'être humain reposent sur une connexion authentique, et pas seulement sur un Wi-Fi puissant. Il n'est pas toujours facile de favoriser cette connexion et elle n'est pas toujours naturelle, en particulier dans le monde de l'entreprise, mais même les évolutions lentes vers la création de cultures de l'attention et de l'innovation nous adaptent à une conscience plus claire de la connexion. L'avenir du travail repose également sur l'adoption de nouvelles méthodes de travail.

Qu'est-ce qu'un consultant ?Un consultant est un expert dans un domaine particulier qui donne des conseils professionnels aux particuliers et aux entreprises dans son domaine d'expertise, généralement sur une base temporaire ou contractuelle jusqu'à ce qu'un besoin particulier ait été satisfait.Les entreprises engagent généralement des consultants pour:fournir des avis extérieurs objectifs sur les processus ou les systèmes Résoudre les problèmes internesFournir des conseils d'experts sur la résolution d'un problème ou la mise en œuvre d'une solutionCombler des lacunes temporaires en matière de personnel de manière évolutiveOffrir un accès à une expertise difficile à trouver et à recruter.Employeurs typiques des consultants :Sociétés de conseil Indépendants (les consultants travaillent avec des clients en proposant leurs services/expertises en freelance)En tant que consultant, vous devrez:Travailler avec les clients pour comprendre leurs besoins, fixer les objectifs de la relation et comprendre la portée des projets de conseil.Apprendre le processus existant des systèmes dans une organisation Effectuer des analyses et diagnostiquer les problèmes Analyser et traduire les données en actions concrètes Superviser et suivre les résultats Compiler et présenter des informations oralement, visuellement et par écrit pour tenir les clients au courant des progrès réalisés.Quelle formation les consultants ont-ils généralement ?Les exigences en matière de formation des consultants sont subjectives et relativement souples. L'importance de la formation dépend en fait de la perception qu'a l'acheteur de la valeur de la formation et de la question de savoir si le consultant est indépendant ou s'il travaille pour une société de conseil.Toutefois, la plupart des consultants possèdent une licence. Les diplômes les plus courants pour les consultants sont les suivants:CommerceComptabilitéla financeGestionÉconomieMarketingRelations PubliquesDroitIl est important d'envisager un diplôme qui vous permette d'acquérir des concepts fondamentaux dans le domaine du conseil, tels que l'analyse de données, la stratégie, la gestion de projet, le leadership, la prise de parole en public, etc.Les consultants doivent-ils avoir une expérience préalable ?Bien qu'une expérience préalable puisse être un avantage, ce n'est pas une condition essentielle pour décrocher un emploi de consultant. Toutefois, vous devez être en mesure de démontrer clairement que vous possédez les compétences nécessaires pour devenir un consultant efficace.De nos jours, il existe de nombreux emplois de consultants débutants. Il vous suffit de faire valoir vos compétences et de vous appuyer sur vos expériences antérieures, qu'il s'agisse de votre formation, de vos stages, de vos activités extrascolaires, etc.Quelles sont les compétences essentielles que doivent posséder les consultants ?Gestion du tempsl'organisationFlexibilitéCommunication orale et verbaleEsprit critique et analytiqueMotivation personnelleCompétences en matière de présentation Aptitude à prendre des risques Quel est le salaire type d'un consultant ?Le salaire moyen d'un consultant au Canada est de 68 000 $ par an, soit 35 $ de l'heure. Les postes de débutants commencent généralement autour de 45 000 $ par an, tandis que les consultants les plus expérimentés gagnent plus de 100 000 $ par an.  

Le plus souvent, les applications que nous utilisons au quotidien nous distraient et nous donnent l'impression d'être submergés, plutôt que calmes et concentrés (je ne peux même pas vous dire combien de fois j'ai accidentellement passé des heures à faire défiler TikTok ou Facebook Marketplace).Lorsque vous vous sentez distrait et dépassé, il est important de comprendre comment vous aider et atténuer ces sentiments. Pour certaines personnes, il s'agit de faire une longue promenade, de prendre un bain ou de regarder un épisode de leur série télévisée préférée. Si vous ne savez pas ce qui vous aide lorsque vous vous sentez stressé, c'est peut-être que vous n'avez pas encore trouvé "votre truc", et ce n'est pas grave !Je serais ravie de vous aider à choisir une application de concentration/méditation qui vous évitera de vous sentir dépassé par les événements. Voici cinque applications que je suis heureuse d'avoir téléchargées et qui peuvent vous aider à calmer votre esprit et à trouver la concentration que vous recherchez :  FloraFlora est une application gamifiée de minutage pomodoro, de suivi des habitudes et de liste de tâches, qui vous encourage, vous et vos amis, à poser vos téléphones et à être productifs pendant qu'un arbre est planté et grandit sur votre téléphone (si vous quittez l'application, l'arbre mourra). Flora bloque les applications distrayantes comme Facebook, Instagram et d'autres jeux d'une manière agréable pour vous permettre de vous concentrer sur ce qui est réellement important.AppFinica, la société mère de Flora, s'est associée à Trees.org pour proposer de véritables services de plantation d'arbres dans l'application afin de permettre aux utilisateurs de contribuer à la protection de l'environnement tout en restant concentrés sur leurs tâches.  Brain.fmBrain.fm est une application de concentration musicale conçue pour vous fournir de la musique scientifiquement prouvée pour la méditation, la relaxation, le sommeil, le travail ou la concentration. Après 15 minutes d'écoute, des systèmes d'intelligence artificielle avancés vous donneront des résultats spécialement conçus pour le cerveau.Brain.fm sait que la plupart des musiques sont conçues pour attirer l'attention, ce qui rend difficile la réflexion et le travail. C'est pourquoi Brain.fm a créé la musique de concentration pour vous aider à mieux travailler et à être plus performant, en se fondant dans le décor pour vous permettre de vous concentrer sans distraction, tandis que votre cerveau est stimulé par des impulsions rythmiques douces, qui favorisent une attention soutenue.CalmCalm est une application de relaxation destinée aux débutants et aux amateurs de méditation. Elle a été téléchargée plus de 50 millions de fois et comprend de la musique et des cours de maître pour vous aider à combattre l'insomnie, le stress et l'anxiété, à améliorer votre concentration, à vous perfectionner et bien plus encore.Sur l'application, vous pouvez vous fixer des défis quotidiens pour découvrir votre calme et développer une meilleure compréhension de votre esprit et de votre corps, ou vous avez la liberté de choisir une méditation ouverte et non guidée. L'application propose également des exercices de respiration, ainsi que des scènes et des sons de la nature, si c'est ce dont vous avez besoin pour vous détendre.L'esprit souriantSmiling Mind est un outil unique développé par des psychologues et des éducateurs pour vous aider à équilibrer votre vie. Il s'agit d'une application à but non lucratif qui propose des centaines de méditations - ce qui, pour beaucoup, est suffisant pour les garder occupés sans les submerger. Ces méditations ont été organisées en plusieurs programmes structurés tels que le sommeil, la désintoxication numérique, les fondements de la pleine conscience, les relations et la gestion du stress.Smiling Mind propose également une variété de programmes spécialisés pour les familles, les enfants et les adolescents, les employés d'entreprise, les travailleurs de la santé et les éducateurs (y compris des éléments qu'ils peuvent utiliser dans leurs salles de classe).OthershipOthership est une application de respiration et de méditation guidée créée par les fondateurs de Othership, une entreprise de Toronto spécialisée dans les bains sociaux et la respiration immersive. L'application n'est pas gratuite, mais elle propose des offres complètes aux membres, qui peuvent payer mensuellement ou annuellement. Le lien entre le corps et l'esprit est très réel et Othership peut être un outil, directement dans la paume de votre main, pour vous mettre au diapason de ce que vous ressentez, le traiter et le recalibrer afin que vous soyez plein d'énergie et clair sur les prochaines étapes à franchir.

Les femmes ne devraient pas seulement avoir "une journée", mais devraient être célébrées tous les jours.Si nous célébrons la Journée internationale de la femme (JIF), c'est parce que, trop souvent, les femmes ne sont pas soutenues ou ne bénéficient pas d'un accès égal aux mêmes ressources et aux mêmes opportunités de croissance - c'est la façon la plus simple de l'expliquer, mais elle ne rend pas vraiment justice au sujet.Comme nous le savons, le progrès passe par l'information. Vous trouverez donc ci-dessous un ensemble d'informations et de points de vue qui nous ont inspirés à l'occasion de la Journée internationale de la femme. Le thème de cette année ? Embrasser l'équité. Les faits : Journée internationale de la femme 2023. Statistique CanadaJournée internationale de la femme : Date, histoire et thème de cette année, National PostCinq histoires qui montrent que la Journée internationale de la femme est toujours aussi pertinente, Globe & MailPourquoi le fait de payer un salaire égal aux femmes aide, et non nuit, à votre entreprise, Entrepreneur6 faits sur la Journée internationale de la femme, Mental Floss27 faits sur la Journée internationale de la femme pour célébrer cette journée, BustleTrois faits importants tirés du portail de données sur le genre de la Banque mondiale, World Bank BlogNous avons parcouru un long chemin, mais il reste encore beaucoup à faire. Aujourd'hui, nous espérons que vous célébrez les femmes de votre vie - vos pairs, votre famille, vos amies, vos collègues, vos mentors, etc.) 

Avez-vous déjà entendu le dicton "On n'a jamais une deuxième chance de faire une première impression" ? En général, pour les employeurs qui vous demandent de soumettre une lettre de motivation, c'est la première chose qu'ils verront. Cela signifie que c'est la première impression que votre employeur potentiel aura de vous, et qu'elle doit donc être à la fois convaincante et grammaticalement correcte.Votre lettre de motivation a pour but de vous différencier des autres candidats et d'être utilisée comme un outil pour vous présenter, ainsi que votre expérience et vos compétences transférables, en soulignant pourquoi vous êtes le meilleur candidat pour le poste.Voici quelques conseils pour vous aider à rédiger votre prochaine lettre de motivation :          - Indiquez à qui vous vous adressezLe fait d'indiquer à qui vous vous adressez donne un ton de respect pour le reste du document et contribue également à faire une bonne première impression. Essayez de savoir qui est le responsable du recrutement ou le recruteur, et adressez-vous à lui par son nom. Je vous conseille d'éviter d'écrire "à qui de droit", car cela semble peu sincère. Si vous ne trouvez pas le nom de quelqu'un en particulier, n'hésitez pas à écrire "cher responsable du recrutement" ou, ce que je préfère, "chère équipe de recrutement de (insérer le nom de l'entreprise)".      - Adaptez votre message et utilisez des mots-clés !Aucun des emplois auxquels vous postulerez ne sera exactement le même. Votre lettre de motivation ne doit pas l'être non plus. Vous devrez adapter légèrement votre lettre de motivation pour chaque emploi auquel vous postulerez, et choisir quelques compétences ou responsabilités importantes dans la description du poste qui vous a été fournie, et expliquer comment vous pouvez les remplir, en vous appuyant sur des exemples tirés de vos expériences précédentes.Des points supplémentaires sont accordés si vous utilisez les mots-clés de la description du poste !     - Faites vos recherches !On vous le dit probablement tout le temps, mais la recherche est vraiment très importante (et au moment où vous vous préparerez pour l'entretien, vous serez déjà un pro !) Il est important de présenter dans votre lettre de motivation les principales raisons pour lesquelles vous souhaitez travailler pour l'entreprise à laquelle vous postulez. Il n'est pas nécessaire d'être long, je dirais que 2 à 3 phrases sont une bonne règle générale, mais profitez-en pour partager avec l'entreprise la mission et les valeurs qui vous correspondent, expliquez pourquoi et montrez comment cela pourrait vous permettre de vous intégrer parfaitement dans leur organisation.     - Terminez par un appel à l'action.L'ajout d'un appel à l'action à votre lettre de motivation laisse le lecteur avec "quelque chose" et l'encourage à agir après la lecture. Profitez de cette occasion pour réaffirmer votre intérêt pour le poste et votre impatience à entrer en contact avec un membre de l'entreprise dans un avenir proche.Voici un bon exemple :Je suis convaincu que mes compétences et expériences pertinentes peuvent apporter une nouvelle perspective à l'équipe de (insérer l'entreprise ici) de (insérer l'équipe dans laquelle vous travailleriez ici) et me permettre de contribuer avec audace au poste de (insérer le rôle pour lequel vous postulez ici).Je vous remercie de votre considération et j'ai hâte de discuter de mes qualifications et du rôle plus en détail.   - Relisez... s'il vous plaît !La dernière chose que vous voulez est une faute d'orthographe ou de grammaire, ou pire, le nom d'une autre entreprise dans votre lettre de motivation (oui, je l'ai fait, apprenez de mon erreur). Relisez votre lettre de motivation et soumettez-la à un correcteur orthographique fiable pour vous assurer que tout est correct et exactement comme vous le souhaitez.Conseil supplémentaire : Efforcez-vous de proposer à l'entreprise une solution (vous engager) à son problème (un poste à pourvoir). Dans votre lettre de motivation, vous devez vous concentrer sur la façon dont vous pouvez les aider plutôt que sur la façon dont ils peuvent vous aider.Réflexions finalesVoici un fait concernant les lettres de motivation : Si un employeur en demande une, elle est importante. En réussissant la vôtre, vous pourriez vous retrouver dans la pile des "oui" plutôt que dans celle des "peut-être".Les lettres de motivation ne sont pas nécessairement difficiles, elles demandent simplement du temps et des efforts pour être bien rédigées.Maintenant que vous avez quelques conseils, allez réussir la vôtre !Vous avez réussi !

Avez-vous déjà entendu le dicton "on n'a jamais une deuxième chance de faire une première impression" ? En général, pour les employeurs qui vous demandent de soumettre une lettre de motivation, c'est la première chose qu'ils verront. Cela signifie que c'est la première impression que votre employeur potentiel aura de vous, et qu'elle doit donc être à la fois convaincante et grammaticalement correcte.Votre lettre de motivation a pour but de vous différencier des autres candidats et d'être utilisée comme un outil pour vous présenter, ainsi que votre expérience et vos compétences transférables, en soulignant pourquoi vous êtes le meilleur candidat pour le poste.Voici quelques conseils pour vous aider à rédiger votre prochaine lettre de motivation :1. Indiquez à qui vous vous adressez.Le fait de s'adresser à son interlocuteur donne le ton du respect pour le reste du document et contribue également à faire une bonne première impression. Essayez de savoir qui est le responsable du recrutement ou le recruteur, et adressez-vous à lui par son nom. Je vous conseille d'éviter d'écrire "à qui de droit", car cela semble peu sincère. Si vous ne trouvez pas le nom de quelqu'un en particulier, n'hésitez pas à écrire "cher responsable du recrutement" ou, ce que je préfère, "chère équipe de recrutement de (insérer le nom de l'entreprise)".2. Adaptez votre message et utilisez des mots-clés !Aucun des emplois auxquels vous postulerez ne sera exactement le même. Votre lettre de motivation ne doit pas l'être non plus. Vous devrez adapter légèrement votre lettre de motivation pour chaque emploi auquel vous postulerez, et choisir quelques compétences ou responsabilités importantes dans la description du poste qui vous a été fournie, et expliquer comment vous pouvez les remplir, en vous appuyant sur des exemples tirés de vos expériences précédentes.Des points bonus si vous utilisez des mots-clés de la description du poste !3. Faites vos recherches !On vous le dit probablement tout le temps, mais la recherche est vraiment très importante (et au moment où vous vous préparerez pour l'entretien, vous serez déjà un pro !) Il est important de présenter dans votre lettre de motivation les principales raisons pour lesquelles vous voulez travailler pour l'entreprise à laquelle vous postulez. Il n'est pas nécessaire d'être long, je dirais que 2 ou 3 phrases sont une bonne règle générale, mais utilisez cette lettre pour partager avec l'entreprise la mission et les valeurs qui vous correspondent, expliquez pourquoi et montrez comment cela pourrait se traduire par un bon ajustement au sein de leur organisation.4. Terminez par un appel à l'actionL'ajout d'un appel à l'action à votre lettre de motivation laisse le lecteur avec "quelque chose" et l'encourage à agir après la lecture. Profitez de cette occasion pour réaffirmer votre intérêt pour le poste et votre impatience à entrer en contact avec un membre de l'entreprise dans un avenir proche.Voici un bon exemple :"Je suis convaincu que mes compétences et expériences pertinentes peuvent apporter une nouvelle perspective à l'équipe de (insérer l'entreprise ici) de (insérer l'équipe dans laquelle vous travailleriez ici) et me permettre de contribuer avec audace au poste de (insérer le rôle pour lequel vous postulez ici). Je vous remercie de votre considération et je suis impatient de discuter plus en détail de mes qualifications et du rôle."5. Relisez... s'il vous plaît !La dernière chose que vous voulez est une faute d'orthographe ou de grammaire, ou pire, le nom d'une autre entreprise dans votre lettre de motivation (oui, je l'ai fait. S'il vous plaît, apprenez de mon erreur). Relisez votre lettre de motivation et soumettez-la à un correcteur orthographique fiable pour vous assurer que tout est correct et exactement comme vous le souhaitez.Conseil supplémentaire : Efforcez-vous de proposer à l'entreprise une solution (vous engager) à son problème (un poste à pourvoir). Dans votre lettre de motivation, vous devez vous concentrer sur la façon dont vous pouvez les aider plutôt que sur la façon dont ils peuvent vous aider.Réflexions finalesVoici un fait concernant les lettres de motivation : Si un employeur en demande une, elle est importante. En réussissant la vôtre, vous pourriez vous retrouver dans la pile des "oui" plutôt que dans celle des "peut-être".Les lettres de motivation ne sont pas nécessairement difficiles, elles demandent simplement du temps et des efforts pour être bien rédigées.Maintenant que vous avez quelques conseils, allez réussir la vôtre ! Vous avez réussi !

Les relations amoureuses exigent un travail constant. Il n'est pas surprenant que nos relations avec le travail le soient aussi.  Une certaine synchronicité permet de décrocher une offre d'emploi - la version professionnelle d'une "jolie rencontre".  Une séquence spécifique d'événements et de décisions tombe, comme des dominos, nous faisant avancer.  Toute relation comporte trois phases. Certains appellent la première "lune de miel/tomber amoureux", la phase intermédiaire "être amoureux" et la phase finale, "l'amour inconditionnel". Sans la première, vous ne pouvez pas entretenir la dernière.  Comme dans la vie, nous jouons tous la carte de la chance, et personne ne s'en sort complètement indemne - d'où la question éternelle "Tout est juste en amour et en guerre ?".  Pour être franc, ce que nous faisons pour vivre, où nous le faisons, avec qui nous le faisons, eh bien, ce n'est pas toujours une partie de plaisir - comme toute relation.À l'occasion de la Saint-Valentin, nous avons dressé une liste rapide de questions à se poser pour déterminer si votre rôle actuel est le bon ou s'il est temps de passer à autre chose. Nos trois principales questions à poser avant de rompre avec votre patron  Un : Avez-vous de la place pour évoluer ?Cette question est sans doute la plus importante de notre Top 3. En y répondant honnêtement, vous ne découvrez pas seulement si vous continuerez à être stimulé et épanoui dans une entreprise, mais aussi la possibilité que vous ayez dépassé ce que vous faites et où vous êtes.  Si vous travaillez pour une organisation dynamique qui s'engage à fidéliser et à impliquer ses employés, et qui souhaite réaliser (au minimum) 21 % de bénéfices en plus que ses pairs qui n'ont pas d'employés impliqués, vous avez beaucoup moins de chances de dépasser l'endroit où vous êtes et ce que vous faites. Vous continuerez à être engagé. Une étude récente du Corporate Leadership Council a révélé que 87 % des personnes sont moins susceptibles de démissionner lorsqu'elles se sentent engagées. Si vous vous grattez la tête en vous demandant pourquoi il a fallu réaliser un sondage auprès de 50 000 personnes pour découvrir cette réalité évidente, personne ne vous en veut, mais ce type de données reste essentiel pour que les employeurs continuent d'investir dans l'amélioration des compétences, la formation, etc. pour évoluer avec leurs équipes.En bref, nous ne pouvons pas simplement nous marier et arrêter d'essayer. Nous savons que cela ne fonctionne pas, 50 % des mariages se terminent par un divorce, et ce pour une bonne raison : il est facile de s'installer confortablement. Cependant, si nous restons dans nos zones de confort, nous ne grandissons pas et nous nous ennuyons.  Deux : êtes-vous vraiment fatigué ou simplement épuisé ?Comme pour les relations O.O.O., souvent ce que nous cherchons à l'extérieur de nous-mêmes est justement ce qui nous manque. C'est une évidence, alors si vous appliquez cela à votre travail... pouvez-vous honnêtement dire que vous en avez assez de ce que vous faites, de l'endroit où vous travaillez (des personnes avec qui vous travaillez) ou êtes-vous simplement épuisé et n'avez pas les idées claires ?Si vous ne vous donnez pas ce dont vous avez besoin pour vous sentir épanoui en tant qu'être humain et que vous vous demandez ensuite pourquoi vous en avez "fini" avec votre vie professionnelle, vous êtes dans un endroit particulièrement commun. Vous reflétez également ce que la plupart des gens font dans leurs relations. Et, bien que s'éloigner semble temporairement facile, ce qui est le plus facile à long terme, c'est de prendre le temps de travailler sur les raisons pour lesquelles vous ressentez ce que vous ressentez afin d'adapter les modèles inutiles.  Parfois, ce processus de changement nécessite des conversations difficiles ou gênantes au départ, mais sans transparence ni vulnérabilité sur le lieu de travail, il n'y a pas vraiment de progrès.Le sentiment d'épuisement est courant, vous n'êtes donc pas seul dans ce cas. Plus d'un tiers de la population s'identifie actuellement comme étant épuisée. Ce n'est pas drôle, mais comme dans une relation saine, chaque moment ne l'est pas et si votre patron peut être témoin de ce que vous ressentez réellement et de ce que vous traitez, il existe des moyens de vous donner ce dont vous avez besoin pour rebondir."Car personne ne peut combler ceux de tes besoins que tu ne laisses pas transparaître."  - Bill WithersD'un autre côté, peut-être que vous vous sentez bien ! Peut-être avez-vous du peps dans votre démarche, un grand Starbucks à la main, du soleil sur le visage, et vous fredonnez un air jovial tous les matins ! Puis, sans faute, vous ouvrez votre ordinateur portable ou la porte de votre bureau et vous sentez vos entrailles reculer. Cela signifie franchement qu'il est temps de passer à autre chose. Toute dynamique relationnelle qui vous fait ressentir cela doit être précédée d'un "EX". Troisièmement : Pensez-vous que ça vaut la peine de la sauver ?Nous avons gardé cette question pour la fin et vous seul pouvez y répondre. Si vous pensez qu'il y a encore assez de choses à faire pour avoir des réunions, des conversations ouvertes et une approche ouverte d'esprit qui peuvent vous amener à des pâturages plus verts sans partir, alors faites-le. La loyauté est quelque chose qui va loin - dans les deux sens. Si vous pouvez vraiment vous engager envers les gens, cela en dit long sur vous et votre dynamique avec d'autres personnes dans votre carrière en dit long. La question est la suivante : sont-ils vraiment engagés envers vous ? Si la réponse est oui, vous avez encore de quoi travailler. 

Jerry Maguire, une fiche d'informationAlerte spoiler pour tous ceux qui n'ont pas vu le film classique (iconique ?) Jerry Maguire, notre titre est, en effet, une citation du film. Un film sur la quête de sens d'un homme dans un monde d'entreprise "coupe-gorge" où les valeurs ne sont que des autocollants muraux parfois articulés à des "prospects" pour atteindre un résultat souhaité et où les employés sont des générateurs de profit facilement remplaçables."Que suis-je ? Juste un autre requin dans un costume ?" - Jerry (Jer)Essentiellement, Jerry finit par se faire virer d'une énorme société de gestion d'athlètes, réalisant qu'il n'était qu'un autre requin en costume (toutes ces années) et que son utilisation d'un dicton hérité de son mentor, "La clé des affaires est dans les relations personnelles", n'était que des mots - creux, sans signification (comme son âme...). Oh, le drame !  Le drame !Après avoir été "mis à la porte", Jerry décide de devenir un homme meilleur, mais pas avant d'avoir "perdu la tête" devant ses pairs et d'avoir très publiquement volé le poisson rouge de l'entreprise dans son aquarium, de l'avoir mis dans un sac Ziploc et d'avoir quitté la scène. Après la " démonstration théâtrale " de son " émotion de viré ", Jerry passe aux choses sérieuses et travaille sans relâche à la conception d'une entreprise concurrente (qu'il espère), avec l'aide d'une mère célibataire et collègue douce et un peu perdue... Dorothy Boyd. Sa nouvelle entreprise est une construction lente, fondée sur une éthique qu'il a rédigée au milieu d'une crise de la vie et motivée par le concept de l'humain avant le profit. Il photocopie sa philosophie, la dépose dans les boîtes aux lettres de tous ses anciens collègues et se donne à fond pour construire cette nouvelle entreprise "révolutionnaire" qui gère les athlètes "de la bonne façon". On peut en douter ? Bien qu'il s'agisse en fin de compte d'une histoire d'amour entre "Jer" et "Dorothy", ce film traite dès le départ de la culture d'entreprise. Bien que la nouvelle entreprise de Jerry soit faite de hauts et de bas, elle finit par décoller lorsque, dans une scène émouvante, il montre à quel point il se soucie de son client blessé et de sa diffusion internationale. En conclusion, son téléphone commence à sonner et les gens veulent travailler avec Jerry. Pourquoi ? Parce que les gens veulent travailler avec des personnes qui se soucient vraiment d'eux.Pourquoi la culture du lieu de travail est-elle importante ?En tant qu'employés, nous voulons avoir la possibilité de donner le meilleur de nous-mêmes et ne pas compromettre qui nous sommes, comment nous nous sentons et comment nous vivons. Un bon leadership est ancré dans des systèmes de valeurs clairs, communiqués et maintenus - les bonnes entreprises et les bonnes marques sont motivées par des objectifs. Ce que nous ressentons au travail est important et cela se répercute sur le lieu de travail et dans nos vies. Même si ce n'était pas le cas, nous passons en moyenne 90 000 heures par an au travail, de sorte que le concept même de culture d'entreprise - de l'éthique à la mise en œuvre - a des répercussions tangibles et réelles sur la vie quotidienne et au-delà.À propos : Le dictionnaire Cambridge définit la culture organisationnelle (insérer "lieu de travail") comme "les types d'attitudes et les méthodes de travail partagées par les employés d'une entreprise ou d'une organisation". Donc, si vous êtes en train de vous familiariser avec le concept de culture d'entreprise, c'est simple.Fondamentalement, chaque employé, dans n'importe quelle organisation, sait que la "culture d'entreprise" vous fait vous sentir bien ou (sérieusement) minable (insérez les mots mauvais, négatifs, contrariés, tristes et autres mots déprimants). Un récent message viral en ligne dit : "La culture, c'est la façon dont le cœur et l'estomac des employés se sentent le lundi matin le dimanche soir". - Bill Marklein. Je ne pourrais être plus d'accord. La culture de votre lieu de travail est vécue. Les décisions humaines, les interactions et le traitement des décisions, pratiques et politiques organisationnelles descendantes sont ce qui fait ou défait la culture du lieu de travail. Comme toute idée novatrice, elle ne fonctionne que si on la fait fonctionner.Les gens font ou défont la "culture". Il faut que quelqu'un dise "ce n'est pas comme ça qu'on fait les choses ici" ou "ça ne nous convient pas" ou, même parfois, "vous êtes viré" pour incarner pleinement la culture voulue. Et ces start-up qui n'ont pas de culture d'entreprise intacte, eh bien elles disent au revoir aussi vite qu'elles ont dit bonjour.(Attrapez le poisson rouge !)Avant de communiquer une culture organisationnelle et d'espérer que les humains/employés la respectent, une entreprise doit décider qui elle est, ce qu'elle offre et ce qu'elle défend. Comme l'a fait Jerry.  Facile, non ? Les façons dont la culture du lieu de travail est mise en œuvre, maintenue et comprisePour construire une culture d'entreprise, les dirigeants doivent avoir posé les questions suivantes (au moins). Si vous lisez ces questions et que vous avez l'impression que votre direction ne l'a pas fait, cela pourrait être un signal d'alarme indiquant que la culture du lieu de travail n'est pas claire dans votre organisation : Mes employés sont-ils satisfaits de ce qu'ils font - de ce que nous sommes ? Avons-nous été parfaitement clairs sur nos valeurs fondamentales et notre "pourquoi" ?Incarnons-nous nos valeurs et nous montrons-nous authentiques pour notre équipe et nos clients ?Mettons-nous en place des systèmes pour créer un sentiment de "sécurité psychologique", d'appartenance, d'ouverture et de confiance au sein de nos équipes ? Dans ce contexte, défendons-nous les droits de l'homme ?Écoutons-nous plus que nous ne parlons ? Avons-nous mis en place des processus d'évaluation pour corriger chaque étape du parcours ? (Exemple de processus d'évaluation : postes d'écoute, formulaires de retour d'information, enquêtes anonymes, politique de la porte ouverte, personne de référence pour la culture d'entreprise ou les RH).Sommes-nous à l'écoute des tendances actuelles qui influencent l'avenir du travail ? (horaires de travail flexibles, avantages sociaux, et les moyens de soutenir les approches humanistes) Comme le dit Brené Brown dans son émission spéciale sur Netflix, The Call to Courage, "Lorsque nous construisons des cultures au travail où la tolérance pour la vulnérabilité est nulle, où le perfectionnisme et l'armure sont récompensés et nécessaires, nous ne pouvons pas avoir de conversations productives." Si vous n'avez pas encore été embauché par une entreprise et que vous souhaitez en savoir plus sur la culture de son lieu de travail, voici ce que vous pouvez faire : Avant de postuler, ou avant votre premier entretien, consultez les avis d'anciens employés sur l'entreprise. Vous pouvez trouver des avis sur des sites tels que Glassdoor, Indeed et Rate My Employer. Ce que les personnes qui ont travaillé pour l'entreprise disent d'elle est important.Si vous décrochez un entretien avec une entreprise et que vous souhaitez en savoir plus sur sa culture d'entreprise, vous pouvez l'interroger à ce sujet dans la partie de votre entretien consacrée aux questions des candidats. Des questions telles que : "Quel est le taux de rotation du personnel ici ?", "Comment célébrez-vous les petites et grandes victoires de votre équipe ?", "Offrez-vous des journées de santé mentale ? Quelles sont les valeurs de votre entreprise et que faites-vous pour les défendre ?", et bien d'autres encore - exemples ici : Culture d'entreprise : 25 questions à poser à vos employés (skeepers.io)Allez sur leur site web et vérifiez s'ils ont mis leur "pourquoi" et leurs employés au centre de leur représentation de la marque. Quel sentiment éprouvez-vous à l'idée de travailler pour cette entreprise, dès le départ ?Si vous travaillez déjà dans une entreprise et que vous voulez savoir si celle-ci possède une culture d'entreprise positive, demandez-vous d'abord ce que vous ressentez en allant travailler chaque jour. Pour étayer vos sentiments, qui priment dans l'ensemble, vous pouvez vous référer à une liste de contrôle comme celle-ci (nous l'aimons bien). En résumé  Qu'espérons-nous que vous retiendrez de cet article de blog ?  La culture du lieu de travail est importante. Les relations personnelles sont importantes.Ce que nous pensons et ce que nous savons est essentiel, mais ce que nous sommes est encore plus important (en paraphrasant Brene, pouvez-vous m'en vouloir ?).  Jerry Maguire est un vieux film, mais incroyablement bon, qui, par essence, est plus qu'une simple histoire d'amour et qui commence par un bon regard sur la culture du lieu de travail. Si vous ne l'avez pas vu, allez le voir avec votre mère, votre père, vos grands-parents, quelqu'un qui l'appréciera autant que moi.....Recevoir une offre d'une entreprise, c'est bien, mais recevoir une offre d'emploi dans un endroit où la culture du travail est positive ? Eh bien, cela laissera n'importe qui dire "Vous m'avez eu au bonjour. Vous m'avez eu... au... bonjour."C'est vraiment, vraiment bien d'aimer ce que vous faites, mais pas au détriment de l'amour et du respect de vous-même et de vos pairs.  

L'entretien d'embauche n'est pas seulement un moyen pour votre futur employeur potentiel d'apprendre à vous connaître. C'est aussi un excellent moyen pour vous d'apprendre à connaître l'organisation et les personnes avec lesquelles vous pourriez travailler un jour.Bien entendu, neuf fois sur dix, la partie de l'entretien où vous pouvez poser des questions se termine à la fin. Cela signifie que les questions que vous posez peuvent avoir un impact important sur la façon dont l'entretien se termine et dont l'interlocuteur se souvient de vous.J'ai parlé avec Kayla Vink, coordinatrice de la gestion des talents chez ArcelorMittal Dofasco, pour connaître son point de vue sur les questions des candidats : "Les questions des candidats sont toujours les bienvenues - en fait, je les encourage vivement ! Je crois que cela facilite un dialogue positif entre les candidats et l'employeur, où ils peuvent exprimer davantage leur intérêt pour le rôle et aider à déterminer si celui-ci correspond à leur carrière." Quelles sont donc les bonnes questions à poser ?  Voici 7 questions que vous devriez envisager de poser à la fin de votre prochain entretien : Quel est le meilleur conseil que vous puissiez donner à une personne qui rejoint votre équipe ?Cette question donne un bon aperçu de la façon dont vous pourriez vous intégrer dans cette équipe spécifique et de ce que la personne qui fait passer l'entretien recherche chez un candidat (c'est aussi ma préférée !). Quelle est la chose la plus inattendue que vous ayez apprise en travaillant ici ?La plupart des intervieweurs ont probablement l'habitude d'entendre la question "Qu'est-ce que vous préférez dans votre travail ici ? Il se peut qu'ils n'anticipent pas cette question, ce qui les encouragera à partager une expérience unique et vous donnera également des histoires et des points de vue différents sur l'équipe et l'entreprise. Après (insérer une période de temps ici), qu'est-ce que j'aurais pu faire dans ce rôle pour que vous puissiez regarder en arrière et dire : "Je savais que (insérer les pronoms ici) serait une bonne recrue !"Cela montre à l'interviewer que vous êtes axé sur les résultats - vous voulez savoir à quoi ressemble le succès dans ce rôle afin de pouvoir le concrétiser ! Y a-t-il quelque chose que je pourrais faire avant de commencer ce travail pour me préparer à réussir ?Cette question vous fera probablement ressortir comme une personne très performante, qui cherche déjà à savoir ce qu'elle peut faire pour réussir et obtenir des résultats positifs dans le cadre de ce poste ! Y a-t-il un projet sur lequel vous travaillez en ce moment et qui vous enthousiasme vraiment ?S'ils sont autorisés à en parler, cela vous donnera un aperçu de ce qui se passe en interne et l'interviewer pourra montrer sa passion pour ses projets ! Quels sont les plus grands défis auxquels ce département est confronté ?C'est une excellente question à poser car elle vous en dira long sur la façon dont l'entreprise réagit aux défis et aux changements. C'est aussi une excellente occasion pour vous de comprendre comment vous pouvez être utile ! À quoi ressemble votre calendrier de recrutement ?Il s'agit d'une excellente question sur les "prochaines étapes", et d'une bonne façon de clore l'entretien sans vous demander ce qui va suivre !Dernières réflexionsSi c'est TOUJOURS une bonne idée de poser des questions, ce n'est pas une bonne idée de toutes les poser.Bien sûr, il n'y a pas de nombre parfait, mais je dirais qu'une fourchette de 2 à 4 est généralement sûre. Vous devriez également toujours voir si votre interlocuteur a un point d'arrêt fixe, afin de savoir combien de questions vous pouvez poser dans le temps qui vous reste.N'oubliez pas : vous voyez si l'entreprise vous convient, tout comme elle voit si vous lui convenez ! En vous préparant à l'avance et en posant des questions réfléchies, la décision sera plus facile pour vous deux !

La rumeur dit que tu as trouvé un nouveau travail ! Félicitations !Je sais que vous serez plus confiant en commençant votre nouvel emploi si vous passez un peu de temps à préparer cette transition. Voici quelques conseils pour vous aider à bien démarrer : Faites vos devoirs avant de vous lancer: Parfois (et surtout pour les grandes entreprises qui sont souvent très transparentes sur la culture d'entreprise et l'expérience des employés), vous pourrez trouver des vidéos d'entreprise, des chaînes YouTube ou même des pages TikTok d'employés parlant de leurs expériences et montrant leur espace de bureau. Il peut également être utile pour vous de lire des blogs, des forums ou même de parcourir les questions-réponses sur des sites Web comme glassdoor. Si rien de tout cela ne vous est utile, vous pouvez toujours demander à un ami ou entrer en contact avec quelqu'un sur LinkedIn pour avoir une meilleure idée de la journée moyenne d'un membre de votre équipe, ou du code vestimentaire général de votre bureau - deux éléments qui peuvent vous aider à préparer votre premier jour.       2. N'ayez pas peur de poser des questions et souriez !: Vous apprécierez beaucoup plus votre nouvel emploi si vous aimez être avec vos collègues. Le fait de sourire, d'être sincèrement intéressé et de le montrer en n'ayant pas peur de poser des questions peut vous aider à partir du bon pied. C'est un peu comme les rencontres amoureuses : tout le monde veut être entouré de quelqu'un qui les fait sourire et qui fait l'effort d'apprendre à les connaître. En fin de compte, il est important de noter que créer des liens (ou mieux encore, se faire des amis !) au travail peut être tout aussi important que d'être bon dans son travail.        3. Habituez-vous à dire oui (du moins pendant un certain temps): Accordez-vous quelques jours de grâce, car nous savons que l'intégration peut être stressante et que commencer quelque chose de nouveau peut être accablant. Mais, en tant que nouveau membre de votre équipe, je vous encourage à dire oui à des discussions autour d'un café, à des déjeuners, à vous porter volontaire pour un nouveau projet ou une nouvelle initiative, ou à tout ce qui vous tombe sous la main (utilisez votre jugement personnel, bien sûr). C'est un bon moyen d'apprendre à connaître les autres membres du bureau et de démontrer votre volonté d'aider/apprendre et d'être agréable.Bonus : offrez votre aide partout où vous le pouvez ! Le travail d'équipe fait fonctionner le rêve !        4. Cherchez du soutien: Nous avons déjà parlé de l'importance de créer des liens et d'apprendre à connaître les autres au travail. Profitez-en pour trouver un mentor ou un "copain" qui pourra vous soutenir et vous guider dans les moments difficiles que vous rencontrerez dans votre rôle. Il y a de fortes chances que cette personne se soit déjà trouvée à votre place et qu'elle ait rencontré la même chose, elle pourra donc vous donner de bons conseils pour vous aider à réussir.         5. Écoutez deux fois plus que vous ne parlez: Cela revient à dire qu'il ne faut pas avoir peur de poser des questions. Il est important d'assimiler autant d'informations que possible ! N'oubliez pas d'écouter et de prendre des notes - vous ne serez pas toujours nouveau, alors profitez de cette occasion d'apprendre.Félicitations encore pour votre nouvelle embauche ! La partie la plus difficile est terminée et vous pouvez en être fier !Il ne vous reste plus qu'à faire une excellente première impression et à être le meilleur employé possible ! Allez les chercher !

Ce n'est un secret pour personne qu'il est facile de se décourager lorsqu'on postule à des emplois et qu'on consulte chaque jour les sites d'emploi dans l'espoir d'une nouvelle opportunité.Rappelez-vous ceci : vous allez décrocher un emploi et passer un été formidable. Mais si vous n'êtes toujours pas convaincu, n'hésitez pas à jeter un coup d'œil à ces secteurs en pleine croissance pour 2023, et à utiliser ces conseils pour vous aider à vous démarquer de la concurrence et à décrocher une nouvelle opportunité amusante :Les 3 principales industries en croissance au Canada cette année (2023)Sources : IBISWorld et The Globe and MailTechnologie Bien sûr, ce n'est pas une surprise : la technologie est partout (et comme j'ai travaillé dans ce secteur, je peux affirmer avec confiance que c'est un secteur où il fait bon travailler). Selon un rapport récent de Business Development Canada, "la croissance du secteur de la technologie devrait être de 5,3 % en 2022, et la croissance pour la période 2021-24 devrait être de 22,4 %."Tourisme Comme nous le savons, le COVID-19 a eu des répercussions directes sur les voyages et le tourisme dans le monde entier. Maintenant que les choses sont " revenues à la normale ", le tourisme continue d'être une industrie en pleine croissance, que ce soit par le biais des agences de voyage, du transport aérien, des hôtels et de l'hospitalité, et d'autres expériences touristiques, nous pouvons nous attendre à une croissance au sein de cette industrie dans son ensemble pour 2023. Promotion des concerts et des événements Encore une fois, de nombreux organismes et lieux de spectacle sont en plein " retour " post-covid. Selon IBISWorld, les revenus ont connu une baisse moyenne de 5,1 % par an en moyenne entre 2017 et 2022. Cela a créé beaucoup de potentiel pour la croissance de l'industrie, avec des augmentations de revenus prévues de 76,4% pour 2022/23, car les consommateurs reviennent aux événements sportifs en personne, aux concerts, aux théâtres et aux foires.  Comment faire face à la concurrenceAjoutez une touche personnelleHonnêtement... tout commence par votre lettre de motivation. Les employeurs savent quand votre lettre de motivation a été copiée et collée encore et encore. Mon meilleur conseil est d'écrire une lettre de motivation personnalisée pour chaque emploi (je sais que c'est fastidieux mais cela en vaut la peine) et de la rendre aussi personnalisée que possible (par rapport au rôle, à l'entreprise, etc.). Faites des recherches sur l'entreprise et apprenez à la connaître ! Vous pourrez ainsi mentionner dans votre lettre de motivation pourquoi vous les admirez et comment vos valeurs s'alignent sur les leurs.N'ayez pas peur de prendre des risquesMême si vous n'avez pas d'expérience préalable/pertinente, n'ayez pas peur de postuler quand même. Vous ne savez jamais si un employeur verra votre potentiel et vous offrira une opportunité. N'oubliez pas que ce poste sera de courte durée, ce qui signifie que c'est le moment idéal pour apprendre ce que vous aimez et ce que vous n'aimez pas. Quel que soit le résultat, vous en ressortirez quand même avec des connaissances et des expériences précieuses que vous pourrez mettre à profit lors de votre prochaine opportunité !Commencez petit pour atteindre de grands rêvesPrenez ce que vous pouvez obtenir - ne le prenez pas mal, mais si l'on vous propose un emploi qui n'est pas celui de vos rêves, je vous encourage à le prendre quand même. Si l'emploi de vos rêves ne se présente pas cet été, je peux vous assurer qu'il finira par se présenter à vous. Je dis toujours aux gens que toute expérience est une bonne expérience et je m'y tiens.  Surtout si le poste n'est que pour l'été - il vous permettra d'acquérir de l'expérience dans votre domaine de prédilection et vous donnera les moyens de réussir à l'avenir.Dernières réflexionsVous savez tous quelle heure il est ! Il est temps de postuler !Bien sûr, nous sommes un peu partiaux, mais Outcome Campus Connect offre tellement de possibilités incroyables d'emplois d'été. Que vous postuliez pour des emplois dans le domaine de la technologie, du tourisme, de la promotion d'événements ou tout autre domaine, nous vous couvrons !Bonne chance pour commencer à postuler afin de décrocher un grand rôle cet été ! Je croise les doigts pour vous tous !  

Que diable sont les compétences transférables ? Vous vous demandez ?La valeur des compétences transférables ne se limite pas à un rôle ou à un secteur d'activité spécifique, ce qui est bénéfique pour le parcours professionnel de chacun. Par définition, ce sont de véritables raisons de rechercher des compétences transférables.  Acquérir, identifier, articuler et incorporer des compétences transférables dans votre discours d'ascenseur vous sera sans aucun doute bénéfique. Il est important de noter que, compte tenu de l'évolution du paysage de l'emploi dans notre pays (et dans le monde), les employeurs continueront à miser sur les candidats qui peuvent démontrer à la fois leur expérience et les compétences transférables acquises, faisant ainsi preuve d'agilité et d'adaptabilité d'un seul coup.Voici dix compétences transférables qui vous permettront de booster votre candidature et votre carrière - dans une variété de secteurs et de rôles - avec l'aimable autorisation de (nos amis) d'Indeed :(1) Communication(2) Fiabilité(3) Travail d'équipe(4) Organisation(5) Adaptabilité(6) Leadership(7) Prise de décision(8) Empathie(9) Initiative(10) Connaissances technologiquesMasterclass présente également plusieurs autres compétences importantes, telles que les compétences interpersonnelles et la gestion du temps, et explore comment le simple fait d'acquérir des compétences transférables ajoute une valeur perçue par les employeurs qui envisagent votre formation future, votre capacité d'innovation et votre potentiel global.Si vous ne savez pas si vous avez déjà des compétences transférables, essayez cet exercice de remue-méninges :(1) Bouton facile : Prenez un stylo et du papier(2) Commencez à noter vos acquis postsecondaires, si vous n'avez pas encore acquis d'expérience professionnelle, ou les deux.(3) Une fois que vous avez terminé, passez en revue vos expériences à ce jour.(4) Croisez chaque expérience avec la liste ci-dessus (ou ajoutez-en d'autres, selon vos besoins) de compétences transférables et inscrivez dans une colonne à côté de chaque section d'expérience de travail les compétences transférables acquises.(5) Injectez ce langage dans chaque section d'expérience professionnelle.(6) Tentez d'articuler votre discours d'ascenseur mais intégrez-y vos trois principales compétences transférables acquises pour renforcer le discours et, simplement à titre d'exercice, clarifier la façon dont vous pouvez contribuer à (n'importe quel) employeur.(7) C'est peut-être le moment de retaper votre CV, de reformuler votre vision de vous-même en tant que candidat et d'avancer avec plus de confiance ;) Vous avez réussi ! 

Les gens sont à la recherche de meilleurs salaires et environnements de travail, toujours, ce n'est pas une nouvelle. Notre quotidien moderne est un sundae de possibilités, avec, cerise sur le gâteau : aucune pénurie d'options. Ce que nous faisons de ce que nous savons ne dépend que de nous. Il n'est donc pas surprenant que le monde entier s'intéresse au concept de ce que l'on appelle désormais collectivement "l'application de la rage". Ce terme signifie que l'on se défoule sur son ou ses patrons ou sur l'entreprise qui nous emploie, en postulant à autant d'emplois que possible afin d'être embauché, d'obtenir une meilleure rémunération et d'utiliser son "caractère recherché" comme levier pour obtenir plus de valeur de l'endroit où l'on se trouve ou pour partir brusquement (musique de départ dramatique). C'est le contraire d'une démission discrète, certes, mais le plus souvent, la personne la plus bruyante dans la pièce est celle qui manque le plus d'assurance. Il a également été dit, notamment, qu'il n'y a pas de raccourcis pour aller dans un endroit qui en vaut la peine (Beverly Sills).Cette approche proactive, que certains qualifient d'agressive, de la recherche d'emploi par le biais de candidatures massives et rapides à des postes est également due à des raisons extérieures à la politique de bureau. Avec l'économie à un point de basculement possible, les balances penchant sans doute vers la récession (peut-être), les gens sont à la recherche d'un terrain plus sûr (payant). C'est peu dire que l'environnement dans lequel nous évoluons depuis quelques années et dans les années à venir est en dents de scie. La combinaison nuancée de facteurs qui contribuent aux demandes de rage est une combinaison qui comprend également la conscience post-pandémique, la fusion post-pandémique de la vie et du travail, la recherche d'un but et d'un sens dans ce que nous faisons, comment nous le faisons et pour qui nous le faisons, les lacunes en matière d'emploi dues à la démission massive et le refus de continuer à être dépassé pour les promotions, les augmentations ou la reconnaissance de ce que nous apportons.Avec un grand nombre d'employés, dans le monde entier, et maintenant aussi des candidats désireux de "quitter le navire" avec moins d'hésitations, un filet plus large, et des réseaux sociaux et des plates-formes à haute visibilité soutenant la folie de la candidature de rage, nous sommes à un moment critique. Rage postulant a donné lieu à des témoignages de candidats obtenant rapidement des rôles résultant en $30,000 * augmentations de salaire, mais qu’est-ce qui a été perdu dans le processus? L'avenir nous dira si la rage de postuler continue de séduire les plus de 800 millions d'utilisateurs mensuels de TikTok ou s'il s'agit simplement d'une mode, comme le fait de démissionner discrètement ou d'agir en fonction de son salaire. Ce que nous savons, c'est que les réactions instinctives se transforment souvent en décisions que l'on regrette. *‘Rage-applying’ is the new ‘quiet quitting,’ and it’s helping Gen Z and millennials land $30,000 raises (yahoo.com)

Mon expérience des activités parascolairesFaire partie d'activités parascolaires changera votre expérience postsecondaire. Vous rencontrerez de nouvelles personnes et une communauté, et vous deviendrez une personne plus complète grâce au partage des connaissances. Certaines de mes expériences les plus pertinentes et les plus passionnantes sont liées à ma participation à des activités extrascolaires et à des équipes de direction à l'école, ce que je fais depuis la première année. Chaque expérience m'a appris quelque chose de différent et m'a permis d'acquérir des compétences et de nouer des contacts que je n'aurais pas pu avoir autrement.(Point bonus : ces expériences me donnent plus de choses à raconter lors des entretiens d'embauche).Plus important encore, cette participation accrue sur le campus et à l'extérieur m'a rendu très fier et m'a permis d'apprécier davantage les autres personnes qui assument volontairement des rôles comme celui-ci. Mais ce que je retiens surtout, c'est que je sais vraiment quand j'aime quelque chose et que cela me passionne (ce qui signifie que je veux le faire sur mon temps libre même si je ne suis pas payée).Ce que je fais maintenantJe fais partie d'une équipe de direction dont je suis très fière : la Ligue canadienne de marketing. Je m'y suis joint il y a environ 8 mois et j'ai évolué vers le rôle de chef du marketing (ça a l'air cool, je sais). Essentiellement, mon travail consiste à créer du contenu, à superviser nos canaux sociaux, à créer et à marquer une variété de documents, et à produire des articles pour l'impression ! C'est très amusant et c'est une excellente façon pour moi d'être créative et d'apprendre de mes pairs qui ont les mêmes passions que moi.Qu'est-ce que la Ligue canadienne de marketing ?Voici le discours que je donne à tout le monde lorsque nous partons en voyage pour visiter des écoles à travers le Canada (je reviens tout juste d'un voyage où j'ai visité cinq écoles la semaine dernière) :La Ligue canadienne de marketing (LMC) est le plus grand concours de cas de marketing au Canada. Nous avons plusieurs entreprises commanditaires que nous aimons appeler " partenaires d'apprentissage ", notamment PepsiCo, McDonalds, Kraft Heinz, General Motors et Microsoft (je sais, c'est vrai... incroyable).En ce qui concerne le concours, il se déroule en trois phases. Nous appelons la première phase la "pré-saison" (et elle est sortie maintenant... jusqu'au 23 janvier si vous voulez participer). Il s'agit pour les étudiants de soumettre une présentation vidéo préenregistrée de 3 minutes suivant un cas de PepsiCo. Les 25 meilleurs étudiants de la pré-saison passeront à la "saison régulière" et réaliseront deux autres cas provenant de différents partenaires d'apprentissage, qu'ils présenteront en direct via Microsoft Teams. Ensuite, les 10 meilleurs passeront aux "éliminatoires" et se verront offrir un voyage tous frais payés à Toronto pendant un week-end, où ils s'affronteront dans un cas final et le présenteront en personne à nos juges du secteur.Le grand prix est de 20 000 dollars. Oui, vous avez bien lu. ET... parce que nous avons tant d'entreprises commanditaires, beaucoup d'entre elles ont des postes à pourvoir (c'est excitant, je sais).Essentiellement, le CML est un moyen pour les étudiants de premier et de deuxième cycle intéressés par le marketing de se mettre au défi, d'être reconnus et d'ouvrir des portes à des opportunités de carrière. Voici notre site Web si vous voulez en savoir plus : marketingleague.ca.Qu'est-ce qui rend CML différent des autres ?Pour faire court, CML est exactement ce que je cherchais dans une activité parascolaire :Il m'a permis de rencontrer des gens extraordinaires qui, j'en suis sûr, seront mes amis pendant des années. Il me met constamment au défi de sortir des sentiers battus et d'être créatif. Elle m'a permis d'établir un réseau et d'entrer en contact avec de nombreuses personnes du secteur qui ont vécu des expériences similaires aux miennes. Il m'a permis de visiter des bureaux d'entreprises incroyables et de faire des voyages en Ontario et au Québec pour visiter différentes universités. Cela me permet de me concentrer sur ma passion pour le marketing et de partager une opportunité incroyable avec mes pairs !C'est cool, je sais.Mon conseilVoici mon conseil à tous ceux qui veulent ressentir la même chose que moi à propos de leurs activités parascolaires : participez à des activités qui vous apportent de la joie et auxquelles vous voulez participer pendant votre temps libre. Si, le plus souvent, cela ressemble à une corvée, ce n'est pas l'activité extrascolaire qui vous convient, et ce n'est pas grave. Il m'a fallu attendre ma 5e année pour trouver quelque chose qui me passionne vraiment et que j'aime, et je sais que tu trouveras la tienne aussi !Bonne chance !  

Bien sûr, les vacances d'hiver sont une pause bien nécessaire entre les cours, la lecture, les études et les examens (et quand je dis bien nécessaire, je le pense vraiment). Le temps libre est le meilleur pour passer du temps avec la famille et les amis, se détendre, manger de la bonne nourriture et, surtout, rattraper le sommeil qui nous manque pendant le semestre.Avant même de vous en rendre compte, votre congé est terminé et il est temps de retourner à l'école - et vous pouvez avoir des émotions contradictoires. Il est tout à fait normal de se sentir triste que les vacances soient terminées, ou même stressé lorsque vous réalisez que vous devrez rapidement retrouver la routine des étudiants.Voici trois mesures que vous pouvez prendre pour vous assurer que vous êtes prêt à donner le meilleur de vous-même ce semestre :Planifiez à l'avancePendant que vous êtes encore en vacances et que vous avez du temps libre, commencez à vous préparer pour le nouveau semestre. Il peut s'agir de commencer à se réveiller un peu plus tôt à mesure que le compte à rebours commence, de se préparer à rédiger des notes, que ce soit sous forme numérique ou sur papier, ou simplement de s'adapter à votre emploi du temps habituel pendant les cours. Si vous faites ces choses quelques jours avant le début du semestre, il vous sera beaucoup plus facile de vous adapter à la réalité lorsque vous retournerez à l'école.Fixez des objectifsAvant de reprendre les cours, dressez une liste des choses que vous voulez réaliser au cours du semestre. Il peut s'agir d'obtenir de bonnes notes dans tous vos cours, d'aller à la gym ou de vous inscrire dans un club. Quoi qu'il en soit, assurez-vous d'être réaliste et de réfléchir à la manière dont vous allez atteindre ces objectifs. Il vous sera utile de décomposer comment vous y arriverez et ce que vous devez faire pour atteindre ces objectifs - il vous sera beaucoup plus facile d'atteindre votre plein potentiel !Respectez un calendrierVous savez ce qu'on dit... "une bonne planification évite les mauvaises performances".De toute évidence, vous avez un horaire de cours régulier et c'est sans doute la chose la plus importante que vous devez faire. Veillez à utiliser un calendrier (numérique ou papier, selon ce qui vous convient le mieux) pour prévoir du temps dans votre journée pour les activités extrascolaires, le travail, les études, l'exercice et les activités sociales. Cela vous aidera à ne pas perdre de vue tout ce que vous avez à faire et ce que vous voulez faire.N'ayez pas peur de poser des questionsFaites-vous une faveur et n'ayez pas peur de poser des questions. Que vous ayez des questions spécifiques sur un projet ou un devoir, ou que vous ayez simplement besoin d'aide sur le matériel de cours, ce n'est jamais une mauvaise idée de poser des questions. Après tout, vos professeurs, assistants d'enseignement et camarades de classe sont là pour vous aider et souhaitent sincèrement vous voir réussir. Quelle meilleure façon d'assurer votre réussite scolaire que de poser des questions pour vous assurer que vous êtes sur la bonne voie !Dernières réflexionsReprendre la routine après une longue pause n'est jamais facile, mais avec une planification réfléchie et un peu d'attention, cela peut tout à fait être rendu plus facile. Soyez simplement patient avec vous-même (cela vous aidera beaucoup, je vous le promets).Je vous souhaite à tous la meilleure des chances pour ce nouveau semestre - je vous encourage ! 

Le retour au travail ou à l'école après les vacances peut sembler difficile. Oui, ce lundi est un mardi, une semaine de travail de quatre jours, mais relancer les routines pour réussir, que l'on soit étudiant ou "employé", demande une planification supplémentaire. Pour faire avancer les choses, il est essentiel d'utiliser des techniques d'autogestion qui ont fait leurs preuves. L'autogestion est le fondement de toute entreprise ou individu qui réussit et pourtant, seul 1 manager sur 10 est considéré comme un leader ou un succès. Une grande partie des sentiments que nous éprouvons lorsque nous retournons au travail est une perte de contrôle sur nos journées que nous avions lorsque nous étions "O.O.O", alors quel meilleur moment pour élever nos compétences en autogestion et nous donner l'agence sur ce que nous faisons, comment nous le faisons, et où ?Voici quelques conseils qui, nous l'espérons, vous permettront d'atténuer l'angoisse de l'après-fêtes :Travailler selon son chronotype : Physiologiquement, chaque être humain est soumis à un cycle de 24 heures - rincer et répéter. Tous les cerveaux et tous les corps, tous les humains, ne se développent pas à la même heure. Cela est dû, en partie, à la survie de l'espèce - la différenciation est une part importante de ce qui rend les humains adaptables en tant qu'espèce. Si c'est le soir que vous êtes le plus énergique, bloquez vos projets les plus importants pendant quelques heures et attaquez-vous à des tâches plus légères pendant la journée. Si c'est le matin que vous êtes le plus énergique, réveillez-vous et allez-y !La technique Pomodoro : "Pomodoro" signifie "tomate" en italien et ce nom vient de l'utilisation d'un minuteur de cuisine, conçu pour ressembler à une tomate, qui a été utilisé pour créer cette méthode de travail. Pour réaliser cette technique, vous travaillez pendant 25 minutes, faites une pause de 10 à 12 minutes et recommencez trois fois. La quatrième fois, vous travaillez pendant 25 minutes, puis vous faites une pause plus longue entre 20 et 30 minutes. Cette technique permet de diversifier les heures et de donner à votre cerveau ce dont il a besoin pour rester en éveil : une concentration et une relaxation intenses.Clignotement du cerveau :  Essentiellement une remise à zéro, le "brain blink" est un rappel de faire des pauses tout au long de la journée, voire même de fermer les yeux pour faire taire son esprit. L'objectif est de ralentir ce qui se passe dans votre esprit et autour de vous afin que votre cerveau puisse recevoir un flux optimal d'informations sans tout ce bruit et cette réflexion excessive. Cette méthode est particulièrement utile pour les créatifs et on lui attribue un rôle dans la découverte du "flux", auquel chacun aspire, quelle que soit sa profession.Le travail en rafale : Le travail en rafale est similaire à la technique Pomodoro en ce sens qu'il comprend des périodes de travail ciblées (rafales) suivies de repos, mais le travail en rafale implique des intervalles de 52 minutes de travail suivis de 12 à 17 minutes de repos, et ce de manière continue tout au long de la journée.Fixer des limites : Il est très important de fixer des limites. Alors que certaines entreprises se sont totalement adaptées, après la pandémie, à des environnements de travail hybrides, flexibles ou axés sur les résultats, qui donnent aux employés la pleine maîtrise de leurs contributions et de leurs succès, d'autres sont plus lentes à s'y mettre. Quel que soit l'endroit où vous étudiez ou travaillez, il vous sera plus facile de vous épanouir si vous pouvez dresser une liste des limites que vous devez respecter pour travailler avec succès. Pour certains, il peut s'agir de bloquer des plages de temps dans leur agenda pour des soins personnels ou pour être avec leur famille, ou encore de définir un message d'état sur vos équipes, Slack ou Outlook pour indiquer que votre temps de réponse peut être de "X". Les limites vous donnent des paramètres clairs pour travailler dans le respect de vos valeurs et de votre vie en dehors du bureau - ce qui nous rend humains. En fixant des limites claires pour vous-même et pour les autres, vous avez plus de chances d'obtenir des résultats, pour tout le monde, à long terme.

On ne sait jamais dans quoi on s'engage avant de l'avoir vécu. Je ne savais pas ce que serait mon expérience universitaire avant de l'avoir vécue, et si vous m'aviez demandé, lorsque j'ai commencé, que je serais ici, je ne suis pas sûre que je vous aurais cru. Alors que je termine ma cinquième année d'université et mon avant-dernière année de premier cycle, j'ai pensé partager ce que j'ai appris (le bon, le mauvais et le (moins) laid). J'ai beaucoup appris de ce que les autres partagent avec moi au sujet de leurs expériences et j'espère que ma réflexion vous aidera à réfléchir à ce que vous avez appris ou à la direction que vous prendrez ensuite.Le bonEn fait, j'ai très bien géré mon temps. Je savais en commençant ce semestre que je devrais trouver un équilibre entre l'école, deux emplois à temps partiel, une activité extrascolaire exigeante, tout en trouvant du temps pour moi et ma vie sociale. Bien sûr, ce n'est pas toujours facile et certaines semaines se sont avérées plus difficiles que d'autres, mais j'ai réussi à le faire. Je me suis tenue à un calendrier strict et j'ai fixé des limites appropriées quand il le fallait, afin de m'assurer que je respectais toutes mes échéances et que je donnais le meilleur de moi-même. Je pense que j'ai bien réussi à contrôler mon emploi du temps, au lieu que ce soit mon emploi du temps qui me contrôle, ce qui m'a permis d'être beaucoup plus productive au quotidien.J'ai pris des cours qui m'intéressaient vraiment, ce qui semble aller de soi, mais quiconque a fait des études supérieures sait que parfois, on ne peut pas contrôler les cours qu'on prend avant les années supérieures. J'ai pu choisir mes cours et apprendre des choses qui m'intéressaient vraiment, ce qui m'a permis d'être beaucoup plus productive dans mon travail, simplement parce que je voulais le faire. Cela a fait une énorme différence pour moi, et j'en suis vraiment reconnaissant.J'ai pu créer de grands souvenirs avec mes colocataires et mes amis. Comme j'ai pu gérer mon emploi du temps de manière très efficace, j'ai pu trouver le temps de sortir avec mes amis et de profiter des différentes choses qui m'entourent. Cette année, j'ai eu le privilège d'explorer la ville de mon université et de découvrir tous mes endroits préférés, ce qui a été très amusant !Le "mauvais"J'ai eu de la chance, car mon emploi du temps ne me permettait d'avoir des cours que deux jours par semaine. Cela signifie que je n'avais besoin d'être sur le campus que deux jours par semaine, ce qui, pour certaines personnes, peut sembler incroyable, et ce l'était aussi pour moi au début. Mais, alors que j'approche du début de mon dernier semestre de licence, je me rends compte maintenant que je n'ai pas passé assez de temps sur le campus. Le semestre prochain, j'ai l'intention de faire un effort plus conscient pour passer du temps sur le campus et vraiment profiter de mon environnement pendant que j'en ai encore la chance.Je suis sur le point d'obtenir mon diplôme au printemps 2023. Heureusement pour moi (je suppose), je poursuis un certificat d'études supérieures à partir de l'automne. Je n'ai donc pas le même stress post-diplôme que la plupart des gens pendant leur recherche d'emploi. Mais j'éprouve toujours beaucoup de stress à propos de l'avenir et de ce qui va suivre. Je dois me rappeler que tout se passera comme prévu et que m'inquiéter de l'avenir ne changera rien au résultat.  Et le moins laidJ'avais beaucoup de flexibilité dans mon emploi du temps, ce qui était vraiment bien. Étant donné que je n'avais que deux jours de cours, j'ai pu remplir les trois autres jours de travail avec le travail et d'autres choses sur lesquelles je travaillais (c'est-à-dire des activités parascolaires, des demandes d'admission à l'université, des demandes d'emploi d'été, etc.)J'ai pu poursuivre ce que j'aime, en dehors de la salle de classe. Le travail que je fais en écrivant ces blogs a été un merveilleux exutoire créatif pour moi et je n'échangerais cette expérience pour rien au monde. Je n'échangerais cette expérience pour rien au monde. C'est tellement amusant et gratifiant pour moi et cela m'a donné beaucoup de confiance dans mon écriture, ce dont je suis très reconnaissante.Comme vous pouvez le constater, la réflexion peut être un outil très utile. Le fait de pouvoir réfléchir aux quatre derniers mois a renforcé le fait que je fais beaucoup de choses formidables dont je peux être très fière. Sans réflexion, il peut être très facile de se concentrer sur toutes les petites choses et de devenir inutilement stressé. Bien sûr, il est toujours possible de s'améliorer, mais il est important de se rappeler que tout arrive pour une raison et que l'on est censé être là où l'on est en ce moment. J'ai adoré mon expérience de premier cycle universitaire jusqu'à présent et je ne voudrais rien changer de tout cela pour rien au monde ! 

Nous vivons dans un monde transformé, qui subit encore les effets d'une pandémie qui nous a demandé de reconsidérer notre relation avec le travail, nos limites, nos attentes et notre santé physique et mentale. Ces dernières années ont été évolutives pour les employeurs.Les entreprises qui veulent recruter et retenir les talents doivent désormais les rencontrer là où ils se trouvent et nous recherchons tous, et bien, (beaucoup) plus qu'au départ. Pour favoriser le bien-être des employés, il ne suffit pas de mettre en place un programme d'avantages sociaux, il faut aussi mieux comprendre la nouvelle façon de travailler.Voici quelques éléments à rechercher chez un employeur à la recherche d'une entreprise qui soutient les initiatives de bien-être et la "nouvelle façon de travailler" :Un ensemble complet d'avantages sociaux comprenant des prestations de santé mentaleUne semaine de travail de quatre joursDes objectifs de bien-être créés parallèlement à vos objectifs professionnelsDes environnements de travail flexibles et à distanceDes environnements de travail axés sur les résultatsDes événements de bien-être sur site ou hors site Communication bidirectionnelleCe ne sont là que quelques-uns des éléments sur lesquels vous pouvez faire des recherches, poser des questions et rechercher des solutions lorsque vous êtes à la recherche d'un emploi. Les environnements de travail qui se sont adaptés pour offrir de la flexibilité et des niveaux de soins plus élevés affichent une plus grande satisfaction des employés, une meilleure rétention et de meilleurs résultats. Pas mal, non ?

Si les résolutions les plus populaires du Nouvel An tournent autour de l'auto-assistance, beaucoup d'entre elles sont également axées sur l'auto-assistance et, sans surprise, le fait d'accroître le soutien à soi-même coïncide trop souvent avec un changement de carrière ou d'emploi. Les fondements du bonheur au travail sont un bon salaire, des possibilités de progression et une culture d'entreprise positive. Lorsque ces fondements sont perturbés, les statistiques montrent que nos besoins ne sont pas satisfaits et que nous commençons à manquer de ce dont nous avons besoin pour réussir et contribuer.Si vous faites partie des nombreuses personnes qui cherchent à changer de carrière ou d'emploi, pourquoi ne pas en faire une résolution de la nouvelle année et commencer l'année 2023 en prenant les bonnes mesures pour vous épanouir ?Notre équipe a passé au crible d'innombrables conseils en ligne sur ce sujet précis pour vous trouver les mots de sagesse les plus utiles.Les meilleurs conseils pour commencer la nouvelle année avec une nouvelle carrière :Soyez intentionnel : Ce conseil provient directement du magazine Forbes, et il en dit long. Pour être intentionnel, il faut reconnaître que l'endroit où l'on veut aller n'est pas celui où l'on se trouve actuellement et avoir une agence dans cette situation. Savoir ce dont vous avez besoin pour arriver là où vous voulez aller vous donne la réflexion essentielle pour combler les lacunes et atteindre votre nouvel objectif avec des attentes réalistes sur vos progrès, votre calendrier et vos entrées/sorties.Faites le point : Un autre bon conseil, fourni par la Harvard Extension School, est de faire le point en évaluant vos valeurs, vos intérêts, votre personnalité et vos compétences (VIPS) et de voir où ces résultats se recoupent avec un parcours professionnel ou un rôle qui vous intéresse. La valeur que vous pouvez retirer de votre rôle est liée à la valeur que vous pouvez donner et certains des facteurs qui déterminent cette valeur sont profondément ancrés dans votre personnalité et dans la façon dont vous vivez et voulez vivre votre vie au quotidien.Recherchez des perspectives d'emploi potentielles : Merci, en effet ! Il ne faut pas oublier cette étape. Il existe d'innombrables moyens de trouver de nouvelles opportunités en ligne. Nous vous recommandons d'abord de faire le point sur les conclusions de votre évaluation (bilan), puis de rechercher les secteurs et les opportunités qui valorisent les types de qualités et de références que vous apportez. Vous pourriez trouver des opportunités que vous ne soupçonniez même pas être faites pour vous !Reprenez votre image de marque : vous l'avez déjà entendu, mais vous êtes votre propre marque. Si vous envisagez de changer d'emploi ou de carrière, vérifiez votre présence sociale, mettez à jour votre profil LinkedIn, adaptez votre CV et notez ce qui vous rapproche de ce que vous voulez faire, cela peut vous aider à vous mettre en contexte, en tant que "marque", qui correspond à votre nouvelle carrière ou à votre nouvel employeur. Vous trouverez ici des conseils judicieux sur le changement de marque en vue d'un changement de carrière.Restez ouvert : Cette astuce est de nous et elle combine la mise en réseau avec un simple investissement social. Cela signifie que le moment est venu de rester ouvert et de ne pas se fermer aux personnes, événements, invitations et conversations qui pourraient vous soutenir et vous guider vers votre nouvelle voie. N'hésitez pas à faire savoir à votre cercle, et à leur cercle, ou même aux personnes que vous contactez pour du mentorat ou des "discussions de café" en ligne, que vous explorez de nouvelles possibilités de carrière et utilisez votre nouvelle intentionnalité (étape 1) pour défendre clairement votre personne et votre crédibilité.Postulez : Allez les chercher ! OCC est un lieu qui vous soutient dans votre quête d'une nouvelle carrière, que ce soit en partant de zéro ou en changeant de rôle. Les employeurs présents sur notre plateforme recrutent spécifiquement des étudiants et des jeunes diplômés au Canada. Ainsi, bien que les conseils donnés dans cet article de blog concernent la réorientation d'une carrière ou d'un rôle, ils sont également applicables au démarrage d'une carrière ou d'un rôle dès la sortie de l'université ou du collège. Si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez ici, il existe de nombreux sites d'emploi pour commencer votre parcours. N'hésitez pas à nous dire si vous voyez quelque chose ailleurs que vous voulez voir ici. Nous serons heureux d'entrer en contact avec l'employeur pour l'impliquer dans notre plateforme et faire en sorte que vous tiriez le meilleur parti de votre recherche d'emploi. 

Soyons honnêtes, quelle que soit la méthode utilisée, recevoir un feedback au travail (ou dans la vie) peut facilement être ressenti comme une critique. Cela est amplifié si le feedback n'a pas été sollicité ou déployé par quelqu'un qui ne vous emploie pas ou ne vous dirige pas - ouch !Pourtant, il existe des moyens de recevoir un feedback, même s'il est mal formulé ou inattendu, avec une grâce (totale). Ce faisant, vous ferez preuve de professionnalisme et vous transformerez ces commentaires en occasions d'améliorer, d'évoluer et de montrer votre croissance (renversez le froncement de sourcils) ! Des mois plus tard, vous pourriez utiliser ce feedback et la façon dont vous l'avez intégré dans votre rôle comme un exemple pour cette augmentation ou même pour le poste que vous convoitez.Voici donc nos meilleurs conseils pour recevoir du feedback, directement :Traitez le feedback comme un cadeau : Recevoir un cadeau et prendre un air triste ou détourner le regard ? Non ! Maintenez un contact visuel direct avec le "donneur de cadeau", hochez la tête, répondez lorsque c'est approprié et remerciez. Une écoute active montre que vous êtes réceptif à ce qui est dit et ouvert à l'amélioration. Posez des questions :  Si vous vous sentez ouvert au feedback et que vous êtes capable d'évacuer vos émotions dans le processus, essayez de poser des questions exploratoires pour mieux comprendre des exemples spécifiques du feedback, les façons dont vous pouvez vous améliorer, et comment cela peut améliorer votre travail ou votre rôle pour l'organisation et l'équipe.Réfléchissez-y : Comme toute information ou tout ce qui est dit à notre sujet (en bien ou en mal), l'erreur humaine et l'interprétation entrent en jeu. Vous devez décider par vous-même si le feedback fourni était juste, vrai, utile et conforme à votre meilleur intérêt - votre croissance. Prenez le temps de réfléchir à ce qui a été dit, quelques jours même, peut-être une semaine ou un mois, et ne réagissez pas de manière impulsive à ce qui pourrait vous aider.Évoluez et appliquez : Le retour d'information est fait, les questions sont posées, la réflexion est terminée, les leçons sont tirées.... maintenant allez-y ! C'est le moment de vous améliorer, d'appliquer ce que vous avez appris du feedback et de vous améliorer dans votre rôle et pour votre équipe.En résumé, le retour d'information n'est pas facile. Vous devez tenir compte de la personne qui le donne, de son intention et de son caractère équitable et utile. Tout retour d'information doit être utile. À partir de là, le retour d'information est un tremplin étonnamment excellent pour améliorer votre travail et faire progresser votre carrière - un cadeau, vraiment. 

Vivre avec une nouvelle personne peut être très difficile. Croyez-moi, je suis passé par là.Il est effrayant de s'adapter à un nouvel environnement loin de chez soi et d'être constamment entouré de nouvelles personnes - vos nouveaux "colocataires" peuvent d'abord vous sembler des étrangers. Rassurez-vous, je me suis fait certains de mes meilleurs amis parce que nous étions colocataires. Cependant, il n'est pas toujours facile de s'y retrouver dans le " voyage en colocation ". Voici donc cinq leçons que j'ai tirées de mon expérience personnelle sur la vie en colocation :1. Apprends à les connaîtreJe sais que cela peut paraître idiot, mais ce n'est pas le cas. Inévitablement, vous passerez beaucoup de temps avec votre/vos colocataire(s), il est donc sage d'apprendre à les connaître. Avez-vous des intérêts communs ou des passe-temps similaires et partez de là ? C'est un excellent point de départ ! Il est fondamental de se comprendre pour vivre ensemble de manière cohérente, même si vous ne formez pas une "meilleure amie" à long terme.2. Connaissez et respectez leur emploi du tempsCela peut sembler une perte de temps de se familiariser avec l'emploi du temps de quelqu'un d'autre, mais c'est vraiment utile pour établir une relation avec votre colocataire. Comprendre l'emploi du temps de vos colocataires vous aide à planifier votre propre journée (vous savez maintenant quand vous aurez la place pour étudier ou vous détendre) et à assurer une atmosphère harmonieuse en respectant l'espace et le temps de chacun. Par exemple, si vous vous couchez habituellement vers 22 heures et que votre colocataire est habituellement debout jusqu'à 3 heures du matin, vous devrez probablement faire des compromis ou, mieux encore, faire des compromis entre vous. 3. Trouvez un espace d'étude qui n'est pas à la maisonLe changement de décor peut être votre meilleur ami. Passer du temps à l'écart de votre/vos colocataire(s) est sain. Essayer de rester productif au même endroit pendant une longue période (votre dortoir ou votre chambre dans votre maison d'étudiant) peut être difficile, alors une chose que j'ai trouvée utile, c'est de trouver un endroit préféré pour étudier, sur le campus ou à l'extérieur, que vous pouvez utiliser quand vous avez besoin d'espace. Cela vous donne également l'occasion de donner le meilleur de vous-même dans votre maison/espace de vie. 4. Fixez des limites Gardez à l'esprit que chacun vient d'un environnement familial différent et peut avoir des attentes différentes quant à ce que sera la vie avec un colocataire. À cet effet, chacun a ses propres limites personnelles. En discutant de la question de savoir si vous êtes à l'aise pour partager des choses comme la nourriture, les appareils électroménagers, les articles de toilette, etc., vous mettez toutes les chances de votre côté et évitez tout risque de mauvaise communication et de malentendu.Je vis avec l'un de mes colocataires depuis quatre ans, nous sommes donc des professionnels chevronnés en matière de cohabitation. Cet automne, nous avons accueilli un nouveau colocataire dans notre maison, alors fixer ces limites et discuter de ce que nous étions à l'aise de partager et de ce que nous ne l'étions pas s'est avéré très utile. 5. Partagez les responsabilitésLaissez-moi vous dire qu'il s'agit d'un point important. S'assurer que vous êtes sur la même longueur d'onde en ce qui concerne les responsabilités peut permettre d'éviter beaucoup de disputes et d'hostilité. Gardez à l'esprit qu'il s'agit d'un espace partagé, il est donc important de partager les responsabilités pour des choses comme sortir les poubelles, passer l'aspirateur et nettoyer la salle de bain. Personnellement, je n'ai jamais eu de tableau de corvées, mais il a toujours été important pour moi de m'assurer que je faisais ma part en ce qui concerne les tâches ménagères et que notre espace était propre et organisé. Réflexions finalesQue vous ayez été jumelé à quelqu'un au hasard ou que vous connaissiez déjà la personne avec laquelle vous vivez, vivre dans un espace partagé avec quelqu'un qui n'est pas de votre famille est une nouvelle expérience à laquelle il faut s'adapter. Soyez patient avec vous-même ET avec votre/vos colocataire(s) car vous vivez tous la même chose.Si vous finissez par devenir les meilleurs amis du monde, c'est génial et je suis ravie pour vous ! Si ce n'est pas le cas, ne vous inquiétez pas - je crois fermement que tout s'arrange toujours pour le mieux et que tout arrive pour une raison.

De nombreux employeurs offrent à leurs employés des avantages sur le lieu de travail qui vont au-delà de la simple assurance maladie/dentaire et de la planification de la retraite. Bien entendu, ces avantages varient d'une organisation à l'autre, mais il peut s'agir de services de santé mentale, d'avantages liés au bien-être financier, de services de massage ou de chiropractie, d'aide à la garde d'enfants, de ressources en matière de conditionnement physique et de bien-être, de congés payés ou simplement d'un environnement de travail flexible.Pourquoi les avantages en milieu de travail sont-ils importants ?Je sais que le concept d'avantages sociaux sur le lieu de travail semble être une voie à sens unique. Les employeurs vous offrent ces avantages en tant qu'avantages accessoires pour vous inciter à travailler chez eux. Bien que cela puisse être vrai, offrir des avantages sur le lieu de travail peut en fait être incroyablement bénéfique pour l'organisation également. Voici deux des raisons qui m'ont le plus frappé :Amélioration du bien-être et de la productivitéFournir aux employés les ressources dont ils ont besoin pour rester en bonne santé est probablement la principale raison. Il est évident que l'assurance maladie et l'assurance dentaire permettent aux employés d'être en bonne santé et de venir travailler. Mais offrir d'autres avantages, comme des plans de retraite, peut apporter aux employés une grande tranquillité d'esprit, ce qui signifie qu'ils seront probablement moins distraits et plus productifs au travail. Offrir des avantages pour des services de soins personnels (par exemple, une massothérapie) peut également améliorer le bien-être et la productivité, car les employés ont l'impression que leur employeur prend soin d'eux et comprend le stress que leur corps peut subir au travail.Une culture d'entreprise positiveQui n'aime pas une culture positive, n'est-ce pas ? Grâce à mes recherches, j'ai appris que la Harvard Business Review a constaté que deux des principaux facteurs contribuant à une culture d'entreprise positive sont le fait de prendre soin de ses collègues comme s'ils étaient des amis et d'apporter son soutien lorsque les autres ont des difficultés. Si les employeurs doivent toujours s'efforcer d'agir de la sorte dans leurs interactions personnelles avec leur personnel, la mise en place d'un ensemble d'avantages sur le lieu de travail peut également envoyer ce message.Pourquoi vous devriez profiter de vos avantages professionnelsLa principale raison pour laquelle vous devriez utiliser vos avantages professionnels est sans doute qu'ils sont à votre disposition. Essentiellement, c'est comme utiliser des choses gratuites... et je sais que j'ai un certain mérite à dire, qui n'aime pas les choses gratuites ?Surtout à une époque comme celle-ci, où l'inflation devient de plus en plus préoccupante, les avantages et les rabais que nous offre notre employeur sont un excellent moyen de lutter contre l'inflation et l'augmentation des taux d'intérêt. En faisant mes recherches, j'ai trouvé une citation de Paul Seegert, associé directeur d'une société en Californie, qui a dit : "il n'y a pas de meilleur moment pour apprendre ce dont vous disposez déjà et ne pas aller dépenser de l'argent pour ces choses" - et je n'aurais vraiment pas pu mieux dire. Pourquoi dépenser de l'argent sur des choses quand nous avons les ressources disponibles qui sont là pour nous aider ?Comme les raisons pour lesquelles les avantages sur le lieu de travail sont une chose positive pour les employeurs, en tant qu'employés, ils nous offrent un moyen d'accroître notre richesse, d'améliorer notre santé physique et émotionnelle et d'augmenter notre satisfaction à l'égard de nos emplois/employeurs.Dernières réflexionsCertains des meilleurs avantages dont nous disposons en tant qu'employés sont les avantages sur le lieu de travail qui nous sont offerts. Il serait donc stupide de ne pas les utiliser !Voici votre rappel de début décembre : Si vous avez des avantages non utilisés qui ont traîné toute l'année, c'est le moment de les utiliser ! 

Une chose à ne jamais oublier : Le harcèlement moral au travail est le symptôme d'une culture d'entreprise toxique.La cause profonde du harcèlement moral au travail n'est pas nécessairement liée à la culture de votre lieu de travail, mais le fait que ce comportement puisse se produire l'est. Une entreprise dont la culture du lieu de travail crée les conditions propices au développement du harcèlement moral au travail est connue pour sa "vulnérabilité au travail", qui est fortement associée à la détresse psychologique.Pour situer le contexte, lorsque nous parlons de "harcèlement moral sur le lieu de travail", nous ne voulons pas dire que quelqu'un vous pousse à la cafétéria pour vous prendre l'argent de votre repas (c'est quelque chose de bien plus grave). Cependant, le harcèlement moral au travail, même dans ses formes les plus subtiles, est vraiment difficile à gérer pour tout être humain. La Harvard Business Review a publié une taxonomie du harcèlement moral au travail, qui organise ce phénomène par facette, caractéristiques, comportements et résultats. Jetez-y un coup d'œil ici. Nous constatons que les archétypes de l'intimidation vont de l'isolement subtil et de l'ignorance à l'éclairage, en passant par le blâme et même les cris.94% des problèmes sur le lieu de travail sont systémiques. Relisez cela. Si vous avez l'impression d'être victime de harcèlement moral sur votre lieu de travail, vous ne pouvez pas faire face seul à cette situation. Qu'il s'agisse du "comploteur", du "crieur", d'un "gardien", de "l'intimidation vers le bas", de "l'intimidation vers le haut", ou de tout ce qui se trouve entre les deux, une approche holistique visant à faire respecter la justice organisationnelle et un lieu de travail psychologiquement sain est la véritable solution.En attendant, voici trois recommandations très simples de The Muse sur la façon de traiter un "tyran" au travail :1. Parlez-en dès le début2. Documentez la situation 3. Prenez soin de vous en dehors du travail4. Faites des recherches sur 5. Aborder les problèmes de front6. Parler aux RH7. Passez à autre choseVous ne pouvez contrôler que ce qui est sous votre contrôle, n'est-ce pas ? Accrochez-vous !Pour citer Simon Sinek, "Une culture est forte lorsque les gens travaillent ensemble les uns pour les autres. Une culture est faible lorsque les gens travaillent les uns contre les autres, pour eux-mêmes."

Nous avons tous travaillé sur un projet à un moment donné de notre vie. Qu'il s'agisse d'un projet de groupe à l'école, de l'organisation d'une fête, de la planification de travaux de rénovation ou d'une nouvelle initiative au travail, ces projets permettent de développer des compétences en matière d'organisation, de leadership, de résolution de problèmes et de pensée critique.Mais... n'est-ce pas fou que nous nous soyons toujours lancés dans des projets sans aucune connaissance préalable de la gestion de projet ? Imaginez à quel point nos projets seraient plus efficaces si nous en apprenions davantage sur les projets et sur la manière de les mener à bien.Commençons par le commencement !Il n'est pas nécessaire de vouloir devenir chef de projet pour bénéficier d'un cours de gestion de projet. Quel que soit le secteur ou le rôle que vous envisagez de jouer, suivre un cours de gestion de projet peut avoir un impact positif sur votre réussite, tant dans votre vie personnelle que professionnelle.Voici quelques-uns des avantages d'une formation en gestion de projet :Vous deviendrez un pro de la fixation d'objectifsPeu de projets peuvent réussir sans objectifs bien définis. Bien que vous sachiez probablement déjà ce que sont les objectifs SMART, c'est probablement l'une des premières choses que vous apprendrez dans un cours de gestion de projet.Un bref rappel de ce que signifie SMART :S - SpécifiqueM - MesurableA - AtteignableR - RéalisteT - Limité dans le tempsIl est important de savoir et de comprendre comment fixer des objectifs dans tous les aspects de la vie, même en dehors du travail, c'est pourquoi il est bon de connaître les meilleures méthodes pour fixer des objectifs !Vous apprendrez à planifier efficacementAprès avoir établi et fixé des objectifs, vous avez toujours besoin d'un plan d'action (qui se soucie du quoi sans le comment ?).Dans le cadre de la gestion de projet, un plan d'action signifie déterminer :Qui doit être impliqué dans un projetla différence entre les objectifs à court et à long terme d'un projet Les responsabilités et les échéances de chaque individu les délais réalistes et appropriés pour accomplir les tâches et atteindre les objectifs.Il n'y a pas de secret, un plan c'est bien - mais ce qui compte vraiment c'est l'exécution. En plus de comprendre ce qui est essentiel pour un plan d'action, en vous familiarisant avec la gestion de projet, vous apprendrez également à :Répartir et déléguer efficacement les tâches au sein d'un groupe surveiller l'exécution et garantir la qualité du travail de chacunrepérer les problèmes et les résoudre avant qu'ils ne deviennent majeurs fournir des ressources et un soutien si nécessaire.Le fait d'être organisé et de planifier les projets en conséquence ne peut que vous faciliter la vie. Vous avez du mal à vous lancer dans la rédaction d'une lettre de motivation ? Divisez l'objectif en tâches plus petites et à plus court terme et fixez des échéances. Vous voulez organiser une fête surprise pour un ami ? Vous apprendrez à déléguer des tâches et à faire en sorte que tout se passe à temps !Vous développerez des compétences recherchées en gestion des ressourcesTout d'abord, la gestion de projet est une compétence très demandée. Presque tous les secteurs d'activité (ingénierie, services financiers, soins de santé, etc.) ont besoin de personnes possédant un haut niveau de compétences en matière d'organisation, de leadership et de gestion des ressources. La gestion de projet est un sujet complet qui vous aidera à gérer les éléments suivants :Le temps : Soyons réalistes. Vous aurez du mal à réussir dans le "monde réel" sans une gestion efficace du temps. Un cours de gestion de projet vous apprendra à penser en termes de calendriers, d'horaires et de délais (qui, si vous y réfléchissez, sont tous essentiels pour gérer votre temps efficacement). Les finances : L'apprentissage de la gestion de projet vous fait vraiment penser aux budgets et à la façon dont ils affectent les projets et leurs opérations, en conséquence. La plupart des cours de gestion de projet comportent une section sur la gestion financière, qui peut être très utile pour comprendre comment répartir les coûts et établir un budget de manière efficace. Autres ressources : Si le temps et l'argent sont sans doute les ressources les plus importantes pour de nombreuses personnes, la gestion de projet tient également compte de toutes les autres ressources à votre disposition, telles que les relations, les connaissances et les autres compétences.Vous aurez une longueur d'avance dans n'importe quelle carrièreToutes les compétences acquises en suivant un cours de gestion de projet vous permettront de réussir dans n'importe quelle carrière, que vous envisagiez ou non de poursuivre directement dans la gestion de projet. Bien sûr, les compétences non techniques acquises font de vous un candidat plus désirable et, en général, un meilleur employé.Réflexions finalesEn fin de compte, les compétences acquises par la compréhension des éléments essentiels de la gestion de projet sont excellentes en tant que savoir-être et compétences professionnelles.Suivre un cours de gestion de projet vous rendra plus organisé, plus orienté vers les objectifs et plus productif, que vous soyez seul ou au sein d'une équipe.Et en tant que personne suivant actuellement un cours de gestion de projet, je ne saurais trop le recommander. Il y a tellement de choses que j'ai apprises et que je me sens plus à l'aise pour gérer des projets ! 

Prendre soin de soi n'est pas égoïsteLa vie étudiante est bien remplie. On ne peut pas le nier. Entre les cours, les devoirs, les examens de mi-session, le travail, les activités extrascolaires et la vie sociale, il peut être difficile de trouver le temps de prendre soin de soi.Mais j'espère qu'une chose que nous avons tous eu le plaisir d'apprendre pendant la pandémie, c'est que prendre soin de soi n'est pas égoïste. Nous avons été encouragés à croire que prendre soin de nous-mêmes - rester en sécurité et en bonne santé - était la meilleure façon de prendre soin de notre communauté.Maintenant que la vie est "revenue à la normale", il est important pour nous de continuer à faire de l'autosoin une priorité.Je sais ce que vous pensez. Prendre soin de soi est une bonne idée, mais comment puis-je l'intégrer dans mon emploi du temps chargé ?Voici quelques éléments que vous pouvez prendre en considération :Il n'y a pas de taille unique pour l'autosoinL'autosoin peut être différent pour chacun. Il ne s'agit pas seulement d'une manucure ou d'un jour où l'on se fait plaisir (sauf si vous le souhaitez). Pour certains, cela peut être aussi simple que de prendre le temps de recharger sa "batterie sociale" en faisant une sieste, en méditant ou en lisant pendant ses moments de solitude. Pour d'autres, il peut s'agir de passer du temps avec les personnes que vous aimez ou de faire des courses et d'accomplir des tâches que vous n'avez peut-être pas encore eu l'occasion de faire. En fin de compte, la prise en charge de soi consiste à faire ce qui vous fait du bien et ce qui est le plus logique pour vous à ce moment-là.Les petites choses peuvent avoir un grand impactLorsque nous avons beaucoup de choses à faire, il est très facile de ne pas prendre soin de soi. C'est pourquoi les pauses sont en fait très importantes : elles aident à rester sur la bonne voie et à éviter l'épuisement mental. Lorsque nous nous négligeons, nous pouvons sentir l'impact que cela a sur nous, et il en va de même lorsque nous faisons un effort pour prendre soin de nous. Quelque chose d'aussi minime que de faire le tour du pâté de maisons en 20 minutes ou de se préparer un thé peut faire des merveilles pour votre bien-être (essayez, je vous le jure !).Vous devez vous donner la permission !Oui, je sais que la plupart d'entre nous ont du mal à penser à se réserver du temps pour "prendre soin de soi". Si vous avez toujours dit que vous n'aviez pas le temps de prendre soin de vous, ou que cela vous semblait égoïste et complaisant, je vous comprends. Nous avons tellement l'habitude de nous occuper de tous les autres autour de nous qu'il devient difficile de passer à une attention exclusive pour soi-même. Lorsque nous nous donnons le feu vert pour comprendre que nous valons le temps et l'investissement nécessaires, nous nous rendons compte que les avantages de l'autosoin sont considérables.Eh bien, maintenant vous le savez ! Prendre soin de soi n'est pas égoïste et n'est pas non plus superficiel. Il s'agit de protéger votre santé mentale et de favoriser la durabilité de votre routine.Je vous invite à consulter le blog que j'ai écrit sur l'importance des routines.Je vous mets au défi de choisir cette semaine une activité qui aura un impact sur votre état d'esprit. Inscrivez-la dans votre agenda comme s'il s'agissait d'un rendez-vous important. Faites attention à ce que vous ressentez (votre humeur, votre énergie, vos perspectives, etc.) et si c'est aussi bien que je le pense, refaites-le ! 

L'année dernière, j'ai effectué un stage de 12 mois au cours duquel on nous a accordé 3 "jours de bien-être" ou "jours personnels" pour l'année - autrement dit, lorsque cela était le plus logique pour nous, nous étions encouragés à prendre du temps pour nous déconnecter, nous ressourcer et oublier le travail.En général, les jours personnels sont intégrés dans la politique de votre entreprise. Ils sont destinés à être utilisés pour des raisons personnelles telles que des urgences familiales, des soins personnels ou des déménagements importants. Mais, que votre entreprise ait introduit cette initiative ou non (si elle ne l'a pas fait, il faut lui rappeler qu'il s'agit de 2022), beaucoup d'entre nous ne les utilisent pas de toute façon.Pour beaucoup de gens, l'idée de demander des congés est bizarre et inconfortable. Même si vos relations au travail sont extrêmement bien établies, il peut être vraiment difficile de ne pas se sentir mal de demander à prendre des congés, à moins que tout le monde sache que vous avez prévu des vacances.Voici quelques éléments à prendre en compte lorsque vous vous apprêtez à prendre un jour de congé personnel (parce que vous devriez en prendre un !):Surmonter les sentiments de culpabilitéBeaucoup d'entre nous se sentent mal de prendre un jour de congé. Nous avons souvent l'impression que si nous n'avons pas une raison extrême de nous absenter, nous laissons tomber les autres et ne travaillons pas " assez dur ".Je pense que cela découle en grande partie de la "culture de l'agitation" à laquelle nous avons tous été exposés dans la vie réelle, et en particulier sur le lieu de travail. Beaucoup d'entre nous ont appris et ont été encouragés à toujours être au sommet de leur art, et à toujours surmonter les difficultés, même si nous nous sentons épuisés. Cela a amené de nombreuses personnes à croire que notre productivité est le reflet direct de notre valeur en tant qu'employé - et donc que si nous ne travaillons pas de longues heures et ne produisons pas constamment, notre performance s'en ressentira.Considérez ceci : si nous nous efforçons constamment d'être de plus en plus productifs et que nous ne prenons pas le temps de nous reposer et de nous ressourcer lorsque notre corps en a besoin, nous risquons beaucoup plus de nous épuiser (ce qui signifie que nous serons probablement moins productifs).Prenez donc cela comme un rappel pour ne pas vous sentir trop coupable de prendre du temps libre. Vous et votre corps le méritez (et peut-être même rendrez-vous service à votre employeur en évitant l'épuisement professionnel, tant que vous y êtes !)Comment demander un jour de congéVérifiez auprès de votre équipeExaminez le(s) jour(s) où vous prévoyez de vous absenter de votre bureau et vérifiez les échéances, les projets et/ou les réunions pour lesquels votre présence est vraiment importante. Prenez note de tout ce dont vous êtes responsable et, s'il se trouve que quelque chose d'important se trouve sur l'un des jours que vous prévoyez de prendre, envisagez de le changer. Si vous ne pouvez pas, parlez-en à votre responsable et à votre équipe pour trouver un autre plan d'action.Parlez-en à votre responsableDites à votre supérieur que vous souhaitez prendre congé et suivez la procédure d'approbation appropriée. Si vous avez la possibilité de l'appeler ou de le rencontrer en personne pour discuter de votre demande, ce serait mieux. Il n'est pas non plus inutile de lui envoyer un courriel pour lui rappeler que vous êtes en congé.Vous voudrez également marquer le congé dans votre calendrier afin que personne ne réserve des réunions pour lesquelles vous ne serez pas disponible.Demandez de l'aideVous vous souvenez que je vous ai dit de vérifier les éléments importants lorsque vous envisagez de prendre vos jours de congé ? Il s'agit d'une étape importante lorsque vous envisagez de prendre un jour de congé personnel, mais il est également important de se rappeler que le travail ne disparaîtra jamais. Il y aura toujours des réunions et des projets en cours lorsque vous ne serez pas là.Si vous avez besoin d'une couverture ou de quelqu'un à qui confier votre courriel d'absence du bureau, demandez à vos employés de vous aider. Rappelez-vous : tout comme vous seriez prêt à les aider, ils seront prêts à vous aider !Comment passer votre journée personnelleLa façon dont vous décidez de passer votre jour de congé vous appartient totalement ! Si vous préférez utiliser vos jours de congé pour un événement important ou divers rendez-vous, c'est parfait. Si vous souhaitez l'utiliser pour prendre soin de vous, c'est également très bien !Je vous encourage à passer la journée à faire quelque chose qui vous rende heureux et vous permette de vous sentir à la fois reposé et rechargé à votre retour au travail. Tout comme l'autosoin en général, cette journée sera différente pour chacun. Alors, que vous préfériez passer la journée à nettoyer votre maison, à lire ou à regarder votre film préféré, ou à faire des courses, profitez de votre temps loin de votre ordinateur - je sais qu'il est bien mérité !Pourquoi il est important d'utiliser ses journées personnellesComme je l'ai mentionné plus haut, les jours de congé personnel sont généralement intégrés dans la politique de votre entreprise pour une bonne raison - et le fait de les prendre peut en fait faire de vous un meilleur employé... imaginez ça !Le stress au travail est une réalité L'épuisement professionnel est également une réalité La vie est une réalitéIl est important de prendre soin de soi Votre carrière ne vous définit pas (et vous ne devez donc pas vous sentir coupable de vivre une vie en dehors du travail).Nous avons beaucoup de chance qu'en 2022, de nombreux employeurs nous encouragent à prendre des jours de congé pour raisons personnelles ou de bien-être. Mais il est important de se rappeler que c'est essentiellement votre propre responsabilité de faire le point sur vous-même et de vous assurer que vous faites tout ce que vous pouvez pour être en bonne santé et productif au travail. Et si cela signifie demander un jour de congé personnel, félicitations ! Vous vous donnez la priorité !   

Nous avons le droit d'identifier nos pronoms et d'informer les autres de se référer à nous par le ou les pronoms auxquels nous nous identifions. Il est courant de parler des pronoms comme de "pronoms préférés", mais ce langage est insuffisant - nous ne choisissons pas nos identités, tout comme nous ne choisissons pas notre taille. L'utilisation des pronoms dans notre auto-identification et nos communications n'est pas seulement une forme de respect et d'inclusion, mais une façon de soutenir systématiquement les droits humains de vos pairs, de vos amis et de vous-même.Pour vous aider à mieux comprendre l'importance des pronoms et pourquoi l'utilisation des pronoms et d'autres mots est importante, nous avons compilé quelques ressources :Using Pronouns & Other Words is Important", Cambridge Health Alliance, Harvard Medical School Teaching Hospital"Why Pronouns Use Matters, Using People's Preferred Pronouns is a Harm-Reduction Method", By: Ariane Resnick, CNC, VeryWell Mind"Pronouns 101: Why They Matter and What to Do (and Not to Do) if You Misgender Someone", By: Kay Martinez, Medium.com"Why You Should Be Identifying Gender Pronouns in Your Company, and How to Get Started", By: Juliette Baxter, Globe & MailSi vous n’avez pas encore mis à jour vos pronoms numériquement, par le biais de communications, ou essayé de présenter vos pronoms en personne, voici quelques endroits que vous pouvez essayer:votre signature électroniquevotre badge nominatifVotre biographie sur les réseaux sociauxvotre nom Zoomverbalement (pendant les présentations ou les conversations)Aujourd’hui est un jour aussi bon que n’importe quel autre! Joyeux vendredi (yay).

Sommes-nous en récession ? Pas encore. Cependant, au Canada, l'inflation est à son plus haut niveau depuis 31 ans. Normalement, l'inflation se situe autour de 3 % par an, mais elle est actuellement de 6,7 %. La hausse des prix signifie que les choses sont, bien sûr, plus chères, et lorsque les articles ménagers quotidiens et les articles coûteux deviennent plus chers, les consommateurs ont moins de pouvoir d'achat, ce qui nous pousse à nous retenir. Ce que nous achetons et où nous investissons deviennent des décisions pondérées dans ce climat économique, car nous ne pouvons pas acheter ou investir autant que lorsque l'inflation est plus faible. Les denrées alimentaires, l'énergie, les transports et les loyers sont autant d'exemples d'articles dont les prix ont augmenté ces derniers temps, et moins nous achetons, plus les choses deviennent chères. C'est une triste nouvelle, mais à vrai dire, la santé à long terme de notre économie passe par une augmentation de l'inflation.Ce qui monte doit redescendre, un jour ou l'autre. La récession moyenne ne dure pas plus de 11 mois. La dernière récession, en 2008, a été plus longue. Elle a duré 18 mois, plus ou moins.  À titre personnel, je connais très bien la recherche d'un emploi en période de récession. L'effondrement du marché du logement aux États-Unis, dû aux pratiques de prêts à risque, s'est répercuté au Canada en 2008. Cela va me dater, mais j'étais un jeune diplômé d'université qui revenait d'un voyage à travers l'Europe et qui s'attendait à un atterrissage en douceur sur une offre d'emploi promise par mon employeur. J'avais fait un stage chez cet employeur dans le domaine des ventes et du marketing. En fait, à mon retour, je me suis retrouvée avec une dette personnelle due à des journées ensoleillées à l'étranger et une entreprise de mode qui avait, sans que personne n'en soit responsable, cessé ses activités. Je n'avais pas d'emploi et pas de perspectives. Ce que j'avais, c'était des factures et une valise de pulls colorés que la société m'avait offerts. Le temps était compté et j'ai commencé à chercher un revenu, mais aussi la bonne expérience pour obtenir le type d'emploi et de carrière que je voulais à long terme.  J'ai commencé par faire correspondre mes compétences et mes intérêts à long terme avec des offres d'emploi qui n'étaient pas sur mon radar au départ ou qui ne faisaient pas partie du secteur que je souhaitais. J'ai fini par m'aligner sur une poignée d'opportunités et j'ai accepté un emploi de gestion de l'accueil et de la réception dans une société immobilière très active. Cet emploi m'a procuré l'argent dont j'avais besoin pour payer mon loyer, continuer à profiter des divertissements et de la vie, et un environnement de travail funky au cœur du quartier de la rue King, au centre-ville de Toronto. Il m'a également permis d'apprendre constamment et de me concentrer sur un objectif précis, à une époque où tant de personnes n'avaient pas d'horaire ou de revenu. Ne pas avoir de travail ou de routine et avoir l'impression de construire quelque chose n'est pas facile - certains diraient que c'est une ornière. Éviter les ornières en période d'effondrement de l'économie peut sembler particulièrement difficile, n'est-ce pas ? Mais il n'y a pas de meilleur moment pour continuer à se dépasser, à aller de l'avant, que lorsque les choses sont difficiles. En faisant ce travail, que je n'avais pas l'intention de faire à la fin de mes études, j'ai non seulement acquis toute une gamme d'expériences et appris beaucoup de choses sur un secteur florissant, mais j'ai aussi acquis une série de compétences essentielles pour ma future carrière. Je me suis également fait des amis, dont l'un a même fait partie de ma fête de mariage dix ans plus tard et reste une "meilleure amie".Donc, la première étape est tirée de mon expérience personnelle et cette leçon est la suivante : travailler à l'envers.Dressez une liste, en style libre, de tous les emplois qui vous intéressent à long terme. Vous remarquerez peut-être qu'ils ne sont pas nécessairement dans le même secteur. Si c'est le cas, tant mieux pour vous. Vous remarquerez peut-être que ces emplois se situent dans des secteurs parallèles que vous n'aviez pas envisagés au départ. Ce que vous trouverez en faisant cela, c'est le plan de l'endroit où vous voulez atterrir. Si vous le savez, vous pouvez commencer à rechercher les compétences et les expériences que ces types d'emplois recherchent.À partir de là, vous pouvez vous rendre sur un site d'offres d'emploi comme OCC, Indeed ou Job Hopper, et rechercher les titres exacts de votre "liste à long terme". Vous découvrirez ainsi les types de compétences et d'expérience que les employeurs recherchent pour ces postes. Bien sûr, ils ne recherchent peut-être pas votre niveau d'expérience maintenant, mais vous savez maintenant ce dont vous avez besoin pour y parvenir.  Quelle est la prochaine étape ?Deuxième étape : Comprendre quelles compétences et expériences sont importantes pour votre carrière à long terme et utiliser cette nouvelle liste pour réduire les options de carrière à court terme.  Bon, vous connaissez maintenant les compétences et les expériences dont vous avez besoin pour accéder aux postes que vous souhaitez occuper. Lequel de ces éléments de cette liste correspond le mieux à votre personnalité ? Cela pourrait clarifier, encore plus, votre meilleur "pari" en ce qui concerne vos objectifs d'emploi à long terme. Cela vous montrera également quels types d'emplois vous pouvez envisager à court terme, maintenant, qui vous permettront d'acquérir ces compétences et ces expériences, afin de pouvoir travailler pour décrocher des rôles qui ne sont pas nécessairement dans l'échelon ou le secteur exact que vous aviez initialement prévu, mais qui peuvent vous donner une base et augmenter votre capacité d'embauche, tout en vous donnant un salaire, pour être embauché maintenant. Être embauché maintenant, tout en travaillant dans une perspective globale, signifie que lorsque l'économie rebondira (ce qui arrive toujours), vous pourrez emprunter une voie plus directe vers ce que vous avez toujours voulu faire.Les gens, comme les entreprises, ont le choix de réduire leurs dépenses ou d'aller de l'avant quand tout le monde le fait et d'aller plus loin. À vous de choisir.Troisième étape : Intégrer et initier pour miser sur vous-même maintenant et plus tardCe n'est pas le moment d'avoir un ego démesuré. Laissez-le à la porte en période de récession et gardez-le pour plus tard, si vous êtes très proches. ?? C'est le moment d'intégrer et d'initier. Prenez votre recherche d'un " emploi fondateur ", l'emploi qui vous mènera éventuellement là où vous voulez aller, comme un emploi à temps plein. Engagez-vous à postuler à cinq-dix emplois par jour, mais intégrez d'abord dans votre CV les mots-clés et le verbiage alignés sur les compétences et les expériences dont vous savez avoir besoin à long terme et sur les rôles qui recrutent actuellement. (Cette approche de la recherche peut également signifier que vous pouvez passer d'un poste de freelance à un autre et y postuler également). L'objectif final est de faire en sorte que les postes que vous décrochez vous permettent de progresser vers quelque chose de plus important, tout en vous offrant la possibilité de gagner un revenu décent et d'acquérir une expérience fondamentale dès maintenant. Il s'agit d'un état d'esprit stratégique pour construire votre future carrière maintenant, et cela signifie que vous n'arriverez peut-être pas au bureau, café au lait en main, en faisant exactement ce que vous aviez toujours imaginé être votre premier emploi, mais, avec de l'engagement et un œil sur le long terme, vous gagnerez l'argent et le crédit de travail dont vous avez besoin pour pouvoir compter sur vous - maintenant et plus tard.Sachez ceci : Ce n'est pas de votre fautePersonne et aucune entreprise ne sont à l'abri de la récession. C'est un fait. Désolé. De nombreux articles traitent de la façon de protéger votre CV ou votre vie contre la récession, mais s'il y a tant de choses que nous pouvons contrôler dans la vie, il y a des exceptions - comme, par exemple, vous n'êtes pas responsable de l'état global de notre économie et il n'y a pas grand-chose que vous puissiez faire pour le changer maintenant. Les choses que vous pouvez faire relèvent plutôt du bon sens. Je noterai toutefois que cet article sur les compétences recherchées par les employeurs en période de récession semble assez légitime. Après tout, qui n'aime pas la "maîtrise universelle" ?La vérité est que les entreprises et les personnes qui embauchent plutôt que de licencier et qui investissent plutôt que de dévaster prospèrent après la récession lorsque la concurrence a diminué. "La nécessité est la mère de l'innovation ; la rareté stimule l'esprit d'entreprise." L'ancien directeur de l'exploitation d'Apple, Tim Cook, aurait déclaré : "Nous croyons qu'il faut investir pendant les périodes de ralentissement économique."  Il est tout à fait humain d'avoir des réactions instinctives face à l'incertitude et à la peur, mais tout ce que nous pouvons faire, c'est nous adapter et continuer à avancer (les yeux sur la finalité). Alors, tenez bon et accrochez-vous, car cela aussi passera, même si cela n'a pas encore techniquement commencé. 

Avez-vous déjà cherché un emploi et trouvé le travail de vos rêves ? Il semble parfait et vous ne pouvez vous empêcher d'y penser ?Mais ensuite, vous allez jusqu'à la section des qualifications et vous constatez qu'ils recherchent une personne ayant un MBA, 5 ans d'expérience dans le secteur et de l'expérience dans la gestion de grandes équipes (soupir). Vous savez que, même si vous avez un grand nombre d'expériences et que vous êtes passionné par le rôle, vous n'avez certainement pas ces éléments.Je suppose que la question ultime est la suivante : devez-vous postuler ou devez-vous tout simplement oublier parce que vous n'avez pas nécessairement ce que l'entreprise recherche ?Eh bien, cela dépend.Mais voici quelques conseils dont vous pourriez tenir compte au moment de décider si vous devez postuler ou non :Dans quelle mesure n'êtes-vous pas qualifié, vraiment ?L'une des choses les plus importantes que vous puissiez faire est de vous asseoir et de comprendre où vous en êtes et à quel point vous n'êtes pas qualifié. Ne supposez pas que vous devez nécessairement remplir 100 % des conditions requises - en général, elles sont énumérées simplement pour éliminer les personnes qui ne sont pas du tout qualifiées (et j'espère que ces personnes savent qu'elles ne devraient pas postuler, de toute façon). Mais considérez que, dans le meilleur des cas, ils embauchent quelqu'un qui remplit "toutes les conditions ci-dessus" et que, sinon, ce n'est pas grave. Une fois, j'ai entendu quelqu'un dire qu'une bonne règle empirique était d'avoir environ 75 % des qualifications - et je ne pense pas que ce soit une mauvaise idée du tout.Comme je l'ai dit précédemment, vous devez être honnête avec vous-même et comprendre où vous en êtes. Si le poste pour lequel vous envisagez de postuler représente un grand saut (par exemple, ils recherchent plus de 10 ans d'expérience et vous n'en avez qu'une), vous feriez peut-être mieux de consacrer votre énergie à des postes qui vous correspondent mieux ou qui semblent plus réalistes par rapport au niveau d'ancienneté recherché par l'entreprise.C'est le moment de postuler !Alors... vous avez décidé de postuler ! Mais vous savez que vous n'êtes pas suffisamment qualifié par rapport aux autres candidats et vous essayez de trouver des moyens de vous démarquer. Voici quelques idées qui pourraient vous être utiles, surtout s'il s'agit d'un emploi que vous pensez pouvoir aimer et dans lequel vous excellerez : Combler les lacunesSi la description que vous trouvez comporte une longue liste d'exigences que vous craignez de ne pas avoir, réfléchissez à ce que vous pouvez apporter qui vous distinguera et rendra le terrain de jeu légèrement plus équitable (connaissances, compétences, expériences passées, etc.). Par exemple, vous n'avez peut-être jamais géré un grand groupe de personnes au travail, mais vous avez géré un groupe de vos pairs dans un poste extrascolaire à l'école ou dans un sport que vous avez pratiqué.Faites de votre mieux pour examiner vos compétences et expériences transférables et voyez si elles peuvent vous aider à réussir dans cet emploi - vous n'avez peut-être pas les qualifications parfaites, mais vous pouvez certainement parler de vos expériences (assurez-vous que cela soit également souligné dans votre CV et votre lettre de motivation !)Les actes sont plus éloquents que les motsSi vous postulez malgré une certaine crainte de ne pas répondre à 100 % des attentes de l'employeur, une bonne idée serait de lui montrer ce que vous pouvez faire. Par exemple, en plus de votre lettre de motivation, vous pouvez inclure un mémo décrivant les principaux défis du poste et la façon dont vous vous y prendriez pour les relever.Si vous vous surpassez à quelque titre que ce soit, vous montrerez votre passion, les compétences pour lesquelles vous avez travaillé si dur, et vous montrerez également que vous êtes sérieux pour le poste (que pourrait-on demander de plus, n'est-ce pas ?).Réseau, réseau, réseauAussi ennuyeux que cela puisse être parfois, il est important de ne jamais négliger le pouvoir du réseau. Si vous avez un contact qui est en mesure de vous recommander ou de vous présenter personnellement à quelqu'un dans l'organisation pour laquelle vous postulez, c'est génial - utilisez les relations que vous avez travaillé dur pour entretenir ! Si ce n'est pas possible, vous pouvez aussi tenter une approche à froid (à chaque fois que je fais cela, j'essaie de trouver quelqu'un de l'organisation qui a fréquenté la même école que moi, c'est un excellent moyen d'avoir une sorte de connexion supplémentaire avec les anciens élèves).Ce n'est jamais une mauvaise idée d'entrer en contact avec des gens et de commencer à établir des relations - on ne sait jamais ce que cela peut nous apporter (espérons-le, le succès !).Dernières réflexionsLa prochaine fois que vous rencontrerez un emploi de rêve qui semble un peu hors de portée, ou pour lequel vous ne vous sentez tout simplement pas qualifié, ne vous découragez pas immédiatement. Croyez en vous et donnez le meilleur de vous-même !Dans le pire des cas, vous n'obtiendrez pas d'entretien, mais au moins vous serez sorti de votre zone de confort et vous aurez essayé ! Et dans le meilleur des cas, vous décrocherez l'emploi de vos rêves ! 

Qu'est-ce qu'un gestionnaire de médias sociaux ?Un responsable des médias sociaux est chargé de créer, de gérer et de mener à bien la présence en ligne et la stratégie de médias sociaux d'une marque. Cela implique généralement la création et la publication de contenu, l'engagement avec les adeptes et la gestion de la communauté de la marque, ainsi que le suivi des conversations pour s'assurer que la présence de la marque sur les médias sociaux contribue à construire une réputation positive.Que fait réellement un responsable des médias sociaux ?Un responsable des médias sociaux est chargé de la gestion et de l'élaboration quotidiennes du contenu et du texte des plateformes de médias sociaux d'une marque. Il peut s'agir de positionner une marque par le biais de tweets, de messages, d'histoires et de discussions sur les plateformes de médias sociaux, en plus de surveiller les discussions connexes.Un gestionnaire de médias sociaux débutant sera généralement responsable de la surveillance générale des comptes et de la gestion des comptes de médias sociaux sur des plateformes comme Instagram, LinkedIn, Facebook, Twitter, TikTok, etc.À terme, le rôle d'un responsable des médias sociaux peut également devenir plus axé sur la stratégie marketing et sur l'harmonisation du contenu et de la présence de la marque sur les médias sociaux.Quel type de formation les responsables des médias sociaux ont-ils généralement ?Si un diplôme n'est généralement pas requis pour les gestionnaires de médias sociaux, il est de plus en plus courant qu'ils aient un diplôme en marketing numérique, en communication ou en science des données. Bien sûr, ces diplômes ne sont pas obligatoires pour réussir dans ce domaine, un diplôme peut absolument vous apporter des compétences et des expériences qui peuvent vous aider à faire progresser votre carrière.Quelles sont les compétences essentielles que doivent posséder les gestionnaires de médias sociaux ?Excellentes compétences en communication orale et écriteOrganisationCapacité d'adaptation Solides compétences analytiques Créativité Capacité à travailler dans des délais serrés Enthousiasme Gestion des relations InitiativeOù travaillent généralement les responsables des médias sociaux ?Les gestionnaires de médias sociaux ont la possibilité de travailler pour des agences de marketing numérique, de faire partie d'une équipe marketing interne ou de travailler en free-lance.Un responsable des médias sociaux en interne est un employé qui gère les canaux sociaux de l'entreprise. Une agence est un fournisseur tiers qui propose des services de gestion des médias sociaux aux entreprises. Un gestionnaire de médias sociaux indépendant est un expert en marketing des médias sociaux qui aide une entreprise à renforcer sa présence sociale.Combien gagnent généralement les gestionnaires de médias sociaux par an ?Les gestionnaires de médias sociaux peuvent s'attendre à gagner entre 45 000 et 80 000 dollars par an. Le salaire moyen d'un responsable des médias sociaux est d'environ 50 000 dollars, avec un taux horaire moyen de 17,94 dollars, selon Indeed Salaries. Cependant, il est important de noter que le salaire varie en fonction de facteurs importants tels que le lieu, les qualifications, l'expérience et le type d'industrie.Comment devenir un gestionnaire de médias sociaux ?Tout d'abord, il est important de comprendre le fonctionnement des médias sociaux. Cela signifie qu'il faut utiliser les plateformes soi-même, se familiariser avec elles et comprendre comment elles peuvent être utilisées pour atteindre des objectifs commerciaux. Il est également judicieux de se tenir au courant des tendances et des meilleures pratiques pour chaque plateforme que vous envisagez d'utiliser ou de spécialiser.Comme indiqué plus haut, il est important que les gestionnaires de médias sociaux possèdent de solides compétences en matière de rédaction et de communication. Les gestionnaires de médias sociaux doivent être capables de communiquer à la fois avec le public cible externe et les personnes internes.Enfin, vous devrez constituer un portefeuille ou une collection de vos travaux. De nombreux gestionnaires de médias sociaux commencent par gérer des comptes de médias sociaux pour des projets scolaires, des petites entreprises ou des organisations bénévoles.

Je pense que nous sommes tous d'accord pour dire que la pandémie a définitivement changé notre façon de travailler.Dans presque toutes les professions, on croyait que la seule façon d'être productif au travail était d'avoir un horaire traditionnel de 9 à 5, en travaillant au bureau. Comme nous le savons, Covid-19 a forcé de nombreuses entreprises à passer au travail à distance, et pour beaucoup, le résultat a été étonnamment positif. La majorité des employés se sont bien adaptés, et certains ont même constaté une augmentation de leur productivité !Les entreprises qui fonctionnaient entièrement en personne peuvent désormais autoriser le travail hybride ou à distance, ce qui permet aux employés de travailler de la manière qu'ils préfèrent, de se concentrer sur leurs responsabilités personnelles et d'atteindre un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée (qui ne le souhaite pas ?!).À l'approche de la fin de vos études, il peut être utile de déterminer quelle option (au bureau, à distance ou hybride) est la mieux adaptée à votre vie professionnelle et personnelle. Au bureauLe type de personnalité le plus susceptible de s'épanouir dans un environnement de travail en personne est le type "extraverti".Ce type de travail peut vous convenir si.. :Vous comptez sur les interactions sociales dans votre vie quotidienneVous travaillez bien en groupe, ou si la nature de votre travail est hautement collaborative.Vous appréciez la compagnie et le soutien de vos collègues de travail Vous préférez suivre une routine cohérente et appréciez de vous préparer, de quitter la maison et de vous rendre au travail. Vous aimez "laisser le travail au bureau" à la fin de la journée.Vous avez du mal à vous sentir productif à la maison  À distanceSi vous êtes introverti, vous avez probablement considéré la pandémie comme une bénédiction déguisée pour le travail à domicile. Avant la pandémie, il était assez rare de trouver une opportunité de travail à distance. Le travail à distance vous convient peut-être mieux siVous trouvez le bureau distrayantVous comptez beaucoup sur les temps d'arrêt et les moments de solitude Vous préférez travailler de manière indépendante et préférez l'atmosphère sûre et réconfortante de votre domicile. vos responsabilités quotidiennes au sein du ménage ou de la famille font de la flexibilité du travail une priorité Vous voulez gagner du temps dans votre journée en évitant les trajets. HybrideLes types de personnalité susceptibles d'obtenir les meilleurs résultats dans un environnement hybride sont ceux qui se considèrent comme étant à mi-chemin entre l'introversion et l'extroversion. Les introvertis extravertis sont ceux qui préfèrent être entourés de gens, mais qui ont aussi besoin d'un peu de calme (pour recharger leur "batterie sociale"). Les introvertis extravertis sont ceux qui ont besoin d'un temps d'arrêt, mais qui aiment aussi les relations sociales. Un environnement de travail hybride offrira aux personnes ayant ces personnalités les types d'interaction humaine et de temps seul dont elles ont besoin pour être le plus productives.Vous pourriez opter pour un style de travail hybride si :Vous aimez pouvoir organiser votre travail en fonction de votre emploi du temps personnel. Le fait de faire des allers-retours entre le bureau et la maison ajoute de la variété à votre vie professionnelle (le changement de décor peut être vraiment utile !)Vous préférez travailler dans l'environnement qui convient le mieux à votre humeur et au type de travail que vous effectuez ce jour-là Vous appréciez à la fois la collaboration avec vos collègues et le travail indépendant. Quelle option de travail vous convient le mieux ?Répondez à ce quiz.Mes résultats : Le télétravail ! J'ai répondu oui 10 fois ! Dernières réflexionsDans l'ensemble, chaque style de travail dépend de la personnalité de chacun et de ses préférences.Il peut y avoir des introvertis qui aiment travailler au bureau et des extravertis qui préfèrent travailler à la maison.Si vous avez la possibilité de choisir votre environnement de travail, choisissez toujours celui qui vous semble le plus productif et le plus confortable ! 

Obtenir un diplôme de premier cycle ne prend que 4 ans, n'est-ce pas ? Eh bien, peut-être pas... et ce n'est pas grave !La nouvelle réalité est que beaucoup d'étudiants n'obtiennent pas leur diplôme dans le délai traditionnel de quatre ans. En fait, une étude récente de CNBC a révélé que seulement 41 % des étudiants des collèges et universités obtiennent leur diplôme en 4 ans ou moins. Vous vous sentez peut-être seul à prendre une 5e année ou stressé à l'idée de prendre une ou deux années supplémentaires pour obtenir votre diplôme, mais il est clair que vous n'êtes pas seul (je vous laisse un moment pour pousser un soupir de soulagement).Jetons un coup d'œil à certaines des raisons pour lesquelles des étudiants comme vous peuvent ne pas obtenir leur diplôme "à temps" :Changement de majeureSelon le National Center for Education Statistics, environ 80 % des étudiants changent de matière principale avant d'obtenir leur diplôme (ce qui m'a également surpris !).En fonction du moment où vous changez de matière principale (et pour certains, de la matière dans laquelle vous la changez), cela peut retarder la date d'obtention de votre diplôme. Bien que cela puisse être décourageant pour certains, si vous avez l'impression que le choix de réorienter vos études vers autre chose vous aide à atteindre vos objectifs, alors vous avez touché le gros lot !Faire un stageC'est ce que j'ai fait.Même s'il me faut une année supplémentaire pour obtenir mon diplôme, je sais que j'ai beaucoup de chance d'avoir eu l'occasion de compléter mon apprentissage en classe par des expériences réelles et un apprentissage pratique.Si vous voulez mon avis, ce n'est jamais une mauvaise idée d'obtenir son diplôme avec une expérience professionnelle pertinente !Covid-19Je sais que vous l'avez vu venir.Malheureusement, la pandémie de Covid-19 nous a fait subir de nombreux changements sans précédent dans tous les domaines de la vie, y compris l'enseignement. C'est pourquoi de nombreux étudiants ont choisi de mettre leurs études en pause pour combattre le stress mental lié à l'achèvement des études en ligne.Il n'y a rien de mal à préférer apprendre dans une vraie salle de classe, et j'espère que cette année vous apportera tout ce que vous souhaitiez en termes d'éducation (bravo pour le retour sur le campus !).Travailler pendant les étudesCertains étudiants doivent être financièrement responsables et indépendants, et peuvent être amenés à travailler pendant leurs études (parfois à plein temps) pour compenser les coûts de l'éducation. Certains étudiants peuvent être amenés à suivre une charge de cours réduite pour pouvoir payer leurs études postsecondaires et faire face aux obstacles financiers, s'ils y sont confrontés.Il n'y a rien de mal à travailler pendant vos études, et vous devez savoir que votre travail acharné porte ses fruits (même si vous n'en avez pas toujours l'impression !).Changer d'écoleLe National Student Clearinghouse Research Center rapporte que 37 % des étudiants de l'enseignement supérieur finissent par changer d'établissement.Malheureusement, les crédits des cours suivis ne sont pas toujours transférés dans la nouvelle école.Encore une fois, si tu n'as pas l'impression que l'école que tu as choisie au départ te convient, la meilleure chose à faire est de changer d'école ! Votre bonheur est si important !Réflexions finalesBien que l'obtention d'un diplôme en 4 ans puisse être importante pour certains étudiants, le fait d'imposer le délai de 4 ans peut être inutilement restrictif.Il est si important de considérer que chaque étudiant travaille différemment, à des rythmes différents, et est confronté à des circonstances et des défis différents au cours de ses études (l'éducation n'est pas une taille unique, les gens !).L'école ne vous définit pas et le temps que vous y passez non plus ! 

Avoir une routine peut être extrêmement utile dans les périodes d'imprévisibilité, d'incertitude et de stress (et je sais que nous en avons tous eu notre part).Une de mes amies, Ella Grant, diplômée du baccalauréat en sciences de la santé en santé et bien-être au travail, note : " Avoir une routine peut aider à diminuer le niveau de stress, ce qui peut améliorer la santé mentale et le bien-être. Essentiellement, plus vous pouvez diminuer le stress dans votre vie, mieux ce sera."C'est logique, non ? Combien de fois vous êtes-vous retrouvé à improviser pendant votre journée et à ne rien faire de votre liste de choses à faire ? Cela vous conduit-il à être stressé ?Je déteste te dire ça, mais cela arrive probablement parce que tu n'as pas établi de routine pour réussir.Les routines vous aident à Réduire le niveau de stress Malheureusement, l'absence de routine se traduit souvent par une inquiétude constante : "quand est-ce que j'arriverai à tout faire ?".Gagner du temps Le temps, c'est de l'argent ! En suivant une routine, vous arrêtez de perdre du temps (et bien sûr, lorsque vous arrêtez de perdre du temps, vous êtes plus productif et efficace) et vous libérez du temps qui aurait été consacré à la planification, à la prise de décision et à la préparation. Prenez le temps de vous occuper de vous Le fait de vous débarrasser de vos tâches importantes et de vos priorités peut également vous aider à trouver plus de temps pour faire de l'exercice, des activités et passer du temps avec les personnes que vous aimez (qui n'aime pas ce son, n'est-ce pas ?!). Donnez la priorité à Lorsque vous créez une routine, vous commencez à donner la priorité à ce qui est le plus important pour vous. Vous vous assurez qu'il y a suffisamment de temps dans votre routine pour le faire.Créer une routineVoici quatre étapes simples qui vous permettront de réussir votre routine :Déterminez ce dont vous avez besoin dans votre routine : Un bon point de départ est évidemment de déterminer vos priorités (par exemple, voulez-vous consacrer plus de temps à l'exercice, à la méditation ou à la famille ?) En déterminant ce qui est important pour vous, vous pouvez commencer à imaginer comment vous allez l'intégrer dans votre emploi du temps et votre routine. Commencez petit ! Croyez-moi, je sais que cela peut sembler très intimidant de commencer une toute nouvelle routine. Il n'y a pas de pression pour tout régler tout de suite. Commencez par faire de petits changements, inscrivez-les dans votre calendrier (pour faire bonne mesure) et vous pourrez ensuite les compléter et les ajuster comme bon vous semble. Soyez cohérent : Bien qu'il n'y ait aucune pression pour intégrer TOUT à votre routine immédiatement, il est important de vous assurer que vous êtes cohérent avec les choses que vous intégrez à votre routine immédiatement. Il sera ainsi beaucoup plus facile de s'y tenir à long terme. Faites en sorte que ce soit amusant ! Il sera beaucoup plus facile de suivre votre routine si vous êtes motivé - vous devrez donc trouver des moyens de la rendre amusante ! Si vous aimez votre routine, il vous sera difficile de trouver des excuses.Les éléments de ma routine que j'apprécieEn tant que personne qui aime une bonne routine, j'ai pensé que je pourrais partager certaines parties de ma routine que j'apprécie et que j'aime (c'est ma façon de la rendre amusante !). Peut-être cela vous donnera-t-il de l'inspiration, vous aussi !Le matin :Faire mon litSe préparer Préparer le petit-déjeuner S'habillerLe soir :Préparer le dîner Prendre une doucheRangement Remplir ma bouteille d'eau d'eau froide et de glaçons.Quelle partie de ta routine est ta préférée ? ?? Vous devez nous le faire savoir ! 

Pour décrocher un nouvel emploi, il ne suffit pas d'avoir de l'expérience. La plupart des employeurs recherchent des personnes bien équilibrées, dotées de compétences spécifiques qui leur permettront de s'adapter au rôle et à l'entreprise.Apprenez-en davantage sur les types de compétences recherchées par les employeurs (et sur la manière dont vous pouvez démontrer que vous les possédez lors d'un entretien) ??Compétences générales et compétences spécifiquesLorsqu'ils postulent à un nouvel emploi ou à un stage, les employeurs attendent de leurs employés qu'ils possèdent certaines compétences, quel que soit le poste.Ces compétences sont souvent appelées "soft skills" et comprennent les compétences interpersonnelles et d'autres compétences dont vous pourriez avoir besoin pour réussir sur leur lieu de travail/dans leur organisation. Il peut s'agir de compétences telles que le travail en équipe, la pensée critique et la communication.Les employeurs exigent aussi souvent des compétences plus tangibles ou "dures", qui correspondent davantage aux compétences professionnelles ou techniques requises pour bien remplir un poste donné (ce qui signifie qu'elles seront probablement plus spécifiques). Il peut s'agir de compétences informatiques, de capacités de codage ou de compétences de présentation.Si les employeurs recherchent généralement un candidat qui possède à la fois des compétences générales et des compétences spécifiques, je considère que les compétences générales sont généralement plus recherchées (principalement parce que les compétences spécifiques peuvent être enseignées sur le lieu de travail)."Avoir la capacité d'expliquer comment les compétences en résolution de problèmes, en travail d'équipe et en communication ont été transférées à partir d'expériences antérieures me donne l'assurance que ces compétences peuvent être démontrées sur le lieu de travail", a déclaré Lauren Nigro, spécialiste en acquisition de talents chez Staples Canada, "c'est une chose de former une personne sur ses compétences de base dans son poste, mais ce sont ces compétences générales qui vous permettent d'accomplir des tâches spécifiques à votre rôle et à votre organisation."Principales compétences recherchées par les employeursC'est toujours une bonne idée d'aligner les compétences que vous avez (ne mentez pas ici, les gens) avec les compétences requises pour le poste, et de les inclure dans votre CV et votre lettre de motivation, en conséquence.Vous devez vous préparer à mettre en évidence les compétences les plus pertinentes lors d'un entretien en étant capable de fournir des exemples concrets.Bien sûr, il s'agit d'une liste non exhaustive, mais ce sont des compétences que je sais être importantes pour les employeurs (en tant que personne ayant consulté un spécialiste de l'acquisition de talents et ayant fait sa part d'entretiens !) Résolution de problèmes Les employeurs recherchent généralement des candidats ayant de solides compétences en résolution de problèmes, tout simplement parce que, quel que soit le poste ou l'entreprise, des défis surviennent, et ils veulent s'assurer qu'ils ont des personnes capables de gérer ces situations et de trouver des solutions en conséquence.Les problèmes peuvent être des situations difficiles, des interactions personnelles, des erreurs de communication ou des malentendus, ou même l'émergence de nouvelles idées au sein de l'organisation.Vous utilisez probablement des compétences en matière de résolution de problèmes au quotidien sans même vous en rendre compte, en traitant les plaintes des clients, en travaillant sur un projet de manière indépendante ou en équipe, ou en répondant aux questions de votre superviseur sur vos tâches.Pour démontrer votre capacité lors d'un entretien, vous pouvez vous préparer à décrire une situation où vous avez développé une solution pour surmonter un défi.Gestion du temps Les employés qui gèrent bien leur temps sont beaucoup plus productifs, efficaces et plus susceptibles de respecter les délais. Ils ont tendance à hiérarchiser leur travail de manière appropriée, et ont la capacité de se concentrer sur les tâches les plus importantes et les plus sensibles au temps, plutôt que de perdre du temps sur des tâches qui ne sont pas aussi urgentes. Pourquoi un employeur ne rechercherait-il pas un candidat qui tire le meilleur parti de son temps ?En tant qu'étudiant, vous avez probablement déjà maîtrisé cette compétence, vous avez donc déjà une longueur d'avance. La gestion du temps est en fait une combinaison de travail productif et d'établissement de priorités.Pour montrer votre capacité à gérer efficacement votre temps lors d'un entretien, donnez des exemples de la façon dont vous avez géré plusieurs projets ou des priorités concurrentes et respecté vos délais.Souplesse En tant qu'employé, être flexible signifie que vous êtes souvent capable de pivoter rapidement et de vous adapter aux changements de priorités, de structures, de tâches et de délais, ce qui est vraiment important pour les employeurs, qui pensent constamment au succès à long terme.À ce stade, post-COVID, je pense que nous avons tous prouvé que nous étions extrêmement flexibles et résistants au changement et que nous ne savions pas ce que l'avenir nous réservait (je vous en prie, donnez-vous une tape dans le dos !). Nous avons tous montré notre capacité à nous adapter aux changements de nos environnements, notamment par le biais de l'école en ligne et du travail à distance, et nous sommes restés, malgré les difficultés, positifs et enthousiastes à propos de ce sur quoi nous travaillons ou de ce vers quoi nous tendons. Heureusement pour nous, étudiants, la flexibilité a aussi beaucoup à voir avec la volonté d'apprendre et l'ouverture à d'autres façons de faire les choses - ce qui, à mon avis, est ce que nous faisons le mieux !Vous pouvez montrer que vous êtes flexible lors d'un entretien en donnant un exemple de moment où vous avez dû vous adapter à un environnement changeant et expliquer comment votre flexibilité a été précieuse pour votre entourage.Travail d'équipe Les employeurs recherchent souvent des candidats capables de bien travailler avec d'autres personnes - principalement parce que le travail d'équipe est essentiel pour s'intégrer à la culture de l'entreprise, établir des relations personnelles et professionnelles et développer un sentiment d'appartenance au sein d'un groupe (même en tant que travailleur à distance, il est toujours très important d'interagir avec les autres !)Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais j'ai déjà eu l'occasion d'interagir avec des équipes dans le cadre de projets de groupe, d'activités extrascolaires et au travail, de sorte que le travail en équipe et la collaboration avec les autres font partie de mon quotidien.Vous pouvez montrer votre volonté de travailler avec les autres en donnant un exemple de la façon dont vous avez dû naviguer dans différentes dynamiques d'équipe d'une manière qui renforce la solidarité et encourage une collaboration productive.L'esprit de croissance Celui-ci peut être une surprise pour vous, mais il est logique si vous y réfléchissez. La nature inévitable de l'environnement d'entreprise d'aujourd'hui est compétitive, changeante et perturbatrice, ce qui signifie qu'encourager un état d'esprit de croissance à l'échelle de l'entreprise est devenu important pour le succès de la plupart des employeurs.Lorsque les employés sont enthousiastes à l'idée d'apprendre et de se développer tant sur le plan personnel que professionnel, il est logique que leurs organisations voient augmenter les niveaux de confiance, d'engagement et d'innovation.Vous serez en mesure de montrer votre empressement à évoluer en donnant des exemples d'actions que vous avez prises pour faire progresser vos compétences et élargir vos capacités, au sein et en dehors du travail.Communication Je sais déjà que vous avez déjà entendu cette question. On a l'impression que l'on parle TOUT le temps des compétences en communication, mais cela se vérifie si l'on considère que vous devez être capable de communiquer et d'écouter tout le temps au travail, quel que soit le secteur. Les employeurs sont toujours à la recherche d'excellents candidats capables de communiquer efficacement (à l'oral comme à l'écrit). Vous devez être capable de communiquer avec vos collègues, vos responsables et vos clients en personne, en ligne, par écrit et/ou par téléphone.C'est une chose que la plupart d'entre nous essaient encore de maîtriser, mais laissez-moi vous dire que le fait de travailler dans un environnement d'entreprise m'a beaucoup appris sur la communication avec les autres et sur la façon de s'assurer qu'il n'y a pas de place pour les malentendus ou les mauvaises interprétations.N'hésitez pas à utiliser l'entretien lui-même comme une occasion de montrer que vous pouvez parler et écouter efficacement, ou plongez dans un exemple d'une fois où vous avez communiqué quelque chose aux autres avec facilité.Motivation personnelle L'attitude est très importante sur le lieu de travail. Les employeurs recherchent des candidats qui sont positifs et motivés, même dans des situations stressantes ou difficiles. La positivité et l'auto-motivation montrent votre niveau de résilience (vous vous souvenez quand nous avons parlé de flexibilité ?). Les employeurs veulent embaucher des personnes qui ont une attitude positive, qui sont dévouées, motivées et prêtes à fournir un effort supplémentaire pour accomplir leur travail lorsqu'elles sont confrontées à des difficultés.Une bonne façon d'aborder cette question est de réfléchir à ce qui vous motive. Est-ce les résultats ? Est-ce l'atteinte d'objectifs ? Est-ce le fait de recevoir du feedback ? Réfléchissez à ce qui vous enthousiasme et à ce qui vous rend plus disposé à travailler sur les choses.Dans une entrevue, vous pouvez parler des initiatives que vous avez dirigées et décrire comment vous avez pu atteindre les objectifs que vous vous étiez fixés pour ces projets.Montrez-moi vos compétences!  Avant de passer un entretien, prenez quelques instants pour dresser une liste des compétences et des qualités qui reflètent le mieux votre parcours, et intégrez-les dans votre CV et votre lettre de motivation.Pensez à des exemples concrets où vous avez pu acquérir ou appliquer ces compétences, ce qui vous a permis de réussir en classe, au travail ou dans un autre cadre. Partagez ces exemples avec votre interlocuteur afin de souligner à quel point vous seriez un atout pour son équipe.Maintenant, allez-y et commencez à postuler ! Vous avez réussi !  

La pandémie a adapté la façon dont les recruteurs recrutent parce qu'elle a changé à peu près tout dans notre monde et cela inclut la façon dont les entreprises pensent. Ce dont les employeurs ont besoin, c'est d'un plus grand nombre de membres d'équipe capables de fonctionner, d'innover et de diriger avec une approche interdisciplinaire qui assure une croissance à long terme, quel que soit l'environnement.Pour rester agile et avoir un avantage concurrentiel en ce qui concerne les emplois que vous voulez, il faut apporter des compétences durables à la main-d'œuvre. Alors, que sont les compétences durables et comment les mettre en valeur auprès de votre futur employeur potentiel ?Les compétences durables sont, à bien des égards, un autre moyen de transmettre les "compétences générales", dans la mesure où, alors que nous parlions autrefois de compétences "dures" et "générales", le langage actuel a évolué vers les termes "durables" ou "périssables" et la catégorisation de ces compétences est désormais mesurée par leur longévité. En voici un extrait.En substance, les compétences durables sont des compétences qui durent longtemps et qui ne peuvent pas être enseignées, mais qui s'acquièrent par la pratique - par l'expérience - et qui ont également une durée de vie d'au moins 7,5 ans. Les compétences durables sont également facilement transférables d'un type d'emploi à un autre et d'un secteur à un autre - la valeur de ces compétences ne diminue pas lorsque le titre ou l'employeur change.Voici quelques exemples de compétences durablesla réflexion sur la conception,la gestion de projetla communication efficace,le leadership,la créativité,la pensée critique,la flexibilité cognitive, la résolution de problèmes,la prise de risques, et,la force mentale.Pourquoi est-ce important pour vous de le savoir ? 44% des recruteurs indiquent qu'ils préfèrent embaucher une personne possédant de solides compétences durables plutôt que de solides compétences techniques et, à l'heure actuelle, il y a une pénurie de candidats qui peuvent parler de leurs compétences durables parce qu'ils n'ont pas acquis l'expérience nécessaire pour les acquérir.N'oublions pas non plus que les compétences techniques peuvent être facilement enseignées alors que les compétences durables NE LE PEUVENT PAS. Si vous acquérez l'expérience dont vous avez besoin pour développer vos compétences durables, vous serez le candidat le plus intelligent - quel que soit le rôle ou le secteur d'activité.   

Bonjour mes amis, et bienvenue à Outcome Campus Connect ! J'ai tellement hâte que vous appreniez à me connaître et que vous ayez l'occasion de vous {connecter} !Je m'appelle Courtney et j'entame ma cinquième (et dernière) année à l'Université McMaster dans le programme de commerce spécialisé avec stage. Si vous ne savez pas ce qu'est le commerce (il y a tellement de gens qui ont l'air confus quand je leur dis ce que j'étudie, alors vous n'êtes pas les seuls), je suis essentiellement un programme général de commerce, mais je peux me concentrer sur ce qui m'intéresse le plus, c'est-à-dire le marketing et les ressources humaines. J'ai également déjà effectué une mineure en innovation, qui se concentre essentiellement sur l'entrepreneuriat, principalement parce que cela m'intéresse, mais aussi parce que cela semble cool. Après l'obtention de mon diplôme, j'espère aller à l'université pendant un an pour étudier les relations publiques, et j'espère me diriger vers quelque chose comme la communication d'entreprise ou le marketing d'influence, mais bien sûr, tout cela est à déterminer.Au cours de l'année dernière, j'ai eu le privilège de travailler dans deux stages, qui ont tous deux été des expériences phénoménales. Pendant 12 mois, j'ai travaillé en tant que stagiaire chargé de la réussite des clients pour une entreprise technologique, ce qui m'a beaucoup appris sur la gestion des relations, l'intégration dans une organisation et la gestion du temps. Maintenant, je suis sur le point de terminer un stage de 4 mois en communication pour une municipalité - cela m'a beaucoup appris sur la communication, ma capacité à être créative et à résoudre des problèmes, et l'importance de s'adapter au changement.Ce que je retiens de mes dernières expériences professionnelles est le suivant :N'ayez pas peur de poser des questions - vos collègues veulent simplement vous voir grandir et réussir ! Offrez toujours votre aide et montrez votre soif d'apprendre et votre désir de vous immerger dans l'entreprise. Restez curieux ! Profitez du réseautage interne et des opportunités/ateliers personnels/professionnels offerts par votre employeur !En tant que nouveau membre de l'équipe du contenu du CCO, je suis très enthousiaste à l'idée d'acquérir davantage d'expérience en matière de rédaction et de création de contenu, de partager mes expériences et mes connaissances avec d'autres personnes, d'entrer en contact avec des étudiants et des professionnels, et surtout, d'être créatif !Si vous êtes arrivés jusqu'ici, je voulais vous faire part de quelques faits moins excitants mais tout de même amusants à mon sujet - certaines choses que j'aime : les couchers de soleil, les promenades et les randonnées, travailler dans des cafés, la poterie, la danse (les claquettes sont mes préférées) et passer du temps avec mes amis et ma famille.Restez à l'affût des futurs articles de blog et du contenu amusant de votre serviteur !J'ai hâte de partager mes idées et, bien sûr, ce que je continue d'apprendre en cours de route. 

Vous avez probablement entendu parler du concept de "stratégie de sortie" dans le domaine des affaires, mais avez-vous envisagé l'application de ce concept lorsqu'il s'agit de quitter l'entreprise dans laquelle vous travaillez pour poursuivre autre chose ? Pour ceux qui ne le savent pas, une stratégie de sortie est essentiellement votre plan d'affaires à l'envers. Tout comme vous avez planifié le développement de votre entreprise, vous devez maintenant planifier la transition de ce qui a été construit sans perdre de valeur, idéalement pour tous. Lorsque vous quittez votre poste, n'oubliez pas que, même si vous avez l'impression que votre temps dans l'entreprise pour laquelle vous travaillez est terminé, à un moment donné, la personne à qui vous remettrez votre lettre de démission était celle à qui vous avez remis avec empressement votre lettre de motivation et votre CV.  Quitter un emploi est une danse délicate, où vous devez prendre en compte l'optique, les sentiments et l'héritage de votre impression sur vos pairs et votre employeur. Voici quelques façons ludiques d'appliquer le concept de stratégie de sortie d'entreprise pour quitter votre rôle actuel : Liquidation Quels sont les atouts que vous avez contribué à construire dans votre rôle, au sein de vos équipes ou de la culture de votre entreprise et dont vous ne vous occuperez plus ? Si vous pouvez identifier ce que vous avez construit et réalisé en travaillant dans votre rôle, vous pouvez fournir à votre employeur une réflexion sur ce que vous avez appris pendant votre temps avec lui tout en renforçant ce que vous avez apporté.  Vous ne vendez pas la valeur d'une entreprise mais vous vendez à nouveau à votre employeur la valeur que vous avez apportée, ce qui peut l'aider à apprécier ce que vous avez fourni et à voir plus facilement les domaines dans lesquels il devra trouver un candidat. Vendre à quelqu'un que vous connaissez (rester dans la famille) Bien qu'il soit important de savoir que quitter une entreprise et recommander un candidat pour occuper votre poste ne sera pas toujours bien accueilli, les employeurs sont beaucoup plus ouverts et apprécient les recommandations de nouveaux talents sur le marché de l'emploi actuel. Si vous connaissez quelqu'un qui est à la recherche d'un emploi et qui a la personnalité et les compétences requises pour le poste que vous quittez, quelqu'un en qui vous avez confiance et dont vous pouvez vous porter garant, recommandez-le à votre employeur. Aider l'entreprise pour laquelle vous travaillez à trouver la bonne personne pour reprendre vos responsabilités, et l'aider à continuer à développer son activité en votre absence, est stratégique et réfléchi. Il se peut même que vous participiez à l'embauche et à l'intégration des candidats ou de la nouvelle recrue... quelle transition harmonieuse ! Sans aucun doute, tout le monde sera heureux de cette façon. UNE IPO (offre publique de vente) Bon, d'accord, cette idée est un peu exagérée. Cependant, l'idée est assez vraie : si vous envisagez de quitter votre poste pour des raisons de salaire ou de croissance de l'emploi qui n'ont pas été négociables jusqu'à présent, le fait d'avoir une offre d'emploi alternative (compétitive) peut vous aider à mener de solides négociations avec votre employeur afin de trouver des moyens pour que le poste soit plus propice à ce dont vous avez besoin pour rester. Nous vous conseillons de faire preuve de prudence à cet égard.  Offrir vos compétences au "public", c'est-à-dire à un autre employeur potentiel, ne doit être fait que si vous souhaitez réellement partir parce que vous n'êtes pas satisfait ou mécontent de vos offres actuelles. Bien que cela puisse augmenter votre "capital", cela peut également le faire chuter - la loyauté, à ce jour, est inestimable pour quiconque.  

Comme dans la vie, la plupart des emplois ont une date d'expiration. Contrairement à la boîte de soupe qui indique à votre nez qu'il est temps de la jeter, les signes indiquant qu'il est temps de quitter votre emploi pour un nouveau sont plus nuancés. Avec le temps, cependant, ces signes subtils peuvent ressembler à une grande publicité (clignotante) avec un texte en gras : "Passez à autre chose !" ou "Je démissionne" ! Avant d'arriver à cette bifurcation, les petits signes qui jalonnent le chemin peuvent vous aider à éviter d'être retenu ou coincé en disant au revoir à votre emploi sans en voir un nouveau. Sept signes importants indiquant qu'il est temps de quitter votre emploi pour en trouver un nouveau : 1. L'ennui Le travail n'est pas censé être super amusant tout le temps, mais il ne devrait pas être ennuyeux au point que vous ayez l'impression de regarder la peinture s'écailler - vous savez ? Ce qui engendre l'ennui est souvent le manque de défi et, dans un rôle typique, cela vient du fait que vos compétences sont sous-utilisées (ou non reconnues) par votre employeur. Si vous n'utilisez pas vos compétences, vous n'apprenez pas et ne vous développez pas - ce qui n'est pas bon. 2. L'épuisement professionnel L'épuisement professionnel est un sujet délicat car la raison de l'épuisement de chaque individu est très personnelle. Certains font l'expérience de l'épuisement au travail en raison d'une combinaison de ce qu'ils affrontent dans leur charge de travail, leur environnement de travail ou la culture de l'entreprise, tandis que d'autres le vivent parce que ces éléments sont combinés à des défis personnels. Cela dit, si vous avez des défis personnels mais que vous ne pouvez rien dire à votre employeur, c'est peut-être un signe que ce n'est pas une culture dont vous voulez faire partie de toute façon. Votre vie est votre vie, et vous n'en avez qu'une, ne la gâchez pas en vous sentant inférieur ou en brillant inférieur. 3. Compensation En vérité, ce que vous valez et ce que vous êtes payé ne sera pas toujours équilibré, mais cela devrait au moins être proche. Et, même si ce n'est probablement pas ce que vous avez entendu, le fait est qu'il faut du temps pour construire votre CV et votre salaire afin de les amener là où vous le souhaitez - il faut de l'expérience. Cependant, et c'est un GRAND "cependant", si votre rémunération ne vous permet pas de vivre heureux, avec une sécurité financière, et qu'il n'y a pas de marge de négociation ou de voie claire vers une augmentation de la rémunération... dites bye bye ! 4. Équilibre L'équilibre entre le travail et la vie privée est rarement facile à atteindre, mais il est possible. L'équilibre entre vie professionnelle et vie privée dépend en grande partie des valeurs, de l'éthique et de la culture de l'entreprise pour laquelle vous travaillez, mais ce que vous choisissez d'accepter ne dépend que de vous. Si vous répondez à des courriels, à des appels téléphoniques et que vous vous sentez obligé de travailler en dehors de vos heures de travail habituelles, alors vous n'aurez pas d'équilibre - il s'agit soit de votre travail, soit de vivre pleinement votre vie - ne sacrifiez pas votre temps personnel pour un travail qui vous fait passer à côté de ce qui est vraiment important.  5. L'éthique C'est une question importante. La façon dont vous vous sentez lorsque vous posez votre tête sur l'oreiller à la fin de la journée est sans doute la considération la plus importante et la plus déterminante de votre vie. Si vous travaillez dans un environnement, une culture professionnelle, un rôle ou un secteur qui ne correspond pas à vos valeurs, vos croyances ou votre éthique, alors vous n'êtes pas au bon endroit et il est absolument temps de chercher un employeur qui ne vous fera pas ressentir cela. 6. Le bonheur Si vous ne vous sentez pas heureux en allant travailler, en parlant de votre travail ou avec vos collègues, il est temps d'avoir une conversation avec votre employeur. Si vous voulez que cela fonctionne, cela vous donne l'occasion de chercher de manière constructive et proactive des solutions aux obstacles qui entravent votre bonheur, mais si vous avez l'impression qu'il y a trop d'éléments non négociables, tout indique qu'il faut trouver un nouvel emploi pour pouvoir quitter votre emploi actuel. 7. Opportunité Cette question est double.  Dans votre poste actuel, vous devez avoir la possibilité de progresser et d'avancer. Si votre progression de carrière n'est pas clairement définie, il est temps de parler à votre employeur ou de commencer à chercher un employeur qui comprenne votre valeur. Il se peut que des recruteurs d'autres entreprises vous présentent des opportunités, ou que vous travailliez pour d'autres entreprises, qui offrent des rôles passionnants avec des rémunérations compétitives - si c'est le cas, et si vous êtes sûr que vous n'êtes plus satisfait de votre travail, il est peut-être temps de tracer une nouvelle voie en sortant de votre bureau et en entrant dans un nouveau ! Quels que soient les signes que vous voyez et ce que vous décidez de faire, rappelez-vous que Beyoncé a raison : le "hustle" 9-5 exige une approche réfléchie, avec un employeur réfléchi, rien ne vaut de "briser votre âme" (votre bonheur).  

Un Equatorien de 23 ans nous donne un aperçu de ce que c'est que d'être entrepreneur de sa propre entreprise, qui lui permet non seulement de suivre ses rêves mais aussi de financer son style de vie.                                              La vie ne doit pas être linéaire, surtout lorsqu'il s'agit de trouver ses passions. Il y a toujours eu un stigmate sociétal qui pousse les jeunes à décider de leur avenir très tôt. Découvrir ce qui vous convient ne devrait pas être, et n'est pas, un processus simple. Il ne s'agit pas d'obtenir un diplôme, d'aller à l'université, puis de faire un master ou de trouver un emploi. À un certain moment de la vie, il devient évident qu'il est important de poursuivre ses rêves.   C'est ce qu'a fait Mateo Yanzza et, pour lui, vivre ses rêves signifie "rien de risqué, rien de gagné".  Mateo Yanzza avait toujours rêvé d'être son propre patron. La liberté qui découle de la possession d'une entreprise est libératrice. La vision de Yanzza l'a amené à faire de son rêve une réalité, en tant que fondateur et associé gérant de sa propre entreprise (Pragmatic).   Où avez-vous étudié et quel domaine avez-vous choisi ?   J'ai étudié à l'Université de "Los Hemisferios" pendant 2 ans et demi. J'y ai étudié la gestion d'entreprise et j'ai découvert que ma passion n'était pas de faire partie d'une entreprise en tant que travailleur mais de gérer mes projets d'entreprise.   Avez-vous obtenu votre diplôme universitaire ? Pourquoi ou pourquoi pas ?   Non. Après mon 5e semestre, j'ai commencé à observer le monde qui m'entourait différemment. Construire mes entreprises à partir de la base était un travail ardu. J'ai fait le choix de mettre mes études en suspens pour me consacrer à 100 % à mes projets d'entreprise et voir où cela me mènerait.   Avez-vous l'intention de terminer vos études ?   Oui. Je pense que peut-être au prochain semestre ou dans un an, je vais me réinscrire à l'école et terminer. Même si je gère mon entreprise maintenant, je crois aussi en l'importance d'un diplôme.   Quand avez-vous créé votre entreprise ?   J'ai créé mon entreprise à l'âge de 19 ans, tout est venu du besoin d'être indépendante. Pour ma première idée, je voulais voir une opportunité dans le manque de motivation que les gens ressentent en se levant le matin pour aller à la gym - c'est pourquoi j'ai fondé Pragmatic.   Comment avez-vous réussi à financer le début de la création de l'entreprise ?   J'ai toujours cherché à économiser de l'argent. Finalement, quand c'était le bon moment, j'ai investi mes économies dans l'idée de la société et tout ce que cela implique.   Quel est le nom de l'entreprise ?   La société principale s'appelle Global Enterprise, qui est divisée en 4 entreprises : un courtier en assurances, un projet de recyclage, Pragmatic, et une agence de marketing.  Global Insurance garantit des avantages au client par le biais de micro-assurances qui permettent aux personnes à faibles revenus d'avoir accès à divers domaines, comme l'assurance maladie.   Le premier modèle du projet de recyclage aura lieu à Pimampiro, une ville de l'Équateur. Là, notre société collectera tous les déchets, les recyclera et transformera la plupart des déchets en carburant écologique.   Pragmatic est une entreprise qui se concentre sur la vente de machines pour l'entraînement à domicile. Cela permet aux gens d'être en bonne santé dans le confort de leur propre maison.   L'agence de marketing gère l'image de marque et le contenu de Global Enterprise. Elle s'associe également à d'autres entreprises et sociétés en offrant leurs services pour gérer leur impact social.   Quel est l'objectif de Global Enterprises ?   Toutes ces entreprises se concentrent sur le bénéfice et l'amélioration de la qualité de vie du public à l'échelle nationale.   Combien de temps consacrez-vous à votre entreprise ?   Je pense que la création d'une marque et l'établissement d'une crédibilité ne se font pas du jour au lendemain. Il faut du temps pour créer une entreprise à partir de rien et cela demande un dévouement total, une gestion et un travail acharné.   Avez-vous des partenariats ?   Oui, nous en avons maintenant quelques-uns avec certaines entreprises qui offrent des avantages pour nous et pour elles. Je crois qu'il est important de construire une crédibilité à travers des partenariats avec diverses sociétés, entreprises et personnes qui rendront le public plus engagé avec notre entreprise.  Petit à petit, nous voulons étendre notre marque et toucher de plus en plus de public grâce aux connexions.   Vous considérez-vous comme indépendante ?   Oui. J'ai quitté la maison de mes parents et je vis avec un colocataire depuis un certain temps. C'est moi qui suis responsable de mes propres factures, c'est pourquoi il est extrêmement important de savoir gérer son argent.   Comment avez-vous acquis une telle expérience de la gestion d'une entreprise ?   J'ai surtout appris pendant les cinq semestres de mon diplôme. Je crois que l'auto-éducation est un complément essentiel, c'est pourquoi je suis toujours en train de lire, d'apprendre et d'améliorer mes compétences.   Aviez-vous un emploi avant de créer votre entreprise ?  Je suis entrée dans la vie active à l'âge de 17 ans. Avant de créer mon entreprise, j'ai travaillé dans trois endroits différents, qui m'ont tous aidé à acquérir les bases de la gestion d'entreprise.  Quelle est la chose qui vous plaît le plus dans le fait d'avoir votre propre entreprise ?   Je crois que ce que j'aime le plus, c'est la liberté qui en découle. Il y a tellement d'avantages à cela, par exemple je peux planifier et gérer mon propre temps. Avoir une entreprise demande beaucoup de travail, mais c'est tellement gratifiant d'avoir quelque chose à soi.    

1) Quelle université ou quel collège avez-vous fréquenté et qu'avez-vous étudié ? J'ai étudié la criminologie à l'Université de Fraser Valley (2005) parce qu'à l'époque, j'étais en voie d'être embauché par le service de police de Vancouver et la criminologie était mon seul intérêt en matière d'éducation.  2) Vous travaillez dans les services aux Autochtones, détachés des services d'emploi pour les étudiants, les diplômés et les coopératives au Collège Okanagan. Comment s'est déroulé votre parcours pour arriver à travailler dans le milieu de l'enseignement supérieur et à faire ce que vous faites maintenant ? Lorsque j'ai obtenu mon diplôme d'études secondaires, mon rêve n'était pas de travailler dans le domaine de l'enseignement postsecondaire. En fait, je m'étais déjà pré-enrôlé dans l'armée américaine, en tant que médecin de combat, et je suivais la formation de base les week-ends et les jours fériés. Peu après avoir obtenu mon diplôme d'études secondaires, j'ai déménagé aux États-Unis, où j'ai suivi ma formation de base et ma méthode de formation au service. J'ai passé un an dans l'armée américaine, puis je suis rentré chez moi pour aller à l'école et acquérir l'expérience de la vie qui me permettra de postuler avec succès au service de police de Vancouver.  Depuis l'âge de 8 ans, je savais que je voulais être un modèle pour ma communauté autochtone. Le métier d'agent de police m'a semblé être le meilleur moyen d'y parvenir. À l'âge de 3 ans, ma mère est morte, ayant subi les traumatismes du pensionnat, qui ont marqué sa mentalité. Et, avant d'être adultes, mes 2 frères aînés sont devenus toxicomanes et ont vécu des vies sans abri et déviantes pendant plus de 30 ans maintenant. Pour moi, devenir agent de police était le meilleur moyen de compenser l'injustice que mes frères ont perpétrée sur le monde qui les entoure. C'était aussi une façon pour moi d'être l'agent qui a sauvé une jeune personne de la même mauvaise voie. Tout en suivant une formation d'agent de police, j'ai également géré plusieurs magasins de vêtements au détail et j'ai payé mes propres études universitaires - en trouvant mon rythme de croisière dans des postes de direction. Finalement, j'ai été embauché par le service de police de Vancouver, en 2005, en tant que gardien de prison auxiliaire et, sept mois plus tard, en tant qu'agent de police. J'ai obtenu mon diplôme de l'Académie de police du Justice Institute of BC en 2006. J'ai passé près de six ans au sein du VPD, travaillant principalement dans l'Est de Vancouver et dans le Downtown Eastside, au service de ma communauté - la communauté autochtone.  Au fil des ans, je me suis rendu compte que ma capacité à intervenir et à avoir ces effets positifs fondamentaux sur les jeunes autochtones devait se produire plus tôt. Au lieu de répondre à des appels et de voir des jeunes autochtones menottés, d'essayer d'entrer en contact avec eux au moment où c'était le plus difficile, je pouvais travailler à entrer en contact avec eux plus tôt. En outre, bien que je sois un membre des Premières nations inscrit, issu du Musgamwagwa Dzawadaeunx de la nation Kwakwakawakw, les gens ne voyaient jamais que mon uniforme en premier. Je devais trouver une autre façon de faire la différence. Cette prise de conscience m'a poussé à démissionner de mon poste au sein du VPD, fin 2012, et ce fut l'une des décisions les plus difficiles que j'ai jamais prises. J'ai pleuré en sortant du poste de police en tant que civil. La profession pour laquelle j'avais passé toute une vie à travailler et à rêver, la carrière pour laquelle j'avais versé des larmes (et du sang)... cette carrière était terminée. J'ai été réconforté par mon sergent qui m'a rappelé que si mon poste au sein du service était terminé, l'impact que j'avais eu sur la communauté resterait à jamais gravé dans leur mémoire.? Puis, presque par hasard, j'ai trouvé une offre d'emploi pour un défenseur des étudiants autochtones, ici, dans le centre de l'Okanagan. En postulant pour le poste, je me suis dit : "Comment vais-je prouver que je suis qualifié pour faire ce genre de travail ?". J'avais été agent de champ de tir, chien de carrière K-9, agent d'infiltration et opérateur de fusil de chasse à létalité réduite pour un important service de police. J'étais calme sous la pression et j'avais un bon relationnel. Mais comment transformer toutes ces compétences en un emploi civil dans une école secondaire ? Heureusement, j'ai été embauché dans le SD 23 (Central Okanagan School District), en tant que défenseur des étudiants autochtones, à la fin de 2012, et j'ai travaillé pour le district pendant près de 5 ans. J'étais motivée par la différence que je voyais que mon rôle faisait pour notre communauté autochtone et c'était un endroit magique où le changement - un changement fondamental - se produisait. Ce rôle m'a donné l'envie, la passion et la vision de faire encore plus et c'est alors que j'ai postulé pour travailler au Collège Okanagan.  J'ai été embauchée par le Collège Okanagan au début de 2018, et j'ai été ravie chaque jour de me présenter au travail. Je suis inspirée et motivée par les étudiants avec lesquels je travaille chaque jour. Les obstacles sociétaux auxquels ils sont confrontés en tant qu'étudiants autochtones de niveau postsecondaire, et les choses incroyables qu'ils réalisent malgré l'iniquité qu'ils subissent dans la société, sont transformateurs.  En janvier 2020, j'ai été détaché dans ce rôle actuel pour le collège. L'objectif de ce travail est de privilégier la voix de nos étudiants indigènes, de partager leurs histoires d'une manière très traditionnelle de partager les connaissances et les informations. L'objectif est que, grâce à ces histoires, nous puissions trouver de nouvelles façons de fournir un accès équitable à nos étudiants autochtones et d'établir des relations réciproques significatives et plus profondes avec notre corps étudiant, nos partenaires de la communauté autochtone et nos partenaires du monde des affaires. 2) Qu'est-ce que vous trouvez le plus significatif dans votre travail ? Qu'est-ce qui est le plus difficile ? La possibilité d'entrer en contact avec les étudiants et la communauté autochtone d'une manière qui leur permet de s'exprimer, qui les incite à aller plus loin que ce qu'ils avaient peut-être imaginé pour eux-mêmes - c'est ce qui me donne le plus de satisfaction dans le travail que je fais. Je suis également reconnaissante de pouvoir remettre en question des systèmes profondément enracinés qui, par leur nature même, créent des inégalités et des déficits pour la communauté autochtone. Je reconnais que si mon travail a un impact, je ne peux pas changer le monde... pas seule en tout cas. Je réalise que je ne peux pas résoudre tous les problèmes de chaque étudiant, de chaque membre de la communauté avec lequel je travaille, mais je sais que parfois l'inconfort du changement, ou l'inconfort de l'échec, est aussi le point de départ de nombreuses personnes. Tout comme ma propre vision de mon "échec" dans ma carrière de policier, ce qu'il est devenu en réalité est un point de départ pour ce nouveau parcours professionnel. Un cheminement de carrière qui a été épuisant, accablant, magnifique et magique, tout à la fois.  3) Quel est le meilleur conseil que vous puissiez donner aux étudiants et aux diplômés postsecondaires d'aujourd'hui ? Allez là où vous ne vous sentez pas à l'aise. Penchez-vous sur ce sentiment et travaillez dessus. C'est là que vous réaliserez que les limites que vous avez dans la vie sont seulement celles que vous laissez exister. 4) Vous avez récemment lancé un comité d'espace positif au Collège Okanagan. Est-ce une chose facile à faire pour d'autres établissements d'enseignement supérieur ? Avez-vous des conseils sur la façon de mettre en place un comité Positive Space ou sur la façon de démarrer ? Le Positive Space Committee a été un travail d'amour pour moi et de nombreux collègues de tous les secteurs de notre institution. Je m'identifie comme une personne autochtone bispirituelle, alors la possibilité d'offrir à nos étudiants, à notre personnel et à l'ensemble de la communauté d'OC un espace sûr pour s'approprier leur identité a été un de mes grands objectifs personnels. La création de ce type de comité, qui remet en question les schémas de discrimination, ouvertement ou par le biais de microagressions subversives à l'égard de la communauté LGBTQ2IA+, nécessite le soutien des plus hautes instances de l'institution. Je suis heureux de dire qu'au Collège Okanagan, nous avons le soutien de la direction pour la création de ce comité et le soutien de nos initiatives globales de bien-être au collège. Vous entendez souvent le slogan " Rien pour nous sans nous " prononcé lors de rassemblements, de marches ou de protestations. Ce sentiment est fondamentalement l'un des facteurs les plus importants à prendre en compte lors de la création d'un comité Espace positif - quelle que soit la structure de taille ou la clientèle de l'organisation. Il est essentiel de s'assurer que la voix de la communauté LGBTQ2IA+ soit présente dans le processus. Seuls ceux qui ont vécu la discrimination historique savent ce dont ils ont besoin pour se sentir en sécurité, inclus, soutenus et accueillis.  5) Qu'est-ce qui vous inspire (ou qui vous inspire) ?  Oh, c'est une question tellement vaste ! Je trouve de l'inspiration chez de très nombreuses personnes et dans de nombreux événements de ma vie, petits ou grands. J'ai une fille de 6 ans, qui porte le même nom que moi, et elle est ma plus grande source d'inspiration. Les peuples indigènes ont le concept des sept générations. En bref, cela signifie que je suis l'aboutissement de la sagesse, de l'amour et du savoir des sept générations d'ancêtres qui m'ont précédé ; les connaissances que j'ai, les capacités que j'ai, je les dois à tous, pas seulement à moi. Le privilège que j'ai dans les positions que j'occupe dans la société aujourd'hui n'est pas seulement à mon profit, mais au profit des 7 générations qui viendront après moi - le sens du travail désintéressé qui est fait pour le plus grand bien. Je regarde ma fille, et chaque jour, je suis inspiré de renouveler mes efforts pour créer une société plus équitable, plus sûre et plus aimante pour elle - grâce à elle et avec elle.  6) Quels mots essayez-vous de suivre ?  Si je peux, je dois. Je ne sais pas où j'ai trouvé cette phrase, mais je me la répète dans diverses situations, presque quotidiennement. J'ai cette capacité, cette passion, et cette position dans mon rôle de mère, de fille, de militante, de coordonnatrice de coopérative, et la capacité d'apporter de grands changements pour les autres. Ce travail est parfois épuisant, et les détails de la réalisation des événements et des programmes sont nombreux. Mais si je peux, je dois.  J'ai également enseigné cette déclaration à ma fille. L'idée d'être plus qu'un simple spectateur. Si nous sommes témoins d'une inégalité ou d'une injustice à l'égard de ceux qui nous entourent et que nous sommes en mesure de les soutenir d'une manière ou d'une autre, nous devons le faire. Ma fille a économisé la moitié de son argent de poche pendant 12 mois et, à Noël dernier, elle a acheté des fournitures pour confectionner 15 colis de soins, qu'elle a distribués aux sans-abri du centre-ville de Kelowna. Elle rayonnait après coup, en voyant le regard de surprise et de joie sur les visages de ces gens, et elle était fière d'avoir eu un impact positif sur tant de personnes. Elle a terminé la journée en disant : "Nous avons de la chance, Momma, de pouvoir payer notre maison et notre nourriture, alors nous devons partager avec ceux qui n'ont pas cette chance. En y pensant maintenant, j'ai les larmes aux yeux tant je suis fière d'elle. Cette année, l'argent de poche qu'elle économise sera donné à la banque alimentaire.  Nous n'avons pas toujours les moyens financiers de faire ce genre de choses, mais s'il s'agit d'un mot gentil, d'un sourire ou d'une voix pour soutenir ceux qui sont confrontés à l'injustice, si nous pouvons le faire, nous devons le faire.  7) Quelle importance revêt l'acquisition d'une expérience professionnelle pour diriger efficacement ?  Ce n'est pas parce que nous connaissons la théorie que nous pouvons être efficaces dans l'enseignement de la matière. Il en va de même pour le leadership, ce n'est pas parce qu'une personne a des lettres derrière son nom qu'elle peut être un leader efficace. J'ai passé de nombreuses années dans divers rôles de gestion, dans des rôles de direction et dans des positions d'autorité. La plus grande chose que j'ai apprise de toutes ces expériences est de rester humble, car nous ne saurons jamais tout. L'expérience acquise dans ces rôles m'a appris à écouter d'abord l'équipe, à poser des questions plus qu'à donner des directives, à être flexible dans mes objectifs et à tenir compte des autres esprits dans la conversation. Ce sont toutes des choses qu'il faut vivre pour comprendre. J'ai fait de nombreuses erreurs de leadership au fil des ans, mais je ne les ai jamais laissées être des erreurs inutiles, je les ai toujours utilisées comme des opportunités d'apprentissage - déterminé à être meilleur la prochaine fois. Il s'agit d'un état d'esprit réflexif qui dure toute la vie et que tous les grands leaders utilisent, je crois.  8) Quels livres lisez-vous en ce moment ?  "21 Things You May Not Know About the Indian Act", Bob Joseph. (Il s'agit d'un livre qui vise à aider les Canadiens à faire de la réconciliation avec les peuples autochtones une réalité). " The Inconvenient Indian ", Thomas King "Harry Potter and the Philosophers Stone", J.K. Rowling (qui fait partie des histoires que je lis chaque soir à ma fille).?    9) Avec le passage actuel à l'apprentissage en ligne, toutes les institutions ont dû passer à l'apprentissage en ligne jusqu'à ce que nous soyons sûrs que le retour sur le campus est une option sûre et saine pour tout le monde. Qu'est-ce qui vous manque le plus dans l'expérience de l'enseignement supérieur en personne ?  J'ai été élevée dans la conviction que la meilleure communication se fait en personne, lorsque vous pouvez voir le blanc des yeux d'une personne, sentir l'intention dans son cœur et entendre ses mots. La collaboration avec mes collègues sur le campus me manque. Certaines des meilleures idées naissent au hasard de conversations dans les couloirs avec des membres du personnel qui ne font pas forcément partie du même département. Je m'ennuie de voir mes étudiants en personne, même si j'ai encore la possibilité de les rencontrer virtuellement et de faire le point avec eux, je m'ennuie des accolades de félicitations que nous partagions lorsqu'ils me parlaient de leurs récentes réussites.  Les peuples autochtones ont subi et continuent de subir un traumatisme incroyable dû à l'assimilation et au génocide culturel. La qualité la plus forte que nous ayons est notre résilience, et notre résilience se trouve dans les rires qui éclatent, dans n'importe quel rassemblement communautaire, du plus profond de nos cœurs courageux et forts. Le rire guérit et c'est le rire partagé avec mes étudiants et ma communauté qui me manque le plus.     

1) Quel établissement postsecondaire avez-vous fréquenté et qu'y avez-vous étudié ? Mon éducation est un peu éparpillée ! Après avoir fréquenté cinq écoles secondaires différentes, j'ai déménagé de Toronto à Halifax pour m'inscrire à l'Université Dalhousie, où j'ai commencé dans un programme d'arts généraux. Après la deuxième année, j'ai fait une demande d'admission au programme d'architecture, qui exigeait deux années d'études de premier cycle pour être pris en considération. Le programme était petit et compétitif, alors j'ai suivi des cours de calcul et de beaux-arts pour améliorer mon dossier et j'ai été acceptée ! J'ai terminé ce programme (officiellement un baccalauréat en design environnemental) et j'ai pris une année sabbatique pour travailler et vivre à l'étranger. Je suis ensuite retournée à Halifax pour obtenir une maîtrise en design à la Nova Scotia Academy of Art and Design. 2) Comment êtes-vous entrée dans votre secteur et comment êtes-vous arrivée là où vous êtes maintenant ? J'ai travaillé dans le domaine de l'architecture pendant un certain temps, mais je n'ai pas trouvé ce secteur aussi épanouissant sur le plan créatif que je l'avais imaginé. La maison, la rigueur et les aspects techniques ne me convenaient tout simplement pas. J'ai donc pris le design que j'avais encore et l'expérience et l'éducation dans le domaine de l'architecture pour commencer à travailler en tant que designer interne pour un cabinet d'architecture à Toronto. Lorsque j'ai déménagé à Hamilton pour fonder ma famille, j'ai eu la chance de trouver un poste extraordinaire chez IKEA, en tant que designer au siège social. Après la naissance de mon deuxième enfant et la perte très soudaine de mon petit frère, je suis en quelque sorte tombée dans la peinture. Mais en vérité, mon éducation et mon expérience professionnelle ont toujours été marquées par la créativité, alors peut-être que tout cela m'a mené à cela ! 3) Décrivez votre processus - à quoi ressemble-t-il ? Combien de temps prend une peinture typique ? Mon processus commence avec beaucoup d'eau et des lavis de couleur, que je laisse sécher et superposer pour créer de l'énergie et du mouvement dans la pièce. Ensuite, j'utilise des lignes plus nettes pour "nettoyer" ces formes organiques et créer des conversations entre les formes. Je peins sur du papier aquarelle poreux (plus la couleur peut déteindre, mieux c'est) et sur des toiles. Les dernières étapes, bien sûr, sont le vernissage et l'emballage de la peinture - parfois pour l'expédier à travers le pays. Pendant tout ce temps, j'essaie de communiquer avec mon client, de maintenir ma présence sur les médias sociaux, et je trouve que les gens aiment voir le processus derrière mon travail. 4) Qu'est-ce que vous aimez le plus dans ce que vous faites ? Qu'est-ce qui vous semble le plus difficile ? J'aime tellement peindre. C'est tellement apaisant pour moi. Elle me permet de faire le vide dans ma tête et de canaliser mes émotions. J'aime aussi que mes peintures apportent de la joie aux autres, c'est tellement flatteur quand les gens expriment qu'ils sont émus par mon travail. L'aspect commercial est parfois un défi pour moi ! Lorsque tout ce que vous voulez faire, c'est peindre, mais que vous avez des commandes à emballer, à expédier et à facturer, cela peut être frustrant. Mais je me force à en profiter en mettant un podcast ou en commençant une peinture et en attendant qu'elle sèche pendant que je m'occupe de mon travail. Comme j'ai deux petits enfants à la maison pendant cette période de fermeture, il est évidemment aussi très difficile de trouver le temps de monter dans mon atelier et de peindre sans être interrompue. 5) Quel est un projet récent sur lequel vous avez travaillé et dont vous êtes vraiment fière ? J'ai récemment "repris" un compte Instagram appelé @carveouttimeforart, que je suis depuis des années. J'ai mis beaucoup de travail pour démontrer l'histoire et l'esprit derrière mon travail et être honnête et vulnérable sur ma vie d'artiste. J'étais fière de l'aspect esthétique de mon travail et j'étais heureuse de la réaction des autres ! 6) Quelle est la plus grande leçon que vous ayez tirée de votre carrière jusqu'à présent et quel conseil donneriez-vous aux étudiants des universités et des collèges ? N'ayez pas peur d'aller vers quelque chose qui ne vous semble pas être votre meilleur atout - il y a probablement une raison pour laquelle vous êtes attiré et cela va vous apprendre quelque chose. L'architecture n'était pas le meilleur choix pour moi, et je n'étais certainement pas le meilleur élève de la classe. Mais elle m'a appris la discipline, le travail acharné, l'attention aux détails et, surtout, que mes échecs ne sont pas un recul. Tout cela m'a mené jusqu'ici. 7) Votre citation préférée ? "Faites confiance au processus". 8) Qui vous inspire ? Je suis vraiment inspirée par une autre femme avec laquelle je suis allée à l'école d'architecture, Rubeena Ratcliffe, qui est également artiste et parent. Je pense que le fait de pouvoir se voir dans quelqu'un que l'on admire - même de façon infime - est une telle motivation. Les médias sociaux peuvent nous donner cette opportunité. 9) Que lisez-vous en ce moment ? Je suis en train de lire Little Fires Everywhere ! Et mon livre de cuisine Earth to Table. 10) Quelle est, selon vous, la compétence la plus importante pour un artiste d'aujourd'hui (à part la peinture !)? Il faut être prolifique pour maintenir une présence et s'engager auprès de sa communauté. Heureusement, cela fonctionne très bien pour les artistes ; j'ai d'ailleurs lu ce matin une citation d'Andy Warhol que j'adore : "Ne pensez pas à faire de l'art, faites-le simplement. Laissez les autres décider si c'est bon ou mauvais, s'ils l'aiment ou le détestent. Pendant qu'ils décident, faites encore plus d'art".  

Travailler avec Outcome Campus Connect (OCC) m'a donné un aperçu de ce qui m'attend en tant que journaliste et créateur de contenu. Ce voyage m'a donné la capacité de sortir des sentiers battus et de travailler efficacement. C'est la première fois que je travaille en tant que journaliste étudiant, et voici comment tout a commencé.    Lorsque j'ai commencé à St. Thomas, je me sentais un peu perdue - je ne savais pas où je me verrais dans quatre ans. Je doutais beaucoup de mes capacités d'écriture, car j'avais un énorme désavantage par rapport aux autres étudiants : ma langue. (En tant qu'Équatorienne, ma première langue est l'espagnol). J'avais toujours l'impression d'être en retard sur tout le monde, tous les jours, et c'était extrêmement frustrant. Un professeur m'a même "conseillé" de chercher une autre carrière, car je n'avais pas la capacité d'être un bon journaliste ; cela m'a vraiment déconcerté. Je me sentais perdue. J'ai même envisagé de changer de carrière, mais je n'ai jamais trouvé quelque chose qui me semblait aussi juste que l'écriture. Même enfant, je portais un cahier avec moi. J'avais l'impression de devenir les mots que j'écrivais.    J'ai persévéré face au doute. À travers cela, et tout au long de l'université, je dois admettre que l'un des plus grands défis de ma vie a été d'apprendre à m'adapter, à absorber de nouvelles informations, à m'améliorer aussi vite que nécessaire et à m'appliquer à nouveau, moi et mon travail. Dans ce processus, même dans l'échec, j'ai gagné. Je sais qu'après quatre ans, je ne suis plus la même personne perdue qui est entrée au STU. Je suis fière de ce que je suis devenue en tant qu'écrivain, journaliste et personne. Surmonter tout cela ne m'a pas seulement fait comprendre à quel point le travail acharné est payant, mais aussi l'importance d'une bonne orientation.   On dit que "tout arrive pour une raison", et c'est un cliché mais c'est vrai. Chaque cours que j'ai suivi à St. Thomas a joué un rôle énorme dans ce que je suis devenue. Sans Toolbox, je ne serais pas capable de faire du montage audio ou vidéo, d'utiliser une caméra ou d'écrire un article, de faire un montage grossier. Je ne saurais pas comment diriger un podcast, ou même en faire un, si ce n'était pas pour le cours de Mark Tunney. Sans Jan Wong, je n'aurais pas vaincu ma peur des interviews. L'une des personnes les plus influentes de ma vie, qui m'a inspiré et soutenu, est Phillip Lee, avec ses talents de journaliste et de mentor. C'est simple, si je n'avais pas acquis toutes ces compétences, ces connaissances et ces outils, je sais que je n'aurais jamais été embauché par Orbis OCC. Avant de travailler pour Orbis OCC, j'avais besoin de me développer et d'acquérir des compétences que cette entreprise (ou toute autre entreprise) trouverait précieuses.  Orbis OCC était une entreprise figurant sur la liste des offres d'emploi du site Web de la STU. À ce moment-là, j'avais dû quitter le Canada pour retourner en Équateur à cause de la pandémie. La pandémie avait duré un an et, après avoir dû faire face à une crise économique, à des problèmes de santé et de santé mentale, je ne voulais pas vivre une autre année dans "l'oubli du temps", en attendant que quelque chose se passe. Le seul point positif de cette année est qu'avec tout ce qui se passait autour de moi, j'ai écrit plusieurs articles pour The Aquinian, le journal de STU. Cela n'a pas duré très longtemps, car je ne me sens pas épanouie dans le travail ou le processus. Oui, j'ai fait de bons articles, mais je voulais vraiment un défi. J'ai mis à jour mon CV et, chose amusante, j'ai envoyé ma candidature pour Orbis avec une semaine de retard. Honnêtement, je n'avais pas beaucoup d'espoir de recevoir une réponse.   Heureusement, j'en ai eu une et j'ai été engagée pour deux mandats. Orbis fonctionne par mandats, dans lesquels ils engagent des étudiants ou des jeunes diplômés de différents pays pour écrire et créer du contenu pour leur site. Mon premier trimestre à Orbis était si magique que j'avais l'impression de flotter à chaque instant. Les idées se battaient entre elles pour sortir de ma bouche. En tant qu'individus, nous devions soumettre des factures toutes les deux semaines pour nos paiements, la charge de travail était toujours gérable puisqu'il ne s'agissait que de 3 pièces par mois, et vous pouviez prendre le quatrième en congé. La seule recommandation importante que j'ai faite au cours de mon premier trimestre et qui pourrait encore améliorer l'expérience est de travailler avec d'autres étudiants. Par exemple, écrire un article ensemble ou un blog, ou quelque chose comme ça, simplement exercer la capacité d'apprendre des autres. En dehors de cela, le premier trimestre a été difficile car nous avons dû nous adapter au style de travail et aux attentes d'OCC, mais l'exécution du programme était si parfaite que nous n'avons pas rencontré de difficultés majeures.    Il y a deux soumissions dont je suis le plus fier depuis que je travaille avec OCC. Tout d'abord, je me suis lancé un défi en produisant un Q & A avec le professeur Philip Lee. Avant cet article, je ne savais même pas comment structurer un tel article, mais je savais qu'avec un peu de recherche et des exemples, je serais capable de le faire. Cela m'a pris deux fois plus de temps que d'habitude pour écrire un article mais, au final, j'en suis très fière. Je suis sûre que c'est l'un des meilleurs articles que j'ai écrits dans ma vie. Au deuxième trimestre, les choses ont un peu changé. Nous devions rédiger les trois articles et créer du contenu pour leurs plateformes de médias sociaux, comme Instagram et Facebook. Je n'ai jamais été douée pour les médias sociaux, mais heureusement, j'en connais l'importance grâce à ma mineure, la communication. Les conseils de mes supérieurs du CCO m'ont aidé à surmonter les difficultés.      J'ai eu la chance de réaliser de nombreuses interviews et d'écrire plusieurs articles pour leur site web. C'était un voyage unique et, comme tous les voyages, il n'était pas exempt d'embûches. Tout au long de cet apprentissage, je me remettais également d'un accident que j'ai eu au début du mois de janvier, ce qui m'a laissé plus lent à tous les niveaux, et je n'avais pas prévu la charge de travail du dernier semestre avant l'obtention du diplôme, si bien que je jonglais avec les échéances. Le CCO a toujours été d'un grand soutien et m'a ramené à la lumière une fois de plus. Ils ont rempli les nouveaux étudiants d'espoirs et d'enthousiasme pour ce que nous allions réaliser ensemble, ce qui a inspiré toute mon équipe à rechercher des histoires, des interviews, des conseils et à suggérer de nouvelles idées.   Une fois de plus, grâce à tout leur soutien et à l'inspiration qu'ils ont éveillée en moi, j'ai pu réaliser une autre histoire : "Le voyage de Matthew Diagle : Du rêve d'un enfant à un journaliste professionnel", qui s'est avéré, je crois, extraordinaire.     Je pense personnellement que le fait de travailler pour Orbis va non seulement faire bonne figure sur mon CV, mais m'a aussi ouvert les yeux sur ce que je peux attendre d'un futur emploi et de moi-même - ce qui, je crois, est l'une des plus grandes leçons que j'ai apprises dans la vie. Je suis reconnaissante d'avoir pu vivre ce voyage de découverte de soi et d'avoir appris à connaître le journaliste qui sommeille en moi. Après cette expérience, il ne reste plus qu'à dire que je suis très reconnaissante de l'opportunité que j'ai eue avec OCC. Pour l'instant, je suis en route vers le prochain défi : Il y a tout juste quatre semaines, j'ai postulé pour un emploi d'été dans un magazine et plusieurs journaux de ma ville natale, en Équateur. Cette expérience m'a également encouragée et soutenue dans la poursuite d'un master en journalisme d'investigation, en Espagne.   La plus grande différence entre il y a quatre ans et aujourd'hui est que je sais exactement ce que je dois faire pour atteindre tous les petits objectifs que je me suis fixés. Je me vois maintenant comme quelqu'un de plus analytique, observateur, patient, curieux et tenace.     Je suis en train de devenir ce que je veux être.

Nous sommes bien conscients qu'Outcome Campus Connect n'est pas la seule plateforme d'opportunités, mais nous faisons les choses différemment et d'une manière qui fera la différence pour vous. Cette plateforme est entièrement conçue pour vous et c'est ce qui lui confère une réelle influence. La façon dont notre équipe a abordé la construction de cette plateforme est avec l'intention de donner à chaque étudiant universitaire et collégial au moins une expérience d'apprentissage intégré au travail avant l'obtention du diplôme.En quoi cela est-il important ?Les employeurs veulent que vous ayez de l'expérience pour vous embaucher, mais vous ne pouvez pas être embauché sans avoir d'abord acquis de l'expérience, dans la majorité des cas. Cela dit, il existe d'autres plateformes qui tentent de combler le manque de compétences et de vous aider à être embauché, mais aucune ne le fait de manière aussi holistique, avec un soutien global, que nous le faisons.Voici ce qui rend notre plateforme différente et pourquoi elle fera la différence pour vous :Cette plateforme est en partenariat avec des établissements d'enseignement supérieur de tout le pays, ce qui permet aux employeurs de publier des offres d'emploi par l'intermédiaire d'Outcome Campus Connect en précisant les universités ou les collèges qu'ils souhaitent embaucher et en canalisant l'offre non seulement sur notre site en direct, mais aussi sur les plateformes d'offres d'emploi de nos partenaires universitaires, dans tout le pays.Les offres d'emploi que vous voyez sur notre plateforme sont proposées par des responsables de l'embauche ou des recruteurs qui constituent des filières de recrutement de jeunes talents, ce qui signifie que, le plus souvent, l'offre d'emploi que vous voyez s'adresse à une personne ayant trois ans d'expérience ou moins - un étudiant ou un jeune diplômé, comme vous.Le développement des compétences (stages, coopératives, placements professionnels, projets de recherche, etc.) et les offres d'emploi que vous voyez sur Outcome Campus Connect sont ciblés sur des années ou des domaines d'études spécifiques (dans des universités ou des collèges spécifiques). Vous savez donc que l'employeur qui recrute sur notre plateforme a déjà soigneusement étudié le type de talent qu'il recrute (c'est-à-dire vous).Les offres d'emploi que vous voyez sur Outcome Campus Connect sont affichées par des entreprises qui s'alignent déjà sur notre vision de soutenir les étudiants et les diplômés. Vous pouvez donc être assuré que quiconque embauche sur notre plateforme comprend le cheminement de l'étudiant à la carrière et s'investit dans le soutien de la prochaine génération de travailleurs.Emploi et Développement social Canada finance cette plateforme. Vous ne payez donc aucun frais pour l'utiliser - OCC est gratuit pour tous les étudiants universitaires et collégiaux ou les nouveaux diplômés du Canada.Lorsque vous postulez sur notre site, vous n'êtes pas en concurrence avec des personnes ayant des dizaines d'années d'expérience dans un rôle, un domaine, une industrie ou même une région spécifique. Il s'agit d'une plateforme conçue pour les étudiants et les diplômés et c'est ainsi qu'elle fonctionne.Les employeurs recrutent actuellement sur Outcome Campus Connect et ils sont à la recherche de jeunes talents. Qui sait ? Peut-être que cette prochaine embauche, c'est vous ! 

Nous ne voulons pas vous alarmer avec ce titre, nous sommes sûrs que vous êtes "super sympa" et que votre personnalité est très appréciée.     Cela dit, tous les types de personnalité ne conviennent pas à tous les environnements de travail. C'est pourquoi nous vous indiquons ci-dessous les types de tests de personnalité que votre employeur potentiel pourrait utiliser pour vérifier si vous convenez ou non à son équipe.    Types de tests de personnalité - Ce qu'il faut savoir  Indicateur de type Myers-Briggs  Contexte et fonctionnement  Souvent appelé MBTI, le Myers-Briggs Type Indicator est un test de personnalité inspiré des enseignements du psychiatre suisse Carl Jung, qui a émis l'hypothèse que les êtres humains font universellement l'expérience du monde en utilisant nos perceptions sensorielles de la sensation, de l'intuition, du sentiment et de la pensée. Le test lui-même a été produit par une mère et sa fille - Isabel Briggs Myers et Katherine Briggs.   Le test MBTI est un outil qui détermine à quels quatre groupes, dérivés des théories de Jung, un individu appartient :   extraversion vs. introspection,   Jugement vs. Perception,   intuition vs. sensibilité, et,   pensée vs. sensation.    Après avoir passé un test gratuit en ligne d'une durée de 20 à 40 minutes, vos réponses passeront par les quatre groupes et vous placeront dans l'une des 16 catégories possibles de type de personnalité (résultats/combinaisons des quatre groupes).     Test DISC  Contexte et fonctionnement  Comme indiqué sur son site, "En termes simples, DISC est un modèle de développement personnel qui aide les gens à comprendre pourquoi ils font ce qu'ils font ! À cet égard, il s'agit d'un cadre qui met en lumière les préférences et les tendances individuelles. Ce faisant, il permet également d'identifier des modèles de comportement qui pourraient sembler à première vue étrangers, peu familiers ou même contraires."  70 % des entreprises du Fortune 500 utilisent des profils DISC, par exemple : Exxon, General Electric et Walmart. La motivation de leur incorporation du test dans les processus d'embauche et de rétention peut être catégorisée par les objectifs du test lui-même : former sans jugement, gérer plus efficacement, rendre les conflits plus productifs, améliorer le travail d'équipe et accroître la conscience de soi (des employés, des équipes et de l'employeur).  DISC signifie :   Dominance  Influence  Régularité  Conscience professionnelle  Passer un test DISC est généralement une offre à laquelle l'employeur potentiel ou actuel avec lequel vous travaillez a souscrit. Cela dit, une fois que vous aurez passé le test, vous répondrez à une série de questions pour évaluer où vous vous situez le plus fortement dans les types D-C qui vous sont attribués.    Les personnes ayant une personnalité de type D (Dominance) sont confiantes et mettent l'accent sur l'obtention de résultats concrets.  Les personnes ayant une personnalité i (Influence) sont plus ouvertes et mettent l'accent sur les relations, l'influence et la persuasion.  Les personnes ayant une personnalité S (Steadiness) sont fiables et mettent l'accent sur la coopération et la sincérité.  Les personnes ayant une personnalité C (consciencieuse) mettent l'accent sur la qualité, la précision, l'expertise et la compétence.  Le test de personnalité d'Eysenck  Contexte et fonctionnement  Ce test reflète les idées de Hans Eysenck et Sybil B. G. Eysenck, des chercheurs en personnalité qui se consacrent à l'analyse statistique, s'inspirent d'un ancien système de personnalité grec et sont convaincus que les personnalités sont définies par trois éléments :   L'extraversion,  le neuroticisme, et,  le psychoticisme.  Passer ce test signifie que vous participez au QE (questionnaire d'Eysenck) et que vos réponses sont ensuite mesurées par l'EPI (inventaire de personnalité d'Eysenck).   Pour être honnête, la façon dont ce test détermine votre "type de personnalité" a été remise en question, critiquée, révisée (en 1985) et reste un peu compliquée à expliquer. Fondamentalement, il s'agit d'une version courte ou longue du test de personnalité d'Eysenck, comprenant entre 48 (courte) et 100 (longue) questions Oui/Non qui vous placent sur un continuum des trois types de personnalité ci-dessus et vous étiquettent comme "stable" ou "instable". Un peu dur, non ?  Le profil de Caliper  Contexte et fonctionnement  Selon son site, sur Talogy (anciennement psi caliber), " Le Profil de Caliper est une évaluation objective qui mesure avec précision les caractéristiques de la personnalité et les motivations individuelles d'un individu afin de prédire ses comportements et son potentiel au travail. Scientifiquement validé par près de 6 décennies de recherche, le Profil de Caliper mesure 22 traits robustes et propose des normes locales pour plusieurs pays. Les données de l'évaluation peuvent être utilisées tout au long du cycle de vie de l'employé, y compris la sélection, le développement, la promotion, la constitution d'équipes et la planification de la relève.  À ce jour, ce test de personnalité a permis d'établir le profil de 4,5 millions de personnes, a été utilisé par 65,4 millions d'entreprises (whhhatttt ??!!!) et donne lieu à 46,7 mille consultations par an. Votre employeur potentiel peut vous demander de répondre au profil Caliper. Une fois que vous avez répondu aux questions posées dans le profil, vos résultats sont comparés à des modèles de postes validés par plus d'un employeur et les responsables du recrutement peuvent alors déterminer si vous êtes adapté au poste que vous souhaitez occuper. Les informations (ou données) recueillies peuvent également être utilisées à l'avenir pour faciliter votre intégration et votre développement au sein de l'organisation.  Donc, je suppose que c'est un gros problème.  Une chose importante à retenir : il est bon de savoir si vous êtes compatible avec une équipe ou un environnement de travail avant de commencer. Aussi bizarre que cela puisse paraître d'être évalué sur le plan de la personnalité par, eh bien, un programme informatique, les résultats peuvent aider toutes les parties concernées. Il est préférable de savoir, avant de commencer, si l'on est bien ou mal adapté.  

Rappelez-vous : Situation, tâche, action, et résultat. C'est assez simple, non ?  La simplicité a du bon. Souvent, les questions d'entretien les plus complexes découlent d'une enquête basée sur les compétences. Par exemple, "Parlez-moi d'une occasion où vous avez été confronté à une situation difficile et de ce que vous avez fait pour y remédier".  Si vous avez une expérience professionnelle - si vous avez été stagiaire, si vous avez travaillé en alternance ou dans le cadre d'un stage, ou si vous avez assoupli votre carrière en tant qu'employé à temps partiel - il sera plus facile de répondre sans problème à une question basée sur les compétences lors d'un entretien. Si ce n'est pas le cas, il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour penser aux moments de la vie qui ont mis vos compétences à l'épreuve et encouragé la résolution de problèmes pour obtenir de bons résultats.  Il suffit de dire que l'utilisation de la méthode STAR vous aidera dans n'importe quel entretien et voici comment procéder : Lorsqu'on vous demande de réfléchir ou d'élaborer sur un moment où vous avez fait face à un obstacle et l'avez surmonté, commencez par un "S" et allez jusqu'à un "R" :  Situation - Communiquez les informations de base pour que les gens comprennent la situation à laquelle vous avez été confronté.  Tâche - Expliquez votre rôle dans cette situation, par exemple, étiez-vous un chef d'équipe ou un soutien ? Quelle était la tâche spécifique qui vous était confiée ?   Action - Expliquez quelle action vous avez entreprise dans le contexte de ce rôle et de la situation décrite.  Résultat - Donnez un aperçu de haut niveau du résultat obtenu dans le scénario dont vous avez discuté et expliquez comment l'obtention du résultat souhaité a aidé l'équipe à surmonter les obstacles ou les barrières qui menaçaient initialement le progrès. N'hésitez pas à explorer ce que vous avez appris de l'ensemble du processus.  Exemple :   Question : Parlez-moi d'une occasion où vous avez été confronté à une situation stressante et comment vous l'avez gérée ?  Situation : Notre graphiste principal est parti sans préavis et nous étions au milieu d'un projet de stratégie de marque à grande échelle, à quelques jours de la date limite, et les clients étaient impatients de voir les résultats. Les clients étaient impatients de voir les résultats. Le fait de manquer de temps et de personnel était un obstacle de taille, car il aurait été difficile de mener le projet à bien avant la date limite.  Tâche : En tant que membre clé de l'équipe de communication, j'étais conscient non seulement de la situation mais aussi de l'importance de la façon dont nous présentions l'avancement du projet aux clients.  Action : Pour soutenir l'équipe, je me suis efforcée de rassurer nos clients sur le travail accompli à ce jour et j'ai soigneusement rédigé un courriel de suivi avec une liste à puces décrivant l'avancement du projet et rassurant sur le fait que nous aurions terminé dans les délais approuvés malgré la réduction de notre équipe. J'ai ensuite fait des heures supplémentaires avec mes collègues pour mener à bien la rédaction, la mission, la vision, les valeurs et les éléments de communication de base du projet. La conception graphique étant tributaire de la stratégie de la marque et du message, j'ai également redoublé d'efforts dans la gestion de notre graphiste externe afin de m'assurer que nous étions constamment alignés sur la vision et de réduire toute marge d'erreur - et le temps nécessaire pour obtenir des résultats positifs.  Résultat : Heureusement, grâce à notre approche réfléchie, à notre réaction rapide et à notre travail d'équipe, nous avons pu produire une stratégie de marque primée dans les délais et le budget impartis pour un client qui nous a ensuite aidés à gagner d'autres clients grâce à l'avis positif qu'il a émis.  N'oubliez pas que vous êtes une star et un atout pour votre équipe, mais dans le doute... utilisez STAR. 

Avez-vous attrapé le virus du voyage pour de bon ? Vous n'êtes pas seul et vous n'êtes pas obligé d'y renoncer. Si une vie de voyage est un mode de vie pour vous, il est temps d'envisager une carrière dans les voyages. Aujourd'hui, après, avant, pendant et après la pandémie, il y a tellement d'options de carrière à considérer, car non seulement il y a des rôles qui nécessitent et favorisent le voyage, mais la distance signifie que le point géographique où vous travaillez peut changer.   Cela dit, voici quelques choix de carrière qui vous permettront de voyager tout en travaillant - ou de travailler tout en voyageant !  Guide touristique : En tant que guide touristique, vous dirigez des groupes qui ont payé l'entreprise pour laquelle vous travaillez (ou vous) à travers diverses régions, en veillant à la sécurité et à l'expérience globale des clients. Ce rôle signifie que vous êtes toujours en train d'apprendre, de vous immerger dans diverses cultures, d'acquérir peut-être de nouvelles compétences linguistiques et de partir à l'aventure.    - Entreprises à considérer : G Adventures. Butterfield & Robinson    Acheteur au détail : En tant qu'acheteur au détail, vous êtes responsable de la planification, de la budgétisation, de la gestion, de l'approvisionnement, des tests et de l'approvisionnement des produits ou des articles d'habillement qu'une entreprise vend et une grande partie de cette tâche consiste à visiter des fournisseurs à l'échelle internationale ou à " sourcer " les bons articles pour maintenir et développer les ventes.             - Entreprises à considérer : Aritzia, Zara, Hudson's Bay.  Assistant(e) virtuel(le) : En tant qu'assistant(e) virtuel(le), vous êtes disponible pour aider les clients, à distance, par l'intermédiaire de leurs offres d'assistant(e) virtuel(le) - comme les pop-up chat ou les canaux d'assistance en ligne.              - Entreprises à considérer : La plupart des entreprises disposent d'un système de chat virtuel, donc le monde est à votre portée.  Consultant : Les consultants travaillent pour les entreprises afin d'analyser leurs conditions actuelles, leurs cadres, leurs offres, leurs messages et leurs cultures de travail, et même de recommander des approches éclairées pour les améliorer. Les consultants peuvent être des "consultants en affaires", des "consultants en marketing", des "stratèges" ou des "consultants financiers", par exemple.            - Sociétés à considérer : Bain & Company, Mckinsey & Company, Ernst & Young, Publicis Groupe.  Travailleur humanitaire international : En tant que travailleur humanitaire international, vous améliorez les conditions d'une région et de la communauté qui s'y trouve en soutenant les personnes dans le besoin, en particulier dans le monde en développement. Cela peut impliquer de répondre à des situations d'urgence, comme des catastrophes, des guerres ou des inondations, et l'objectif est d'aider les autres.            - Entreprises à considérer : Oxfam international, Croix-Rouge canadienne, Médecins sans frontières.  Ingénieur : Un ingénieur utilise ses connaissances en mathématiques, en sciences et en conception pour construire et tester diverses structures. Ce rôle implique l'établissement d'un budget, la planification et l'approbation des spécifications de conception, la création et l'utilisation de dessins détaillés, et plus encore. En tant qu'ingénieur, tu peux choisir de travailler dans le domaine civil, mécanique, chimique ou industriel, par exemple. Ce rôle s'accompagne d'un grand nombre de responsabilités. On ne porte pas "l'anneau de fer" sans reconnaître que ce que l'on construit doit soutenir ceux qui l'utilisent et les protéger !             - Entreprises à considérer : Aecon Corporation, EllisDon, CIMA  Recruteur athlétique : Le nom dit tout. En tant que recruteur athlétique, vous êtes chargé de garder un œil sur les nouveaux venus des ligues universitaires ou des équipes adverses et d'évaluer leur succès, leur coût/budget et les moyens d'acquérir leurs compétences athlétiques pour votre équipe.            - Entreprises à considérer : NCSA Sports, équipes sportives individuelles  Les exemples ci-dessus sont des exemples plus originaux des types de rôles qui nécessitent sans aucun doute de voyager. Nous n'avons même pas inclus les plus évidents, comme travailler pour une compagnie aérienne, conseiller en voyages, enseigner l'anglais comme deuxième langue, travailler sur un bateau de croisière, etc. Comme nous l'avons mentionné, de nos jours, de nombreuses entreprises ne se soucient pas de l'endroit où vous vivez lorsque vous travaillez, mais plutôt de la façon dont vous contribuez à leurs équipes et à leur croissance - les compétences que vous apportez. Acquérir de l'expérience dans les domaines qui vous intéressent constitue toujours la base du "décollage", quelle que soit la voie que vous choisissez.

Le Projet Prospérité est un organisme de bienfaisance enregistré qui a pour but  d’atténuer les effets de la  COVID-19 sur les femmes et les filles canadiennes. Dirigé par un groupe de plus de 60?femmes leaders, le projet vise à: lier explicitement les femmes et la prospérité afin de souligner l’importance économique de l’égalité des genres . Afin d’ atteindre cet objectif, le Projet Prospérité a mis en place  cinq initiatives, dont l’une est l'initiative inspirée par «Rosie la riveteuse» des temps modernes -bas.  J’ai rencontré Amadea Gareau, responsable du programme de l’Initiative Rosie au Projet Prospérité , pour en savoir plus sur l’Initiative Rosie et la période de travail qui sera proposée pour la.le stagiaire à compter de l’automne?2022.   Qu’est-ce que l’initiative Rosie ?   L’initiative Rosie a été inspirée par Rosie la riveteuse, symbole emblématique des travailleuses pendant la Seconde Guerre mondiale. Avec ses célèbres mots « We Can Do It! »,  Rosie représentait, durant cette période,  la manifestation  puissante de l’indépendance des femmes. Aujourd’hui notre initiative Rosie continue d’encourager les femmes et les jeunes filles canadiennes à se joindre, à se réintégrer ou à rester sur le marché du travail et à contribuer à parts égales à l’économie canadienne.   La vision de l’initiative est d’augmenter le taux de  participation des femmes sur  le marché du travail ainsi que  le nombre de femmes dans les STIM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques), les métiers spécialisés et les postes de direction. Puisque les femmes sont  généralement sous-représentées dans ces domaines, l’initiative Rosie veut s’assurer que les femmes et les filles puissent avoir accès à des modèles et des mentors dont elles ont besoin pour réussir dans ces carrières.   Quels sont les programmes établis dans le cadre de l’initiative Rosie ?   Actuellement, l’initiative Rosie a créé deux programmes de mentorat destinés aux femmes dans les domaines des STIM, des métiers spécialisés et du leadership?: le programme de mentorat Rosie individuel?et le programme de mentorat Rosieavec un groupe de pairs .   Le programme de mentorat Rosie?individuel  jumelle des protégées à des mentors pour une période de six mois. Les mentors guident et soutiennent individuellement les protégées afin de les aider à réaliser leurs objectifs de développement personnel et professionnel et élaborer  un cheminement stratégique pour les atteindre.  Le programme accepte les candidatures pour son cinquème groupe de mentorat  qui débutera à la fin du mois de juillet. Vous trouverez  des renseignements sur le programme et vous pouvez aussi postuler ici?: https://portal.canadianprosperityproject.ca/fr/le-programme-de-mentorat-rosie/mentorat/.  Le programme de mentorat Rosie avec un groupe de pairs offre aux femmes la possibilité de rejoindre une communauté diversifiée et influente de femmes qui partagent les mêmes idées et leur donnent l’opportunité dedévelopper leurs compétences et d’élargir leurs réseaux personnels et professionnels. Les groupes de pairs offrent un environnement de soutien et de développement où les participantes peuvent partager leurs expériences professionnelles et personnelles, participer à  des discussions enrichissantes et demander conseil ou conseiller. Ce programme prévoit le lancement de deux groupes de pairs à la fin du mois de mai. Pour en savoir plus, cliquez ici?: https://portal.canadianprosperityproject.ca/fr/le-programme-de-mentorat-rosie/rosie-peer-group-mentoring-program/  À propos du rôle de stagiaire  Le Projet Prospérité est à la recherche d’un.e stagiaire Rosie pour le trimestre d’automne?2022 ! La.le  stagiaire travaillera avec Amadea Gareau pendant une période de quatre mois.     Quelles sont les responsabilités quotidiennes dans ce rôle ?     Parmi les tâches quotidiennes, la.le stagiaire sera responsable  de la planification, du développement et de l’organisation d’événements en ligne, notamment des ateliers, des séances d’information, etc.   La.le stagiaire Rosie travaillera également avec l’équipe de marketing et de communication pour créer des campagnes de médias sociaux, des représentations graphiques, des promotions et des plans stratégiques pour l’initiative Rosie. Une grande partie de ce rôle consiste à créer des relations avec les parties prenantes externes, à contribuer à la sensibilisation et à créer divers supports de communication et de marketing pour rejoindre plusieurs  groupes démographiques.  En outre, la.le  stagiaires aura l’occasion unique de travailler avec les coprésidentes de l’initiative, les visionnaires fondatrices et les visionnaires du Projet Prospérité ainsi que d’autres femmes de la communauté.  Quelle est la culture d’entreprise du Projet Prospérité  ?   Au sein du Projet Prospérité, les cinq stagiaires (dont l’un.e est celle.celui de l’initiative Rosie) travailleront avec une petite équipe de femmes passionnées et acharnées qui s’efforcent d’assurer que les femmes et les filles canadiennes soient soutenues pendant la pandémie et au-delà. Il s’agit d’un environnement accueillant et solidaire où chacun travaille main dans la main pour atteindre un objectif commun.  Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui postulent pour le poste de stagiaire Rosie ?   Montrez-nous que vous êtes passionné.e par ce que fait Le Projet Prospérité et que vous pouvez nous aider à poursuivre notre mission. Nous recherchons des candidat.e.s qui n'ont pas peur du travail assidu et ont une soif d'apprendre.  Le souci du détail et de solides compétences en communication écrite et verbale et un esprit ouvert sont des atouts essentiels pour réussir dans ce rôle.   L’enregistrement pour le poste de stagiaire Rosie est  maintenant disponible. Envoyez votre CV et votre lettre de présentation à Amadea Gareau par courriel à amadea.gareau@canadianprosperityproject.ca avant le 27?mai. Ne manquez  pas cette opportunité, car, lorsque les femmes réussissent, nous prospérons tous. 

Décider de faire des études supérieures est l'une des plus importantes décisions académiques que l'on puisse prendre. J'ai discuté avec mon amie Aleena Dar, qui fréquente l'Université de Toronto, de son expérience en matière de maîtrise en développement communautaire. Aleena est l'une des personnalités les plus motivées, orientées vers la carrière et extraverties que j'ai eu le plaisir de rencontrer. Elle a récemment commencé ses études supérieures et a fait part de son expérience dans ce domaine.  Q : Qu'est-ce qui vous a poussée à envisager de faire des études supérieures ?   R : Pour être tout à fait honnête, mes parents. Ils ont toujours voulu que je fasse un master et c'était logique, surtout parce que mon diplôme était trop large et que je voulais me spécialiser.   Q : Comment avez-vous décidé de ce que vous vouliez étudier plus avant ?     R : Pendant mon premier cycle, j'avais un emploi à temps partiel au sein de l'université et j'ai noué de nombreuses relations. Le travail de mon mentor m'a beaucoup plu et j'ai commencé à le considérer comme un choix de carrière potentiel sérieux. J'ai participé à un grand nombre d'expériences de travail et de bénévolat, mais son travail était celui qui me correspondait le mieux.     Q : Quelle a été la partie la plus difficile du processus de candidature ?     R : J'ai postulé un peu plus tard que prévu. J'ai également fait mes recherches tardivement, vers la fin de la quatrième année, et je n'ai postulé qu'à un seul programme, car c'était celui dans lequel je souhaitais le plus poursuivre mes études. Comme je n'étais pas suffisamment préparée, il m'a été un peu difficile d'obtenir la documentation nécessaire et de m'assurer que tous les éléments de la candidature étaient remplis. Cependant, j'avais développé un bon répertoire avec mes professeurs et donc, recevoir une lettre de recommandation et des conseils n'a pas été un obstacle lorsqu'il s'est agi de postuler pour mon programme.       Q : Quels conseils vous donneriez-vous ? Aux autres ?   R : Prenez quelques mois de repos avant d'entreprendre des études supérieures. Je ne l'avais pas fait et j'ai sauté directement dans mon programme de maîtrise et j'ai ressenti les effets du burn out assez tôt. Heureusement, je suis maintenant capable de profiter de cette opportunité et de l'apprécier, mais je dois dire que c'était assez difficile au début. Poursuivre des études supérieures demande beaucoup d'engagement et exige un intérêt et une passion véritables, il n'est donc pas toujours judicieux de se lancer directement dans un programme. De plus, le syndrome de l'imposteur est presque inévitable. Dans mon programme, il y a des gens qui ont des entreprises, cinq ans d'expérience professionnelle et des articles de recherche publiés - cela peut être incroyablement intimidant. Cependant, il est important de reconnaître que vous méritez d'être dans cet espace et que vous êtes qualifié.   

Vous cherchez à faire carrière dans le secteur des technologies ? Ce n'est pas une mauvaise idée, car la technologie est à la base de tous les aspects de la société et son utilisation ne fera que croître avec l'avènement du "métavers" et notre dépendance accrue à l'égard des connexions à distance, de la rationalisation et de la documentation des processus, de l'innovation et de l'analyse des données. Cette année, les professions les plus en vogue dans le domaine de la technologie sont les suivantes :  Développeur/Programmeur Chef de projet informatique Architecte du cloud Analyste commercial Analyste/architecte de la sécurité Analyste des systèmes d'affaires/données Ingénieur réseau  Spécialiste de l'assurance qualité Voici ce que vous ferez en travaillant dans chacun de ces rôles et combien vous pouvez être payé : Développeur/Programmeur En tant que développeur ou programmeur, vous interprétez les spécifications techniques, les conceptions, les organigrammes et parfois les briefs créatifs, et vous utilisez le code et d'autres outils pour adapter ou construire des applications logicielles. En fait, vous pouvez être chargé d'élaborer les spécifications, en premier lieu. Une fois le travail terminé, vous êtes responsable de l'essai de votre prototype et de la réflexion sur la conception afin de vous assurer qu'il est bien exécuté et d'identifier les possibilités de croissance.  Fourchette de salaire : 60 000 $ - 125 000 $ + par an Chef de projet informatique En tant que gestionnaire de projet informatique, vous supervisez, déléguez et veillez à la bonne réalisation des objectifs informatiques d'une organisation et de ses services. Cela exige une connaissance avancée des ordinateurs, des systèmes, des réseaux, de la planification des ressources, de la budgétisation, etc. Fourchette de salaire : 77 000 $ à 135 000 $ et plus par an. Architecte du nuage Les architectes du nuage sont des spécialistes des principes fondamentaux du stockage des données, de Java, des réseaux, des fondements de la sécurité, des technologies frontales et dorsales, du big data, et plus encore, afin de concevoir et de superviser la fonctionnalité soutenant le nuage informatique dans une organisation. Fourchette de salaires : Le salaire de base moyen pour ce poste est de 125 000 $ + 1 000 $. Analyste commercial Dans ce rôle, vous analyserez les conditions existantes des bénéfices et des processus d'une entreprise afin d'identifier les zones d'opportunités de croissance, puis vous travaillerez au sein des différents départements et équipes pour obtenir l'adhésion à la nouvelle direction et mettre en œuvre la stratégie de croissance. Fourchette de salaire : 75 000 à 150 000 dollars +. Analyste/architecte de la sécurité Les analystes et les architectes de la sécurité cherchent à se protéger, à identifier, à prévenir et à aider à surmonter les brèches de sécurité dans les systèmes informatiques d'une entreprise. Fourchette de salaire : 81 000 $ + Analyste des systèmes d'affaires et des données Dans ce rôle, essentiellement, vous résolvez les problèmes ou les obstacles qu'une entreprise rencontre dans ses systèmes informatiques en identifiant le problème et en utilisant la technologie et/ou les données pour élaborer des stratégies et mettre en œuvre des processus qui comblent les opportunités et améliorent les résultats. Fourchette de salaires : 82 000 à 106 000 dollars. Ingénieur réseau En tant qu'ingénieur réseau, vous concevrez les réseaux qui permettent aux données de circuler entre les systèmes, les personnes et les flux de travail. Fourchette de salaire : 72 000 $ - 100 000 $ +... Spécialiste de l'assurance qualité Dans ce rôle, vous surveillez, testez et recommandez des changements pour vous assurer que les produits technologiques finaux d'une entreprise répondent à ses normes d'excellence. Fourchette de salaire : 45 000 $ à 100 000 $ +.  

Qu'est-ce qu'un manager stratégique ?  Les gestionnaires stratégiques sont les principaux planificateurs, analystes et responsables des risques qui établissent les plans stratégiques d'une entreprise. Ils s'occupent également de la supervision et du développement des stratégies d'entreprise afin de soutenir la croissance et la stabilité de l'entreprise. Activités du responsable de la stratégie :Planification  Gestion des risques  Gestion des performances  Coaching Collaboration Analyse des données  Gestion de crise Résolution créative de problèmes  Développement de l'éthique  Leadership sur le marché  Création de valeur  Image de marqueQuelle formation les responsables de la stratégie ont-ils généralement ?  Diplôme en commerce ou dans un domaine connexe, MBA de préférence. 3 à 5 ans d'expérience dans l'administration des affaires, le conseil en gestion ou la planification stratégique. Excellente compréhension des opérations et procédures commerciales, ou de la stratégie de marque. Excellentes aptitudes à la communication et aux relations interpersonnelles. Quelles sont les compétences essentielles que doivent posséder les responsables de la stratégie ?  Compétences en communication Le poste de gestionnaire stratégique est axé sur la collaboration et exige de grands communicateurs à l'oral et à l'écrit. En tant que chefs d'entreprise, les managers stratégiques doivent informer et instruire tous les employés. Une communication adéquate déterminera l'efficacité des instructions qu'ils donnent.Des compétences exceptionnelles en communication sont essentielles pour interagir avec les consommateurs, recueillir des informations, s'exprimer et préparer des rapports d'activité. Compétences analytiques Les managers stratégiques doivent convertir les informations brutes en stratégies applicables. Ils doivent également être capables d'effectuer diverses analyses standard dans l'entreprise, telles que :- L'analyse concurrentielle : Évaluer les forces et les faiblesses de leurs concurrents.- L'analyse des performances : Analyse de la progression de l'entreprise, de manière systématique. - L'analyse du marché : Recueille des informations sur les conditions affectant le marché Compétences interpersonnelles Les compétences interpersonnelles sont des comportements et des capacités qui vous aident à gérer les émotions et à faire face aux défis. Les managers stratégiques doivent être proactifs, faire preuve de compétences exceptionnelles en matière de résolution de problèmes et travailler en groupe. Les managers stratégiques doivent être des leaders exemplaires qui inspirent et motivent les performances de l'équipe. En tant que chefs d'équipe, les managers stratégiques doivent s'efforcer d'établir des liens solides et durables avec les autres. Leadership  Un leadership fort est la capacité de motiver, d'inspirer, d'encourager et de mettre au défi l'équipe que vous dirigez afin de maximiser sa production. L'élaboration de stratégies efficaces pour l'ensemble d'une entreprise et la garantie de leur mise en œuvre dans un délai déterminé exigent un leadership de qualité. Les candidats au management stratégique doivent posséder de solides qualités de leadership pour les aider à faire face à des stratégies potentiellement difficiles, à une concurrence acharnée, à des crises financières ou à des pertes d'exploitation. Compétences organisationnelles  Vous permettent d'établir des priorités, de planifier et d'atteindre les objectifs fixés. Les gestionnaires stratégiques doivent posséder des compétences organisationnelles stratégiques pour structurer et classer les tâches prioritaires afin de respecter des délais stricts. Gestion de projet  La gestion de projet consiste à appliquer des connaissances, des outils et des techniques aux activités d'un projet afin de répondre à ses exigences. Les managers stratégiques doivent être capables d'appliquer leurs compétences et leur expérience pour aider l'entreprise à archiver ses objectifs. Compétences en matière de résolution de problèmes  Certaines situations dans les entreprises exigent des décisions rapides et judicieuses pour éviter les pertes. Les managers stratégiques doivent être capables de prendre souvent des décisions difficiles, rapidement et avec précision, tant pour les objectifs immédiats que pour le bien-être de leur entreprise. Quels secteurs embauchent des responsables de la stratégie ?  Google  Microsoft  Banque d'Amérique  Deloitte  Accenture  IBM J.P Morgan Meta  H.P Inc HSBC Quel est le salaire typique d'un directeur de stratégie ?  Le salaire moyen d'un gestionnaire de stratégie au Canada est de 97 795 $ par année ou 50,15 $ l'heure. Les postes de niveau débutant commencent à 82 169 $ par année, tandis que les travailleurs les plus expérimentés gagnent jusqu'à 126 774 $ par année. Titres de postes pour un directeur de la stratégie Directeur de l'exploitationDirecteur de fonds d'investissement Analyste de gestionDirecteur des opérationsSpécialiste des ressources humaines Stratège de la marque 

Qu’est-ce qu’un chef de la stratégie ?  Le chef de la stratégie est le principal planificateur, analyste et responsable des risques qui établit les plans stratégiques d’une entreprise. C’est aussi cete personne qui s’occupe de la supervision et du développement des stratégies d’entreprise afin de soutenir la croissance et la stabilité de l’entreprise. Activités de la gestion de stratégie : Planification Gestion des risques Gestion des performances Coaching Collaboration Analyse des données Gestion de crise Résolution créative des problèmes Développement de l’éthique Leadership sur le marché Création de valeur Image de marque   Quelle est la formation des chefs de la stratégie ?  Diplôme en commerce ou dans un domaine connexe, MBA de préférence. 3 à 5 ans d’expérience en consultation de gestion des affaires ou en planification stratégique. Excellente compréhension des opérations et procédures commerciales, ou de l’image de marque. Excellentes aptitudes en communication et en relations interpersonnelles.   Quelles sont les compétences essentielles que doivent posséder les chefs de la stratégie ?    Compétences en matière de communication Le poste de chef de la stratégie est un poste qui requiert de la collaboration et qui exige de grands communicateurs à l’oral et à l’écrit. En tant que chefs d’entreprise, les gestionnaires de la stratégie doivent informer et instruire tous les employés. Une communication adéquate déterminera l’efficacité des instructions qu’ils donnent. Des compétences exceptionnelles en matière de communication sont essentielles pour interagir avec les consommateurs, recueillir des informations, s’exprimer et préparer des rapports d’activité.   Compétences analytiques Les chefs de la stratégie doivent convertir les informations brutes en stratégies applicables. Ils doivent également être capables d’effectuer diverses analyses standard dans l’entreprise, telles que :   – Analyse concurrentielle : évaluer les forces et les faiblesses des concurrents. – Analyse des performances : analyser la progression de l’activité, de manière systématique. – Analyse du marché : recueillir des informations sur les conditions affectant le marché.   Compétences interpersonnelles Les compétences interpersonnelles sont des comportements et des capacités qui vous aident à gérer les émotions et à faire face aux défis. Les chefs de la stratégie doivent être proactifs, faire preuve de compétences exceptionnelles en matière de résolution de problèmes et pouvoir travailler en groupe. Les chefs de la stratégie doivent être des leaders exemplaires qui inspirent et motivent les performances de l’équipe. En tant que chefs d’équipe, les gestionnaires de la stratégie doivent s’efforcer de créer des liens solides et durables avec les autres.   Leadership  Un leadership fort est la capacité de motiver, d’inspirer, d’encourager et de mettre au défi l’équipe que vous dirigez afin de maximiser sa production. L’élaboration de stratégies efficaces pour l’ensemble d’une entreprise et la garantie de leur mise en œuvre dans un délai déterminé exigent un leadership de qualité. Les candidats à la gestion stratégique doivent posséder de solides qualités de leadership pour les aider à faire face à des stratégies potentiellement difficiles, à une concurrence acharnée, à des crises financières ou à des pertes d’entreprise.   Compétences organisationnelles  Vous permettent de prioriser, de planifier et d’atteindre des objectifs fixés. Les chefs de la stratégie ont besoin de compétences organisationnelles stratégiques pour structurer et classer les tâches prioritaires afin de respecter des délais stricts.   Gestion de projet  La gestion de projet consiste à appliquer des connaissances, des outils et des techniques dans les activités d’un projet afin de répondre à ses exigences. Les chefs de la stratégie doivent être capables d’appliquer leurs compétences et leur expérience pour aider l’entreprise à atteindre ses objectifs.   Compétences en matière de résolution de problèmes  Certaines situations en affaires exigent des décisions rapides et judicieuses pour éviter les pertes. Les chefs de la stratégie doivent être capables de prendre des décisions difficiles rapidement et avec précision, tant pour les objectifs immédiats que pour le bien-être de leur entreprise.   Quels types d’entreprises embauchent des chefs de la stratégie ?  Google  Microsoft Banque d’Amérique Deloitte Accenture IBM J.P Morgan Méta H.P Inc HSBC (Agences de valorisation de la marque/marketing ou marques individuelles/entreprises en démarrage)   Quel est le salaire typique d’un chef de la stratégie ?   Le salaire moyen d’un chef de la stratégie au Canada est de 97 795 $ par année ou 50,15 $ l’heure. Les postes de niveau débutant commencent à 82 169 $ par an, tandis que les travailleurs les plus expérimentés gagnent jusqu’à 126 774 $ par an.     Titres de postes pour un chef de la stratégie Chef de l’exploitation Gestionnaire de fonds d’investissement Analyste de gestion Directeur des opérations Spécialiste des ressources humaines Stratège de la marque    

Les récents diplômés internationaux de l'enseignement postsecondaire au Canada peuvent désormais demander la prolongation de leur permis de travail postuniversitaire. Êtes-vous l'un de ces quelque 100 000 diplômés à la recherche d'une prolongation de votre permis de travail postuniversitaire ? Voici quelques ressources pour vous aider à comprendre ce que cela signifie et comment profiter de cette extension du PGWP (permis de travail post-universitaire)   "New Measures to Address Canada's Labour Shortage", Government of Canada "New Measures to Address Canada's Labour Shortage", Government of Canada "IRCC to resume FSWP & CEC invitations in July; and offer open work permit to PGWP holders", CICI News, The Voice of Canadian Immigration, Shelby Thevenot and Kareem El-Assal "Canada to Provide Another PGWP Extension", Canadian Immigration Law Firm", Lauren Boorman "Minister Sean Fraser, why exclude us from the post-graduate work permit extension?", Toronto Star, Minu Matthew "Canada Work Permits Extended for International Graduates", PIE News, Helen Packer Oh, et nous avons des emplois pour vous (d'employeurs de tout le Canada à la recherche de nouveaux diplômés) ! Ouvrez une session ou un compte pour commencer à chercher.

Trouver sa vocation ou son orientation professionnelle est un combat pour la plupart d'entre nous. Je peux dire, d'après mon expérience personnelle, que même si je savais que je voulais étudier le journalisme, il y avait tellement de cours à choisir que je me suis retrouvée perdue. Les conseils d'un professeur m'ont aidé à choisir des cours judicieusement et ont façonné la trajectoire de ma carrière jusqu'à aujourd'hui. Je me suis entretenue avec Erin Feicht, conseillère en développement de carrière à l'université St. Thomas, pour mieux comprendre le chemin de découverte que les étudiants doivent parcourir et déterminer leurs espoirs de carrière. Heureusement, l'université offre de nombreux chemins d'exploration, il est important de suivre une variété de cours pour acquérir des connaissances et de l'expérience sur différents sujets. Selon Mme Feicht, "50 % des étudiants qui entrent dans l'enseignement postsecondaire ont une idée précise de ce qu'ils veulent étudier, tandis que les autres 50 % ont quelques centres d'intérêt ou sont totalement perdus dans un monde de possibilités." Elle conseille vivement aux étudiants de rechercher des conseils et d'être ouverts au processus. Son processus se déroule (environ) en quatre étapes : la rédaction du curriculum vitae   Préparation à l'entretien,   Techniques de mise en réseau   Activités extrascolaires [Pause dans le texte].   Le processus de remue-méninges est important car il révèle les moyens par lesquels les étudiants peuvent acquérir de l'expérience et développer des compétences pendant leurs études universitaires. Réfléchir à ce que vous voulez faire peut vous aider à cerner vos intérêts et vous indiquer où chercher des stages ou des possibilités d'apprentissage par l'expérience qui vous mèneront à l'emploi que vous voulez obtenir à la fin de vos études. Mme Feicht fait également remarquer qu'il est important de connaître la fourchette de salaire de la carrière que vous envisagez, afin d'éviter les attentes déçues.   Le choix d'une carrière ne devrait pas être effrayant, il peut être amusant et excitant d'essayer de nouvelles choses. Être ouvert à l'expérimentation peut vous conduire sur le bon chemin de carrière, mais ce chemin peut être différent de ce que vous pensiez au départ - cela fait partie du processus. Laisser la vie "suivre son cours" plutôt que de contrôler le résultat est une partie importante du voyage et c'est un processus qui sera plus facile si vous travaillez avec votre conseiller d'orientation ou un mentor en cours de route. Bénéficier d'un accompagnement, comme un mentor ou un conseiller, peut vous aider à relâcher la pression liée au choix d'une orientation professionnelle et à guider votre parcours pour que vous trouviez une voie professionnelle que vous aimez.      "Je n'ai pas eu ce genre d'aide quand j'étais à l'université, alors je veux encourager les étudiants et leur faire savoir qu'ils ne sont pas seuls dans ce processus", a déclaré Feitch.     

Qu'est-ce qu'un urbaniste ? Les urbanistes travaillent avec les promoteurs et leurs communautés pour réaliser des propositions de développement tout en résolvant les problèmes sociaux, économiques et environnementaux. En tant qu'urbaniste, vous devrez Planifier et concevoir des politiques d'infrastructure de transport Entreprendre des travaux de planification et d'ingénierie Communiquer avec des avocats, des architectes, des personnes chargées des finances et des risques (pour n'en citer que quelques-uns) Coordination avec les gouvernements locaux Création et interprétation de cartes et de diagrammes Recommandation et approbation ou refus de propositions  Quelle est la formation habituelle des urbanistes ? Pour devenir urbaniste, il faut être titulaire d'une maîtrise en urbanisme, mais le design urbain ou la géographie sont également des domaines d'application. Pour suivre un programme de maîtrise, vous pouvez commencer par obtenir un baccalauréat en économie, en géographie, en sciences politiques ou en conception environnementale. Quelles sont les compétences essentielles que doivent posséder les urbanistes ? recherche  rédaction analyse communications vente/promotion créativité compétences interpersonnelles Quels secteurs embauchent des urbanistes ? Gouvernement Enseignement supérieur Promoteurs immobiliers organismes à but non lucratif cabinets d'architecture paysagère et de planification Quel est le salaire typique d'un urbaniste ? Le salaire moyen d'un urbaniste varie entre 70 135 $ et 111 000 $, le salaire moyen étant de 90 000 $ par an (46,15 $ l'heure).

"Le journalisme est le même, nous avons juste changé le véhicule dans lequel nous le communiquons", Pablo Herraiz, journaliste d'investigation pour EL Mundo.  La pandémie a accéléré l'ère numérique du journalisme. Depuis le début du COVID-19, les gens consomment des nouvelles 50 % de plus qu'avant la pandémie et à toute heure. En outre, les médias font le lien entre les personnes isolées ou chez elles, vivant à distance de leurs amis ou de leur famille ailleurs, et le monde extérieur.  J'ai eu le privilège d'interviewer Pablo Herraiz, journaliste d'investigation pour El Mundo, et d'explorer comment la pandémie a influencé la profession de journaliste - de la façon dont nous consommons les nouvelles à la façon dont les journalistes les transmettent.  Pablo Herraiz a commencé à travailler il y a 20 ans pour El Mundo, l'un des principaux journaux de Madrid. Selon lui, l'un des plus grands défis du métier de reporter est de générer de nouvelles informations chaque jour. Par exemple, après la pandémie, on a dit à beaucoup de gens de rester chez eux et de travailler à partir de chez eux. Mais pour un journaliste, le travail à domicile n'est pas le moyen le plus efficace d'obtenir une histoire - même si le lieu de travail peut le présenter comme un avantage.   "Avant la pandémie, j'étais toujours dans les rues à la recherche d'histoires, de personnes à interviewer, ou à couvrir des événements, mais maintenant, tout cela est perdu."  Si les journalistes se sont adaptés au travail à domicile, n'importe où dans le monde, ils ont également adopté de nouvelles méthodes pour soutenir la réalisation du travail et le livrer dans le format désormais largement consommé. Les journalistes peuvent désormais accéder plus facilement à des informations sur le gouvernement, les procès, les discours, etc., qu'il serait plus difficile de suivre à pied car tout, absolument tout, est désormais en ligne. Au lieu des interviews en face à face, des plateformes comme Teams et Zoom sont devenues la meilleure solution. En utilisant ces plateformes, les journalistes ont un accès libre pour créer de bonnes interviews qui peuvent être éditées en douceur plutôt que des interviews par téléphone ou d'autres moyens. Cependant, il arrive aussi qu'une mauvaise connexion Internet ou des difficultés de programmation dues à des changements d'horaires entraînent une autre série de problèmes.   Malgré le changement soudain de lieu de travail, la pandémie a profité aux médias : le trafic de nouvelles, les abonnements et le lectorat ont augmenté. La pandémie a également accéléré le rythme des journalistes, qu'il s'agisse de l'attente d'une mise en ligne constante des nouvelles ou du rythme des découvertes et des récits.  Pour la presse écrite, la baisse des ventes a également été amplifiée par la pandémie. En quelques clics, les gens peuvent trouver une source d'information en ligne et n'ont pas besoin d'aller chercher (et acheter) un journal physique. L'hyper-numérisation des informations et le rythme auquel nous les consommons peuvent être pratiques. Mais tout a un coût : la perte d'interaction humaine et un trop-plein d'informations qui ne sont pas toujours vérifiées par tous les canaux nécessaires avant leur diffusion.    "L'interaction humaine a été perdue car tout repose désormais sur des plateformes en ligne".  Avec le chaos de la pandémie, l'une des plus grandes erreurs commises par les médias a été d'abuser de leur pouvoir. La saturation des nouvelles par les plateformes en ligne ne laisse souvent pas assez de temps aux gens pour traiter l'information. Le fait de bombarder constamment le public d'informations, de faits, de détails, de découvertes et d'autres informations encore peut également entraîner une certaine confusion. Le statut actuel de la pandémie est un exemple clair de cette négligence : Personne ne détient d'informations sur les restrictions actualisées, les infections quotidiennes et les souches. Naturellement, les gens ne pouvaient plus continuer à absorber de nouvelles données et les médias, de manière non professionnelle, ont continué à leur en donner. Il y a maintenant un excès d'informations, et elles se perdent dans le "vaste internet de tout" qui est téléchargé - lire quelque chose n'est pas la même chose que le traiter.  "Les médias nous ont laissé tomber parce que cela n'a pas été rapporté progressivement. C'était comme une gifle d'information dans le visage du public".   La pandémie étant mieux contrôlée, les médias journalistiques reviennent à des approches plus traditionnelles. Pourtant, la plupart des médias ont leurs bureaux vides depuis qu'ils ont adopté le travail à domicile comme courant dominant.   Malgré ces inconvénients et la saturation des informations sur Internet, M. Herraiz estime que les médias restent déterminés à défendre le public et le monde. Tous les journalistes et les médias ont travaillé ensemble pour que les gens soient informés et en sécurité. Le pouvoir du journalisme peut avoir un impact sur des millions de personnes, en ouvrant les yeux de ceux qu'une vérité déformée a rendus aveugles.   "Le journalisme, pour moi, a toujours consisté à raconter une histoire ; au bout du compte, c'est un style de vie", a conclu M. Herraiz.

L'un des objectifs personnels que je me suis fixé est d'apprendre une nouvelle langue. Au cours de la dernière année scolaire, j'ai eu l'occasion d'apprendre le japonais, une langue que je voulais apprendre depuis longtemps. Je n'aurais jamais pensé prendre autant de plaisir à apprendre une langue, et je suis reconnaissante d'avoir eu cette chance.   L'apprentissage d'une nouvelle langue présente de nombreux avantages, et aujourd'hui, je veux partager avec vous les raisons pour lesquelles vous devriez envisager d'apprendre une langue et quelques conseils et astuces pour vous aider à vous lancer !   Trois avantages de l'apprentissage des langues  1. Vous apprenez à connaître une autre culture   On peut apprendre beaucoup de choses sur une culture rien qu'en étudiant sa langue ! Lorsque j'étudiais le japonais, j'ai trouvé fascinant de constater que le japonais a des approches différentes de certaines situations sociales et qu'il a des mots et des expressions qui n'existent même pas en anglais ! J'apprécie mon sensei (mot japonais signifiant "professeur") pour avoir partagé un peu de sa culture avec moi.   Ce n'est pas tous les jours que l'on peut s'engager dans des cultures et des communautés autres que la sienne, et l'apprentissage des langues est donc une excellente occasion de le faire ! Apprendre à connaître d'autres cultures n'est pas seulement amusant, mais cela élargit aussi votre perspective. De nos jours, le monde est de plus en plus connecté grâce à la technologie, et il est important d'être ouvert et prêt à découvrir d'autres cultures.      2. Vous pouvez entrer en contact avec des personnes différentes en dehors de votre propre culture.   Apprendre une nouvelle langue permet également d'élargir votre réseau. Vous aurez l'occasion d'interagir avec de nombreuses autres personnes avec lesquelles vous n'auriez jamais pu interagir en raison d'une barrière linguistique. La création de ces nouvelles connexions peut vous aider dans votre vie personnelle, votre carrière professionnelle, ou même lorsque vous voyagez dans d'autres pays !  3. Les employeurs aiment les candidats qui parlent plusieurs langues  Le fait de connaître plusieurs langues crée davantage de possibilités d'emploi et vous permet de vous démarquer lors des entretiens. Au Canada, en particulier, le fait d'être bilingue en anglais et en français est un atout que de nombreuses entreprises recherchent parce qu'elles s'adressent à la fois aux communautés anglophones et francophones.   La communication est une partie importante d'une structure organisationnelle. Ainsi, la connaissance de plusieurs langues signifie un meilleur accès aux voies de communication pour les différentes communautés, ce qui ouvre davantage de possibilités pour l'entreprise et pour vous en tant que travailleur.   3 conseils et astuces pour apprendre une nouvelle langue  L'apprentissage d'une nouvelle langue vous intéresse ? Voici quelques conseils et astuces pour vous aider à démarrer !  1. Investissez dans de bons manuels et du matériel pour vous aider dans vos études.  Bien que les manuels de langue puissent être assez "chers", en trouver certains qui peuvent compléter votre apprentissage en vaut la peine. Je vous recommande également d'utiliser des flashcards pour apprendre du vocabulaire ou de la grammaire, ce qui a été l'un de mes outils préférés pour apprendre le japonais.   2. Trouvez un bon tuteur pour vous enseigner  Il peut être difficile de trouver le bon tuteur, mais la différence entre un bon et un mauvais tuteur peut signifier se sentir motivé pour étudier ou abandonner complètement. Voici quelques moyens de trouver un bon professeur :   Vérifiez si votre université propose des cours de langue. C'est un excellent moyen d'apprendre une nouvelle langue tout en travaillant pour votre diplôme si vous avez besoin de cours facultatifs.   Apprentissage en ligne. Il existe de nombreuses applications formidables pour vous aider dans votre apprentissage des langues. YouTube, par exemple, propose souvent d'excellentes vidéos sur les bases de l'apprentissage des langues, que vous pouvez utiliser pour compléter vos études. Vous pouvez également utiliser des applications comme Duolingo ou Rosetta Stone.   REMARQUE : je ne recommande pas de n'utiliser que ces applications pour apprendre une nouvelle langue ; il est également essentiel d'investir dans des cours avec un tuteur professionnel.   Trouvez des cours de langue près de chez vous. Faites une recherche dans votre région pour voir si quelqu'un propose des cours de langue. S'il n'y a pas de cours disponibles, il existe de nombreuses alternatives pour trouver un tuteur. Par exemple, Preply ou Italki sont d'excellents sites Web pour trouver un tuteur en ligne.   3. Pratiquez, pratiquez, pratiquez tous les jours   L'expression "c'est en forgeant qu'on devient forgeron" n'a jamais été aussi vraie en matière d'apprentissage des langues. La clé de l'apprentissage d'une langue est de l'intégrer dans votre vie quotidienne. Relisez vos notes, le vocabulaire, la grammaire, etc., dès que vous en avez l'occasion et incorporez-les lentement dans votre discours quotidien.   L'apprentissage d'une nouvelle langue demande beaucoup de dévouement car c'est comme adopter un nouveau style de vie. Si vous vous relâchez dans vos études, il sera de plus en plus difficile de reprendre là où vous vous êtes arrêté. N'arrêtez donc pas d'apprendre, et vous verrez bientôt les résultats de votre travail !   

"En entrant à l'université, j'ai toujours su ce que j'allais étudier parce que le métier de mes rêves était de devenir un diffuseur de sport. J'adore le sport, mais je ne suis pas très doué pour le pratiquer, alors je me suis dit qu'en parler serait la prochaine meilleure chose à faire", Matthew Daigle À 10 ans, Daigle envisageait déjà de plonger dans le monde du journalisme. L'expérience de l'annonceur lors des soirées de jeux en famille ou des matchs de hockey de sa sœur a façonné l'idée de Daigle sur ce qu'il voulait faire plus tard. "Je regardais toujours le hockey avec ma famille et il y a toujours un annonceur pour les matchs, alors je faisais semblant d'être celui qui annonçait le match."  Miramichi, sa ville natale depuis 17 ans, a motivé la décision de Daigle de déménager dans une autre province pour obtenir son diplôme puisqu'ils n'offraient qu'un collège communautaire au NBCC comme éducation postsecondaire. Parmi les options qui s'offraient à lui, mentionnons Québec, Halifax et Fredericton, qui étaient des institutions d'arts libéraux. Son choix s'est arrêté sur l'Université St. Thomas (STU). "Après avoir su ce que je n'aimais pas vraiment au lycée, comme la chimie et la physique, j'ai compris que l'écriture était ma passion, quelque chose qui me motivait et je voulais aller dans une école qui épanouirait ces connaissances." La principale raison pour laquelle il a choisi l'UTS pour les quatre prochaines années de sa vie était la proximité de son domicile. En fin de compte, tout se résumait à pouvoir y retourner pendant les vacances ou les dates spéciales et à se sentir proche de sa famille. La deuxième raison était de pouvoir travailler aux côtés des professionnels de la salle de rédaction de CBC, dont les connaissances et le professionnalisme ont attiré l'attention de Daigle. À l'automne 2017, il est arrivé sur le campus et a fait ses premiers pas vers sa carrière espérée de journaliste. En entrant à l'université, Daigle n'avait aucune idée de ce qu'étaient les "communications", mais il est tombé amoureux de tous les aspects de cette discipline au fur et à mesure de ses études. Il affirme que les conseils de ses professeurs ont été déterminants pour sa confiance et son engagement dans ses études. Le premier cours de journalisme de Daigle avec le professeur Philip Lee a eu un impact majeur sur ses études, car il a appris à rédiger correctement des articles et à s'exprimer dans un sens journalistique. Ce qu'il a appris dans les cours de communication et de journalisme comme ceux du professeur Lee a également été complété par ses autres études. Selon Daigle, St. Thomas encourage les étudiants à s'épanouir, en choisissant d'autres types de cours que ceux liés à la majeure ou à la mineure, afin d'améliorer leur croissance personnelle et leur expérience tout au long de l'université. Le programme de STU offre un arsenal complet de moyens de faire carrière. Le journalisme ne se limite pas toujours à la presse écrite, à l'écriture, à la radio, au podcasting ou à la télévision, il peut être un mélange. Cela vous permet de diversifier vos compétences et de donner aux étudiants un libre accès aux technologies telles que les logiciels, la vidéo, l'audio et les caméras, ce qui renforce la connexion entre les étudiants et les journalistes. "Pour moi, chaque petit outil, compétence, connaissance et stage en valait la peine. Je ne peux pas parler pour tous les journalistes, mais ces expériences m'ont vraiment aidé à me former en tant que journaliste."  Être étudiant n'est jamais facile, pour Daigle, cela a certainement eu des hauts et des bas, et cela peut être un défi si vous essayez d'acquérir une expérience professionnelle tout en étudiant. Pendant son séjour à STU, Daigle a travaillé comme rédacteur en chef de l'Aquinian et a également effectué deux stages pendant sa quatrième année. Grâce à ces expériences, il a découvert que les dissertations et les rapports consistaient à remplir des informations pour atteindre le nombre de mots requis, alors que l'écriture journalistique est concise, directe, sans zone grise ni possibilité de créer des informations supplémentaires (souvent non pertinentes). Apprendre à désapprendre ce qu'il savait et à adopter de nouvelles façons de penser a largement contribué à le préparer au monde du travail au-delà des murs de la salle de classe. "Il m'a fallu un peu de temps pour m'y faire, mais ensuite, en quatrième année, j'étais assez sûr de moi et maintenant, je n'ai même plus de difficultés avec ça." Daigle a également dû surmonter des obstacles personnels tout au long de ses études et de son parcours professionnel. Il s'est toujours décrit comme timide, toute sa vie, et a dû s'exprimer avec plus d'assurance en tant que journaliste. Pour un journaliste, avoir confiance en soi lorsqu'il s'exprime n'est pas seulement un atout, c'est aussi une nécessité pour obtenir un article, cela fait partie du travail. Jan Wong, un autre professeur de Matthew, avait l'habitude de lui dire d'exercer sa capacité à s'exprimer, d'utiliser sa peur comme un carburant pour mener à bien l'interview. Grâce à l'aide de ses professeurs, à l'expérience acquise et au temps, Matthew Daigle a réussi à vaincre sa timidité en quatrième année. Par-dessus tout, la pandémie n'a pas non plus été une transition facile puisque la plupart des cours ont dû s'adapter au nouveau format en ligne. Le stress et la charge de travail étaient parfois insupportables, et le fait de rester à l'intérieur a eu un impact considérable sur la santé mentale. Selon Daigle, les amis, la famille et les professeurs ont aidé l'expérience de la 4e année à ne pas être aussi chaotique qu'elle aurait pu l'être à cause du Covid. "Je m'en suis sorti mais ce n'était pas facile, je dois vraiment remercier ma famille, mes amis et certains professeurs pour m'avoir aidé dans cette dernière ligne droite vers l'obtention de mon diplôme." Pour s'épanouir en tant qu'étudiant, il faut laisser les professeurs vous montrer la voie à suivre. Ils façonnent tous les aspects de ce que vous voulez devenir et comment le faire. Leur permettre de vous montrer leur expérience et leurs connaissances vous ouvre les yeux. "En tant que journaliste, je pense que Jan Wong a été l'une de mes plus grandes influences. Elle m'a vraiment aidé à avoir confiance en moi et à être capable de me tenir debout tout seul, à mesure que j'avance dans mes histoires, mes interviews et que je me forme en tant que professionnel." Avant de terminer ses études au printemps 2021, Matthew Daigle s'est lancé dans le monde professionnel : il a envoyé des CV, postulé à différents postes et entretenu des liens avec toute opportunité qui se présentait. Cela lui a permis de décrocher un emploi et, depuis la fin mai, il travaille comme reporter pour le Telegraph Journal, dans la section Globe du St. Dans son rôle, Daigle couvre un peu de tout ce qui est imprimé, principalement des articles écrits et des photographies. L'adaptation de la charge de travail scolaire et des articles hebdomadaires au nouvel horaire de rédaction de deux articles par jour a été un véritable défi pour M. Daigle, mais grâce aux outils, aux compétences et à l'état d'esprit qu'il a développés au cours de ses études universitaires, de ses stages et de son temps, il est enfin prêt et enthousiaste à l'idée de devenir journaliste.  " Je suis heureux de la façon dont j'ai trouvé ma place dans le monde. Tout le monde n'a pas autant de chance. " 

Qu'est-ce que le freelancing ? Le terme "freelance" est défini par Google comme suit : Travailler pour différentes entreprises à différents moments plutôt que d'être employé de façon permanente par une seule entreprise. En fait, la main-d'œuvre de Google, en 2019, est composée de plus d'entrepreneurs/de freelances que d'employés permanents - 54 % du personnel était considéré comme des entrepreneurs/des freelances !  Forbes a même un article intitulé " La révolution du freelancing ne fait que commencer " et je peux dire en toute confiance que je suis d'accord. Le freelancing va continuer à se développer et on pourrait dire que c'est la vague de l'avenir - surtout pour les diplômés. J'ai eu le plaisir d'interviewer Kristen Parker, utilisatrice vérifiée de niveau 2 de Fiverr Pro et freelance à plein temps. Nous avons discuté de son expérience du freelancing et de la façon dont il lui permet de faire ce qu'elle aime. Q : Pouvez-vous me parler un peu de vous (formation, expérience professionnelle, etc.) ? R : Je suis rédactrice indépendante à plein temps, spécialisée dans les blogs et les légendes de médias sociaux. J'ai obtenu un baccalauréat en médias et communications avec une mineure en anglais de l'Université Redeemer (Ancaster, ON.). J'ai commencé à travailler pour un organisme sans but lucratif dès la fin de mes études.  Je suis passée d'un temps plein à un contrat avec l'organisme sans but lucratif en novembre 2020 pour avoir plus de flexibilité avec mon temps, car mon mari et moi avions converti un fourgon cargo en maison et voyagions à travers le pays.  J'ai rejoint Fiverr en janvier 2021, et j'avais peu d'attentes. J'avais fait du freelancing ici et là depuis 2018, mais Fiverr a transformé ma carrière de freelance et m'a projetée vers l'indépendance et la croissance. Maintenant, je travaille avec quelques agences de marketing et des clients sur Fiverr pour remplir diverses missions d'écriture.  Q : Avez-vous toujours su que ce domaine (l'écriture) était celui dans lequel vous vouliez vous lancer ? R : Quand j'étais au lycée, j'étais décidée à faire des études scientifiques. Mon objectif a changé lorsque j'ai suivi un cours de création littéraire en 12e année et que je suis tombée amoureuse de ma créativité. Ce cours a allumé un feu en moi, et depuis, je poursuis cette passion. J'ai tenu un journal toute ma vie, mais ce n'est que récemment que j'ai eu la confiance nécessaire pour me considérer comme un écrivain. Je suis reconnaissante d'être dans un domaine qui favorise la créativité et me permet de laisser les mots couler.  Q : Qu'est-ce qui vous a donné envie de vous lancer dans le freelancing ? R : Dans mon emploi à temps plein, je me sentais limitée par le 9-5. J'avais l'impression de ne pas pouvoir atteindre mon plein potentiel et de ne pas être récompensée pour mes efforts. Le freelancing vous permet de fixer vos horaires et d'être récompensé pour votre travail.  Dans un poste à temps plein, le travail acharné n'est pas toujours payant - mais dans le cas du freelancing, lorsque vous vous surpassez, vous êtes en mesure d'apprendre davantage, de gagner plus et de progresser plus rapidement dans votre carrière.  J'aime aussi le fait que j'ai plus de flexibilité avec mon temps. Je peux fixer mes échéances, et tant que je les respecte, le moment où je fais le travail n'a pas d'importance.  Q : Comment avez-vous décidé de la plateforme à utiliser pour commencer à travailler en freelance ? R : J'avais entendu dire que Fiverr permettait de créer un profil gratuit, et je me suis lancée. Honnêtement, je n'ai pas fait de recherches, je me suis juste dit "voyons ce qui se passe". Les gens se détournent souvent de l'idée de "faire" parce qu'ils sont tellement préoccupés par le fait de "bien faire". Je me suis dit qu'il n'y avait aucun mal à créer un profil, alors je me suis lancée.  L'un de mes objectifs pour l'année est de créer un profil sur Upwork et de voir ce que cela donne.  Q : Comment avez-vous fait et faites-vous face à l'insécurité financière liée au fait de ne pas avoir un revenu fixe ? R : J'ai beaucoup de chance d'être mariée à quelqu'un qui a un revenu fixe et d'avoir commencé à travailler en free-lance avec un contrat. Le poste contractuel était un moyen sûr de travailler en freelance car je savais toujours qu'il y avait du travail. Le contrat m'a fourni du travail pendant que j'établissais des relations et que je prenais confiance pour me lancer pleinement dans le monde du freelancing.   Aujourd'hui, j'ai chaque jour un objectif que je cherche à atteindre - et si je ne l'atteins pas, je passe du temps à essayer de trouver un autre travail. Je suis incroyablement chanceuse d'avoir un flux constant de travail qui me permet d'être rarement à la chasse.  Je suis incroyablement reconnaissante d'avoir un mari qui me soutient et m'encourage à poursuivre mes rêves. Son revenu couvre nos dépenses mensuelles, et mon revenu couvre les extras, les économies et les investissements. Je reconnais le privilège d'être dans une situation de double revenu, et je note également que la différence dans ce que nous rapportons est relativement faible.    Q : Comment vous débrouillez-vous avec les impôts en tant que freelance ayant plusieurs sources de revenus (rester organisé avec les finances de l'entreprise, etc.) ? R : J'utilise un tableur et j'ai un comptable extraordinaire qui répond rapidement à mes questions et m'aide à naviguer dans le monde des impôts. J'étais intimidée par les impôts et cela a failli m'empêcher de travailler à mon compte.  Maintenant, je suis reconnaissante de me sentir confiante et bien préparée pour la prochaine saison fiscale. (Cette saison fiscale s'est bien passée et m'a permis d'apprendre).  Q : Comment maintenez-vous/créez-vous un équilibre entre vie professionnelle et vie privée en tant que freelance ? R : Au début, il était difficile de maintenir un équilibre entre vie professionnelle et vie privée en tant qu'indépendant, car j'étais impatient de mener à bien tous les projets, ce qui signifiait que je faisais beaucoup de travail pour peu d'argent afin d'obtenir des critiques. C'était également difficile de sentir que je devais toujours répondre aux demandes immédiatement et être à la recherche de travail.  Maintenant, je peux prendre mes week-ends (sauf si je veux travailler) et j'évite de travailler la nuit (sauf si je le veux). L'un des avantages du travail indépendant est que j'aime ce que je fais, de sorte que le travail n'est souvent pas ressenti comme tel.  Comme tout arrive sur mon téléphone, je peux rapidement évaluer si quelqu'un a besoin d'une réponse ou si cela peut attendre une autre fois. J'ai également appris qu'il n'y a pas de mal à répondre à quelqu'un en disant quelque chose comme "Bonjour ! Merci pour votre message. Je suis en train de faire des courses. Je te répondrai dès mon retour à la maison". C'est un excellent moyen d'établir une relation, de garder mon taux de réponse rapide et d'éviter de travailler 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.  Q : Quelle est la chose que vous avez pu faire en tant que freelance et que vous n'auriez pas pu faire avec un emploi 9-5 ? R : Au départ, j'ai quitté le 9-5 parce que cela ne correspondait pas à notre expérience de vie en van. Depuis, nous avons vendu la camionnette et j'ai découvert la joie de pouvoir établir mon propre emploi du temps. J'ai plus de temps pour poursuivre mes projets passionnels, m'investir dans mes relations et devenir la personne que je veux être. J'ai découvert que le travail de 9 à 5 me laissait épuisée et que je ne me sentais pas vraiment moi-même. Maintenant, j'ai plus d'énergie et chaque jour est une nouvelle opportunité. Q : Avez-vous des conseils à donner aux personnes qui envisagent de faire du freelancing leur principale source de revenus? R : Si vous envisagez de travailler en free-lance, commencez tout simplement. Chaque jour où vous ne commencez pas est un jour où vous pourriez vous construire un profil et acquérir de l'expérience. Vous n'avez pas besoin de vous lancer dans le freelancing en pensant que cela doit être votre principale source de revenus - vous risquez de trouver cet état d'esprit étouffant et accablant. Je vous recommande plutôt de vous lancer dans le freelancing avec l'état d'esprit suivant : "Je vais m'investir à fond dans ce projet et voir où cela me mène !". Il y a une abondance d'opportunités pour différentes niches - passez un peu de temps sur un site comme Fiverr et voyez ce qu'il y a et ce pour quoi vous pensez que vous seriez bon.  En fin de compte, il n'y a aucun mal à passer une soirée à créer un profil. Vous ne savez jamais où cela peut vous mener.   

Nous approchons maintenant de cette période de l'année où les cours se terminent enfin, et où il ne reste plus que les derniers devoirs à faire avant de se détendre et de se laisser aller aux vacances d'été. Vacances d'été = pas d'école... ou du moins c'est ce que vous pensez.   Vous avez peut-être entendu parler des cours d'été et, même si la dernière chose à laquelle vous pensez en ce moment est de faire encore plus d'école, les cours d'été peuvent être une excellente opportunité dans votre parcours éducatif. Cependant, il est important de savoir si les cours d'été vous conviennent avant de vous y inscrire, car ils peuvent être très différents des cours que vous suivez pendant l'année scolaire normale. Voici donc une liste de quelques-uns des avantages et des inconvénients des cours d'été.  AVANTAGE 1 : Les cours d'été peuvent t'aider à obtenir ton diplôme plus tôt.   Si vous souhaitez obtenir votre diplôme plus tôt, les cours d'été sont un excellent moyen d'y parvenir. En prenant des cours supplémentaires pendant l'été, vous pouvez obtenir votre diplôme plus rapidement que si vous ne suiviez que des cours pendant le trimestre d'automne ou d'hiver.   CONSEIL : Je vous recommande vivement de faire des recherches et de planifier les cours que vous devez suivre. Il peut être difficile de trouver les cours dont vous avez besoin. Pensez à visiter vos bureaux d'orientation scolaire pour demander de l'aide afin de planifier votre charge de cours pour les trimestres d'automne/hiver et d'été.   AVANTAGE  2 : Les cours d'été peuvent aider à répartir les cours tout au long de l'année.  L'inscription à des cours d'été peut vous permettre de suivre une charge de cours plus légère pendant la session d'automne ou d'hiver, répartissant ainsi votre charge de cours de façon plus uniforme tout en vous permettant de respecter la date prévue pour l'obtention de votre diplôme.  Par exemple, à l'Université York, une charge de cours complète pendant la session automne/hiver est de 30 crédits. Les cours d'été permettent aux étudiants de suivre un maximum de 12 crédits. Ainsi, pendant l'année, je pourrais suivre environ 21 crédits et 9 crédits pendant les cours d'été. Ainsi, ma charge de cours est plus légère et plus facile à gérer pendant l'année. Cela peut être extrêmement utile si vous vous trouvez submergé par le travail scolaire.   AVANTAGE  3 : Les cours d'été sont généralement plus petits.  Les classes pendant les cours d'été sont généralement plus petites, ce qui peut être bénéfique si vous aimez apprendre dans cet environnement. Des classes plus petites peuvent signifier une meilleure connexion avec votre professeur et plus de discussions en classe.   CONTRE 1 : Certains cours peuvent ne pas être disponibles pendant l'été. Il faut tenir compte du fait que certains cours, habituellement disponibles au trimestre automne/hiver, ne le seront pas au trimestre d'été. Si vous avez besoin d'un cours particulier pour votre diplôme, il est important de vérifier si ces cours sont disponibles pendant l'été.   CON #2 : Les cours d'été sont plus rapides, avec plus de devoirs et de temps de classe.  Étant donné que les professeurs doivent condenser le contenu d'un semestre (ou deux) de cours en quelques mois seulement, vous constaterez qu'ils abordent deux sujets ou plus pendant la semaine. Cela signifie également plus de devoirs et plus de temps en classe. C'est un élément à prendre en compte si vous préférez un environnement d'apprentissage plus lent ou si vous suivez un cours qui demande plus de travail que d'habitude.   CON #3 : Il peut être difficile d'obtenir des fonds du RAFEO pour les cours. Le processus d'obtention d'une aide financière du RAFEO pour les cours d'été peut être plus long et dépend du fait que vous suiviez ou non une charge de cours complète. Je vous recommande fortement de faire des recherches pour connaître le financement offert par le RAFEO pour les cours d'été dans votre établissement postsecondaire.   Par exemple, lorsque j'ai suivi des cours d'été pendant ma première année, il a été difficile d'obtenir du financement parce que je ne suivais que la moitié de la charge de cours. En fin de compte, j'ai dû m'inscrire à un autre cours pour être considéré comme un étudiant à temps plein, car la demande de RAFEO pour les étudiants d'été à temps plein était beaucoup plus facile.   J'espère que ce billet a pu clarifier ce à quoi peuvent ressembler les cours d'été. Si vous envisagez de suivre des cours d'été, n'oubliez pas de consulter le site Web de votre établissement postsecondaire pour obtenir plus d'information à ce sujet!   

"Fais semblant jusqu'à ce que tu y arrives."  C'est un bon conseil, non ? Si vous n'êtes pas confiant, faites semblant de l'être et la confiance suivra. Pas si vite ! En tant que nouveau diplômé, qui a passé plusieurs fois le processus d'entretien, j'ai appris à faire mieux. Savoir ce que l'on fait est une chose, mais admettre que l'on ne sait pas est bien plus utile. En fait, cela figure en tête de ma liste des raisons pour lesquelles vous ne devez PAS faire semblant jusqu'à ce que vous réussissiez. 1. Admettez que vous ne savez pas Je vous promets que vous aurez l'air beaucoup mieux si vous êtes franc sur ce que vous ne savez pas que si vous prétendez le savoir. L'honnêteté a plus de valeur que l'embellissement de vos compétences et de votre base de connaissances. Cette approche aide également les employeurs à vous aider, car ils peuvent vous enseigner et vous aider à combler vos lacunes en matière de compétences, dès le début de votre formation chez eux. Lors d'un de mes entretiens, le responsable m'a demandé quelle était ma connaissance du domaine. Comme c'était le premier emploi à distance dans mon domaine pour lequel je passais un entretien, je lui ai répondu que je n'en savais pas beaucoup. Il m'a répondu qu'il savait que j'étais nouvellement diplômée et que je n'avais aucune expérience professionnelle. Ce n'était pas nécessairement une question piège, mais il voulait voir ce que j'étais prêt à admettre. Et comme j'ai été franche, même si je ne remplissais pas toutes les conditions requises en tant que candidate, il était prêt à me donner une chance.   2. Soyez prêt à apprendre "Je ne sais pas, mais je suis prêt à apprendre" est une phrase tellement puissante. Elle montre que vous prenez l'initiative d'aller jusqu'au bout et d'être proactif dans votre apprentissage. En tant que nouveau diplômé, je manquais d'expérience et de connaissances, et il est fort probable que vous en fassiez autant - il n'y a pas de honte à cela. Cependant, lorsque j'ai été embauché, mon responsable m'a dit qu'il appréciait que je dise que j'étais prêt à apprendre lorsque je ne connaissais pas les réponses à certaines questions qu'il me posait. Cela lui a permis de savoir que j'étais prête à travailler et à ne pas rester passive. 3. Posez des questions N'ayez pas peur de poser des questions ! Cela montre que vous voulez prendre en charge votre apprentissage et que vous savez ce que vous devez apprendre. Comme nous l'avons mentionné précédemment, vous ne saurez pas tout sur le domaine dans lequel vous travaillez. Même en acquérant plus d'expérience, vous ne saurez jamais tout, alors posez des questions. Ensuite, faites le nécessaire pour vous assurer que vous savez ce que vous devez savoir sur le poste que vous occupez.  Je demande à mon supérieur et à mes collègues des précisions sur ce que je dois faire tous les jours, voire plusieurs fois par jour. Lorsque de nouvelles tâches se présentent et que je ne les ai jamais effectuées auparavant, je m'assure de demander comment les réaliser. Cela montre que je veux savoir, et que je ne vais pas rester assis et attendre que quelqu'un me demande si je sais ce que je fais.  D'après mon expérience, "faire semblant jusqu'à ce que tu y arrives" n'est pas un conseil valable (même s'il part d'une bonne intention). Il nous dit que nous n'avons pas le droit de "ne pas savoir" et que nous n'avons pas le droit de poser des questions ou de faire des erreurs. Il nous oblige à donner la meilleure image de nous-mêmes aux employeurs et à être inévitablement déçu de nous-mêmes lorsque nous nous trompons ou ne répondons pas aux attentes. Au lieu de faire semblant jusqu'à ce que vous réussissiez, pourquoi ne pas faire mieux ? Essayez d'apporter toute votre personnalité au travail et soyez ouvert à l'apprentissage, notamment auprès de vos pairs ou de vos mentors. Vous serez peut-être surpris de ce que vous pouvez faire...  

Ce n'est un secret pour personne que travailler ou apprendre à distance ou dans des environnements d'apprentissage hybrides rend difficile le contact avec les professeurs. Si vous êtes comme moi, vous avez probablement atteint un point dans votre parcours universitaire où vous avez besoin de lettres de recommandation - que ce soit pour un emploi ou des études supérieures. Alors, comment demander des lettres de recommandation lorsque vous interagissez avec votre classe principalement en ligne ? J'ai parlé à quelques professeurs pour leur demander ce qu'ils pensaient de l'enseignement dans ce nouvel environnement et de l'impact qu'il a sur ce qu'ils recherchent dans les approches des étudiants pour demander des lettres de recommandation.  Voici leurs conseils :  Présentez-vous et allumez votre appareil photo.  Cela semble simple, mais lorsque les étudiants se présentent tous les jours, allument leur appareil photo et partagent régulièrement leurs réflexions, il est plus facile pour les professeurs de raisonner la rédaction des lettres de recommandation.   Partagez vos espoirs, vos rêves ou vos projets d'avenir avec les professeurs.   Les professeurs avec lesquels j'ai parlé m'ont dit qu'ils préféraient connaître vos projets d'avenir et que plus vous fournirez de détails, plus vous aurez de chances d'obtenir une lettre de recommandation - et une lettre qui aura une influence. Il est également conseillé de partager votre CV, votre lettre de motivation ou toute autre information susceptible de vous aider à obtenir une lettre adaptée à vos points forts et à vos objectifs.  Exprimez votre intérêt pour une lettre de recommandation dès le début  Demander une L.O.R. est déjà assez éprouvant lorsque vous êtes en classe, mais particulièrement difficile en raison du manque d'interaction des cours en ligne. Les professeurs avec lesquels j'ai discuté m'ont conseillé de manifester leur intérêt pour une lettre de recommandation dès le début (et aussi, évidemment, d'aller aux heures de bureau, de poser des questions sur l'examen, de participer aux cours et d'établir une relation avec eux).   Qualité et contenu  Les professeurs avec lesquels j'ai discuté notent que la qualité et la quantité de l'engagement sont toutes deux prises en compte - l'une ne l'emporte pas sur l'autre. Cependant, selon que la lettre est nécessaire pour des études universitaires ou pour des emplois plus interactifs, l'accent sera mis sur ce que la situation exige.   Ce que je retiens de ces conversations, c'est l'importance d'interagir avec vos professeurs. Vos professeurs veulent vous aider, mais pour obtenir leur aide, vous devez vous présenter et faire votre travail. Un geste aussi simple que d'allumer votre appareil photo peut faire toute la différence et mettre un visage sur le nom qui apparaît à l'écran. Demandez tôt si vous voulez un L.O.R., apprenez à connaître votre professeur et établissez une relation avec lui. 

Aujourd'hui, je voulais partager une vidéo que mon équipe nous fait visionner chaque année pour nous rappeler que le leadership n'est pas toujours une affaire de grands gestes et de moments décisifs, mais qu'il peut s'agir de quelque chose d'aussi simple qu'un geste gentil ou une main tendue.  Dans le Ted Talk ci-dessus, Drew Dudley effectue un travail fantastique pour redéfinir le leadership. Je vous encourage à regarder la vidéo lorsque vous en avez l'occasion et à réfléchir à vos moments de gentillesse désintéressée ! Il peut s'agir d'un moment où vous avez eu un impact sur quelqu'un de manière modeste ou d'une situation où quelqu'un d'autre a eu un impact sur vous. Souvent, le mot "leadership" peut être décourageant parce qu'il y a des idées préconçues sur la façon dont un leader doit être - s'affirmer, prendre les choses en main et réussir - mais je voulais montrer que le leadership n'est pas toujours comme ça. Même les petites actions de leadership doivent être célébrées.  Pour renforcer cette idée, j'ai voulu partager avec vous le moment de bonté désintéressée d'un professeur qui a eu une grande influence sur moi pendant mes études universitaires. Dans mon premier article, j'ai parlé un peu de moi, en précisant que j'étudiais l'anglais et la philosophie. Bien que la raison pour laquelle j'ai décidé d'étudier l'anglais soit évidente - j'aime tout simplement lire, écrire et analyser des textes - la raison pour laquelle j'ai également choisi d'étudier la philosophie est très différente.   Au cours de ma première année, j'ai suivi un éventail de cours pour voir quels étaient les autres cours disponibles, et j'ai pris un cours d'introduction à la philosophie pour voir ce que c'était. Le contenu du cours m'a attiré, mais ce qui a déclenché ma passion pour la philosophie, c'était le professeur. Mon professeur arrivait toujours en classe avec un sourire éclatant, il donnait ses cours avec une joie et une passion exceptionnelle, et il faisait en sorte que les cours étaient toujours très agréables. C'est pour cette raison que j'ai décidé de poursuivre mes études en philosophie et, à ce jour, c'est toujours l'un de mes professeurs préférés.   Ce professeur n'a rien fait de spectaculaire, mais le simple fait d'être passionné par son travail et de s'intéresser à ses étudiants m'a encouragé à poursuivre mes études dans ce domaine. Bien que je n'aie pas souvent parlé avec ce professeur, il a été l'une des raisons qui a mené à mon parcours éducatif particulier. C'est un excellent exemple de la façon dont nos actions quotidiennes ont un impact significatif sur les personnes qui nous entourent, et il est important d'en être conscient. Nous avons beaucoup de pouvoir dans nos actions, et nous ne devons pas nécessairement avoir un titre de leader pour diriger les autres autour de nous. Je vous encourage donc à diriger avec des moments de gentillesse désintéressée et à partager votre propre moment avec nous ! 

J'ai eu le plaisir d'interviewer Deanne Williams, professeur d'anglais à l'Université York et auteure. J'ai suivi son cours ce semestre et j'ai eu la chance incroyable de faire sa connaissance. J'ai choisi de l'interviewer à l'occasion du Mois de l'histoire des femmes, car je voulais présenter une professeure qui excelle dans son domaine, dans un secteur relativement dominé par les hommes. Si vous souhaitez faire de l'anglais une matière principale, une matière secondaire ou une profession, poursuivez votre lecture pour en savoir plus sur le parcours et les conseils de Deanne.  Q : Parlez-moi un peu de vous.  R : J'ai étudié l'anglais et les études religieuses à l'université de Toronto. J'ai eu l'occasion d'étudier avec Northrop Frye (auteur du succès de librairie international Fearful Symmetry). J'ai également effectué mes études supérieures à Oxford et une bourse à Stanford où j'ai également participé à des travaux de recherche pratiques. Vers la fin de ma dernière année, on m'a offert un poste à l'Université York, j'ai terminé ma thèse et j'ai rejoint leur département d'anglais.  Q : Avez-vous toujours su que vous vouliez devenir professeur d'anglais ?  R : Non, je pensais que j'irais peut-être dans l'édition. Je pensais aussi que j'allais peut-être m'intéresser au droit et trouver un moyen de relier les deux. Au moment où j'ai su que je voulais faire des études supérieures, j'étais en troisième année d'université et j'aimais tellement mes cours que j'ai réalisé que je voulais continuer à étudier. J'ai eu une vision et un rêve prophétiques selon lesquels je ferais des études supérieures en Californie.  Q : Quelles mesures avez-vous prises ? Avez-vous eu des conseils ?  R : Je suis devenu assez proche du directeur des études anglaises de mon université, et il m'a proposé d'aller à Oxford pour poursuivre des études médiévales. Un peu plus tard, j'ai poursuivi mes études supérieures à Stanford. J'ai eu l'occasion d'étudier aux côtés de plusieurs intellectuels merveilleux. J'avais également un ami du lycée qui m'a écrit des lettres faisant l'éloge du programme d'anglais de Stanford. Le professeur Stephen Orgel a également été un mentor incroyable pour moi à Stanford.  Q : Vous avez mentionné plusieurs mentors masculins remarquables et très appréciés. Aviez-vous également des mentors ou des inspirations féminines à cette même époque ?  R : Oui, c'est vrai, surtout à cette époque, le domaine était dominé par les hommes, mais l'une de mes plus grandes inspirations a été Patricia Parker (professeure à Stanford) qui faisait partie de mon comité de thèse. Mon travail sur Périclès de Shakespeare, qui était très important pour moi et dont j'ai écrit un chapitre dans mon livre, trouve son origine dans un séminaire de troisième cycle que j'ai suivi avec elle. Elle m'a appris à être attentif à la langue de Shakespeare, à son contexte historique, aux aspects techniques et aux contradictions de la littérature. Il était cependant un peu difficile de trouver des mentors féminins - surtout dans les domaines historiques.  Q : Que conseilleriez-vous aux étudiants qui envisagent de poursuivre une carrière en anglais ?  R : Il est très important d'établir des liens personnels avec vos professeurs et d'autres étudiants qui prennent l'anglais au sérieux. J'ai passé beaucoup de temps avec mes mentors et j'ai appris d'eux comment enseigner et superviser mes étudiants. Il y a une grande joie à collaborer avec les autres. Les études ne doivent pas nécessairement être solitaires comme on le présente souvent. En outre, recherchez les bourses que les universités offrent si vous poursuivez des études supérieures, car vous serez surpris par le nombre de possibilités qui s'offrent à vous. 

Je suis pair mentor à l'Université York depuis deux ans, et c'est l'une de mes expériences étudiantes préférées. Dans ce rôle, je soutiens et j'encadre les étudiants de première année, que ce soit en répondant à leurs questions, en les aidant à s'adapter à leur première année ou simplement en leur apportant un soutien mental et émotionnel.  Êtes-vous intéressé à devenir un pair mentor ?  Qu'est-ce qu'un pair mentor ? Un pair mentor est généralement un étudiant de deuxième année qui aide les étudiants de première année à s'adapter à l'université. Si vous êtes un étudiant de première année, un pair mentor vous donnera souvent un coup de main pour vous guider tout au long de votre première année à l'université. Qu'il s'agisse de séances d'étude, de visites du campus ou d'activités sociales amusantes, il constitue un lien accessible qui peut vous aider à vous adapter à la vie étudiante. Même si vous n'êtes plus un étudiant de première année, il peut être utile de vous adresser à eux et de leur poser des questions. En tant qu'étudiant de quatrième année, il me reste encore beaucoup de choses à apprendre sur mon université et mon programme, et il est donc très utile d'avoir quelqu'un à qui parler. En quoi un pair mentor peut-il m'aider ? Un pair mentor peut offrir des services tels que des conseils individuels, des séances d'étude en groupe, et bien d'autres choses encore. Le conseil individuel peut inclure une aide au devoir ou à la dissertation, par exemple en passant en revue les exigences du devoir ou en donnant des conseils pour la rédaction de la dissertation, ou il peut s'agir de séances plus informelles, par exemple pour parler de santé mentale ou de stress scolaire. Les pairs mentors peuvent également organiser des séances d'étude tout au long de l'année ou même des événements auxquels vous pouvez assister. Les événements académiques, tels que les ateliers de rédaction ou de rédaction de CV, vous aident à développer des compétences plus professionnelles, tandis que les événements sociaux, tels que les soirées jeux, offrent un espace aux étudiants pour se connecter et se rencontrer. Vos pairs mentors sont là pour faire en sorte que votre première année soit aussi amusante, sans stress et réussie que possible ! Mon expérience en tant que pair mentor Comme je l'ai mentionné, être un pair mentor a été l'un des moments forts de ma vie d'étudiant. Il existe une grande communauté autour des programmes de mentorat et cela vous donne plus d'opportunités de vous impliquer dans la vie étudiante. En tant que pair mentor, vous développez de nombreuses compétences et acquérez de nouvelles expériences, et en tant que mentoré, vous pouvez trouver le soutien dont vous avez besoin pour réussir sur le plan scolaire et professionnel. L'un des meilleurs souvenirs de mon travail de pair-mentor est l'organisation de divers événements et concours pour les étudiants, comme le concours de maisons en pain d'épice pour les fêtes et une course de dragons ! Si vous en avez l'occasion, je vous encourage à vous rapprocher de votre programme de mentorat et à vous porter volontaire comme mentor ou à participer comme mentoré ! Où puis-je trouver mon programme de mentorat ? La plupart des universités proposent des programmes de mentorat. Voici une liste compilée des programmes de mentorat pour la plupart des universités de l'Ontario. Si votre université ne figure pas dans la liste, je vous encourage à visiter le site Web de votre université pour rechercher votre programme de mentorat.   Vous êtes étudiant à l'Université Algoma ?  Cliquez ici. Étudiant de l'Université Brock ? L'Université Brock a des pairs mentors pour des programmes académiques spécifiques. Je vous encourage à trouver le programme de pairs mentors qui s'applique à vous ! Vous êtes étudiant à l'Université Carleton ? Cliquez ici. Étudiant de l'Université de Guelph ? Cliquez ici. Étudiant de l'Université Lakehead ? L'Université Lakehead a des pairs mentors pour des programmes académiques spécifiques. Je vous encourage à trouver le programme de pairs mentors qui s'applique à vous ! Vous êtes étudiant à l'Université Laurentienne ? Cliquez ici. Étudiant de l'Université McMaster ? Cliquez ici. Étudiant de l'Université Nipissing ? Cliquez ici.  Étudiant de l'Université OCAD ? Cliquez ici. Étudiant de l'Université Ontario Tech ? Cliquez ici.   Étudiant de l'Université d'Ottawa ? Cliquez ici. L'Université d'Ottawa a des pairs mentors pour des programmes académiques spécifiques. Je vous encourage à trouver le programme de pairs mentors qui s'applique à vous ! Vous êtes étudiant à l'Université Queen's ? Cliquez ici.   Étudiant de l'Université Ryerson ? Cliquez ici. Étudiant de l'Université de Toronto ? Cliquez ici. Étudiant de l'Université Trent ? Cliquez ici.   Étudiant de l'Université de Waterloo ? Cliquez ici. Étudiant de l'université Western ? Cliquez ici. Étudiant de l'Université Wilfrid Laurier ? Cliquez ici. Étudiant de l'Université de Windsor ? Cliquez ici. Étudiant de l'Université York ?  L'Université York a des pairs mentors pour des programmes académiques spécifiques. Je vous encourage à trouver le programme de mentorat qui s'applique à vous !  

Je ne recommanderais pas de sous-estimer la valeur d'une expérience de bénévolat et d'aide humanitaire. Non seulement une expérience en aide humanitaire peut être fondatrice, mais elle permet également de créer des réseaux, de développer des compétences et d'avoir un sentiment d'appartenance à quelque chose de plus grand que soi par le biais de la communauté. Il y a quelques années, j'ai pris part à une initiative de mon école secondaire qui visait à réduire la pauvreté dans une petite ville de Malaisie. Pendant un an, nous avons participé à divers projets de collecte de fonds afin de réunir suffisamment d'argent pour aider les enfants de Sabah, en Malaisie, à construire une école pour leur communauté. À la fin de l'année scolaire, il était possible de se rendre en Malaisie et de participer activement à la construction de l'école. Honnêtement, le coût du voyage, ainsi que le fait qu'il occuperait la majeure partie de l'été, m'ont presque dissuadé d'y aller. Cependant, je voulais vraiment voir le village et les personnes pour lesquelles notre équipe collectait des fonds. Heureusement, j'y suis allée et le moment fort a été de rencontrer les enfants, les enseignants et la communauté en personne. Établir des liens avec les gens, apprendre à poser du ciment, transporter des barils de pierres et du matériel de construction, tout cela était épuisant et incroyablement gratifiant. Mes amis et moi avons tellement appris pendant le voyage qu'à notre retour, nous avons mis en pratique les leçons pratiques et théoriques dans nos vies.   Je partage cela avec vous parce qu'en tant qu'étudiante de troisième année à l'Université York, j'ai hésité à postuler à de nombreux stages qui m'intéressaient parce que je n'avais pas d'expérience professionnelle. Bien que j'aie fait du bénévolat tout au long du lycée et de l'université, je n'avais encore jamais travaillé au-delà du travail humanitaire, mais j'ai décidé de tenter ma chance et de postuler quand même. À ma grande joie, j'ai obtenu un stage avec Orbis et Outcome Campus Connect, et j'ai récemment décroché un stage d'été pour Public Policy. Dans les deux cas, mon expérience de bénévolat, mon intérêt réel pour leurs entreprises et ma volonté d'apprendre m'ont donné un avantage concurrentiel. En bref ? Il y a tellement de raisons pour lesquelles le travail humanitaire devrait figurer sur votre CV. Voici quelques-unes des miennes et comment j'ai pu arriver là où je suis maintenant en donnant du pouvoir aux autres.

Au cours des deux dernières années, aller à l'école signifiait se connecter à Zoom. Malheureusement, tout étant en ligne, les étudiants ont eu beaucoup plus de mal à se connecter à leur communauté, à se faire de nouveaux amis ou à faire l'expérience de la vie universitaire. Il est déjà assez difficile de passer du lycée à l'université en dehors d'une pandémie, mais le manque d'interaction en personne rend la tâche encore plus ardue.   La communauté est l'un des aspects de l'expérience universitaire que je préfère : on rencontre tellement de nouvelles personnes, on acquiert de nouvelles expériences et on apprécie davantage l'école. Alors, que votre université ait enfin renoué avec l'apprentissage en personne ou qu'elle ait décidé de rester en ligne pour le reste de l'année, voici cinq façons de vous rapprocher de votre communauté scolaire : 1. Assistez à des événements et participez Il y a toujours tellement d'événements sur le campus. Ces événements sont une excellente occasion pour vous de rencontrer de nouvelles personnes et de vous engager dans votre communauté. Les événements peuvent être liés à l'enseignement, comme les ateliers d'écriture, ou à la vie sociale, comme les soirées de jeux et les concours.   Ayant participé et organisé de nombreux événements, je peux vous assurer qu'ils sont toujours très amusants ! Parmi les exemples d'événements que mon équipe a aidé à organiser, citons un événement de "speed-friending", un concours de maisons en pain d'épice et même une course de dragons ! Tout ce que vous avez à faire est de vous inscrire, de vous présenter et de participer ! Ces événements sont un excellent moyen de rencontrer de nouvelles personnes et de s'amuser en même temps.   La plupart des universités ont des comptes sur les médias sociaux ou des bulletins d'information hebdomadaires pour informer les étudiants des événements à venir. Gardez un œil sur ces événements, inscrivez-vous et participez !   2. Rejoignez des clubs et des organisations   Un autre bon moyen d'entrer en contact avec d'autres personnes à l'école est de joindre un club ou une organisation. Il y a toujours de nombreux clubs gérés par des étudiants tout autour du campus. Il y en a pour tous les goûts, qu'il s'agisse de clubs plus informels, comme les clubs de lecture, ou de clubs plus formels, comme les associations étudiantes.   Commencez par rechercher les clubs disponibles dans votre université et joignez-en un qui vous intéresse ! L'adhésion à un club vous donne une excellente occasion de rencontrer des personnes ayant les mêmes intérêts que vous.   3. Faites du bénévolat ou participez à un programme de travail/étude  Vous voulez aider un peu plus votre communauté ou gagner un peu d'argent à côté ? Il y a de fortes chances que de nombreux postes de bénévolat et d'alternance soient à votre disposition. Consultez le portail des carrières de votre université ou recherchez les opportunités sur le campus, dans les e-mails ou sur les médias sociaux.   4. Créez des groupes de discussion pour vos cours  Assister à un cours en ligne peut donner un sentiment de solitude. Les gens n'ont pas leur caméra d'allumé la plupart du temps, et la communication avec vos pairs est limitée. Une façon de communiquer avec vos pairs est de créer un groupe de messagerie pour votre classe ! Ces groupes sont non seulement utiles pour discuter du matériel de cours, mais vous pouvez aussi vous faire de nouveaux amis qui font partie du même programme ou sont de la même année que vous. Vos camarades ne seront plus des cases noires sur un écran, mais des personnes avec lesquelles vous pourrez interagir.  5. Communiquez avec votre professeur  Enfin, établissez des liens avec votre professeur. Cela peut sembler étrange d'être amical avec votre professeur, mais vos professeurs veulent vraiment que vous réussissiez et veulent vous aider. Au lieu de traiter les cours comme un processus transactionnel, je vous encourage à vous rendre aux heures de bureau, à poser des questions sur le cours ou le devoir et à discuter davantage des sujets abordés avec votre professeur. Non seulement cela vous aidera à mieux comprendre la matière (et à obtenir une meilleure note), mais c'est aussi un moyen de créer un réseau pendant votre séjour à l'université. J'ai eu les mêmes professeurs pour quelques-uns de mes cours, et je dois dire que c'est très agréable quand ils se souviennent de vous.   

En tant que jeune diplômée ayant effectué la moitié de ses études postsecondaires en ligne, effectué deux stages à distance et obtenu des postes en personne et en télétravail, voici quatre éléments que j'ai commencé à intégrer dans ma routine de télétravail pour mieux concilier vie professionnelle et vie privée et réussir dans mes fonctions. - Réveillez-vous tôt - ou essayez au moins de le faire. Il peut être très tentant de sortir du lit 5 minutes avant le début de la journée de travail ou d'école et de se jeter à l'eau. C'est facile, cela demande peu ou pas d'effort et cela semble être une bonne idée si vous n'êtes pas du matin. Mais en faisant cela, vous brouillez la frontière entre le travail et la vie en général. Si la première chose que vous faites le matin est de commencer à travailler, qu'est-ce qui vous empêche de faire la dernière chose que vous faites avant de vous endormir le soir ?  Se réveiller tôt permet également d'avoir du temps le matin pour effectuer une routine matinale, quelle qu'elle soit. Qu'il s'agisse de se prélasser dans son lit pendant une demi-heure en faisant défiler les médias sociaux, d'effectuer une routine matinale de soins de la peau ou de faire ce que vous voulez.  Je n'étais pas et ne suis toujours pas une personne du matin. Mais le fait de m'accorder une heure supplémentaire entre le réveil et le début du travail m'a beaucoup aidé à décompresser et à me réveiller. Je ne me sens pas aussi groggy et grincheux lorsque je commence à travailler et je n'ai pas l'impression que mon cerveau est constamment bloqué sur une page de "chargement".  Habillez-vous avant de travailler N'est-il pas tentant de travailler en tenue de détente ? Les vêtements adaptés au bureau peuvent sembler si contraignants et inconfortables, surtout s'ils sont comparés aux vêtements de détente que l'on porte à la maison. En portant au travail les vêtements que vous portez pour dormir, vous brouillez la frontière entre le travail et la maison.  En faisant l'effort de vous habiller le matin, ne serait-ce qu'en enfilant un haut adapté au bureau, vous pouvez différencier les deux domaines de votre vie et effectuer une transition plus nette vers le travail. Cela permet également de mettre en place de bonnes pratiques si vous envisagez de travailler en WFH depuis un café local ou si vous obtenez un emploi en personne. Pour quelqu'un qui a un emploi en WFH et un emploi de bureau, s'habiller pour les deux emplois est un élément important pour bien commencer la journée. Cela m'aide à me mettre dans l'ambiance du travail et à m'éloigner de l'état d'esprit "rester à la maison et ne rien faire de la journée".  Faites l'effort de prendre votre petit-déjeuner avant et non pendant la journée Le petit-déjeuner n'est peut-être pas le repas le plus important de la journée, mais il est important de pouvoir séparer votre temps de repas de votre journée de travail à domicile. Que ce soit en préparant et en mangeant un petit-déjeuner complet et équilibré ou en prenant simplement un café ou un thé le matin, faites-le avant de commencer à travailler. Décompressez le matin avec votre petit-déjeuner et la boisson de votre choix. Prenez le temps de manger et/ou de boire sans travailler. Détendez-vous, respirez, et quand vous avez fini, commencez à travailler. J'ai constaté que le fait de prendre le temps de manger et de boire avant de travailler me permet généralement de commencer la journée de meilleure humeur. Je ne me sens pas aussi pressé et anxieux à propos du temps et je peux généralement apprécier mon petit-déjeuner chaud et mon café plus chaud.  Séparez votre espace de travail de votre espace de vie général C'est certainement plus facile à dire qu'à faire, je veux dire combien de fois utilisons-nous nos ordinateurs portables et nos téléphones au lit ? C'est tellement confortable et chaud, surtout quand le temps est plus froid et que tout ce que vous voulez faire est de rester au lit toute la journée. Créer un espace de travail séparé de votre chambre, ou du moins séparé de votre lit, est utile pour établir et maintenir un équilibre sain entre vie professionnelle et vie privée.  Il est difficile de séparer le travail et la vie en général lorsqu'on travaille, et encore plus lorsqu'on travaille à domicile. Que vous choisissiez de travailler dans la cuisine ou la salle à manger, ou que vous ayez un bureau dans votre chambre, veillez à ce que cela reste cohérent et à ce que cet espace vous soit réservé. Les frontières sont floues et si vous n'êtes pas en mesure de séparer ces domaines de votre vie, vous pouvez commencer à vous sentir coupable de vous éloigner du travail à tout moment de la journée. Avant de séparer mon espace de travail de mon espace de vie, j'avais un équilibre travail-famille horrible. J'avais un bureau dans ma chambre, mais il était trop près de mon lit et je finissais par déplacer mon ordinateur portable et d'autres appareils dans mon lit pour travailler "parce qu'il fait froid". Après avoir déplacé mon espace de travail dans la cuisine, cela m'a aidé à rester concentrée et à minimiser ce genre de distractions pendant la journée de travail.  - Ces choses, bien qu'elles soient simples, sont des habitudes que j'essaie encore de mettre en pratique en travaillant à domicile. Je ne suis pas parfaite, et je ne prétends pas être une experte du travail à domicile. Ce sont simplement des choses qui ont fonctionné pour moi ces derniers temps, alors que je navigue entre un travail à domicile et un travail en personne. Ce ne sont que mes conseils personnels et, bien qu'ils ne fonctionnent pas tous pour tout le monde, j'espère qu'ils vous ont aidé à confirmer ce que vous faisiez déjà ou à trouver de nouvelles astuces pour créer un meilleur équilibre dans votre vie tout en travaillant à domicile ! 

En tant que diplômée en pandémie, je sais à quel point trouver un emploi peut être intimidant. Les candidatures en ligne peuvent être décourageantes et les entretiens en ligne peuvent être rares et espacés. C'est donc un énorme soulagement de recevoir enfin une offre d'emploi, et la plupart des nouveaux diplômés, moi y compris, sautent sur l'occasion immédiatement.  Il ne faut pas oublier que si les employeurs vous contrôlent au cours de l'entretien, vous les contrôlez également. Pour eux, une partie du processus d'entretien consiste à voir si vous correspondez à l'entreprise. Ainsi, pendant l'entretien et la période d'essai, vous devriez également voir si l'entreprise vous convient. Mais comment savoir si cet endroit vous convient ?  Que devez-vous rechercher dans un lieu de travail ?  Voici trois questions que j'ai gardées à l'esprit au cours des entretiens et pendant ma période d'emploi. -- Quel est le processus de formation ? Comment apprenez-vous le mieux ? Êtes-vous quelqu'un qui a besoin d'apprendre à faire quelque chose plusieurs fois avant de l'apprendre ? Êtes-vous quelqu'un qui aime découvrir comment faire les choses de façon indépendante ? Aimez-vous prendre des notes pendant qu'on vous montre ce qu'il faut faire afin de pouvoir suivre vos acquis pour vous y référer ultérieurement ? Pensez à tout cela et veillez à ce que les employeurs puissent répondre de manière appropriée à vos besoins pour vous intégrer. En tant que nouveaux diplômés, vous ne connaîtrez pas tout du domaine dans lequel vous entrez. Il y aura un processus de formation, que ce soit sur les procédures, les protocoles, les logiciels, le matériel, etc. Si l'on vous dit que le processus de formation est relativement informel et que vous avez besoin de conseils supplémentaires, ce n'est peut-être pas l'endroit idéal pour vous et vice-versa. Quel est le style de gestion ? La direction est-elle trop impliquée ? Distante ? Disponible ? Tenez-en compte dans votre style de travail ; qu'attendez-vous de votre manager ? Avez-vous besoin qu'il soit présent ou plus distant ? Voulez-vous des contrôles quotidiens ? Une fois par semaine ? Deux fois par semaine ?  Le management joue un rôle considérable dans la façon dont vous percevez votre travail et peut déterminer si vous aimez travailler ou non. Par exemple, vous pouvez aimer le domaine que vous avez choisi, mais si le style de gestion ne vous convient pas, il peut être difficile d'aimer votre travail. À l'inverse, si vous avez du mal à trouver du plaisir dans votre nouveau travail (l'emploi), mais que la direction est excellente, il peut être plus facile de trouver de la joie dans votre rôle. Quel genre d'atmosphère y règne-t-il ? Vous ne pouvez vraiment répondre à la question ci-dessus qu'après avoir commencé à travailler. C'est par l'interaction avec votre équipe que vous découvrirez ce que sont vos collègues et les services. Chacun a besoin de qualités différentes dans l'atmosphère de son lieu de travail. Par exemple, si vous allez au travail dans l'espoir de parler avec vos collègues de choses qui n'ont rien à voir avec le travail, vous préférerez peut-être une atmosphère plus décontractée. Vos collègues peuvent jouer un rôle important dans la façon dont vous percevez votre travail. Si vous ne vous entendez pas avec eux ou si l'atmosphère du service ne correspond pas à ce que vous recherchez dans un lieu de travail, ce n'est peut-être pas l'endroit idéal pour vous. Il vous faudra peut-être une période d'adaptation pour trouver votre rythme avec vos collègues, mais donnez-vous le temps ! Vous verrez rapidement si l'atmosphère est propice à l'épanouissement au sein et en dehors de votre lieu de travail. -- En me basant sur ces questions, j'ai compris ce que je veux (et, à l'inverse, ce que je ne veux pas) chez un employeur. Cela m'a permis d'être un peu plus exigeant dans ce que je recherche au travail et de filtrer ce que je ne recherche pas. Être "pointilleux" n'est pas mauvais ; n'oubliez pas que vous êtes un atout pour l'entreprise autant qu'elle l'est pour vous. Assurez-vous que les entreprises répondent à vos critères autant que vous répondez aux leurs ; il s'agit d'un partenariat égalitaire, même si ce n'est pas présenté comme tel. Vérifiez que votre environnement de travail travaille pour vous autant que vous travaillez pour l'entreprise.  

Je m'appelle Brenda Nguyen et je suis récemment diplômée (avec mention) du programme de design graphique du Humber College ! Depuis que j'ai obtenu mon diplôme, je travaille dans le domaine de l'impression en tant que technicienne junior en prépresse et dans le domaine numérique en tant que journaliste étudiante du CCO. Je dirige également une petite entreprise (NGYN Designs) et je fais du bénévolat dans la création de contenu pour AZN Zine (en créant des messages sur les médias sociaux et des mises en page pour leur magazine numérique et imprimé), ainsi que pour mon église locale.  En bref ? Je fais un peu de beaucoup de choses... et j'apprends à gérer toutes ces "choses" au fur et à mesure. Je suis très enthousiaste à l'idée de rejoindre l'équipe de contenu du CCO en tant qu'étudiante journaliste et d'enrichir mon expérience et mes connaissances en matière de création de contenu numérique. Je partagerai mes trucs et astuces sur l'obtention d'un diplôme, la recherche d'un emploi et le travail pendant une pandémie, car ce sont des sujets sur lesquels j'ai toujours navigué, et sur lesquels je navigue encore, et j'aurais aimé que quelqu'un les partage avec moi. J'espère qu'en transmettant ce que j'ai appris (et ce que je continue à apprendre), je pourrai contribuer à atténuer l'anxiété liée à l'obtention d'un diplôme et à la recherche d'un emploi dans un environnement hautement compétitif et sans précédent.  

Avec l'arrivée du mois de février arrive le Mois de l'histoire des Noirs, une occasion de célébrer et de réfléchir à l'histoire des Noirs au Canada. La diversité a toujours fait et fera toujours partie du Canada, et aujourd'hui, la société canadienne est fière d'accepter des personnes de races et d'origines différentes. Cependant, nous ne devons pas oublier que la discrimination raciale persiste même en 2022, et nous avons encore beaucoup de chemin à parcourir.   Pour célébrer le Mois de l'histoire des Noirs, voici trois personnalités canadiennes noires notables qui ont ouvert la voie aux Canadiens noirs. Même après la fin du mois de février, continuons à célébrer la diversité noire tout au long de l'année.   L'honorable Jean Augustine  En 2002, l'honorable Jean Augustine est devenue la première femme noire députée et ministre au Canada. Plus tard cette année-là, elle a également été choisie pour être membre du Conseil privé de la Reine pour le Canada et, en 2003, elle a été nommée ministre d'État (Multiculturalisme et Situation de la femme).   Au Parlement, Jean Augustine a rempli trois mandats en tant que présidente du caucus libéral national des femmes. En 2005, elle s'est retirée de la vie politique mais est restée activement engagée dans des activités de défense des droits. En 2007, l'Ontario l'a nommée première commissaire à l'équité, un bureau qui veillait à ce que les professionnels formés à l'étranger reçoivent les titres de compétence requis pour travailler en Ontario. En 2014, elle a fondé le Jean Augustine's Centre for Young Women's Empowerment, un organisme qui soutient le bien-être et la prospérité des jeunes femmes et des filles.   Au milieu des années 1990, Jean Augustine a joué un rôle important dans l'établissement du Mois de l'histoire des Noirs au Canada. À l'époque, de nombreuses communautés célébraient la culture et l'histoire des Noirs de manière informelle, mais c'est grâce au soutien et à la pression de Jean Augustine que le mois de février a été adopté à l'unanimité comme Mois de l'histoire des Noirs.  (L'Encyclopédie canadienne).  Rosemary Sadlier  De 1993 à 2015, Rosemary Sadlier a été présidente de l'Ontario Black History Society. Elle y a cherché à sensibiliser les gens à l'histoire des Noirs par l'éducation, la recherche et la programmation.   En 1993, Rosemary Sadlier a proposé l'idée du Mois de l'histoire des Noirs à l'honorable Jean Augustine. Tous deux ont joué un rôle important en poussant le gouvernement canadien à reconnaître le mois de février comme le Mois de l'histoire des Noirs, ce qu'ils ont réussi à faire. La même année, elle a également contribué à la création du Jour de l'émancipation, aujourd'hui reconnu le 1er août. Le jour de l'émancipation marque l'anniversaire de l'abolition de l'esclavage par le gouvernement britannique. Aujourd'hui, Mme Sadlier continue de faire connaître l'histoire des Noirs dans tout le Canada.  (Dire la vérité au pouvoir Canada).   Dennis Mitchell   Dennis Mitchell est le directeur général et le directeur de l'information de Starlight Capital. Avant d'acquérir ce rôle de direction en 2018, Mitchell a occupé des postes à haute responsabilité dans le secteur financier, notamment celui de vice-président principal de Sprott Asset Management. Mitchell a remporté plusieurs prix, notamment le prix Brendan Wood International Canadian TopGun en 2009, 2010 et 2011, et le prix Brendan Wood International 2012 Canadian TopGun Team Leader (Starlight Capital).   Dans une étude menée par Corporate Knights, qui a interrogé 60 entreprises, on a constaté que sur les 79 dirigeants, seuls 6 étaient noirs, soit moins de 1 %. Les Noirs représentent 3,5 % de la population canadienne, et ce ratio nous rappelle brutalement que même si le Canada est devenu beaucoup plus inclusif, il reste encore du chemin à parcourir.  (Toronto Star).  Dans une entrevue accordée au Globe and Mail, M. Mitchell a parlé de l'importance de la diversité dans les organisations. " Lorsque vous constituez une équipe de travail, vous voulez des personnes aux antécédents et aux expériences diversifiés. [...] Si votre main-d'œuvre est diversifiée, vous pouvez tirer les réponses d'un plus large éventail de connaissances et d'expériences. "    

Bonjour, bienvenue à Outcome Campus Connect, et merci d'être tombée sur ma présentation ! Je suis Eileen, une étudiante de quatrième année à l'Université York, qui étudie actuellement l'anglais et la philosophie - une combinaison bizarre, je sais, mais pas aussi bizarre que vous le pensez. La philosophie a beaucoup de points communs avec de nombreux domaines d'études et elle a amélioré mon apprentissage - mais c'est une histoire pour une autre fois. Je suis une nouvelle rédactrice de contenu ici à Outcome Campus Connect, et je suis très excitée de commencer ce poste. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours eu une passion pour l'écriture, la création de contenu et l'engagement avec diverses communautés sur les médias sociaux. Au début, j'ai commencé avec un petit compte Instagram dédié aux critiques de livres, et maintenant, j'aide à gérer les canaux de médias sociaux pour l'école et le travail. L'un des aspects de la création de contenu que je préfère est la créativité dont on peut faire preuve : il n'y a pas de limite, et j'adore explorer de nouvelles voies de créativité. Je suis très enthousiaste à l'idée de travailler avec Outcome Campus Connect pour poursuivre mon apprentissage de la création de contenu. Surveillez mes futurs articles de blog et j'espère que ce que j'écris et produis sera utile !

Des études ont montré que plus de la moitié des Canadiens détestent leur travail et que plus de la moitié des cadres supérieurs de notre pays envisagent de démissionner pour cause d'épuisement : L'idée d'aimer son travail est-elle "une licorne avec une corne arc-en-ciel" ? Si les statistiques nous donnent une maigre chance sur deux d'être heureux dans notre travail, les études montrent également que les travailleurs passionnés sont plus performants et accélèrent leur carrière. L'astuce pour se retrouver dans la partie supérieure de ce cinquante-cinquante est de considérer chaque rôle, même ceux qui ne vous enthousiasment pas, comme une occasion d'apprendre quelque chose de nouveau, de vous améliorer et de faire progresser vos objectifs de carrière personnels - il s'agit d'un jeu à long terme. Pour nous conforter dans cette idée, voici comment certaines personnes ayant connu un succès retentissant ont commencé leur carrière : Jeff Bezos - McDonalds Bernie Sanders - charpentier Elon Musk - ouvrier dans une scierie Ellen Degenres - écailleur d'huîtres Richard Branson - éleveur d'oiseaux amateur. En bref, vos premiers rôles ne seront probablement pas des coups de foudre, mais ils vous apprendront, vous mettront à l'épreuve et vous renforceront pour la suite. Comme toute bonne licorne, le "job parfait pour vous" sera également difficile à attraper, rare et très apprécié, autrement dit compétitif. Ceci dit, le seul mythe pour trouver votre rôle idéal est que c'est de la pure chance - cet avantage compétitif pour le rôle que vous voulez vraiment, vraiment, s'acquiert par le développement de compétences et d'expériences, au fil du temps. Voici trois moyens simples pour (essayer) d'aimer votre travail, même si vous ne l'aimez pas : - Voyez-le pour ce qu'il est : Un tremplin. Cela signifie que vous devez aborder vos journées de manière stratégique afin de tirer le meilleur parti de votre travail pour votre développement personnel et professionnel (compétences techniques et non techniques).  - Dressez une liste des compétences et des expériences que vous voulez être en mesure de posséder et d'articuler : Appliquez ces compétences et expériences chaque jour et documentez ce que vous avez fait afin de pouvoir facilement exprimer cette nouvelle valeur à votre futur employeur.  - Trouvez un mentor : Regardez au sein de l'entreprise s'il y a des rôles auxquels vous pouvez travailler, des rôles qui vous passionnent plus que votre poste actuel, puis trouvez un mentor au sein de l'entreprise - quelqu'un qui peut vous enseigner, vous motiver et vous inspirer (peut-être même défendre vos intérêts).  Aimer son travail se mérite et, comme toute chose précieuse, cela demande du temps, du dévouement et de la patience. Nous ne disons pas qu'en suivant les trois étapes ci-dessus, vous vous sentirez instantanément positif à l'égard de votre travail, mais qu'en recadrant votre façon de voir votre travail et d'y trouver un sens, vous pourrez accélérer la possibilité d'AIMER votre travail.

La seule façon de faire du bon travail, c'est d'aimer ce que l'on fait" ? Steve Jobs le pensait, et il valait 250 millions de dollars à l'âge de 25 ans, un peu plus de deux décennies après le lancement d'Apple, avec son ami Ronald Wayne, dans le garage des parents de Steve Jobs. Il est essentiel de trouver une passion dans nos carrières et de s'appliquer à se développer professionnellement. Comme le montre une étude réalisée par Deloitte University Press, "Passion at Work : Cultivating worker passion as a cornerstone of talent development", les travailleurs passionnés obtiennent de meilleurs résultats que leurs homologues non passionnés. L'étude décrit sept archétypes de travailleurs et les vertus des travailleurs passionnés par rapport aux travailleurs non passionnés. Les "travailleurs passionnés", parfois aussi appelés "explorateurs", présentent trois caractéristiques constantes: ils recherchent, la connexion, et, l'engagement envers le domaine. La "quête" signifie : la volonté d'aller au-delà des responsabilités de base. sonder constamment tester constamment,  repousser les limites,  rechercher de nouvelles opportunités,  apprendre de nouvelles compétences, débrouillard, imaginatif, Sans complaisance - toujours à la recherche du prochain niveau d'accomplissement. Établir des liens" signifie: rechercher les autres pour les aider à trouver des solutions aux défis auxquels ils sont confrontés, rechercher des interactions approfondies avec d'autres personnes dans des domaines connexes afin d'obtenir des informations qu'ils peuvent rapporter pour améliorer leur approche et leur valeur (par opposition au "réseautage"), créer des liens non pas dans le but d'élargir leur réseau, mais pour donner un sens plus profond à leur carrière et développer leurs capacités. L'"engagement dans le domaine" signifie:   le désir d'avoir un impact durable, l'intention de s'engager à construire et à développer un impact à long terme par la constance, la recherche constante de leçons et de nouvelles pratiques provenant d'autres domaines pour influencer et innover dans son domaine. Selon l'étude, tous les travailleurs peuvent être classés dans l'un des sept archétypes, mais pour être un véritable "travailleur passionné", parfois appelé "l'explorateur", vous devez incarner les trois caractéristiques ci-dessus, en permanence. Comment incarner la passion dans votre carrière ? Trouvez votre archétype ci-dessous :   Le Performer : Engagé, connecté Le savant fou : Engagé, qui s'interroge Le joueur : En quête de L'apprenant : En quête, connecté Le Loyaliste : Engagé Le connecteur : Connecter Le travailleur/explorateur passionné : En quête, connecté, engagé Aucun élément de passion (aucun des éléments ci-dessus) Quelle que soit la façon dont vous poursuivez votre carrière, n'oubliez pas ceci : "Le courage d'un grand leader de réaliser sa/son projet vient de sa passion, pas de sa position." - John C. Maxwell

Que vous étudiiez le marketing sportif, l'administration sportive et la gestion des affaires, la gestion des sports, les loisirs et la récréation, le conditionnement sportif, ou peut-être même quelque chose qui n'a rien à voir avec le sport mais que vous aimeriez acquérir des compétences applicables à votre secteur d'activité, soyez bon joueur et consultez ces 15 offres d'emploi sur OCC NOW : Coordonnateur du marketing et de la publicité, Elite Soccer Clinics Scoreur de hockey sur glace, JAM Sports Toronto ASICS Running Apps, responsable du développement ASICS Running Apps, Directeur du développement, technique ASICS Running Apps, directeur des ventes Associé de la ligue, JAM Sports Toronto Analyste de sécurité, Goodlife Fitness Spécialiste de l'après-midi des camps d'été, Bayview Glen Day Camp Associé(e) à la location d'équipement de sports nautiques, Muskoka Wake Directeur de la location d'équipement de sports nautiques, Muskoka Wake Entraîneur de sports actifs, Kleinburg Nobleton Sport Club Personnel du camp d'été, Royal City Soccer Club Moniteur de natation, North Hatley Club Agent des RH, YMCA du Grand Toronto Chef d'équipe, Services aux membres, YMCA Muskoka-Kawarthas Accédez à ces opportunités en vous connectant à votre compte dès aujourd'hui.  

La voie de la réussite est subjective. De nombreux facteurs différents motivent les gens dans leur cheminement de carrière, et si l'argent est un besoin et une motivation de base, il n'est pas à l'origine de la motivation professionnelle à long terme. Des études récentes montrent que les employés recherchent la communauté, la cause et la carrière (autonomie et but). Mais comment savoir si vous avez trouvé le bon poste ? Voici dix signes : 1) Le blues du dimanche a disparu - Ces sentiments d'anxiété à propos de la semaine à venir disparaîtront certainement si vous avez trouvé le bon poste. Vous pourriez même commencer à attendre le lundi avec impatience ! 2) Vous êtes toujours en train d'apprendre - Comme toute relation dans la vie, le bon rôle vous donnera l'impression d'apprendre, de grandir et de vous développer constamment pour atteindre des objectifs plus élevés. 3) Vous aimez les gens avec qui vous travaillez - On dit qu'il n'y a pas de "je" dans une équipe. Il est donc essentiel d'apprécier les personnes avec lesquelles vous travaillez au quotidien. Si vous occupez un poste où vous appréciez ceux qui vous entourent, vous êtes sur la bonne voie. 4) Vous pouvez être vous-même au travail - Il est important d'avoir l'impression que vous pouvez apporter tout votre être au travail, et ce sentiment reflète une culture d'entreprise qui vous est favorable à long terme.  5) Votre liste de tâches est passionnante - Lorsque votre liste de tâches ressemble moins à une liste de tâches à faire, vous aimez votre travail, et éprouver de la joie dans ce que vous faites est fondamental pour votre réussite à long terme, quel que soit votre rôle ! 6) Vos idées font la différence - Si vous n'avez pas l'impression que vos idées sont pleinement entendues et que vous ne vous sentez pas pleinement considéré par les dirigeants de votre entreprise, il y a de fortes chances que ce ne soit pas correct. Si vous pensez que vos idées sont respectées, digérées et utilisées pour l'évolution de l'entreprise, vous êtes certainement au bon endroit. 7) Il y a de la place pour évoluer - Personne ne veut rester dans un endroit où il ne peut faire que des mouvements latéraux. Donc, si vous avez l'impression que votre carrière évolue d'un côté à l'autre plutôt que vers le haut, il est probablement temps de vous retirer ! 8) Vous pouvez avoir de mauvaises journées - Une grande partie d'une culture de travail positive consiste à favoriser un environnement où vous pouvez être honnête sur le fait que vous avez besoin d'une journée ou de prendre du temps pour vous concentrer sur vous-même en dehors du travail. Si vous pensez que votre rôle vous permet d'être humain et de vivre des hauts et des bas, vous êtes au bon endroit. 9) L'entreprise investit en vous - Pas seulement dans votre salaire mais aussi dans le développement de vos compétences. Si, dans le cadre de votre fonction, on vous offre la possibilité de suivre des cours ou de participer à des retraites pour améliorer votre façon de faire, ce que vous faites, alors vous êtes au bon endroit sur le plan professionnel. 10) Vous avez l'impression d'être payé ce que vous valez - Non seulement vous êtes payé ce que vous valez maintenant, mais vous voyez que cela ne fait qu'augmenter en fonction de l'expansion de vos compétences et de votre expérience. Après tout, l'argent est un élément fondamental de la raison pour laquelle nous travaillons, même si les raisons mentionnées ci-dessus nous motivent et nous font prospérer dans notre propre esprit.  

Commencer un nouvel emploi s'accompagne d'un certain niveau de pression - une partie auto-imposée et l'autre parce que vous devez fournir et contribuer à atteindre les objectifs fixés par votre patron ou votre équipe. Il est normal de ressentir "tous les sentiments" qui accompagnent le fait de s'investir dans un nouveau rôle, au sein d'une nouvelle entreprise, et de faire tout ce que vous pouvez pour gérer et répondre aux attentes de l'organisation. Les bonnes choses arrivent à ceux qui travaillent dur (et qui sont gentils avec les autres), mais la frontière est mince entre la volonté de réussir et la microgestion du travail des autres pour obtenir ce que vous voulez d'eux.  Oui, le revers de la médaille de la gestion de soi, c'est lorsque vous commencez à gérer les autres - et c'est une toute autre histoire. Parfois, les personnes qui ont gravi les échelons, en travaillant de longues heures et en se "micro-gérant" pour assurer leur réussite, obtiennent une promotion et, soudain, leur style de travail est appliqué aux personnes qui les entourent. Oh là là ! Et maintenant ? S'il n'y a pas de mal à gérer les gens, c'est un art qui ne se perfectionne qu'avec le temps, et le revers de la médaille, c'est que ces personnes, qui s'efforcent et s'inquiètent de respecter les délais et d'obtenir des résultats, deviennent ce qu'on appelle, sans amour, des "micro-managers". Il s'agit essentiellement de la version professionnelle d'un "parent hélicoptère" et ce n'est pas joli. Comment repérer un micro-manager : Ils ont des formes très détaillées de communication et d'organisation qu'ils vous incitent à suivre, même lorsque vous avez été chargé d'un projet et que le processus qu'ils utilisent n'est pas celui que vous utiliseriez pour faire votre meilleur travail. (Indice : ils ne vous ont probablement même pas demandé ce qui vous convenait le mieux, de peur de perdre un peu de contrôle sur le résultat - et sur vous). Ils s'assurent constamment de votre travail et de vos progrès, en surgissant de derrière les cubicules, les bureaux, en se glissant soudainement hors des bureaux où vous n'aviez pas réalisé qu'ils se trouvaient, en vous envoyant des messages tout au long de la journée et en vous envoyant des rappels de dates d'échéance. (Ah !) Ils se répètent, même lorsque vous les avez entendus la première fois, utilisent des tons détachés et ne laissent aucune marge de manœuvre pour la créativité qui va à l'encontre de leur concept initial. Par exemple, il utilise souvent des expressions comme "Avec tout le respect que je vous dois" ou "Bonne idée, mais cela ressemble à un projet de fortune".  Ils parlent beaucoup dans les réunions, laissant souvent très peu de place aux autres participants pour s'exprimer. Lorsque quelqu'un d'autre prend la parole, ils trouvent le moyen de l'éteindre et de revenir à ce qu'ils étaient en train de dire. Ils font du chaud et du froid parce qu'ils craignent que le maintien d'une dynamique positive constante ne soit pas synonyme d'un niveau d'anxiété de base de votre part qui, selon eux, soutient leur positionnement et leur stature au sein de l'organisation.  Il est clair que cette liste n'est pas sans humour, mais, malheureusement, elle est en grande partie vraie lorsque vous avez affaire à un micro-manager, c'est-à-dire une personne qui supervise ses employés de manière excessive. Si vous avez la chance d'avoir une longue carrière (et nous savons que ce sera le cas), vous en rencontrerez un ou vous serez sur le point de le devenir (c'est plus facile que vous ne le pensez). Comme nous ne pouvons pas vous empêcher de croiser le chemin d'un micro-manager, voici une liste de choses que vous pouvez faire pour ne pas en être un ! Organisez des séances de remue-méninges en groupe pour les grands projets qui nécessitent de l'innovation et veillez à ce que chaque membre de votre équipe ait la possibilité de s'exprimer, de se sentir écouté et de contribuer. Applaudissez leurs idées, et encouragez ou développez leurs pensées pour pousser la réflexion plus loin et élever le potentiel de ceux qui vous entourent. Permettez aux membres de votre équipe d'utiliser les plateformes et les outils qui conviennent le mieux à leur organisation ou à leur style de travail, puis essayez de travailler en fonction de leur mode de fonctionnement. Fixez des moments de contrôle périodiques et réservez vos questions sur le travail ou les progrès d'une personne pour ces réunions, de sorte que vous ne soyez pas toujours en train de la contacter ou de la pousser à faire des mises à jour. Travaillez à côté de lui, ne le surveillez pas. Cela signifie que vous devez demander un retour d'information sur la façon dont vous pouvez améliorer les choses pour votre équipe et être ouvert à votre propre imperfection pour vous adapter afin de répondre aux besoins de votre équipe en matière de réussite. Utilisez le langage "nous" et non "je" lorsque vous parlez de vos succès ou de vos victoires. Aucun être humain n'est une île, et aucune réalisation n'est due à l'apport d'un seul individu. Faites connaître au sein de votre organisation l'excellent travail de ceux qui sont à l'origine de chaque projet - lorsque vous gérez, il ne s'agit pas de vous, jamais, vraiment.   Dans l'ensemble, les micro-managers viennent généralement d'un bon endroit. Il s'agit de personnes de type A ou "très performantes" qui veulent simplement que les choses se passent bien ! Mais, malheureusement, leur approche est, honnêtement, totalement inutile et brutale pour les membres de l'équipe. Si vous repérez un micro-manager dans votre équipe, ne fuyez pas ; essayez peut-être de le gérer et de l'aider à mieux comprendre comment vous travaillez plutôt que de le laisser vous guider passivement dans une direction qui a un impact négatif sur votre façon de travailler ou de faire le travail.   Mais c'est à vous de voir comment vous gérez la situation ! Nous ne voulons pas faire de la microgestion...

Orbis et Magnet sont heureux d'annoncer que l'Institut canadien de la mobilité et de l'aérospatiale (IMACA) se tourne vers Outcome Campus Connect pour atteindre les étudiants et les diplômés à l'échelle nationale, avec de nouvelles opportunités d'AIT dans le secteur de la mobilité. Par l'entremise d'Outcome Campus Connect, l'IMACA soutient la prochaine génération de travailleurs en leur offrant des expériences de développement des compétences qui les aideront à poursuivre une carrière dans l'aérospatiale et la mobilité. Les universités et les collèges qui utilisent Outcome Campus Connect recevront ces nouvelles possibilités d'AIT, augmentant ainsi le soutien aux étudiants à la suite de cette pandémie. "Nous sommes ravis d'étendre notre portée à encore plus d'étudiants, de tous les domaines et niveaux d'études, grâce à ce partenariat avec Outcome Campus Connect. Il reflète l'esprit de collaboration qui distingue l'IMACA depuis sa création en 2018 ", a déclaré Sylvain Larochelle, président du conseil d'administration et responsable du bureau de collaboration technologique. Grâce à Outcome Campus Connect, l'IMACA élargit le recrutement pour ses nouvelles opportunités d'AIT à un groupe démographique très ciblé d'étudiants et de diplômés à travers le Canada. La simplification du recrutement de nouveaux de talents est un ingrédient stratégique nécessaire pour soutenir la croissance prévue de ces secteurs grâce au soutien des étudiants de niveau postsecondaire. L'IMACA a conçu toutes les possibilités d'AIT de manière à offrir à la future main-d'œuvre des expériences pratiques et multidisciplinaires qui reflètent ce dont les employeurs potentiels ont besoin pour assurer la croissance rapide des entreprises dans une ère post-pandémique. "Nous sommes ravis de travailler avec l'équipe de L'IMACA et nous apprécions leur approche réfléchie pour atteindre les étudiants et les diplômés en leur offrant des possibilités d'améliorer leur avenir et les secteurs de l'aérospatiale et de la mobilité de notre pays ", déclare Daniel Gagné, spécialiste de produit, à l'accueil et l'intégration, Outcome Campus Connect, chez Orbis. "Les collaborations et l'utilisation de plateforme comme celle-ci auront un impact extrêmement positif à long terme." Toutes les possibilités d'AIT seront acheminées vers Outcome Campus Connect, l'un des canaux utilisés par l'IMACA pour créer un pipeline de recrutement de talents prêts à faire carrière dans les secteurs de l'aérospatiale et de la mobilité. Outcome Campus Connect est la plateforme canadienne de développement des compétences et d'opportunités d'emploi conçue pour les étudiants des universités et des collèges et renforcée par un réseau de partenaires travaillant ensemble pour soutenir la prochaine génération de travailleurs en leur donnant accès aux compétences et aux opportunités d'acquérir de l'expérience et d'être embauchés. ?   Lisez l'annonce complète, accédez à plus de détails sur tous les partenaires, et à un contact pour plus d'informations sur cette initiative ici.  

La vie universitaire n'est pas vraiment une sinécure. Si vous avez déjà traversé la période des examens de mi-session en tant qu'étudiant à temps plein, vous savez ce que c'est que d'être inondé d'examens multiples, de dissertations, de devoirs et de centaines de pages de lecture, tous à rendre en l'espace de deux semaines. Le moins que l'on puisse dire, c'est que cela peut être incroyablement stressant et accablant. Alors que la saison des examens de mi-session se profile à l'horizon, il est plus important que jamais de prendre les mesures nécessaires pour éviter l'épuisement. La bonne nouvelle, c'est qu'il existe de nombreux moyens de combattre le stress des partiels et d'éviter de se sentir dépassé. Qu'il s'agisse d'apprendre à gérer son temps plus efficacement, d'éviter les engagements excessifs ou simplement de sortir et de bouger, voici quelques petits gestes pour calmer votre esprit et rendre cette période de partiels un peu plus réalisable. Organisez-vous et gérez efficacement votre temps. Nous avons tous été coupables de repousser nos essais et nos devoirs un peu trop longtemps. Soudain, c'est la veille de la date d'échéance et vous devez rédiger un travail de recherche de 2000 mots dans la soirée. Une mauvaise gestion du temps est l'une des principales causes de stress, d'accablement et d'épuisement (y compris pour moi). C'est pourquoi ce premier conseil est sans doute le plus important de cette liste. Le fait de présenter tous vos engagements et vos dates d'échéance de manière organisée est un excellent moyen de répartir les choses, ce qui vous permet de faire face à vos obligations une par une et d'éviter les gros arriérés de travail.  Rédigez des listes de tâches quotidiennes Si vous n'avez pas de projets, de cours ou d'engagements concrets pour une journée donnée, il est facile de se laisser distraire et de passer la journée à faire la sieste plutôt qu'à étudier. Comme pour le point précédent, rédiger des listes de tâches quotidiennes est un excellent moyen de répartir votre journée, de vous donner un programme clair et de vous réserver du temps bien mérité.  Dormir C'est un point important. Il nous est arrivé à tous de passer une nuit blanche pour réviser un examen ou terminer un travail de recherche à rendre le lendemain. S'il est parfois tentant de remettre un devoir à la veille et de le terminer d'une traite, on ne peut nier l'importance d'un sommeil adéquat pour être le meilleur et le plus lucide possible.  Faites de l'exercice Étudier pendant des heures et des heures peut nous laisser un sentiment d'étouffement, de stress et de frustration. Même si cela peut sembler évident, il est prouvé que l'exercice physique réduit les sentiments de stress et d'anxiété. Une simple promenade de trente minutes par jour suffit à faire circuler les endorphines, à améliorer votre humeur, à réduire votre niveau de stress et à vous donner l'espace de tête dont vous avez besoin pour ne pas étudier. Si vous vous sentez étouffé par le travail scolaire, le meilleur remède consiste parfois à sortir et à bouger votre corps.  Apprenez à dire "non" quand c'est nécessaire Si vous vous engagez trop, vous risquez de vous sentir épuisé et débordé. Parfois, notre peur de manquer quelque chose, de décevoir les gens ou notre aversion à dire "non" nous pousse à nous engager dans des choses pour lesquelles nous n'avons pas le temps. Par exemple, si vous vous sentez actuellement submergé par le travail scolaire, c'est peut-être le moment de dire non à cette fête ou de refuser ce poste supplémentaire au travail. Planifiez quelque chose de nouveau et d'excitant !  Si vous vous sentez stressé et coincé dans une ornière, un excellent moyen de vous remonter le moral et de vous donner quelque chose à attendre avec impatience est de prévoir de faire quelque chose de nouveau et d'excitant dans un avenir proche ou lointain. Il peut s'agir d'acheter des billets pour un concert à venir, de prendre un cours de poterie ou de planifier une excursion d'une journée avec des amis. N'oubliez pas de ralentir et de prendre des jours de repos. Enfin, ne soyez pas trop dur avec vous-même pendant les périodes de stress ! Bien que le fait de prendre une journée de congé pour le travail universitaire puisse sembler contre-intuitif pour certains, les jours où vous vous sentez épuisé et débordé, il est essentiel de prendre une journée ou quelques heures pour ne pas fixer vos devoirs et dissertations. Si vous pensez que le fait de vous éloigner de votre travail ne fera que vous stresser davantage, concentrez votre énergie sur d'autres domaines que le travail scolaire. Par exemple, des corvées, des passe-temps ou d'autres obligations n'impliquant pas de travail universitaire (comme aller à la salle de sport, nettoyer la cuisine ou arroser vos plantes). De cette façon, vous savez que vous êtes productif tout en prenant un temps bien nécessaire loin du travail et des études.  

Une enquête de CareerBuilder a révélé que 70 % des employeurs parcourent vos plates-formes de médias sociaux afin de mieux comprendre si vous correspondez ou non à leur équipe. Ajoutez à ce fait stupéfiant le fait que près de la moitié (43 %) des employeurs utilisent les médias sociaux pour "prendre des nouvelles" de leurs employés, et qu'un tiers d'entre eux ont utilisé ce qu'ils ont découvert sur leurs employés sur les médias sociaux pour les licencier.  Un article récent de la Harvard Business Review intitulé "Stop Screening Job Candidates' Social Media" pose des questions importantes sur la légalité de l'utilisation des médias sociaux par les employeurs dans le cadre de leur processus de sélection d'employés potentiels. Comme le souligne Chad Van Iddekinge, professeur à l'université de l'Iowa et l'un des chercheurs de l'étude CareerBuilder, "vous pouvez comprendre pourquoi de nombreux recruteurs adorent les médias sociaux : ils leur permettent de découvrir toutes les informations qu'ils ne sont pas autorisés à demander lors d'un entretien. Mais c'est un problème, car l'une des caractéristiques des pratiques de recrutement légales est qu'elles se concentrent sur les comportements dans le contexte du travail. Il devrait y avoir une distinction claire entre ce que les gens font pendant le travail et ce qu'ils font en dehors du travail."  Le fait est que lorsque nous choisissons d'utiliser les médias sociaux, nous choisissons également de révéler des détails plus fins sur nous-mêmes, selon des algorithmes et "l'internet" qui ne font pas nécessairement partie de ce que les employeurs doivent prendre en compte, ou devraient légalement prendre en compte, lorsqu'ils déterminent l'"adéquation" d'un nouvel employé. Franchement, nous savons tous que les médias sociaux sont, ironiquement, un moyen très peu social de maintenir une présence sociale et, parfois, simplement une personnalité que nous voulons transmettre. Nos décisions d'être "sociaux" ou de "devenir amis" avec les médias sociaux sont aussi des décisions (conscientes ou inconscientes) de fournir aux personnes qui veulent en savoir plus sur nous un autre moyen de le faire - bien que ce soit un moyen très superficiel. Bien que les employeurs soient probablement bien intentionnés, ou comme le dit HBR : "pour se faire une meilleure idée de la capacité de cette personne à réussir dans son travail" (c'est vous), ils peuvent probablement aussi voir des informations sur les candidats qu'ils ne devraient pas connaître lorsqu'ils envisagent une nouvelle embauche. Des informations telles que les nouvelles sur la grossesse, les opinions politiques, l'orientation sexuelle, et même des choses aussi ridicules que votre utilisation de blasphèmes en ligne.  Malheureusement, ce processus auquel 70 % des employeurs semblent se rallier va à l'encontre de l'idée d'embaucher le bon candidat à plusieurs niveaux. En réalité, des études ont montré qu'au-delà des compétences et de l'expérience que vous apportez à une organisation, l'adéquation à long terme concerne également.. :  le bon leader, les objectifs, les règles de base, la communication, et, la responsabilité. Vous ne pouvez pas "voir" l'une de ces qualités chez un candidat en consultant ses médias sociaux, n'est-ce pas ? Les médias sociaux ont leurs avantages. Ils nous permettent de rester en contact (et c'est aussi un excellent exutoire créatif) ! Cependant, en tant que candidat, vous devez savoir que parfois, un ami peut aussi être un ennemi (nous y reviendrons bientôt). Les employeurs utilisent les médias sociaux pour avoir un aperçu plus complet de votre candidature et de votre aptitude à occuper un poste au sein de leurs équipes - que vous le vouliez ou non. Le débat sur la légalité de cette pratique continuera d'évoluer, mais pour l'instant, c'est ce qui se passe ! Lorsque vous recherchez un rôle potentiel au sein d'une entreprise, il n'est jamais inutile de rendre vos comptes de médias sociaux un peu moins "sociaux" en améliorant vos paramètres de confidentialité - du moins, pour l'instant.

La vie universitaire n'est pas vraiment une sinécure. Si vous avez déjà passé la mi-session en tant qu'étudiant à temps plein, vous savez ce que c'est que d'être inondé d'examens, de dissertations, de devoirs et de centaines de pages de lecture, tous à rendre en deux semaines. Le moins que l'on puisse dire, c'est que cela peut être incroyablement stressant et accablant. Alors que la saison des examens de mi-session se profile à l'horizon, il est plus important que jamais de prendre les mesures nécessaires pour éviter l'épuisement. La bonne nouvelle, c'est qu'il existe de nombreux moyens de combattre le stress des partiels et d'éviter de se sentir dépassé. Qu'il s'agisse d'apprendre à mieux gérer son temps, d'éviter les engagements excessifs ou simplement de sortir et de bouger, voici quelques petits gestes pour calmer votre esprit et rendre cette période de partiels un peu plus réalisable.   Organisez-vous et gérez votre temps efficacement   Nous sommes tous coupables d'avoir repoussé nos essais et nos devoirs un peu trop longtemps. Soudain, c'est la veille de la date d'échéance et vous devez rédiger un travail de recherche de 2000 mots dans la soirée. Une mauvaise gestion du temps est l'un des plus grands coupables (y compris pour moi) quand il s'agit de se sentir stressé, débordé et épuisé. C'est pourquoi ce premier conseil est sans doute le plus important de cette liste. Le fait de présenter tous vos engagements et vos dates d'échéance de manière organisée est un excellent moyen de séparer les choses, ce qui vous permet de faire face à vos obligations une par une et d'éviter les gros arriérés de travail.    Rédigez des listes de tâches quotidiennes Si vous n'avez pas de projets, de cours ou d'engagements concrets pour une journée donnée, il est facile de se laisser distraire et de passer la journée à faire la sieste plutôt qu'à étudier. Comme pour le point précédent, rédiger des listes de tâches quotidiennes est un excellent moyen de répartir votre journée, de vous donner un programme clair et de vous réserver du temps bien mérité.    Dormir C'est un point important. Il nous est arrivé à tous de passer une nuit blanche pour réviser un examen ou finir un travail de recherche à rendre le lendemain matin. S'il est parfois tentant de remettre un devoir à la veille et de le terminer d'une traite, on ne peut nier l'importance d'un sommeil adéquat pour être le meilleur et le plus lucide possible.  Faites de l'exercice Étudier pendant des heures peut nous laisser un sentiment d'étouffement, de stress et de frustration. Même si cela peut sembler évident, il est prouvé que l'exercice physique réduit les sentiments de stress et d'anxiété. Une simple promenade de trente minutes par jour suffit à faire circuler les endorphines, à améliorer votre humeur, à réduire votre niveau de stress et à vous donner l'espace de tête dont vous avez besoin pour ne pas étudier. Si vous vous sentez étouffé par vos devoirs, le meilleur remède est parfois de sortir et de bouger.    Apprenez à dire "non" quand c'est nécessaire Si vous vous engagez trop, vous risquez de vous sentir épuisé et débordé. Parfois, notre peur de manquer quelque chose, de décevoir les gens ou notre aversion à dire "non" nous pousse à nous engager dans des choses pour lesquelles nous n'avons pas le temps. Si vous vous sentez actuellement submergé par le travail scolaire, c'est peut-être le moment de dire non à cette fête ou de refuser ce poste supplémentaire au travail.   Planifiez quelque chose de nouveau et d'excitant  Si vous vous sentez stressé et coincé dans une ornière, un excellent moyen de vous remonter le moral et de vous donner quelque chose à attendre avec impatience est de prévoir de faire quelque chose de nouveau et d'excitant dans un avenir proche ou lointain. Il peut s'agir d'acheter des billets pour un concert à venir, de prendre un cours de poterie ou de planifier une excursion d'une journée avec des amis.   N'oubliez pas de ralentir et de prendre des jours de repos Enfin, ne soyez pas trop dur avec vous-même pendant les périodes de stress ! Bien que le fait de prendre une journée de congé pour le travail universitaire puisse sembler contre-intuitif pour certains, les jours où vous vous sentez épuisé et débordé, il est essentiel de prendre une journée ou quelques heures pour ne pas fixer vos devoirs et dissertations. Si vous pensez que le fait de vous éloigner de votre travail ne fera que vous stresser davantage, concentrez votre énergie sur d'autres domaines que le travail scolaire. Par exemple, des tâches ménagères, des passe-temps ou des obligations alternatives qui n'impliquent pas de travail universitaire (comme aller à la salle de sport, nettoyer la cuisine ou arroser vos plantes). De cette façon, vous savez que vous êtes productif tout en prenant un temps bien nécessaire loin du travail et des études.

Se lancer dans la recherche d'un emploi n'est pas aussi décourageant qu'il n'y paraît. Bien sûr, vous devez vous préparer, car vous devez faire valoir votre employabilité auprès des entreprises qui embauchent. Par où commencer ? Eh bien, vous pouvez commencer par rédiger votre CV et votre lettre de motivation. Puisque notre collègue Ariana a expliqué comment créer une lettre de motivation, je vais vous expliquer ce qu'il faut faire et ne pas faire pour rédiger un CV.    Un curriculum vitae (CV) est essentiellement votre première impression (formelle) pour une entreprise qui recrute. Ce document met en évidence vos qualifications par rapport à l'emploi pour lequel vous postulez. Bien que le format des CV puisse varier, il existe plusieurs conseils à garder à l'esprit pour s'assurer que votre CV fait passer le message.    Lorsqu'il s'agit de recherche d'emploi, il peut être décourageant de rechercher des postes vacants. Heureusement, un curriculum vitae est essentiellement la première impression que vous donnez à une entreprise qui recrute pour savoir si vous êtes un bon candidat.    À NE PAS FAIRE : Rendre votre CV trop long  N'oubliez pas que vous n'êtes pas le seul candidat à postuler pour un emploi vacant. Vous pouvez être en concurrence avec des dizaines, des centaines ou des milliers de personnes, selon l'entreprise.  L'équipe de recrutement de cette entreprise ne peut consacrer que quelques secondes à l'examen et au filtrage des CV.  Une idée fausse très répandue est que plus votre CV est long, mieux c'est.  En fait, pour que votre CV soit plus long, vous devrez probablement le remplir de tous les détails auxquels vous pouvez penser.  Même si vous y mettez les informations nécessaires, elles risquent d'être dépassées par l'abondance d'informations non pertinentes.  L'entreprise qui recrute ne sera pas disposée à passer votre CV au crible et à trouver ce qu'elle cherche.  À FAIRE : gardez votre CV court et agréable  Étant donné qu'une équipe de recrutement ne regarde les CV que brièvement, une bonne règle de base serait de faire en sorte que votre CV fasse entre 1 et 2 pages. En fixant cette limite, vous ferez plus attention aux informations que vous y mettez et évaluerez si elles mettent en valeur votre employabilité. Si vous postulez pour un poste de chef d'équipe, l'entreprise ne veut pas entendre parler de la performance que vous avez réalisée lors du concours de talents de votre collège. En revanche, elle sera plus intéressée par le temps que vous avez passé comme caissier à temps partiel pendant l'été. Si vous avez du mal à réfléchir à ce que vous devez mettre sur votre CV, prenez un moment et pensez à votre implication dans les catégories suivantes : Éducation, expérience professionnelle, compétences, certifications et permis, et activités parascolaires/projets parallèles.    À NE PAS FAIRE : Utiliser un langage passif  Lorsque vous décrivez une activité ou un emploi dans votre CV, vous pouvez commencer par des expressions comme "responsable de" ou "était tenu de". Prendre l'habitude d'écrire d'une manière aussi passive peut être préjudiciable. Ces phrases détournent quelque peu l'attention de la description de l'activité. Elles créent un ton plus banal. En outre, elles donnent aux équipes de recrutement l'impression que vous n'avez pas fait preuve d'autant d'initiative ou d'efforts dans vos activités précédentes.    À FAIRE : utilisez des mots d'action et des mots-clés  Au lieu d'utiliser un langage passif, allez directement à la description de votre implication et de vos responsabilités en utilisant des mots d'action. Les mots d'action mettent l'accent et vont droit au but. Lorsque vous décrivez votre ancien emploi d'assistant administratif dans votre CV, par exemple, vous pouvez expliquer votre tâche de préparation de documents en disant : Produire des documents pour les parties prenantes de l'entreprise en organisant les contacts de l'entreprise à l'aide de Microsoft Excel. Pour les équipes de recrutement, les mots d'action peuvent donner l'impression que vous avez confiance en vos capacités.    Lorsque vous postulez à un emploi particulier, prêtez attention aux mots-clés mentionnés dans l'offre d'emploi. Certains de ces mots-clés peuvent inclure formation, technique, recherche, analyse, etc. Ils sont généralement mis en évidence dans la section relative aux attentes professionnelles et aux qualifications. Utilisez cela à votre avantage et trouvez un moyen de les intégrer dans votre CV. Diverses entreprises utilisent des logiciels de systèmes de suivi des candidats (ATS). L'ATS analyse le CV en fonction de la fréquence de certains mots-clés. S'il obtient un certain résultat, le CV peut alors être transmis à l'équipe de recrutement qui l'examinera plus en profondeur. Vous devez vous efforcer de passer cet obstacle du logiciel ATS, alors assurez-vous de verrouiller vos mots-clés.    

Pour certains, il est facile de négliger le domaine des "soft skills". (Au cas où vous l'ignoriez, les compétences non techniques sont, selon LinkedIn, liées aux "capacités cognitives, aux comportements sur le lieu de travail et à l'intelligence émotionnelle" - des qualités liées à la personnalité et à l'intuition). Des compétences dures comme "l'informatique en nuage" ou "la conduite d'un chariot élévateur" semblent plus concrètes, plus faciles à cerner, que des compétences générales omniprésentes et apparemment subjectives comme "l'adaptabilité" ou "l'esprit critique". Et pourtant, un solide ensemble de compétences non techniques est nécessaire dans tous les secteurs d'activité - elles sont particulièrement importantes pour les emplois impliquant le service public, le travail d'équipe, les idées, etc. Une étude de la US Chamber Foundation révèle que "l'importance de ces compétences est largement reconnue, mais qu'elles ne sont pas enseignées de manière cohérente et ne sont pas considérées comme prioritaires." Ainsi, sur un marché de l'emploi compétitif, où tous les candidats ont coché les bonnes cases en matière de compétences physiques (et même plus), des compétences non techniques démontrables peuvent faire toute la différence. Elles montrent, entre autres, que vous n'êtes pas simplement une machine à travailler mais une personne bien équilibrée ; en fait, les soft skills sont plus que jamais demandées car elles ne peuvent pas être reproduites par la tech et l'IA qui sont de plus en plus centrales dans de nombreux secteurs. Le mot clé est "démontrable" : il est facile de vanter vos compétences générales comme s'il s'agissait de vos desserts préférés, mais si vous parlez, par exemple, de vos "excellentes capacités de communication", assurez-vous que votre écriture et vos entretiens sont parfaits ! Alors, quelles compétences non techniques les employeurs recherchent-ils ? Une recherche rapide vous amènera à un surplus de résultats concernant un surplus de secteurs, je vais donc me concentrer sur une liste qui présente un intérêt général. Chaque année, LinkedIn recueille sur sa plateforme les compétences les plus recherchées par les employeurs. Les principales compétences non techniques pour 2021 sont l'adaptabilité, la collaboration, la créativité, l'intelligence émotionnelle et la persuasion. Les trois principaux domaines de compétences non techniques manquants sont :  La résolution de problèmes, la pensée critique, l'innovation et la créativité. Capacité à gérer la complexité et l'ambiguïté Communication Le langage utilisé ici - "innovation", "intelligence émotionnelle", "créativité" - est large, quelque peu ambigu et adaptable à une variété de circonstances. Il est difficile de développer des compétences lorsqu'il n'existe pas de modèle standard et définitif à imiter. Il n'existe pas de "certificat de créativité" complet ; la créativité d'un rédacteur en chef de revue est différente de celle d'un assistant de saisie de données. Savoir comment ces compétences générales se traduisent dans votre domaine peut être la clé de votre formation. Heureusement, les compétences non techniques se chevauchent. La "pensée critique" est nécessaire pour "gérer la complexité et l'ambiguïté". La "persuasion" nécessite la "communication". La "collaboration" nécessite "l'intelligence émotionnelle". Personnellement, je trouve utile de considérer toutes les compétences non techniques comme les différentes facettes d'une même chose : réagir à mon environnement de manière constructive et significative. Cette approche holistique soulage le stress lié au fait de traiter les compétences non techniques comme une liste de choses à faire. ("Maintenant que j'ai maîtrisé l'adaptabilité, je peux enfin passer à la collaboration"). Je sais que lorsque je "résous un problème" en trouvant une méthode d'enseignement différente et plus efficace pour un élève particulier, j'apprends également à m'adapter, à communiquer, à faire preuve d'empathie, etc.               Ainsi, si l'étendue des compétences non techniques peut être intimidante, elle a aussi un côté positif : vous pouvez développer des compétences non techniques dans tous les domaines de la vie. Vous pouvez pratiquer la "maîtrise de soi" et la "résolution de conflits" sur le terrain de football, lors d'une fête, à la maison. La science moderne suggère qu'une grande partie de notre comportement découle d'habitudes inconscientes. C'est aussi ce que pensaient de nombreux pré-modernes. Aristote, par exemple, pensait que nous devenions vertueux par la pratique ; plus nous décidons, par exemple, de faire preuve de compassion ou de nous mettre à la place de quelqu'un d'autre, plus nous le ferons de manière cohérente et consciente, même sous pression, lorsqu'il est facile de se dissuader d'adopter un comportement vertueux. C'est comme apprendre des accords de guitare : au début, vous devez presser lentement et douloureusement vos doigts dans la bonne position, mais après l'avoir fait des centaines de fois, vous passez en douceur d'un accord à l'autre, juste au "feeling", sans regarder. Vous serez alors capable de vous produire sous la pression d'un large public. Il en va de même pour les compétences non techniques. À l'école élémentaire, j'étais cet enfant qui s'enfuyait en pleurant pendant la présentation de sa classe. En tant qu'adulte, j'ai essayé de sauter sur la moindre occasion de parler en public, malgré la véritable torture que cela me procure. Pourquoi ? Parce que cela m'a aidé à enseigner correctement une classe ou à passer un entretien d'embauche alors que, quelques années plus tôt, ma capacité à parler sous la pression était à peine passable.            "C'est en forgeant qu'on devient forgeron" est peut-être un cliché. Pourtant, si vous êtes comme moi, il est facile de négliger de pratiquer intentionnellement quelque chose comme les "compétences d'écoute", qui, en fin de compte, peuvent être essentielles pour l'emploi de rêve - ou la vie en général !  

Dans un autre article, j'ai parlé des habitudes et des tâches des étudiants qui facilitent la recherche d'emploi, y compris les habitudes liées au maintien de la santé mentale. Il existe évidemment des tonnes de ressources sur la santé mentale (consultez le site Web de votre établissement d'enseignement postsecondaire), mais je veux me pencher sur des pratiques spécifiques qui pourraient être utiles aux étudiants qui doivent faire face à des études stressantes et à une recherche d'emploi stressante. La plupart de mes amis et de ma famille sont des intellos et des passionnés de livres ; pour le meilleur ou pour le pire, les professeurs, les docteurs et les maîtres abondent dans mon entourage. Même ma femme est en plein doctorat. J'ai entendu de longues conversations sur le thème "Comment restez-vous en bonne santé malgré les délais, les candidatures, les lectures, les soirées tardives, etc. Comment rester en bonne santé face à la tâche décourageante que représente la construction d'une carrière significative ? Naturellement, chaque réponse est différente, mais j'ai rassemblé quelques habitudes qui m'ont aidé dans mon parcours. 1. Cuisiner à la tombée de la nuit. Tous les soirs de semaine, j'essaie de préparer un bon dîner (ou un dessert, si j'ai envie de sucreries). Cela fait plusieurs petits miracles. Tout d'abord, cela génère de l'énergie pendant la journée, quelque chose à attendre avec impatience et à travailler (qui n'aime pas se détendre avec une délicieuse petite bouchée ?). Deuxièmement, cela change ma journée. Lorsque je reste assise sur mes fesses à fixer un écran pendant des heures, perdue dans ma tête, il n'y a rien de tel que d'utiliser mon corps pour me détendre, éteindre mes pensées et créer quelque chose avec mes mains. Le travail scolaire et la recherche d'une carrière se terminent rarement en une journée, mais cuisiner un délicieux repas le fait (avec un peu de chance), et c'est satisfaisant d'avoir ce sentiment d'achèvement et d'accomplissement. Cuisiner le soir m'aide à me débarrasser de mes frustrations professionnelles et me ramène au moment présent, à mon corps. Nous sommes, après tout, des esprits incarnés ; un petit hachage fin d'oignons peut rafraîchir votre cerveau. (Et je n'ai même pas commencé à parler des merveilles de l'achat d'ingrédients ou de l'essai d'une nouvelle recette).   2. L'indulgence du week-end. Trop souvent, lorsque je suis en mesure de fixer mes propres horaires de travail et de pause dans mes propres lieux de travail et de pause, de vilaines habitudes de gloutonnerie s'installent. Certaines semaines, je dois me contenter du whisky du mercredi ou du plat à emporter du mardi, mais trop d'indulgence m'engourdit. Les jours se brouillent, ma santé décline. C'est ce cycle de soulagement du stress par des solutions rapides qui finissent par créer plus de stress. Bien que "travailler pour le week-end" soit malsain dans certains contextes professionnels, il y a quelque chose à apprendre de cette configuration. Boire, festoyer ou jouer le week-end me donne un objectif à atteindre. Cela casse la semaine. Les plaisirs sensuels de la vie sont d'autant plus doux et donc plus rafraîchissants, plus efficaces. Comme nous l'avons mentionné plus haut, la recherche d'une sorte d'harmonie entre le corps et l'esprit peut faire des merveilles - et il en va de même pour le festin et le jeûne.   3. Entraînement à domicile. Nous connaissons tous l'importance de l'exercice pour, eh bien, tout. Mais si vous êtes un peu comme moi, vous allez chercher une routine géniale, la pratiquer pendant une semaine, puis la laisser se dissiper dans le monde souterrain des bonnes intentions. Pendant mes études, je me laissais souvent distraire ou "dans la zone" pour me rendre compte que je n'avais que 45 minutes pour m'entraîner entre le cours et la répétition du groupe. Les bons jours, je faisais rapidement mon sac, je me précipitais à la salle de sport et je m'entraînais à moitié, tout en laissant suffisamment de temps pour me doucher, me changer et me rendre à la répétition. Les mauvais jours, je ne faisais pas d'exercice. Heureusement, lorsque j'ai commencé à chercher un emploi, j'ai appris que je pouvais fermer mon ordinateur, étendre mon tapis de yoga et faire une séance d'entraînement sur YouTube en vingt-cinq minutes. Au lieu de séances de gym sporadiques, j'ai pu faire de l'exercice quotidien - aussi bref soit-il - et ainsi maintenir une bien meilleure santé mentale. Il est parfois nécessaire de commencer petit et simple avant de s'attaquer à des routines ambitieuses. Même une promenade autour du pâté de maisons est utile !   4. Les séances d'entraînement à l'extérieur de la maison. D'un autre côté, les séances d'entraînement à la maison peuvent me donner l'impression d'être enfermée. Parfois, faire une promenade ou se rendre à la salle de sport me rafraîchit l'esprit. Parfois, la seule façon de quitter le travail est de quitter l'espace de travail. Voir de nouvelles choses, être présent dans de nouveaux environnements, s'engager avec d'autres êtres - cela peut vous revitaliser, vous sortir des sentiments stagnants et boueux. Et cela peut vous rappeler qu'il existe des contextes plus larges, d'autres mondes en dehors du vôtre, qui vous soutiendront.   5. Achetez un vase de fleurs. Ou une photo encadrée ou un joli mug. Un environnement qui ressemble à une poubelle me fera me sentir comme une poubelle. Un espace esthétiquement plaisant se répand dans mon espace mental. Les objets et les plantes ne sont pas neutres ; ils agissent sur nous en permanence. Une simple marguerite peut, selon la personne, incarner une foule de souvenirs et d'associations. Marie Kondo sait combien un espace propre et minimaliste améliore votre bien-être. De même, un espace rempli d'un peu de beauté peut vous détendre, vous inspirer et vous soutenir pendant un travail stressant. Ces conseils ne conviendront pas à tout le monde, bien sûr. Et une bonne santé mentale ne se résume évidemment pas à une simple liste de choses à faire et à ne pas faire. Je trouve cependant utile de réfléchir aux habitudes négligées qui finiront par perturber ma santé mentale alors qu'elles ne l'auraient pas fait à un autre moment de ma vie. Pour moi, survivre aux pressions de la vie étudiante et de la construction d'une carrière exige cette attention.  

La participation à des activités extrascolaires a enrichi mon expérience universitaire, et cela peut faire de même pour vous. Acquérir de l'expérience dans des clubs, des équipes sportives et des événements scolaires peut faciliter votre transition vers l'université, élargir votre cercle social et améliorer le niveau de connaissances et de compétences que vous apportez à un futur employeur potentiel. Ci-dessous, je reviens sur les expériences que j'ai acquises dans le cadre d'activités parascolaires tout au long de mes études universitaires et sur la façon dont je les ai obtenues. Lorsque j'ai commencé à l'Université Wilfrid Laurier, je voulais m'inscrire à quelques clubs pour me faire des amis. Je ne connaissais personne de mon école secondaire qui y allait, et c'était la première fois que je vivais seule, loin de ma famille, et dans une nouvelle ville. Je voulais profiter au maximum de mon parcours universitaire, mais je savais que j'avais besoin de plus de communauté pour embrasser pleinement la vie universitaire.   Mon expérience au sein du club Foot Patrol   La première activité extrascolaire à laquelle j'ai adhéré est le comité Foot Patrol - en tant que membre général. Je dois admettre que c'est ce que j'ai préféré à ce jour, même si c'est le premier auquel j'ai participé. Le comité Foot Patrol fonctionnait pendant la nuit. Si les étudiants souhaitaient être accompagnés lors d'une promenade jusqu'à leur destination, ils devaient simplement appeler le bureau du Foot Patrol. De là, des bénévoles étaient envoyés sur place pour accompagner les élèves jusqu'à leur destination finale. Cette activité bénévole m'a permis de développer mes compétences interpersonnelles lorsque je réconforte des élèves en engageant la conversation. Elle m'a également permis de développer ma vivacité d'esprit et ma capacité d'adaptation, car certaines situations exigeaient que les "patrouilleurs à pied" réagissent de manière professionnelle et avec un jugement sûr. Surtout, j'ai pu atteindre mon objectif de me faire des amis grâce à l'équipe de la patrouille à pied, et ce faisant, j'ai pu sortir lentement de ma coquille et me sentir impliquée et faire partie de la communauté universitaire. (Oh oui, j'ai aussi appris à utiliser un talkie-walkie et à communiquer par radio bidirectionnelle, ce qui était cool).   Mon expérience avec U Walk Laurier   J'étais également représentante de première année de U Walk Laurier, un club de marche de bienfaisance. J'étais intéressée à me joindre au club parce que je suis motivée à faire une différence dans ma communauté. Bien sûr, mon rôle de représentante de première année était plutôt minime, car j'aidais essentiellement les autres dirigeants du club à s'acquitter de leurs responsabilités. Cette expérience m'a donné un aperçu de l'organisation d'événements et de l'immense logistique qu'elle implique, notamment un aperçu des coulisses de l'organisation des événements du club, de la logistique liée à la réservation de la salle/de l'espace pour les événements, de la sensibilisation à l'événement/du marketing et de la planification financière (lorsqu'il s'agit de contrôler le budget du club).   Pour quelqu'un qui n'est pas sûr de ce qu'il veut faire après l'obtention de son diplôme, cela m'a donné une idée de l'environnement de travail que je préférerais. Je m'épanouirais sans aucun doute dans un environnement créatif, au rythme rapide, où j'interagirais quotidiennement avec différentes personnes. Ce club particulier m'a également donné confiance en mon éthique de travail, et je lui en suis reconnaissante. Mon meilleur souvenir de ce club est notre événement "Winter Walk & Watch". Cet événement de collecte de fonds a permis de reverser les recettes à la Fondation de l'hôpital et du centre anticancéreux Juravinski. Le club s'était fixé un objectif de collecte de fonds de 3,500 $, mais il était très excitant de voir que nous l'avions dépassé pour atteindre un total de 3,800 $.   Mon expérience au sein du Club Disney de Laurier    Pendant ma deuxième année, mon université fonctionnait entièrement à distance. Les cours se déroulaient en ligne, et les activités parascolaires ne faisaient pas exception. En raison de cette transition, je ne me suis pas impliquée autant que je l'aurais voulu. La seule activité parascolaire à laquelle je me suis jointe est le Laurier Disney Club en tant que coordonnatrice du marketing. J'avais des responsabilités plus structurées dans ce rôle. J'ai conçu le contenu du club, géré nos comptes de médias sociaux et facilité l'engagement en ligne avec les étudiants. C'était une expérience formidable ! Si l'équipe dirigeante du club ne pouvait pas se réunir en personne, nous avons réussi à rester en contact grâce à des réunions virtuelles. Quant à nos événements, nous les avons adaptés à un format en ligne, comme des soirées cinéma et même un cours de peinture sur pot !   J'ai accepté ce rôle car j'adore l'animation. Comme je l'ai mentionné dans mon introduction, j'aimerais créer un jour une émission animée. En m'appuyant sur cette passion pour cette passion pour tout ce qui est animé, j'aime beaucoup les films de Disney, comme Tangled, Planète Trésor et Blanche-Neige. L'entreprise est assez impressionnante dans ce qu'elle fait - créer du contenu. Il est toujours bon de participer à des activités extrascolaires, en particulier pour son plan de carrière à long terme, mais dans ce cas, le rôle était particulièrement adapté à mes intérêts, et c'était bien.   Mon expérience avec l'association Cord & Women Leading Politics   Je suis actuellement en troisième année, et je participe à deux activités extrascolaires. Le premier est The Cord, le journal étudiant de mon université, qui existe depuis longtemps. Il s'agit d'un organe d'information précieux, réalisé par les étudiants et pour les étudiants. Je suis rédacteur et réviseur bénévole. Comme je suis étudiante en communication, j'ai pensé que participer à une initiative telle que The Cord me permettrait d'améliorer mes capacités d'écriture et de réflexion critique.   Quant à mon autre poste, je suis coordinatrice graphique pour l'association Women Leading Politics. Ce club se concentre sur l'autonomisation des femmes en politique, encourageant les étudiantes à surmonter tous les obstacles et à réaliser leurs rêves avec la plus grande détermination. Comme mon rôle m'oblige à concevoir le contenu en ligne du club, j'ai hâte d'incarner les valeurs et les messages clés du club au cours de l'année à venir.   Influencer les expériences que je poursuivrai ensuite   À ce stade, j'avais une idée générale de ce que je voulais faire après l'université. Je suis actuellement à la recherche d'un emploi qui me permette de produire du contenu visuel et écrit. Je veux également occuper un poste où mon travail sera considéré comme utile parce qu'il contribue à résoudre des problèmes de société. Mes intérêts professionnels varient entre le copywriting, le marketing et la politique publique. Avec le recul, je constate que les activités extrascolaires m'ont permis de devenir une personne à part entière et de découvrir de véritables intérêts et passions. Je ne suis plus anxieuse quant à mon avenir. J'attribue cela (en partie) aux activités extrascolaires auxquelles j'ai participé et à la chance que chaque expérience m'a donnée de développer des compétences et d'améliorer la façon dont je m'oriente dans ma carrière.   Et vous ?   Si quelqu'un s'intéresse un jour aux activités extrascolaires, voici mon conseil :   Réfléchissez à vos responsabilités actuelles et ne vous inscrivez dans des clubs que si vous savez que vous avez le temps et l'énergie pour le faire. Assurez-vous que vous continuez à vous concentrer sur votre travail universitaire plutôt que sur vos activités extrascolaires - vous avez besoin d'un équilibre. Si vous décidez que vous avez le temps de vous inscrire à des activités extrascolaires, vérifiez leurs plateformes de médias sociaux (ex. Instagram, Facebook) et essayez de trouver les comptes de médias sociaux de votre université. Il est fort probable qu'ils y fassent la promotion de leurs activités extrascolaires internes et que vous puissiez y trouver des recommandations sur d'autres comptes de clubs affiliés. Habituellement, en début d'année, les universités organisent une grande foire aux clubs que les étudiants de première année peuvent explorer, mais tout le monde peut y jeter un œil. Y assister ne fait pas de mal :) Soyez optimiste. Si vous hésitez à rejoindre un club dont vous n'êtes pas sûr, assistez à la première réunion. Il n'y a aucune obligation d'adhérer à un club et vous pouvez toujours abandonner le club s'il ne vous plaît pas. (Bien sûr, essayer de quitter une équipe sportive après avoir passé l'étape des essais est complètement différent).   Si tu as des amis qui peuvent t'accompagner, demande-leur de venir aussi ! Rejoindre un club avec un groupe d'amis ou de connaissances peut vous aider à y rester.   J'espère que vous prendrez ces conseils à cœur et... que vous vous impliquerez ! J'ai apprécié toutes mes expériences de participation à des activités parascolaires pendant mes études à l'Université Wilfrid Laurier et je sais que vous en ferez autant.  

En tant qu'étudiant de quatrième année, la question que l'on me pose le plus souvent est probablement la suivante : "Quels sont vos projets après l'obtention de votre diplôme ? C'est une question qui, si vous ne savez pas quels sont vos projets, peut être effrayante à penser et épuisante à essayer de répondre. S'approcher de l'obtention de son diplôme sans avoir un objectif clair en tête peut parfois être accablant. Je n'ai jamais eu de "carrière de rêve". Mes objectifs et mes passions semblent changer constamment, et il y a des moments où je doute de ce qui m'intéresse. Au cours des dernières années d'études et de voyages, mes objectifs de carrière sont passés de psychologue, journaliste, spécialiste du marketing, avocat, nutritionniste et à peu près tout ce qui se trouve entre les deux.  J'ai toujours été étonnée par ceux qui semblent savoir ce qu'ils veulent faire. Ma tante, par exemple, a toujours su qu'elle voulait travailler dans la publicité. Ma mère a toujours su qu'elle voulait travailler avec des enfants. J'avais des camarades de classe au lycée qui savaient qu'ils voulaient travailler dans la médecine et qui sont maintenant (après six ans d'université) sur le point d'obtenir leur diplôme de médecine. Parfois, j'avais l'impression d'être la seule personne à ne pas savoir. Bien que quelques chanceux trouvent quelque chose qui les passionne et se fixent des objectifs de carrière pour y parvenir, pour ceux qui ne le savent pas, ce n'est pas aussi simple.  Je pensais vraiment qu'après sept ans de travail, deux ans de voyages et trois ans d'université, j'aurais une bonne idée de la carrière que je voulais suivre. Je pensais que je me trouverais au cours de mes années sabbatiques ou que je me réveillerais un jour en ayant eu une révélation sur ma carrière et que je saurais soudainement ce que je voulais faire de ma vie. Mais cela ne s'est jamais produit.  En fait, j'ai pris conscience de la situation lorsque j'ai commencé mon parcours universitaire et que j'ai découvert combien d'étudiants avaient les mêmes inquiétudes et les mêmes confusions que moi. Parmi les nombreuses personnes que j'ai rencontrées au cours de mes trois années à l'université, je ne connais qu'une poignée d'entre elles qui avaient des objectifs clairs après leur diplôme. Qu'il s'agisse d'étudiants de première année, de cinquième année, d'étudiants en art ou d'ingénieurs, un grand nombre d'étudiants et de jeunes diplômés semblent se sentir tout aussi anxieux et accablés que moi à l'idée d'entrer dans la vie active - surtout maintenant. Des statistiques publiées en 2015 par allaboutcareers.com ont révélé que 44 % des étudiants de premier cycle ne savent pas ce qu'ils veulent faire une fois diplômés. Si ce chiffre peut sembler inquiétant, il montre aussi à quel point il est normal de manquer de plans de carrière concrets. Si vous vous sentez stressé et désorienté face à l'avenir, vous pouvez vous consoler en sachant qu'un nombre considérable de personnes sont dans le même cas. Bien que je fasse toujours partie des 44 %, une chose qui m'a aidé personnellement à surmonter mes craintes concernant l'avenir a été d'arrêter d'essayer (et d'échouer) à choisir une carrière spécifique. Si avoir des objectifs clairs est impressionnant, l'incertitude est le feu vert pour acquérir de l'expérience et essayer ce qui vous intéresse vraiment ! Voici quelques petites choses qui ont considérablement réduit mon stress et mon anxiété face à l'incertitude professionnelle tout en me donnant une idée plus claire de mes objectifs pour l'avenir :   Parler avec les conseillers d'orientation professionnelle : Si vous êtes étudiant, vous aurez probablement accès à une foule de ressources sur les carrières, que ce soit en ligne ou en personne. Pour moi, parler en personne (ou plutôt par le biais de Zoom) avec un conseiller d'orientation m'a été d'une aide précieuse pour avoir une idée plus précise de mes futurs choix de carrière. Les conseillers peuvent également examiner votre CV et votre lettre de motivation et vous aider à vous préparer aux entretiens, alors faites-en bon usage !   Créer des liens : Apprendre ce que d'autres personnes dans mon domaine ont fait avec leur diplôme m'a donné un bon aperçu de mes possibilités de carrière et de ma vie de diplômé en tant que major en anglais. Si vous voulez obtenir des conseils de première main, des connaissances et du réconfort, parlez aux anciens ou aux récents diplômés de votre faculté/major.    Questionnaires sur les carrières : Cela peut sembler évident, mais si vous ne savez pas par où commencer, quels sont vos centres d'intérêt ou quelles sont les options de carrière passionnantes qui s'offrent à vous, répondez à un questionnaire de carrière en ligne !    Rédigez des listes de points positifs et négatifs : C'est un excellent moyen de comparer, d'opposer et d'éliminer ou de mettre en évidence des carrières/chemins potentiels en fonction de vos préférences personnelles. Par exemple, le fait d'écrire mes principaux intérêts professionnels m'a aidé à comprendre mes options et à déterminer quels intérêts il est le plus réaliste pour moi de poursuivre.   Concentrez-vous sur le présent : Si vous voyez une possibilité de stage à temps partiel qui vous intéresse, ou un poste de bénévole que vous pensez pouvoir apprécier, alors postulez, postulez, postulez ! Faire des recherches sur les possibilités d'études supérieures, c'est bien, mais postuler (et essayer) différents rôles et intérêts est l'une des meilleures façons de découvrir ce que vous aimez et ce que vous n'aimez pas. Au lieu d'essayer de choisir la carrière de vos rêves, commencez dès maintenant à explorer vos centres d'intérêt. Bien que j'aie longtemps lutté contre ma propre incertitude, je me rends compte aujourd'hui que c'est normal de ne pas savoir ce que l'on veut faire de sa carrière. Il n'est pas réaliste pour beaucoup d'avoir un objectif de carrière spécifique et concret, surtout lorsqu'il existe un nombre apparemment infini de voies possibles après l'obtention du diplôme. Si vous n'êtes pas sûr de ce que vous voulez faire après l'université, utilisez votre incertitude à votre avantage. Acquérez de nouvelles compétences et expériences, découvrez vos véritables centres d'intérêt et appréciez les nombreuses possibilités passionnantes qui vous attendent lorsque vous serez diplômé. Vous n'êtes pas obligé d'emprunter une voie étroite. En fait, un parcours professionnel non linéaire peut être avantageux lorsqu'un employeur potentiel voit l'étendue des compétences et de l'expérience que vous avez acquises. En d'autres termes, allez-y, acceptez de ne pas savoir. Vous finirez par le savoir, et ce "savoir" peut être plus d'une chose.

Lorsque je me suis lancé dans mes études, j'ai supposé que je serais prêt à faire carrière en acquérant des informations et en développant des compétences liées à mon domaine (en tant qu'étudiant en anglais : lire de la littérature et écrire des critiques). Les " moments intermédiaires " - les soirées tardives à préparer ma semaine, à écrire des courriels, à nettoyer mon espace d'étude, à lire des livres inintéressants pour des cours obligatoires inintéressants - me semblaient être un moyen de parvenir à une fin, une étape nécessaire mais sous-jacente à des réalisations plus importantes. Puis, après avoir obtenu mon diplôme, j'ai découvert que, bizarrement, toute cette organisation, ces tâches annexes et cet équilibre entre vie professionnelle et vie privée ont joué un rôle crucial dans ma capacité à rédiger une lettre de motivation, à préparer un entretien et à travailler avec des employeurs. J'imagine que c'est évident pour beaucoup, mais si vous êtes un peu comme moi, vous trouverez facile de devenir impatient avec les travaux "secondaires" de l'éducation. Voici donc quelques-uns des travaux secondaires et des habitudes qui m'ont aidé dans mon parcours professionnel.                - Écrire sous différentes formes. Vous êtes peut-être un adepte pur et dur des chiffres. Peut-être vous sentez-vous à l'aise en écrivant uniquement dans des registres et des formats spécifiques. Quoi qu'il en soit, la plupart d'entre nous doivent rédiger des lettres de motivation, des CV, des courriels, des propositions, etc. Au lycée, on ne m'a pas appris à rédiger un courriel professionnel. Cette compétence m'est venue à l'université. Et ce n'est qu'après avoir écrit des centaines d'e-mails à des professeurs, des étudiants, des pairs et des administrateurs que j'ai commencé à me sentir à l'aise dans l'utilisation du courrier électronique pour communiquer dans un large éventail de situations, y compris des conflits et des malentendus nécessitant des nuances et un langage soigné. Ayant passé du temps à enseigner et connaissant de nombreux professeurs, je peux attester que les étudiants qui rédigent des courriels professionnels, clairs et polis laissent une forte impression. De plus, sur le marché du travail, où les employeurs ne sont pas obligés de vous garder, l'envoi de courriels peut faire ou défaire des promotions et des embauches.      Pensez aussi aux lettres de motivation. Honnêtement, les lettres de motivation sont les choses les plus difficiles que j'ai eu à écrire. Je me demande sans cesse : Sur quoi dois-je me concentrer ? Comment me démarquer de la masse ? Comment mettre en valeur mes compétences et mes réussites sans paraître arrogant ? Comment compenser mon manque d'expérience sans avoir l'air désespéré ? Heureusement, je peux m'appuyer sur le temps que j'ai passé à demander des bourses d'études. L'université m'a également permis de m'entraîner à écrire lorsque je ne sais pas par où commencer ou terminer. Je sais que je dois commencer le matin avec mon café, lorsque mon esprit est frais et dispos. Je sais que je dispose alors de quelques heures solides avant de me sentir frustré. À ce moment-là, je devrai faire des toasts ou faire de l'exercice avant de m'y remettre. Je sais quand il faut aller jusqu'au bout, garder l'élan et laisser les phrases bâclées à la révision ; je sais quand il faut ralentir et prendre les choses mot à mot. L'enseignement postsecondaire est un terrain d'entraînement pour la rédaction fastidieuse et difficile qui accompagne la recherche d'une carrière.   Travailler avec des personnes différentes. L'enseignement postsecondaire est un terrain d'entraînement à la communication en général. C'est un don rare : vous apprenez à travailler professionnellement avec différentes personnes tout en ayant droit à l'erreur. (Sauf si c'est grave, vous ne serez pas renvoyé). Une discussion avec un professeur est le reflet d'une discussion avec un patron ; une présentation universitaire est le reflet d'un entretien d'embauche. Le fait de régler des problèmes avec l'administration d'une institution peut se prolonger dans votre carrière. Lorsque je me présente à un entretien d'embauche, j'adopte la même approche pour une réunion de comité universitaire ou un cours magistral. Je me demande : "Qui est mon auditoire ?", "Quelles sont ses attentes ?", "Qu'ai-je à offrir ?", "Quel est le point principal que je veux laisser ?", "Mon ton doit-il être formel ou décontracté ?" En tant qu'assistant d'enseignement, j'ai parlé à des étudiants qui étaient en colère contre leurs notes. Ces situations exigeaient, d'une part, de l'attention, du soin et de la sympathie et, d'autre part, la force et la confiance nécessaires pour articuler mes raisons de donner la note. Au cours de mon emploi, je suis revenu à ces expériences, encore et encore, pour me rappeler comment équilibrer l'écoute et la parole, l'acceptation et le don. J'aime à penser que cela m'a aidé à établir des relations solides et fructueuses avec mes employeurs et mes collègues. Les études postsecondaires ne se limitent pas à l'étude isolée et aux bonnes notes ; c'est une expérience communautaire qui exige de bonnes interactions avec une foule de personnes et de situations. Avec un peu de chance, il permettra d'acquérir les compétences interpersonnelles nécessaires pour se bâtir une carrière intéressante.   Rester concentré : Tous les étudiants de l'après-2000 ont connu des journées de travail composées à 20 % de travail et à 80 % de YouTube, des médias sociaux et des trous de lapin de Wikipédia. Nous avons tous dû trouver des moyens de rester productifs à l'ère du numérique, que ce soit grâce à des minuteurs, des programmes de blocage du Web, des systèmes de récompense personnelle ou des zones d'étude sans appareils. Ces mêmes astuces et pratiques sont nécessaires pour parcourir d'innombrables sites d'offres d'emploi, rédiger d'innombrables lettres de motivation et passer au crible d'innombrables listes de qualifications, de fonctions et de valeurs de l'entreprise. C'est mentalement et émotionnellement épuisant. Croyez-moi, après quelques jours de recherche d'emploi, l'icône Netflix n'a jamais été aussi tentante. Si vous cherchez à percer sur un marché du travail difficile, si vous essuyez une série de refus décourageants, la ténacité et la concentration du travail universitaire sont nécessaires. Comme la vie étudiante, la construction d'une carrière exige de l'automotivation, du travail effectué sur son propre temps et de l'attention à sa santé mentale.   Planifier sa journée et sa semaine : Pour la plupart des étudiants, la réussite des études postsecondaires exige organisation et planification. Comme nous l'avons mentionné plus haut, la recherche d'une carrière implique souvent les mêmes échéances, les mêmes objectifs et le même calendrier que l'on s'impose. Pour éviter de tomber dans la distraction, donnez un élan productif en vous fixant des objectifs hebdomadaires/quotidiens : postulez cinq emplois par semaine, faites des recherches sur un domaine potentiel par jour, prenez un jour de congé chaque semaine pour vous ressourcer. Comme je l'ai laissé entendre plus haut, je traite les lettres de motivation comme des essais. Je fixe une date limite, j'écris quand je suis le plus frais, je fais des pauses et je demande à quelqu'un de la relire (pour plus de motivation, je dis à la personne quand elle peut l'attendre). Pour moi, c'est ainsi qu'il ne restera pas éternellement dans les limbes. En fin de compte, je veux promouvoir une compréhension holistique de l'éducation. Rien n'est perdu, tout est important, même les petites choses, même les parties apparemment insignifiantes et banales de la vie d'étudiant. Alors que vous vous lancez dans la recherche d'une carrière intéressante, rappelez-vous les compétences et les habitudes qui vous ont aidé à réussir pendant vos études et trouvez comment les transférer dans votre nouveau contexte. Pour moi, le fait de conserver une partie de mon état d'esprit d'étudiant a rendu la recherche d'emploi beaucoup moins stressante.  

L'acquisition d'une expérience de recherche est très utile pour les étudiants. Elle aide à déterminer vos intérêts, vous permet de vous impliquer sur le campus, d'établir des contacts et d'acquérir une expérience précieuse - particulièrement importante si vous envisagez de suivre des études supérieures ou des programmes de thèse. Cependant, les départements des universités, les laboratoires et les établissements de santé ont des places limitées. Alors, comment obtenir un poste de chercheur pendant vos études universitaires ou si vous êtes déjà diplômé ? Eh bien, vous devez faire vos recherches... avant de faire vos recherches. Étape 1 - Recherche préliminaire d'informations Pour les étudiants de premier cycle, la première étape consiste à saisir le type de recherche qui se fait dans votre université. Pour ce faire, vous pouvez notamment consulter la liste des professeurs de votre université en ligne, ainsi que des liens vers leurs pages personnelles, où figurent souvent leurs travaux actuels et passés. Vous pouvez également demander aux professeurs pendant les heures de bureau ou par courriel s'ils ont des postes disponibles dans leurs laboratoires. Si vous vous renseignez auprès des professeurs sur les possibilités de recherche en personne ou par courrier électronique, commencez par dresser une liste des professeurs dont les recherches et/ou les cours vous intéressent, puis consultez la page de leur laboratoire. Une meilleure compréhension de leur travail vous aidera à comprendre comment vous pouvez contribuer à leurs travaux futurs et en tirer des compétences.  Informations importantes à recueillir : Le sens général des intérêts de recherche du professeur : les grandes questions que pose son laboratoire, les raisons pour lesquelles il pose ces questions et le type de méthodes qu'il utilise. Quel type de technologie (le cas échéant) le laboratoire utilise-t-il ? Ce qu'étudient leurs étudiants diplômés Leurs études les plus récentes ou en cours Les cours et les compétences spécifiques qu'ils recherchent Étape 2 - Sensibilisation éclairée Avant d'envoyer un courriel, consultez le site Web de chaque laboratoire, s'il existe. La plupart des laboratoires ont une page d'opportunités qui indique directement s'ils recherchent des volontaires, des étudiants indépendants ou tout autre poste disponible dans leur laboratoire. À moins que le laboratoire n'indique explicitement qu'il n'a pas de poste à pourvoir pour les étudiants, il n'est jamais inutile d'envoyer un e-mail. L'e-mail peut être bref. Commencez par une brève présentation de l'année d'études, de la spécialité et de la manière dont la recherche est liée à vos intérêts et à vos futurs plans de carrière.  L'un des conseils les plus importants que j'ai appris d'un étudiant diplômé est de lire les recherches produites par le laboratoire qui vous intéresse (comme recommandé à l'étape 1) et de parcourir leurs articles pour avoir une idée de leur travail. Ce processus peut vous aider à formuler des questions sur l'article à inclure dans l'e-mail ou dans la lettre de motivation. La question peut porter sur l'article lui-même, sur la curiosité à l'égard du sujet général ou sur le résultat d'une approche différente de la question. Cela permet de montrer que vous avez réfléchi de manière plus approfondie à l'article, et cela permet également de lancer une discussion, en particulier pour les cours de projet de recherche indépendant de deuxième année.  Pour vos tout premiers postes de recherche, sans aucune expérience préalable, l'astuce consiste à examiner plusieurs endroits différents et à parler de vos intérêts et de vos futurs plans de carrière avec les professeurs et les assistants d'enseignement. Pour ce faire, vous pouvez: Participer à des opportunités de recherche d'été (voir ci-dessous). Rechercher des possibilités de bénévolat Poser des questions et envoyer des courriels aux professeurs Soumettre vos cours et vos notes pertinentes Les endroits où vous pouvez rechercher des opportunités de recherche sont les suivants Des plateformes telles que le CCO, Recherchez des programmes et des cours sur le campus, Les tableaux d'affichage des offres d'emploi et de bénévolat de l'université, Envoyer des courriels ou parler aux professeurs et aux assistants d'enseignement, les hôpitaux et les centres de soins de santé. Étape 3 - Continuez Dernier point, mais non le moindre, être informé dans votre approche signifie rechercher activement des opportunités. Vous trouverez ci-dessous une liste compilée d'occasions de recherche d'été en Ontario à surveiller, qui s'adressent principalement aux étudiants : Programme de recherche estivale SickKids (SSuRe) Programme de recherche d'été pour étudiants du SRI Pour les BIPOC en psychologie, gestion ou neuroscience : Programme d'opportunités de recherche d'été du Canada (SROP) Programme de recherche d'été pour étudiants du Women's College Hospital Hôpital de réadaptation pour enfants Holland Bloorview Programme de recherche pour étudiants d'été de la famille Ward du Bloorview Research Institute

Tout a commencé par ma lettre d'acceptation à l'université St. Thomas, où j'allais passer les quatre prochaines années de ma vie. Après 18 ans de vie sous le toit de mes parents, il était enfin temps de sortir de ma zone de confort et d'explorer le monde. Les jours précédant le départ étaient marqués par l'excitation et la peur. Tant de questions ont inondé ma tête de doutes et de curiosité quant à ma nouvelle aventure. Le jour de mon arrivée à l'aéroport de Fredericton, je pouvais sentir mon cœur battre à l'extérieur de ma poitrine. Arrivant dans un nouveau pays, je me réjouissais maintenant de ma première semaine dans un nouveau collège. Rencontrer de nouveaux visages et explorer une culture et une région différentes était tellement excitant. Chaque fois que je rencontrais une nouvelle personne, je me demandais si elle se sentait aussi effrayée (mais libre) que moi. Tout était différent.    Les différences que j'ai vécues en tant qu'étudiante internationale nouvellement arrivée à l'université St-Thomas : 1. Les gens mangent à des heures différentes ici. Ne soyez pas surpris si vous avez envie d'un McDonald's tard le soir ! J'ai été très surprise par le mode de vie canadien. Chez moi, je vivais selon une routine - en particulier mon horaire de repas. J'étais si confuse parce qu'ici le déjeuner était à midi et le dîner commençait à la cafétéria à quatre heures. Mais, chez moi, le déjeuner était à 14 heures et le dîner à 20 heures. Le soir venu, avec ce nouvel horaire, j'étais affamée et je fantasmais sur les frites de McDonald's ! 2. Vivre en résidence, c'est partager (presque tout). Vivre en résidence était également une chose toute nouvelle pour moi. Chez moi, je partageais la salle de bain avec ma sœur, alors partager la salle de bain avec d'autres filles n'avait pas d'importance pour moi, mais il m'a fallu du temps pour m'habituer à partager une chambre avec une autre personne. Heureusement, j'ai vite compris que le fait d'avoir quelqu'un à mes côtés pour me tenir compagnie et rire était comme si ma sœur était là pour me soutenir. Le problème, c'est que ma famille était toujours en Équateur et que je pouvais encore sentir leur distance. Ainsi, après une longue journée de cours, j'appelais mes parents et ma sœur tous les soirs avant de me coucher - c'était apaisant et rassurant de savoir qu'ils me soutenaient et étaient là pour moi, quelle que soit la distance. 3. En tant que nouvel étudiant, vous aurez également pour tâche de vous faire de nouveaux amis (plus tard dans la vie, c'est différent) Toute ma vie, j'ai côtoyé le même type de personnes. (Je ne me considère pas comme timide quand il s'agit de se faire des amis, mais c'était plus facile quand nous étions enfants, nous choisissions simplement celui qui nous semblait le plus fou et nous commencions à jouer avec lui). Quoi qu'il en soit, se faire de nouveaux amis dans un nouveau pays était différent. S'orienter dans les classes, eh bien, c'était nouveau aussi et un défi (au début). Par exemple, j'ai eu un laps de temps de cinq minutes pour me précipiter à travers trois bâtiments et traverser le campus pour me rendre à mon autre cours. Pendant l'automne, ce n'était pas si mal, mais je ne peux pas en dire autant de l'hiver ! Je suis sûr que j'ai eu un bon nombre de chutes devant des inconnus.  4. On s'adapte mais, comme toute chose, on ne peut pas contrôler le résultat. Avec le temps, on s'adapte, mais il faut se préparer à l'inattendu dans la vie, en vivant n'importe où dans le monde. La troisième année en tant qu'étudiant à St. Thomas peut être décrite par un seul mot : montagnes russes. En mars 2020, la pandémie de coronavirus a frappé, et les frontières de mon pays étaient sur le point de se fermer, si bien que j'ai dû rentrer chez moi sur un vol de dernière minute. Ensuite, j'ai dû terminer les examens de deuxième année en ligne avant de me préparer pour l'été. Nous étions loin de nous douter que ce ne serait que le début d'une longue et épuisante quarantaine. Je dois dire que le soulagement de rentrer auprès de ma famille avant que les choses n'empirent a été la plus grande bénédiction. J'ai passé toute l'année 2020 à me redécouvrir en tant qu'artiste, écrivain et individu. J'ai pu rattraper les deux années que j'ai manquées aux côtés de ma petite sœur. Honnêtement, même si le monde s'écroulait, une partie de moi se sentait si paisible et bénie d'être de retour à la maison. Lorsque les cours ont commencé, et que l'université avait lancé toutes les plates-formes nécessaires pour nous acclimater à la forme d'apprentissage en ligne, je ne savais honnêtement pas à quoi m'attendre. Heureusement, grâce à l'aide des professeurs et des plates-formes numériques interactives, j'ai pu passer au travers et surmonter le manque de motivation que je ressentais. Je crois que cette expérience m'a permis d'apprécier davantage le fait d'avoir accès à une véritable éducation.   En grandissant, je fantasmais sur ma vie à l'université, mais arriver dans un nouveau pays, enfin là pour étudier, était surréaliste. En vérité, personne ne parle des sentiments profonds que suscite un déménagement à 5 000 km de distance dans un autre pays. Il n'y avait aucun moyen de savoir quels seraient les défis à relever en tant qu'étudiant international de première année, ni ce qui allait arriver - alors que le monde luttait contre une pandémie mondiale sans précédent. Aujourd'hui, je suis reconnaissante d'avoir étudié à l'étranger et d'être là où je suis maintenant. Je suis tout près de ma dernière année et je suis impatiente de retourner à St. Thomas pour le semestre d'hiver. Cependant, cette fois, je comprends mieux ce vers quoi je me dirige... et ce que je laisse derrière moi. 

Que vous soyez étudiant ou diplômé, il peut être difficile de trouver un emploi. Le "job hopping" désigne le fait d'avoir travaillé, ou de travailler, à plusieurs postes en peu de temps, et il est devenu plus courant en raison de la pandémie. Avant de trouver une carrière plus stable, les gens peuvent changer d'emploi tout au long de leurs études universitaires ou collégiales, ou après avoir obtenu leur diplôme. En tant que jeune diplômée, mon parcours professionnel ne s'est pas déroulé comme prévu pendant la pandémie, et je me suis retrouvée à occuper différents emplois temporaires. Bien que ce ne soit pas ce que j'avais prévu, j'en ai remarqué les avantages et les inconvénients.  Les avantages de la recherche d'emploi : Vous gagnez un éventail d'expériences : Le jobshopping est l'un des moyens les plus efficaces d'essayer différents parcours professionnels, d'en apprendre davantage sur eux et de déterminer s'ils vous conviennent. Contrairement au bénévolat, vous recevez une compensation monétaire et vous avez plus de rôles et de responsabilités. D'après ma propre expérience, les emplois temporaires et les stages sont également plus indulgents envers les étudiants et les diplômés. Le changement d'emploi est un moyen idéal d'essayer différents rôles et différentes cultures professionnelles, horaires et salaires. Une variété d'expériences et de postes sur votre CV montre désormais aux employeurs votre volonté d'essayer de nouvelles choses, d'élargir vos compétences et de vous adapter. Construire un réseau plus large : La recherche d'un emploi m'a permis, jusqu'à présent, de me constituer un vaste réseau de personnes auxquelles je peux faire appel et demander de l'aide ou des conseils. En travaillant dans des environnements où j'ai rencontré plus de gens - de mes différents superviseurs, directeurs et collègues. J'ai fini par rencontrer des gens que je n'aurais pas pu rencontrer autrement, et ils m'ont offert des perspectives différentes. On m'a également présenté de nouveaux rôles dont j'ignorais l'existence. Vous obtenez l'avantage de différents types de références : Un autre avantage que j'ai tiré de la recherche d'emploi tout au long de la pandémie est que différents superviseurs ont pu faire valoir l'étendue de mes compétences dans les différents postes que j'ai occupés. J'ai maintenant un plus large éventail de forces et d'expériences et je peux m'appuyer sur mes contacts à chaque poste pour me porter garant de mes compétences auprès des employeurs pour divers rôles potentiels. Bien que les références m'aient connu moins longtemps, je me sens reparti avec des perspectives et des conseils différents sur ce que je peux améliorer et sur ce que je sais déjà faire ! Le nombre accru de références disponibles m'a également permis d'avoir une vision plus complète de mes performances. Le fait de ne pas dépendre d'une seule personne pour donner toute l'étendue de mes performances et de mes compétences m'a offert plus de flexibilité pour demander une référence pour un rôle spécifique - comme mentionné ci-dessus, cela vaut son pesant d'or. Libérez-vous en réduisant les contraintes et la stagnation : Le changement d'emploi permet de changer d'entreprise et d'organisation et d'occuper différents rôles - cela va sans dire. Le fait est qu'en faisant cela, il y a moins de possibilités de rester coincé dans la même routine ou le même poste et, par conséquent, de s'en désintéresser. Il y a également moins de contraintes en termes de temps à consacrer. Cela permet également à une personne de s'adapter plus facilement à un environnement changeant, ce qui est essentiel pour construire un plan de carrière à long terme. Les inconvénients du changement d'emploi : Moins de stabilité : Le travail contractuel ou à temps partiel signifie que vous devrez rester en mouvement et maintenir le rythme lorsqu'il s'agit de rechercher de nouveaux rôles et de garder les portes ouvertes. Ce cycle et cet engagement constants peuvent également entraîner des lacunes plus importantes dans un CV - si vous ne trouvez pas un emploi immédiatement après la fin de votre contrat actuel. Si vous devez déménager ou faire la navette pour son travail, cela peut également signifier une moindre stabilité dans l'emploi du temps et le lieu de vie. Cela peut être particulièrement délicat pour les étudiants qui doivent concilier études et travail. Aucune expérience à long terme : Le changement d'emploi implique souvent de changer de rôle et de poste, à moins que vous ne restiez dans les mêmes fonctions, mais dans des organisations différentes. Le fait d'occuper ces postes pendant une courte période peut limiter les emplois futurs, où les recruteurs peuvent rechercher une expérience à plus long terme. Cela peut également amener les employeurs potentiels à vous demander pourquoi le poste vous a laissé partir, ou n'a pas prolongé votre contrat, ou pourquoi vous avez changé d'emploi si souvent. Toutefois, il convient de noter que si vous êtes honnête à ce sujet et que vous pouvez montrer que cette expérience était toujours essentielle et que vous avez les compétences requises, cela peut changer le point de vue des gens. Moins d'avantages : Il est triste de constater que le fait de changer d'emploi signifie que vous avez moins de chances d'obtenir des prestations de santé ou autres, ce qui peut coûter plus cher à long terme. Cela signifie aussi des déjeuners, des jours de maladie et des vacances non payés. Vous ne bénéficiez pas non plus d'augmentations de salaire au fil du temps. Lorsqu'il s'agit de licencier des employés, les travailleurs temporaires sont généralement les premiers à partir. Enfin, les changements d'échelle salariale peuvent aussi être délicats.   Si vous lisez ces lignes et que vous vous inquiétez de la possibilité de changer d'emploi pendant la pandémie et de la façon dont les employés le percevront... ne le faites pas. S'inquiéter ne résout rien, et (surtout) le changement d'emploi est plus fréquent ces derniers temps, donc tout ce que vous avez à faire est d'être honnête avec votre employeur potentiel. Personne n'ignore les effets limitatifs de cette pandémie mondiale sur notre économie globale et la façon dont nous sommes tous touchés. Nous travaillons tous à contre-courant des restrictions et d'une "nouvelle normalité", et les employeurs, enfin les bons employeurs, devraient le comprendre. Cela signifie qu'ils devraient retenir de votre CV que vous vous êtes engagé à vous améliorer et à acquérir de l'expérience et des compétences tout au long d'une période difficile au niveau mondial - que vous êtes résilient. Et s'ils ne le font pas ? Vous pouvez toujours passer à un autre employeur potentiel...   Note de l'éditeur : La recherche d'un emploi pendant une pandémie est très éloignée du "syndrome de la recherche d'emploi", qui consiste à passer d'un emploi à l'autre sans jamais être satisfait de l'endroit où l'on se trouve. Si vous vous sentez ainsi, il est important d'évaluer pourquoi et d'essayer de découvrir comment vous pouvez affiner vos forces vers quelque chose de plus profondément aligné avec votre personnalité - avec ce qui vous rend heureux. :)

Le chef du département de journalisme de l'université St. Thomas parle de sa carrière et de ce que signifie entrer dans le monde de l'emploi.      Dans le monde de l'emploi, il y a toujours eu un certain niveau de concurrence. Cependant, pour trouver votre avantage concurrentiel dans un bassin de candidats surchargé, vous devez posséder les compétences pertinentes que vous avez acquises et pour lesquelles vous avez travaillé. C'est ce que l'on appelle parfois le "gros CV", un CV rempli d'une multitude d'expériences pertinentes. Si vous cherchez à percer dans le journalisme, la concurrence est exceptionnellement élevée car il s'agit d'un secteur où les emplois permanents sont moins nombreux et moins sûrs à long terme. Alors, à quoi ressemble un parcours dans le journalisme, et quels sont les conseils à prendre en compte pour y parvenir ? J'ai rencontré Philip Lee, ancien journaliste et enseignant à l'université St. Thomas, pour répondre à ces questions. Les conseils de M. Lee et son expérience personnelle montrent que la vie ne sera pas toujours ce que l'on attend, mais qu'il faut se lancer et accepter l'échec en cours de route pour réussir.    Q : Comment était-ce de postuler à des emplois à la fin de vos études ?     R : J'ai obtenu un diplôme avec une majeure en lettres classiques. J'ai étudié la poésie grecque et la philosophie de la littérature. Je n'ai pas étudié le journalisme. Donc, après mon diplôme, je suis allée voir un conseiller en emploi et j'ai passé un test. Il a dit que ma seule compétence était l'écriture, puis il a sorti un formulaire d'offre d'emploi pour un journal à Terre-Neuve. C'était au centre de Terre-Neuve, dans un endroit appelé Grand Falls. J'ai postulé et j'ai eu une réponse rapidement. Ils voulaient que je vienne passer un entretien d'embauche, ce que j'ai fait. Par chance, ils m'ont offert un emploi dans un journal appelé Grand Falls Advertiser. C'était un journal bihebdomadaire, et j'ai accepté.     Q : Comment s'est passée votre première expérience professionnelle ?     R : Quand je suis arrivé, je ne savais pas taper à la machine et je ne savais pas non plus comment écrire un article. J'ai dû tout apprendre sur le tas, et j'ai décidé que j'aimais le journalisme. Environ six mois après mon arrivée, j'ai obtenu un nouvel emploi dans un plus grand journal à Saint John, Terre-Neuve, pour un journal appelé Sunday Express - c'était un bon journal. J'y ai fait beaucoup de choses, c'était un bon travail, et j'y ai appris à être journaliste. Je suis resté avec eux pendant plusieurs années. C'est comme ça que tout a commencé.    Q : Quelle est la chose que vous avez le plus appréciée dans votre travail au Sunday Express ?    R : L'un des avantages de travailler pour un petit journal est que j'ai pu faire différents travaux : J'ai appris, j'ai écrit des articles, j'ai même mis en page le journal (j'ai collé les pages ensemble), je suis allé prendre des photos... Je faisais tout ! J'ai beaucoup appris, et rapidement. J'ai appris à compter sur moi-même, à développer des idées et des choses que je n'aurais probablement pas pu faire dans un grand journal, où l'on m'aurait assigné et dit ce que je devais faire.       Q : Avez-vous beaucoup bougé ? Des emplois à temps plein ou à temps partiel ?     R : À mon premier emploi, le salaire n'était pas le meilleur, alors j'ai choisi de déménager dès qu'on me proposait plus d'argent. Chaque emploi m'a appris de nouvelles choses. Il y a des emplois à plein temps, mais l'une des choses que je dirais aux journalistes, surtout aux jeunes journalistes : "Vous devez vous attendre à passer souvent d'un emploi à l'autre, donc quand de nouvelles opportunités se présentent, vous voulez être capable de les saisir." J'étais toujours en train de bouger, d'essayer de trouver de nouvelles opportunités, de travailler pour de plus grands journaux, de gagner plus d'argent.     Q : Y a-t-il eu un moment où vous avez dépassé votre travail ?     R : Il m'arrive de dépasser le poste que j'occupais, mais parfois c'est parce que les choses ont changé. Je pense qu'il est très stratégique de passer d'une opportunité à une autre. Il faut s'y attendre, et c'est une bonne chose. Par exemple, lorsque je travaillais au Sunday Express, il y avait un rédacteur en chef avec lequel j'aimais travailler, et lorsqu'il est parti pour un autre emploi, l'atmosphère a changé et j'étais prête à passer à autre chose.       Q : Les choses se passent-elles toujours comme vous l'aviez prévu ?     R : Je pense que, dans votre vie, vous avez de grandes périodes et d'autres qui ne le sont pas. Vous devez en quelque sorte vous en sortir. Vous n'aurez pas une vie professionnelle, à moins d'avoir beaucoup de chance, où chaque année et chaque emploi seront satisfaisants. Mais, surtout quand vous êtes jeune, vous pouvez vous déplacer pour trouver des opportunités satisfaisantes qui vous rendent heureux.       Q : Comment vos attentes professionnelles ont-elles évolué au fil des ans ? Quelle a été la partie la plus difficile ?  R : Je pense que la chose la plus difficile pour moi a été mon retour au Nouveau-Brunswick, et pendant un certain temps, le journal n'était pas très inspirant. Je faisais des révisions quotidiennes, je me levais tôt, à 5 heures du matin, et je faisais un travail dont je n'étais pas particulièrement fière ou que je n'aimais pas. Peut-être que ce que je voulais, c'était un emploi où je pourrais faire du bon travail et faire le travail que je voulais faire, et non pas travailler pour le plaisir de travailler. J'ai cherché cela. Puis un nouveau rédacteur en chef est arrivé, qui est devenu un mentor et un ami pour la vie ; il a changé ma vie. J'ai eu de la chance, je suis resté assez longtemps dans ce travail, et les choses se sont améliorées. Nous avons fait beaucoup d'excellent travail ensemble. Je pense que si vous ne voulez pas travailler dans un endroit où vous ne pouvez pas être honnête et sincère pour vous-même... vous ne pouvez pas faire un travail auquel vous ne croyez pas. Vous ne voulez pas être confronté à un dilemme moral quotidien.       Q : Pensez-vous que la culture, les croyances, les valeurs, la morale, les objectifs et l'image des entreprises sont importants lorsque vous décidez de travailler avec elles ? Comment cela a-t-il influencé vos choix ?     R : Il n'est pas toujours possible d'aligner la morale, les valeurs et les objectifs d'une entreprise sur le point de vue de quelqu'un... Certains des meilleurs travaux que j'ai effectués appartenaient à une famille multimilliardaire... nous avons fait du bon travail, mais je ne dirais pas que nos valeurs correspondaient. Je crois que c'est important, mais je ne pense pas que ce soit nécessaire. Surtout dans le monde du journalisme, vous devriez pouvoir être indépendant dans le type de contenu que vous faites. Par exemple, le Washington Post appartient à Jeff Bezos, et vous pouvez dire "Amazon ruine le monde. C'est une entreprise terrible."  Je ne dis pas que c'est vrai, mais vous pouvez certainement adopter cette position, ce qui ne signifie pas que le Washington Post n'est pas rempli de bon travail journalistique. Je pense donc que c'est un élément à prendre en compte, car vous ne faites certainement pas un travail de promotion pour votre propriétaire ; vous faites simplement un travail journalistique indépendant.     Q : Pourquoi pensez-vous que les gens se contentent d'emplois médiocres ?     R : Je pense que les gens ne se contentent pas d'emplois médiocres. Cela dépend simplement de la période de votre vie. J'étais à un moment de ma vie où j'avais de jeunes enfants et des factures à payer. Je devais gagner ma vie. J'étais prête à faire ce dont j'avais besoin - c'était ma priorité. Mais je pense que lorsque vous êtes jeune, vous avez plus de liberté pour choisir ce que vous voulez en matière d'emploi et de chômage.   Si vous vous trouvez en conflit avec votre âme, alors vous devriez trouver un autre emploi. Parfois, l'hypothèque, l'assurance maladie, le paiement de la maison... c'est plus important que d'aimer ou de ne pas aimer le travail.   Q : Avez-vous déjà quitté un emploi simplement parce que vous ne l'aimiez pas ?     R : Mon père m'a toujours dit : ne quitte jamais un emploi avant d'en avoir trouvé un autre. La seule fois où j'ai quitté mon travail, c'était pour travailler sur mon livre, mais j'en ai trouvé un autre une fois le livre terminé.  Q : Quelle est, selon vous, l'erreur n°1 que tout le monde commet en postulant à un emploi ?     R : Je pense que ne pas être suffisamment préparé pour l'entretien est un problème que j'ai vu. Vous ne voulez pas y aller sans être préparé. Je pense que beaucoup d'entreprises évaluent l'entretien. Admettons que vous ayez de mauvais résultats, quelle que soit votre expérience, et que vous soyez mis de côté. Vous devez être stratégique, avoir des histoires à raconter ; ayez toujours deux ou trois histoires prêtes à être racontées dans votre tête. Vous devez toujours faire des recherches sur l'entreprise, mais aussi être prêt à montrer qui vous êtes. Il ne s'agit pas de remplir l'espace et de "parler", mais de faire preuve de réflexion.     Pendant l'entretien, les questions sur le salaire, les heures de travail et autres questions de ce type sont valables mais doivent être secondaires. Vous devez toujours parler de ce que vous allez faire, de la façon dont vous allez contribuer à l'entreprise et de la façon dont vous allez leur faciliter la vie. Vous devez leur être utile.       Q : Comment gérez-vous le rejet ?     R : Le rejet. Un travail créatif s'accompagne d'un grand nombre de rejets. Vous avez probablement une idée et vous pensez que c'est une bonne idée, mais quelqu'un d'autre ne pensera pas la même chose. Je crois que si vous donnez le meilleur de vous-même et que vous n'obtenez pas le poste, c'est parce qu'il n'est pas fait pour vous.       Q : Pensez-vous que les attentes en matière d'emploi ont changé entre le moment où vous étiez diplômé et aujourd'hui ? En quoi ?     R : Il y a un problème dans le journalisme pour créer de bons emplois avec un style de vie décent. En tant qu'enseignant, je constate que les diplômés hésitent à travailler dans une salle de rédaction parce que les longues heures et les exigences de ce travail ne correspondent pas à leur style de vie. N'oubliez pas que l'équilibre est important, mais vous pouvez aussi apporter un équilibre à votre travail, travailler autant que possible et garder une vie saine - sans vous laisser dévorer par votre travail. Je n'étais pas très douée pour cela. Je quittais souvent le travail avec mon ordinateur pour continuer à travailler.       Q : Regrettez-vous d'avoir occupé un emploi dans le passé ou récemment ? Pourquoi ou pourquoi pas ?     R : Je ne regrette aucune de mes expériences... que ce soit en prenant ou en quittant un emploi. Je pense que j'ai essayé d'apprendre quelque chose de nouveau à chaque emploi. C'était une expérience d'apprentissage, pour le meilleur et pour le pire. Une chose, quand on est jeune, il ne faut pas s'attacher à un endroit précis. Vous devez être capable de bouger. Alors prenez du temps et ne vous contentez pas d'un emploi. Voyagez, apprenez et voyez le monde.   Q : Au cours de votre parcours, avez-vous rejeté des opportunités d'emploi ? Comment avez-vous su que c'était le bon choix ?     R : On ne sait jamais vraiment si l'on prend la bonne décision en acceptant ou en refusant une offre d'emploi. Je pense qu'il est important d'examiner les options pour vous aider à prendre la meilleure décision possible. Vous n'avez jamais la garantie que les choses seront parfaites ou qu'elles seront comme vous l'attendez. Je pense donc que vous devez être stratégique tout en sachant que vous ne pouvez pas contrôler ce qui se passe.      Q : Êtes-vous heureux dans votre travail actuel ?    R : Il y a 20 ans...le vice-président des études de St. Thomas m'a appelé pour me demander si j'étais intéressé par l'enseignement et le lancement d'un programme de journalisme. Il n'y en avait pas. C'était un programme en partenariat avec un collège communautaire de Woodstock. J'ai donc tenté ma chance, j'ai obtenu un contrat d'un an pour enseigner et travailler à l'élaboration du programme. Pour cela, j'ai dû quitter mon emploi et accepter une grosse réduction de salaire pour venir à la STU, mais j'ai pensé que mon salaire augmenterait plus tard. J'ai donc pris moins d'argent pour un travail que je pensais avoir plus de possibilités. J'étais intriguée par l'idée d'enseigner.       Je suis ici depuis lors, et j'adore ça.       Q : Quel conseil donneriez-vous à la future génération d'étudiants et de diplômés ?      R : Je pense que lorsque vous êtes jeune, il est bon de prendre des risques, d'accepter des emplois qui vous feront sortir de votre zone de confort ; vous finirez par vous installer, mais vous n'aurez pas l'occasion de sauter et de partir, alors prenez des risques. De même, si vous êtes dans une situation où un travail ne vous apporte pas de joie, et je ne parle pas de chaque minute de chaque jour, un tel travail n'existe pas, si le travail ne vous apporte pas de joie, alors vous devriez commencer à chercher un autre travail. Trouvez quelque chose qui vous apporte de la joie, car la vie est courte et avoir de la joie et du bonheur dans sa vie est la chose la plus importante.     Note de la rédaction : Le développement personnel et le fait de se concentrer sur soi-même sont aussi importants que de trouver un emploi qui soulage votre âme et rend votre vie digne d'être vécue. 

La pression financière est un fardeau pour tout le monde - en particulier pour les étudiants de niveau postsecondaire. La pandémie a exacerbé cette pression, créant une pénurie d'emplois et diminuant les perspectives d'emploi en général. Mais, avant de paniquer, il existe des ressources pour vous aider. Vous pouvez financer une partie de vos dépenses d'études postsecondaires en obtenant une ligne de crédit d'une banque ou en demandant des subventions et des prêts provinciaux ou fédéraux. Les bourses d'études sont un autre moyen de financer vos études et, franchement, je crois que c'est l'une des options les plus sous-utilisées. Conseils pour évaluer vos options en matière de bourses d'études Au Canada, la valeur des bourses d'études non réclamées peut atteindre plus de 10 millions de dollars par année (Edwardson, 2021).  Ce chiffre est tellement absurde qu'on se demande pourquoi exactement tous les étudiants ne sautent pas sur cet argent gratuit. L'une des raisons pourrait être que les étudiants ont l'impression de ne pas être assez qualifiés pour être dans la course à une bourse d'études. Lorsque le mot "bourse" vous vient à l'esprit, vous imaginez probablement un concours de rédaction ouvert aux étudiants, où la meilleure rédaction est récompensée par un prix en espèces, ou bien vous considérez que les lauréats de bourses d'études sont des étudiants polyvalents ayant une moyenne de 4,0 et s'impliquant fortement dans leur école ou leur communauté. Toutes ces idées peuvent être intimidantes. En réalité, toutes les bourses d'études ne suivent pas une structure aussi rigide et n'exigent pas d'exploits exceptionnels. Les possibilités de bourses d'études sont offertes par une pléthore d'organisations/entreprises qui exigent un ensemble unique d'exigences - des exigences auxquelles vous n'auriez peut-être pas pensé. Bien que certaines bourses d'études prennent en compte les résultats scolaires, l'expérience de bénévolat ou les activités extrascolaires, ou vous demandent de rédiger un petit essai expliquant pourquoi vous seriez un bon candidat (c'est ce que demandent de nombreuses demandes de bourses d'études financées par des entreprises), d'autres vous demandent simplement de fournir votre CV ou d'entrer vos coordonnées - vous pourriez gagner grâce à un tirage au sort. Oui, les possibilités de bourses d'études se présentent sous diverses formes ! Si vous êtes un étudiant de première année de grande taille et que vous entrez à l'université ou au collège, il existe une bourse pour vous : envisagez de postuler à la bourse de la Tall Clubs International (TCI) Foundation ; pour la taille minimale requise, ils recherchent des femmes mesurant 5'10" et des hommes mesurant 6'2". Pas très orthodoxe ? Peut-être. Mais une opportunité dont vous ne soupçonniez pas l'existence et qui pourrait vous aider à financer vos études - oui ! Obtenir une bourse signifie un soutien supplémentaire au-delà de l'aspect financier La planification de vos demandes de bourses d'études se fait de la même manière que la préparation d'un CV et d'une lettre de motivation. Comme dans le cas d'un CV et d'une lettre de présentation, vous n'inscrirez pas toutes vos activités parascolaires et vos expériences communautaires dans votre demande de bourse. Vous devez prêter attention aux exigences de la bourse et adapter votre demande en conséquence. En outre, le fait de postuler à des bourses d'études peut renforcer votre esprit critique et vous habituer à faire valoir vos qualités. Cela peut se traduire dans la recherche d'un emploi, puisque vous essayez de faire valoir votre employabilité auprès des entreprises ouvertes. En parlant d'employabilité, certaines bourses offrent un mentorat et des activités exclusives (par exemple, des possibilités de réseautage ou de recherche) à leurs bénéficiaires.  Le fait d'avoir un mentor est un atout considérable pour guider directement votre développement professionnel et vous permettre de saisir vos objectifs. Vous avez quelqu'un à qui vous pouvez vous adresser pour poser des questions et faire part de vos préoccupations, alors que vous ne vous sentez peut-être pas à l'aise pour en parler aux autres. Le réseautage ne fait pas de mal non plus.  Entretenir un réseau diversifié de relations peut s'avérer utile pour découvrir des perspectives d'emploi uniques et comprendre les valeurs et les compétences recherchées par les employeurs. Les personnes que vous connaissez peuvent vous mener loin, surtout si vous avez une carrière de rêve en tête ! En outre, l'obtention d'une bourse d'études est un exploit qui vaut la peine d'être inscrit sur votre CV - sans aucun doute. Cela peut être un excellent sujet de discussion lors d'entretiens d'embauche et illustre votre esprit d'initiative pour atteindre vos objectifs.   Il faut bien commencer quelque part Lorsque vous y consacrez du temps et de l'énergie, les bourses d'études peuvent certainement en valoir la peine. Elles offrent de nombreux avantages, non seulement en soutenant financièrement les dépenses d'études postsecondaires des étudiants, mais aussi en les aidant à devenir le candidat idéal pour un emploi. Après avoir vu le bon côté des bourses d'études, il est temps de se demander par où commencer exactement.  Un bon point de départ serait votre établissement d'enseignement postsecondaire. Les collèges et les universités offrent des bourses d'études qui sont réservées aux étudiants qui les fréquentent. Je vous recommande donc de vous adresser à votre établissement pour comprendre la procédure de demande de bourses d'études. Vous pouvez également vous renseigner auprès des membres de votre famille et de vos amis pour savoir s'ils connaissent des organisations ou des entreprises qui offrent actuellement des bourses d'études. Les sites Web de bourses d'études en ligne constituent sans conteste le meilleur outil à votre disposition pour cette chasse aux bourses. Ils permettent d'accéder à des bourses d'études dont vous n'auriez jamais entendu parler autrement. Dans le cadre de ma recherche personnelle de bourses, je recommande l'utilisation de Scholarships Canada, ScholarTree, Student Awards et Yconic.   Je suppose que ce que je veux dire ici, c'est que vous n'avez pas à soutenir financièrement votre parcours postsecondaire seul. Du moins, vous avez des options vers lesquelles travailler. Bien que le fait de se préparer, de soumettre une demande et d'essayer ne signifie pas que vous obtiendrez une bourse, les options sont beaucoup plus nombreuses et variées que vous ne le pensiez. Si vous n'essayez pas, vous ne saurez jamais, n'est-ce pas ? Et ça, mes amis, ça vaut son pesant d'or ! !! Derniers conseils pour décrocher une bourse d'études :     Créez une feuille de calcul ou un calendrier des bourses d'études, des exigences correspondantes et des dates limites.  Assurez-vous de commencer tôt. Prévoyez du temps dans votre emploi du temps pour faire des demandes de bourses d'études. Si vous remplissez les conditions minimales, postulez à autant de bourses que possible. Si les bourses exigent des lettres de recommandation, contactez rapidement vos professeurs d'études postsecondaires pour savoir si elles sont disponibles. S'ils ne sont pas disponibles, essayez de demander à vos anciens employeurs ou à vos superviseurs bénévoles ou parascolaires. Relisez et révisez votre demande de bourse avant de la soumettre. Soyez confiant et fier de vos réalisations, que vous gagniez ou non la bourse. Cela vous motivera davantage à continuer de postuler, et cela transparaîtra dans votre candidature.      

Hélas, la route éreintante de la rédaction d'un CV ! On passe des heures à se tourmenter et à agoniser sur un CV pour les yeux vitreux des futurs employeurs qui parcourent des rames de listes, de dates et de compétences générales. Comment rédiger un CV qui ne se dissipe pas dans l'éther des CV ? Voici dix conseils fréquemment négligés pour aider à attirer l'attention d'un employeur.     1. Un CV basé sur les compétences   Sans réfléchir, beaucoup d'entre nous s'en tiennent à la règle de base : les antécédents professionnels en premier. Mais si vous êtes un étudiant qui postule pour un emploi en dehors de votre expérience professionnelle, envisagez un CV basé sur les compétences. Ici, vos compétences sont énumérées en premier et mises en valeur. Cela montre aux employeurs que vous avez développé des capacités pertinentes par des moyens non traditionnels. Vous êtes peut-être nouveau sur la scène, mais cela ne signifie pas que vous n'êtes pas préparé.   2. Trouvez les mots clés dans les descriptions de poste   Les grandes entreprises utilisent souvent un ATS (Applicant Tracking System), un logiciel qui filtre les CV les plus faibles afin que les yeux humains aient moins à lire. Une façon d'apaiser les robots ATS : incorporez les mots clés de la description du poste dans votre CV (ainsi que dans votre lettre de motivation). Si le poste exige des compétences en "gestion du temps", indiquez comment vous avez réussi à gérer votre temps dans différents emplois. Le SEA verra que votre CV correspond aux exigences de l'employeur. De même, les yeux humains verront que vous avez lu attentivement la description du poste et que vous comprenez sa marque ou ses objectifs. Mais l'équilibre est primordial. Trop de copier-coller donne l'impression d'être paresseux et manipulateur. N'oubliez pas : utilisez votre propre voix !    3. Quantifiez, quantifiez, quantifiez    Parfois, un détail, un simple chiffre, transforme une déclaration terne en quelque chose de plus net. Comparez : "J'ai aidé des étudiants à obtenir de meilleures notes" et "J'ai aidé quarante étudiants à obtenir la note maximale". Cette dernière formule est précise et concrète. Elle montre que vous êtes attentif à votre travail et permet aux employeurs de mieux appréhender vos réalisations.      4. Non aux adverbes/adjectifs   Une vieille vérité d'écrivain : les adverbes et les adjectifs signifient souvent (pas toujours !) un verbe faible. Lorsque l'espace est limité et que votre lecteur ne fait qu'effleurer le texte, la concision est de mise. Quelques mots doivent en dire beaucoup. Trop d'adjectifs et d'adverbes encombrent les phrases et fatiguent les yeux. Au lieu de dire : "J'ai réussi à faire des prédictions très précises sur les résultats", dites simplement : "J'ai prédit les résultats". Tout le reste est inutile.    5. Oui aux verbes d'action   Les verbes d'action décrivent, eh bien, l'action - ce qui se passe. Ils sont dynamiques, percutants et engageants. Au lieu d'écrire : "Grâce à mon influence, le club de mathématiques est redevenu populaire", écrivez : "J'ai revitalisé le club de mathématiques". "Revitalisé" attire l'attention des lecteurs. C'est plus direct et plus sophistiqué.      6.  Évitez les clichés   Des clichés tels que "joueur d'équipe" et "travailleur acharné", aussi vrais soient-ils, suggèrent que vous n'avez pas pris le temps d'écrire quelque chose d'original. Trouvez le langage de votre propre voix, et non celui d'un millier d'autres CV. Soyez précis : en quoi étiez-vous un travailleur acharné ? Qu'est-ce qui différencie votre travail acharné de celui des autres ? Cela dit, évitez l'autre extrême : la rédaction au thésaurus. Dans le contexte d'un CV, "travailleur indomptable" semble forcé et quelque peu prétentieux.    7. Énumérez les travaux bénévoles   Selon certaines idées reçues, seules les personnes ayant peu d'expérience professionnelle devraient mentionner les expériences de bénévolat, mais cela a changé. Oui, le travail bénévole peut montrer que vous avez acquis des compétences pertinentes ; il peut également suggérer quelque chose sur votre intégrité en tant que personne. Les employeurs dignes de ce nom recherchent des employés qui ne se soucient pas uniquement de leur réussite financière.   8. Énumérez vos réussites, pas vos tâches   Dire que vous avez construit une table ne prouve pas que vous êtes bon à construire des tables. Dire que vous avez construit une table qui a été primée le fait.      9. Mettez en avant le travail à distance   Les possibilités d'emploi à distance étant de plus en plus nombreuses, de nouvelles compétences sont nécessaires. Avez-vous dirigé une réunion Zoom ? Avez-vous travaillé de manière indépendante depuis votre domicile ? Pensez à mettre en valeur votre travail à distance dans votre CV.       10. Soyez clair   Lorsque vous mettez en forme, ne faites pas preuve de créativité. Gardez les choses au minimum, directes et cohérentes. Vous ne pouvez pas vous tromper avec des marges de 1 pouce, une police de 12 points et Times New Roman. Si vous voulez un peu de piquant pour sortir du lot, restez subtil et cohérent. Faites tout ce qui est possible pour amortir les yeux fatigués de l'employeur. N'oubliez pas qu'en peu de temps, vous voulez qu'il sache qui vous êtes et ce que vous offrez. Des bordures fantaisistes, des polices de caractères bizarres et une pléthore de mots accentués sont fatigants et non professionnels. Un CV bien structuré démontre votre capacité à structurer les choses. L'esthétique de votre CV est la première impression que vous donnerez.   

Pendant mes trois années d'université, j'ai décidé de travailler à temps partiel. J'ai occupé divers postes, allant de celui de flotteur pour le homecoming à celui de caissier, en passant par celui d'hôte d'espace d'étude et d'assistant de recherche. D'après mon expérience personnelle, cela m'a donné la chance d'explorer différents domaines tout en me procurant un revenu. J'ai trouvé cela très agréable ! Bien sûr, je voulais approfondir les avantages et les inconvénients du travail pendant les études postsecondaires. Je suis sûre que de nombreux étudiants envisagent cette idée alors que l'année scolaire approche à grands pas.  Avantages de travailler pendant les études universitaires ou collégiales    1. Améliorer la gestion du temps   Ce qui m'a vraiment aidé à gérer mon temps, c'est l'utilisation d'un agenda virtuel. Lorsque je suis entrée à l'université, j'ai trouvé Notion, un espace de travail en ligne à usage multiple, au design concis et à la mise en page conviviale. Au début de chaque année scolaire, j'utilisais Notion pour créer un modèle de calendrier hebdomadaire où j'insérais tous mes horaires de cours, de laboratoires, de tutorats, de sessions d'étude, et où je bloquais du temps pour mes quarts de travail. A partir de là, j'avais une idée de la quantité de temps libre dont je disposais.      2. Une meilleure compréhension des finances personnelles    Lorsque vous commencez à gagner de l'argent pour vous-même, vous vous rendez compte que votre argent peut partir aussi vite que vous l'avez reçu. D'après mon expérience, cette prise de conscience vous rend plus conscient de vous-même et vous pousse à penser aux finances à long terme. Même s'il y a de nouveaux vêtements qui vous font de l'œil, par exemple, le paiement du loyer du mois prochain est votre priorité absolue ! (Croyez-moi, vous commencerez à voir l'argent que vous économisez par rapport à celui que vous dépensez). Pour aller plus loin, cela pourrait être l'occasion non seulement d'épargner mais aussi d'envisager des options d'investissement. Si vous faites vos recherches et que vous ne faites pas de choix sous le coup de l'émotion, vous avez la possibilité de réaliser des gains à long terme - cool, non ?     4. Source de revenu et expérience professionnelle  Travailler à temps partiel vous assure un revenu fiable qui peut être utilisé pour payer les frais de scolarité et les factures.  Selon le montant dont vous disposez, vous pouvez économiser de l'argent (comme mentionné ci-dessus) ou faire des folies (de temps en temps). Le fait de disposer d'un revenu pendant vos études universitaires peut également vous aider à créer un fonds d'urgence en cas d'imprévu. Ce sont des avantages plus apparents, mais cela vaut la peine d'être noté. 5. Croissance et développement personnels  Au début de mes études universitaires, je me considérais comme une personne introvertie et réservée. Ce n'est que lorsque j'ai commencé à travailler dans le service clientèle que je me suis sentie plus à l'aise pour interagir avec les autres. J'ai commencé à devenir plus accessible et amical. J'aimais parler avec de parfaits inconnus et j'étais moins anxieuse. Le fait de travailler à temps partiel en tant que responsabilité m'a donné un regain de confiance en sachant que je peux me mettre au défi de faire de mon mieux et de me pousser vers de plus hauts sommets. Même si vous n'avez jamais travaillé, vous éprouvez un sentiment d'accomplissement personnel similaire à celui que procure le fait d'occuper un poste de direction dans un club ou de jouer dans une équipe sportive.  Les inconvénients du travail à l'université ou au collège 1. Des horaires stressants  Bien que je ne me souvienne pas d'avoir connu ce problème moi-même, certains employeurs peuvent être assez rigides dans leurs horaires. Il se peut donc que vous ayez un double emploi du temps et que vous deviez choisir entre manquer un poste ou manquer un cours. Cela ressemble à une situation perdante où vous auriez mieux fait de ne pas trouver de travail pendant vos études.  Si vous arrivez au stade de l'entretien d'embauche, n'oubliez pas de parler à votre interlocuteur de votre participation aux études. Si certains magasins ou entreprises sont stricts sur les horaires, d'autres sont indulgents et reconnaissent que leurs employés ont d'autres responsabilités à assumer.  2. Plus de travail, moins de loisirs  Même si votre employeur est assez souple en matière d'horaires, le travail occupe toujours une part considérable de votre temps. Si certains étudiants peuvent être extrêmement assidus dans la gestion de leur temps, d'autres peuvent ne pas suivre. Travailler à temps partiel se fait au détriment des sorties avec les amis ou même des études ; c'est un choix qui demande des sacrifices. Pour ma part, j'aime m'impliquer dans les activités parascolaires. Je reconnais que le fait de travailler à temps partiel m'a parfois empêché de participer à des événements ou activités de club que j'aurais voulu. J'avais l'impression de manquer quelque chose lorsque mes amis en parlaient après coup. Si je peux vous faire une recommandation, vous pouvez viser un emploi saisonnier pendant l'été (un emploi à temps partiel ou à temps plein). En supposant que vous ayez terminé vos cours en avril, vous aurez la possibilité de travailler pendant trois ou quatre mois. Lorsque vous retournerez à l'école en septembre, vous aurez économisé un peu d'argent et vous vous soucierez moins de trouver un emploi pendant vos études.    3. Probabilité d'épuisement professionnel  Chaque fois que je devais fermer mon poste de nuit, j'essayais d'étudier un peu avant d'aller me coucher. Malgré cette attente, il m'arrivait de sous-estimer à quel point mon corps était épuisé par les responsabilités de mon emploi à temps partiel. Je finissais par aller directement au lit après mon quart de travail. Au réveil le lendemain matin, je regrettais ma décision. Il m'est arrivé aussi de ne pas assister à mes cours du matin, simplement parce que j'étais épuisée.  Ce sentiment d'épuisement peut également provenir du fait d'essayer de jongler avec diverses responsabilités. Parfois, nous avons tendance à être pris dans ce cycle possible d'école, de travail, de sommeil et de répétition. Lorsque nous passons à l'action pendant si longtemps, nous avons tendance à nous concentrer sur ce que nous faisons et à miner le bien-être de notre corps. L'épuisement peut survenir lorsque, malgré nos compétences en matière de gestion du temps, nous mordons simplement plus que nous ne mâchons. N'oubliez pas que nous ne sommes pas des robots ! Nous n'avons qu'un seul corps et qu'un seul esprit, et nous devons donc veiller à notre bien-être physique et mental dans la mesure du possible.    4. Contre-productif  Il serait utile que vous sachiez si travailler pendant vos études postsecondaires vaut la peine pour vous, en fin de compte. Certains programmes d'études, comme les sciences de la santé, peuvent être exigeants en termes de matériel pédagogique et nécessiter plus de temps pour les assimiler. Bien que ces programmes puissent s'avérer un défi pour le moment, vos efforts peuvent être récompensés par l'obtention des notes nécessaires à la poursuite de stages ou même d'études supérieures. Étant donné que le fait de travailler pendant les études peut vous faire perdre du temps précieux pour terminer vos cours ou étudier, vous devriez reconsidérer votre tentative de travailler pendant l'année scolaire. Si votre emploi sape vos efforts scolaires actuels, alors laissez tomber.    Il en va de même pour les étudiants dont la situation financière est déjà établie. Ces étudiants disposent peut-être déjà des économies nécessaires pour payer leurs dépenses annuelles. À moins qu'ils ne cherchent à gagner de l'argent supplémentaire, ces étudiants ne seraient pas enclins à passer leur temps à travailler.    Le plus important, c'est de savoir si vous trouverez l'emploi intéressant. Je n'avais pas besoin de trouver un emploi pendant mes études, mais j'ai décidé de le faire. J'ai pensé que cela aurait été une excellente façon d'occuper mon temps et d'améliorer mes compétences. Même si je n'ai pas le temps de socialiser ou de fréquenter les clubs, cela ne m'enlève rien à ma satisfaction. Si vous ne voulez tout simplement pas travailler parce que vous ne voulez pas assumer une responsabilité supplémentaire ou si vous voulez avoir plus de temps pour être avec vos proches, alors travailler pendant les études n'est pas pour vous.    La plus grande leçon à retenir    Travailler pendant les études postsecondaires comporte des avantages et des inconvénients. En fin de compte, c'est à vous de décider si un emploi en vaut la peine pour vous.    Néanmoins, il est bon de commencer tôt à se préparer à entrer sur le marché du travail. À ma connaissance, la plupart des universités offrent un centre d'orientation professionnelle où un personnel compétent fournit un soutien en matière d'emploi. Je vous recommande certainement cette ressource pendant vos études. Dans mon université, on organise divers ateliers sur des sujets tels que la rédaction d'une lettre de motivation ou d'un curriculum vitae et le réseautage. Le centre de carrière organise également des panels de conférenciers où des professionnels de secteurs tels que la communication ou le développement durable donnent leur avis sur le développement de leur carrière. Même si vous n'êtes pas à la recherche d'un emploi pour le moment, le personnel du centre d'orientation professionnelle peut vous aider à évaluer vos aspirations futures et vous aider à établir un plan pour votre réussite future.     

De nombreuses options de carrière à distance et virtuelles ne vous laisseront pas coincé dans le même bureau (plus de 8 heures par jour). Que vous cherchiez un moyen de gagner de l'argent tout en restant assis sur une plage à Bali, que vous soyez attiré par le mode de vie du travail à domicile ou que vous recherchiez simplement une carrière adaptée au COVID, voici dix rôles qui vous permettent de vivre et de travailler de n'importe où dans le monde ! 1. Rédacteur indépendant Qu'il s'agisse de blogs, de reportages, de rédaction de contenu ou de toute autre activité, la rédaction en freelance est une excellente option pour ceux qui ont d'excellentes compétences en communication écrite. Non seulement le travail en lui-même est flexible, mais le salaire l'est aussi. Selon votre sens de l'organisation et la quantité de travail que vous êtes prêt à accepter, le montant que vous gagnerez dépendra de vous. Salaire : $42,938 2. Tuteur virtuel Si vous avez un don pour l'éducation ou si vous connaissez bien un sujet spécifique, le tutorat virtuel peut être une option intéressante pour vous. En vous donnant la possibilité de travailler sur des sujets, des tranches d'âge et des niveaux de compétence très différents, ce rôle est accessible à presque toute personne ayant des compétences ou une expérience dans l'enseignement. Salaire : $39,000 3. Concepteur graphique Ce poste exige un sens aigu de la créativité et une bonne connaissance de la technologie, mais il est généralement assorti de la possibilité de travailler à distance. Le graphiste crée des concepts visuels et des images pour attirer le public cible de son client, comme des logos, des sites Web, des couvertures de magazine, etc. Salaire : $45,000 . 4. Assistant virtuel Un assistant virtuel travaille essentiellement en tant qu'assistant exécutif ou administratif à domicile (ou à distance). Comme pour la plupart de ces postes à distance, il est indispensable de maîtriser la communication et d'avoir confiance en soi pour travailler de manière indépendante. Les responsabilités typiques comprennent la gestion des courriels et l'organisation des voyages. Salaire : $48,000 5. Développeur de sites Web Si vous avez des compétences en conception graphique et en programmation informatique, envisagez un rôle de développeur de sites Web. Vous serez responsable du codage et de la mise en page du site Web d'un client - une autre excellente option pour les personnes qui connaissent bien la technologie. Salaire : $53,762 6. Consultant en médias sociaux Ce rôle exige un solide savoir-faire en matière de médias sociaux et la capacité de commercialiser une marque, un personnage ou une idée avec succès. Vous devez être créatif et en phase avec le public cible de l'entreprise. Ce rôle implique de collaborer avec le personnel de vente/marketing, de publier du contenu écrit et visuel, et de recommander de nouvelles idées et améliorations.  Salaire : $65,325 7. Traduction en ligne Vous parlez couramment une deuxième langue ? Alors pourquoi ne pas profiter de vos précieuses compétences linguistiques ? Les responsabilités comprennent la traduction de textes ou d'enregistrements audio et la garantie que les pièces nouvellement traduites transmettent le sens et le ton appropriés. Salaire : $53,138 8. Professeur d'anglais langue seconde en ligne L'enseignement de l'anglais comme deuxième langue est le travail de rêve de nombreux nomades et constitue un excellent moyen de vivre, de travailler et de voyager dans une myriade de pays différents. De nombreux professeurs d'anglais langue seconde ont un diplôme en anglais, ainsi qu'une certification ESL ou TESOL. Une fois que vous êtes qualifié, la forte demande d'enseignants d'ALS signifie que le monde est votre huître. Salaire : 42,800 9. E-Designer d'intérieur Bien que la décoration d'intérieur semble être une carrière pratique, de nombreux designers d'intérieur travaillent à distance, ce qui leur permet de toucher une clientèle internationale. En tant que designer d'intérieur électronique, vous développerez des plans et des modèles 3D qui correspondent à la vision et aux souhaits du client. Salaire : $48,750 10. Comptable La comptabilité est un rôle à fort potentiel de croissance et peut être exercée à distance, tant pour les postes de débutants que pour les postes supérieurs. Le rôle consiste principalement à examiner ou à préparer les comptes financiers des entreprises et des particuliers tout en veillant à ce qu'ils soient conformes aux lois et aux règlements.  Salaire : $56,544  

Lorsque l'on pose la question "Que puis-je faire avec mon diplôme d'anglais ?", les premières carrières qui viennent à l'esprit sont souvent celles d'écrivain, de bibliothécaire ou d'enseignant. Bien qu'il s'agisse d'excellentes options pour de nombreux diplômés en anglais, elles ne font qu'effleurer les carrières possibles pour une personne titulaire d'un diplôme d'anglais. Les compétences générales et transférables (telles que la communication et la pensée critique) développées en tant que major en anglais signifient que les diplômés en anglais sont présents dans presque tous les secteurs. Alors, que pouvez-vous faire avec un diplôme d'anglais ? Cet article présente cinq carrières moins typiques (avec les salaires) que vous pourriez envisager en tant que diplômé en anglais.  1. Cadre en marketing  Si vous avez un flair créatif et que vous appréciez le côté analytique et basé sur la recherche de votre spécialisation, vous pouvez envisager une carrière dans le marketing.  En tant que responsable du marketing, vous devrez produire un contenu créatif et accrocheur pour aider à faire campagne et à promouvoir un produit ou un service, comme des vidéos et des articles de blog. En fin de compte, l'objectif est de contribuer à développer et à faire connaître la marque et l'éthique de l'entreprise.  Les autres responsabilités comprennent la réalisation d'études de marché, la rédaction et la relecture de textes marketing pour les campagnes et l'établissement de relations avec les clients.  Pour réussir dans cette fonction, vous devrez faire preuve de créativité et d'esprit d'analyse, avoir de fortes capacités interpersonnelles pour assurer une liaison efficace avec les clients, et posséder une conscience commerciale complète.  Salaire médian: Responsable marketing: $51,202, Directeur marketing: $64,065          2. Ressources humaines  L'objectif général d'un responsable des ressources humaines est de s'occuper des employés en leur offrant des possibilités de formation adéquates et en traitant les griefs sur le lieu de travail.  Les responsabilités d'un responsable des ressources humaines comprennent la promotion de la diversité et de l'égalité, l'application des politiques du lieu de travail, le recrutement et la garantie du bien-être de l'ensemble du personnel.  En tant qu'assistant en ressources humaines, une communication efficace (à la fois écrite et verbale) est essentielle - un domaine où les majors anglaises brillent ! Vous devrez également posséder de solides compétences interpersonnelles, car les employés devront sentir qu'ils peuvent s'adresser à vous pour discuter de questions personnelles, confidentielles et, souvent, sensibles.  Salaire médian: assistant RH : $41,500, directeur RH : $70,721           3. Gestionnaire/planificateur d'événements  Si vous vous sentez à l'aise dans un environnement où les activités se déroulent à un rythme rapide et que vous avez de solides compétences interpersonnelles et organisationnelles, envisagez une carrière dans la gestion d'événements.  Les principales responsabilités d'un gestionnaire d'événements consistent à produire des propositions d'événements, à rechercher des lieux, à négocier avec les clients et les fournisseurs, à gérer le personnel et, en somme, à s'assurer que l'événement en question se déroule sans heurts et dans le respect du budget. Les gestionnaires d'événements sont généralement engagés par des sociétés telles que des hôtels, des organismes de bienfaisance et des associations commerciales, mais certains sont indépendants et travaillent sur la base de projets individuels.  Une excellente communication et le souci du détail sont les clés du succès dans ce rôle. Un gestionnaire d'événements doit également posséder de solides compétences organisationnelles, des capacités de résolution de problèmes et de l'expérience en gestion de projets.  Salaire médian: $53,462          4. Technicien juridique/assistant juridique  Bien que certains diplômés en anglais poursuivent leurs études pendant trois ans pour devenir avocats, il existe d'autres voies moins rapides (et moins coûteuses) vers le domaine juridique ! Si vous êtes diplômé en anglais et que vous souhaitez faire carrière dans le droit, mais que vous n'êtes pas certain de pouvoir obtenir un diplôme d'études supérieures, vous pouvez envisager une carrière d'assistant juridique.  Les responsabilités d'un parajuriste varient grandement en fonction du type d'employeur. Néanmoins, elles comprennent généralement la rédaction et la correction de documents juridiques, l'interrogation de clients et de témoins, l'analyse de données juridiques et le soutien dans la salle d'audience lors d'audiences et de procès.  Pour réussir dans ce rôle, vous devrez avoir le souci du détail et être à l'aise avec la technologie. Une communication efficace (comme dans les autres rôles dont nous avons parlé) est également essentielle.  Pour devenir un parajuriste au Canada, vous devrez obtenir un diplôme de parajuriste, qui peut être obtenu en aussi peu que 12 mois.  Salaire médian: $53,409   5. Relations publiques (RP)  Si vous avez l'esprit vif, que vous êtes capable de vous adapter et que vous pouvez vous débrouiller sous pression, vous pourriez envisager un rôle dans les relations publiques.   En général, un agent de relations publiques utilise toutes les formes de communications et de médias pour gérer l'image et la réputation de son client. Ces clients peuvent être des entreprises ou des organismes publics.  Les responsabilités d'un poste en relations publiques comprennent la planification et la mise en œuvre de stratégies de relations publiques, la recherche et la distribution de communiqués de presse aux médias ciblés, le suivi des opportunités médiatiques et la gestion des plateformes de médias sociaux.   Pour réussir dans ce rôle, vous devrez faire preuve d'excellentes compétences interpersonnelles et rédactionnelles, d'organisation et de créativité.   Salaire médian: $65, 908   Si vous êtes titulaire d'un diplôme d'anglais, vous serez un candidat de choix pour des postes dans divers secteurs. Si aucune des carrières ci-dessus ne vous intéresse, il existe de nombreuses autres possibilités à envisager. Parmi les autres possibilités, citons les carrières multiples en psychologie (avec des études supplémentaires), les médias et le journalisme, l'édition, la rédaction en free-lance et la traduction.   Toutes les informations sur les salaires médians proviennent de payscale.com.       

Travailler un emploi est devenu une partie intégrante de nos vies. C'est comme si le fait de trouver un emploi à temps plein après avoir obtenu un diplôme d'études postsecondaires était un "rite de passage" vers l'âge adulte. Lorsque nous réfléchissons aux raisons précises pour lesquelles nous nous efforçons de travailler, l'une des principales raisons est d'alléger nos obligations financières imminentes. D'autres réponses courantes sont l'accomplissement du but de notre vie ou la satisfaction du travail accompli.  Motivations pour le travail  Avant toute chose, je tiens à souligner l'importance des raisons qui poussent les gens à travailler. Richard Ryan et Edward Deci étaient tous deux professeurs à l'université de Rochester. Ils ont co-publié le livre "Intrinsic Motivation and Self-Determination in Human Behavior", qui porte sur les motivations internes et externes d'un être humain et leur application à certains aspects de la vie (McGregor & Doshi, 2019). L'un de ces aspects qu'ils ont couvert est le travail. Ils ont pu compiler six raisons pour lesquelles les gens travaillent, ces raisons comprennent :          1. Potentiel  Si vous êtes motivé par votre potentiel, vous percevez votre travail comme une avenue pour élever vos capacités et atteindre votre plein potentiel. Par exemple, un caissier de magasin se sentira enclin à fournir de bonnes performances au travail car il pense pouvoir obtenir un poste plus élevé de directeur de magasin en travaillant à la réalisation de son potentiel.        2. Le jeu   Si vous êtes motivé par le jeu, vous avez tendance à travailler parce que vous trouvez le travail divertissant. Par exemple, un vétérinaire qui aime s'occuper des animaux appréciera son travail.         3. Objectif  Si vous êtes motivé par le but, il y a une forte concordance entre le résultat du travail et votre identité. Vous reconnaissez l'importance du travail car il est en résonance avec votre épanouissement personnel. Par exemple, un agent de police peut s'identifier à son travail car il accorde de l'importance à la moralité et à la justice. De plus, un agent de police peut s'identifier à son intention d'assurer la sécurité de ses citoyens.       4. La pression économique  Si vous êtes motivé par la pression économique, vous êtes poussé à travailler par une force ou des circonstances externes qui dépendent fortement de l'argent. Ces facteurs de stress d'origine économique comprennent le paiement du loyer mensuel ou la nécessité de subvenir aux besoins de votre famille.         5. La pression émotionnelle  Si vous êtes motivé par la pression émotionnelle, vous semblez travailler alors que des forces/ circonstances extérieures menacent votre identité et votre bien-être. Ces forces extérieures exercent une pression émotionnelle, qu'il s'agisse de la culpabilité de vos actions passées ou de la peur de ne pas avoir de toit au-dessus de votre tête.         6. Inertie  Si vous êtes motivé par l'inertie, vous n'avez franchement pas de raison précise pour laquelle vous travaillez. Dans ce cas, il est difficile de mettre des mots sur ce qui vous motive exactement.  Certaines tendances intéressantes se sont dégagées concernant ces motivations professionnelles. Nous pouvons classer ces six raisons en deux groupes. Le premier groupe comprend le potentiel, le jeu et le but. Des recherches ont confirmé que le fait de posséder l'une des motivations du premier groupe peut améliorer vos performances globales. Le second groupe comprend la pression économique, la pression émotionnelle et l'inertie. À l'inverse, les recherches ont montré que le fait de posséder un motif du deuxième groupe peut nuire à vos performances globales.    Les emplois dans l'activisme  Compte tenu de ces motivations, je pense qu'il existe une demande croissante d'emplois liés à l'activisme. Avec l'utilisation généralisée de la technologie, qui relie les gens et les événements à l'échelle mondiale, nous pouvons transcender les frontières et les limites. Nous avons également pris conscience des problèmes sociaux et sommes devenus déterminés à faire avancer les choses face aux épreuves du monde. Aujourd'hui, les métiers de l'activisme n'ont pas une image concrète de ce qu'ils impliquent, contrairement aux descriptions de poste d'un enseignant ou d'un scientifique, par exemple. Le militantisme, en soi, est un concept tellement vaste et abstrait. Les emplois liés au militantisme et les rôles dans ce domaine n'existent pas dans le même secteur d'activité et n'exigent pas les mêmes compétences. Le principe clé qui sous-tend les deux est que les militants surmontent les obstacles pour favoriser un changement positif dans la société. Compte tenu de tout cela, les personnes intéressées par des rôles dans le domaine de l'activisme ou des domaines connexes doivent être fermement résolues à travailler dans un but précis et à faire une différence dans la vie des autres. Je vais passer en revue ci-dessous quelques emplois qui font appel à ces éléments de militantisme.  Travailleur social  Les travailleurs sociaux ouvrent la voie à leurs patients lorsqu'il s'agit de naviguer dans leur vie quotidienne. Ils reconnaissent que leurs patients peuvent être confrontés à des obstacles importants, et s'efforcent donc de leur fournir les ressources nécessaires pour surmonter ces obstacles. Les travailleurs sociaux élaborent et suivent le plan de traitement d'un patient, orientent les patients vers des initiatives communautaires appropriées, mènent des recherches pour établir des liens entre les difficultés de leurs patients et les problèmes sociaux généraux, et effectuent un travail administratif. Ils opèrent sous diverses catégories telles que la vie familiale, l'école, la santé mentale, etc.  Le travail social est un secteur d'emploi qui est fortement lié au militantisme. Les professionnels du travail social plaident en faveur du changement, notamment pour les groupes marginalisés, et travailler pour accroître l'accessibilité de ces groupes aux services et ressources préexistants.   Emplois d'activisme dans le travail social    Spécialiste de la protection de l'enfance  Conseiller en santé mentale  Aide à la gestion des cas  Superviseur du comportement  Analyste politique  Les analystes politiques cherchent à mettre en œuvre des initiatives politiques durables et significatives. Pour atteindre cet objectif, ils sont censés faire ce qui suit :   Évaluer l'efficacité de la législation politique actuelle. Mener des recherches approfondies. Consulter des parties prenantes tierces. S'assurer que leurs recommandations politiques correspondent bien aux objectifs fixés. Vous pouvez vous spécialiser dans un domaine particulier en tant qu'analyste politique. Si vous êtes intéressé par l'amélioration des soins de santé, vous pouvez envisager de devenir analyste des politiques de santé. Si vous êtes intéressé par l'amélioration de l'éducation, vous pouvez chercher à devenir un analyste des politiques éducatives - et ainsi de suite.   Les analystes politiques possèdent un élément d'activisme lorsqu'ils appliquent des lois/recommandations pour traiter les problèmes sociaux de manière efficace. Fait peu connu, l'analyse des politiques est considérée comme un domaine juridique. Outre le devoir de faire respecter la loi et d'exercer la moralité dans la société, les professions juridiques sont chargées de protéger les droits des citoyens vulnérables et d'établir des sanctions appropriées pour ceux qui ne respectent pas ces droits et les mettent en danger.    Emplois d'activistes en droit  Avocat(e)  Agent de probation  Procureur  Lobbyiste du gouvernement  Photojournaliste  Une image vaut 1 000 mots. En tant que photojournaliste, vous avez l'intention de capturer le récit captivant d'événements importants en prenant des photos. En plus de cela, il doit élaborer des légendes pour ses photos. Ce métier semble certainement plus accessible qu'il n'y paraît. Selon la vision du photojournaliste, il peut être nécessaire de voyager dans différents pays pour avoir un aperçu authentique de ces événements. Bien sûr, ces événements peuvent être bons (par exemple, l'inauguration présidentielle) ou mauvais (par exemple, une catastrophe naturelle). En outre, la combinaison d'éléments visuels (couleur, taille, proportion) peut rendre compte d'une dynamique engageante entre des individus notables et d'émotions vives. Il faut un talent créatif pour exceller dans ce domaine. Pour en revenir à un point précédent concernant l'utilisation généralisée de la technologie, celle-ci a perturbé les moyens traditionnels du photojournalisme par le biais des journaux. Par ailleurs, les médias sociaux diffusent plus rapidement ces images percutantes tout en suscitant une conversation en ligne pour des milliers de personnes qui sont invitées à s'engager librement.  Les emplois dans les médias sont cruciaux pour l'activisme. Ils permettent d'enregistrer ces moments précieux du présent. Dans des années, nous pourrons regarder ces photographies ou ces écrits archivés comme des preuves d'événements passés. Plus important encore, le matériel archivé peut être une ressource pédagogique permettant aux citoyens de réfléchir à la nature à double facette de l'humanité. Lorsque le "bon côté" est capturé dans les événements mondiaux positifs, nous pouvons être plus reconnaissants. Avec le "mauvais côté" capturé, nous pouvons réfléchir et veiller à ce que l'histoire ne se répète pas à partir d'événements mondiaux négatifs.   Emplois d'activisme dans les médias  Réalisateur de documentaires  Rédacteur de biographies  Reporter d'actualités  Responsable des médias sociaux  Devenir directeur de collecte de fonds  Un directeur de collecte de fonds travaille généralement au sein d'une organisation à but non lucratif (OBNL). Il travaille sur le plan financier et est responsable du suivi des tendances de la collecte de fonds d'un OSBL. Dans le cadre de cette responsabilité, le directeur doit réfléchir à des stratégies de collecte de fonds efficaces à mettre en œuvre dans la communauté locale, créer des relations positives avec les parties prenantes (par exemple, les sponsors d'événements, les entreprises de médias, les donateurs) et préparer des documents cruciaux (par exemple, des déclarations budgétaires, des communiqués de presse).   Les directeurs de collecte de fonds peuvent déterminer l'existence des OBNL. Si ces OBNL ne peuvent pas obtenir de subventions gouvernementales ou si les subventions ne peuvent pas couvrir tous les coûts nécessaires, les membres de l'OBNL doivent trouver d'autres formes de revenus. Leur argent peut provenir de marchandises, de frais d'adhésion et surtout de dons. En se concentrant sur la longévité de ces OBNL, ces organisations peuvent organiser des événements et des initiatives communautaires qui peuvent sensibiliser aux problèmes sociaux tout en aidant les groupes défavorisés de la communauté. Après tout, tout revenu supplémentaire réalisé par ces OBNL est destiné à être reversé et à aider la communauté de toutes les manières possibles.    Emplois d'activisme dans le secteur sans but lucratif  Rédacteur de subventions  Travailleur de proximité  Responsable des services administratifs  Responsable d'événements  Sur ce, je voudrais insister sur le fait que vous n'avez pas à attendre. Vous n'avez pas à attendre d'obtenir un emploi lié à l'activisme pour donner à votre communauté. Vous pouvez le faire en faisant du bénévolat dans une organisation communautaire locale ou même en faisant des dons. En outre, la quantité d'informations disponibles est incroyable. Nous devons utiliser ce privilège de la connaissance pour comprendre les circonstances sous-jacentes des problèmes sociaux, comment ils varient d'un pays ou d'un continent à l'autre et s'il existe des mécanismes préexistants pour atténuer ces problèmes sociaux. Nous ne pouvons pas nous attaquer à un problème par la naïveté et l'ignorance. Cependant, il y a un autre point que je souhaite aborder. Au début de cet article, j'ai mentionné qu'il existe différentes motivations pour travailler. Même si vous n'êtes pas intéressé par une carrière liée à l'activisme, je veux que vous sachiez que vous devriez choisir un travail qui vous épanouit. Rappelez-vous, au début de cet article, que si vous êtes motivé par le potentiel, le jeu et le but, vous obtiendrez de meilleurs résultats. Beaucoup d'entre nous se sont retrouvés dans une situation où nous étions enclins à faire un travail spécifique simplement parce qu'un ami ou un membre de la famille voulait que nous le fassions. Même si le travail ne nous convenait pas, nous avons essayé de suivre une voie spécifique par peur de décevoir nos proches.    Comment voulez-vous tirer profit de votre travail si vous le trouvez banal et épuisant ? S'en tenir à un travail qui ne vous plaît pas ou qui ne vous épanouit pas est un regret qui vous ronge. Chacun a ses propres aspirations qu'il veut atteindre. Aucune ambition n'est meilleure que celle d'un autre. Elle est relativement basée sur la personnalité et les compétences d'un individu. Même si vous n'avez pas l'intention d'occuper un emploi lié à l'activisme, nous devons tous finir par défendre l'avenir que nous souhaitons face à l'âge adulte.    Travaillez à votre objectif, et ne vous découragez pas.    ---- Travaux cités  McGregor, L., & Doshi, N. (2015, November 25). Comment la culture d'entreprise façonne la   Motivation des employés. Récupéré de   https://hbr.org/2015/11/how-company-culture-shapes-employee-motivation    

Ah, le réseautage ! Peut-on s'accorder sur le fait que c'est le pire cauchemar des introvertis ! Je suis sûre que beaucoup d'entre nous préféreraient se mettre des épingles dans les yeux plutôt que de participer à une convention de réseautage de cinq cents personnes ou de se promener maladroitement en distribuant des CV et des cartes de visite. Pour une personne introvertie, le réseautage n'est pas seulement anxiogène, il est aussi physiquement et émotionnellement épuisant. Heureusement, il existe des moyens de rendre le processus un peu plus facile.   Qu'il s'agisse de tirer le meilleur parti de vos relations personnelles étroites, de tirer parti des restrictions actuelles liées au COVID ou d'accroître votre présence en ligne, il existe de nombreux moyens adaptés aux introvertis de se constituer un réseau efficace. Voici quelques conseils et astuces pour rendre le réseautage moins stressant pour les introvertis.  Tirez le meilleur parti d'une mauvaise situation L'état actuel du monde n'est pas vraiment idéal, mais lorsqu'il s'agit de réseautage, nous pouvons essayer de tirer le meilleur parti d'une mauvaise situation. Les introvertis peuvent trouver une sorte de plaisir coupable dans le climat actuel. Être contraint de passer plus de temps à la maison signifie également qu'il y a une excellente excuse pour éviter tout contact physique et social inutile ! Bien que cela puisse sembler être le pire moment du monde pour se constituer un réseau, pour les introvertis, le réseautage vient de devenir beaucoup plus facile.     La plupart des événements de réseautage sont maintenant numériques, ce qui élimine une grande partie de ce qui les rend si stressants et épuisants pour les introvertis. Préférez-vous assister à une convention de réseautage en personne avec des centaines de personnes, ou rester assis dans le confort de votre propre maison et simplement tirer parti de votre présence en ligne ?    Si vous avez envisagé de participer à un événement de réseautage mais que l'idée d'une foule nombreuse vous rebute, participez à un événement virtuel. Là où vous n'auriez auparavant établi que des connexions locales, le réseautage numérique ouvre la porte à une infinité de nouvelles possibilités.    Allez en ligne  S'établir en ligne n'est pas seulement un atout professionnel, dans le climat actuel, c'est crucial. Les entreprises, les événements et à peu près tout le reste étant passés au numérique en raison de cette pandémie, il est devenu tout aussi important pour nous de mettre en ligne nos propres réalisations professionnelles et personnelles.   Améliorez vos comptes de médias sociaux : Affinez votre profil LinkedIn, mettez votre profession (ou celle que vous souhaitez) dans vos biographies sur les médias sociaux et rejoignez des groupes Facebook spécifiques à votre emploi. Veillez à rester actif sur les médias sociaux : Il n'est pas nécessaire de sortir de chez vous, prenez juste 10 minutes par jour pour interagir avec les comptes et les posts qui vous inspirent. Si votre objectif est de travailler un jour dans le marketing, suivez des professionnels du marketing qui vous inspirent et prenez quelques minutes pendant votre pause café du matin pour aimer et commenter leurs publications. Cela augmente non seulement la probabilité d'établir une relation avec la personne, mais aussi votre présence en ligne, ce qui permet à d'autres professionnels en herbe ou établis de tomber plus facilement sur votre compte.   Ne sous-estimez pas le pouvoir des contacts existants (c'est-à-dire les amis et la famille)  Une grande partie de ce qui rend le réseautage si intimidant est l'idée d'aller vers de parfaits inconnus. Il va sans dire que rencontrer de nouvelles personnes est la clé du réseautage, mais il n'y a aucune raison pour que cela ne puisse pas se faire par le biais de relations proches existantes.   Peut-être votre ami est-il proche de quelqu'un qui travaille pour une entreprise qui vous intéresse, ou peut-être un membre de votre famille a-t-il des relations avec quelqu'un qui passe un entretien pour un stage intéressant. Quoi qu'il en soit, votre réseau et vos opportunités professionnelles peuvent être décuplés simplement en demandant de l'aide à vos proches. Qu'il s'agisse d'un cousin, d'un père, d'un meilleur ami, d'une vieille connaissance : tendez la main et demandez ! Sans compter que les liens avec les amis proches et la famille augmentent considérablement la probabilité que les nouvelles relations soient plus durables et plus significatives. Si cela vous semble intimidant, dressez une liste des personnes dont vous êtes le plus proche : Commencez par vos amis les plus proches et votre famille pour vous sentir plus à l'aise avec l'idée de tendre la main. Avec le temps, vous vous sentirez peut-être suffisamment confiant pour rétablir également d'anciennes connexions.  Malgré les restrictions actuelles, les gens du monde entier sont plus que jamais à portée de main et désireux de nouer des liens significatifs. Bien que la formation de nouvelles relations puisse être particulièrement difficile pour les introvertis, c'est vraiment le meilleur moment pour aller en ligne, exploiter vos médias sociaux et vos plateformes d'emploi (comme celle-ci), et tendre la main à ceux qui vous sont les plus proches.    

C'est un truisme et un euphémisme : Il est difficile de commencer une carrière dans les arts ou dans une industrie créative. Pour certains, une subvention du Conseil des Arts du Canada pourrait être la première étape. Il n'est pas nécessaire d'appartenir au groupe stéréotypé des " artistes " - comédiens, musiciens, illustrateurs, etc. Le Conseil des Arts du Canada soutient un éventail de types de créateurs : des programmeurs intéressés par les arts numériques émergents, des gymnastes intéressés par les arts du cirque, des ingénieurs intéressés par le côté artistique de la robotique - et la liste est longue. Vous pouvez faire une demande de subvention à tout moment, pour des montants substantiels (des dizaines de milliers, parfois des centaines de milliers), pour des projets de toute durée (d'accord, la plupart des durées - pensez à des semaines à quelques années). Une subvention peut vous aider à développer un portefeuille pour l'entreprise de vos rêves ou vous fournir l'expertise nécessaire pour lancer votre propre entreprise. Supposons que vous souhaitiez créer un organisme sans but lucratif (par exemple, un programme artistique pour les familles à faible revenu ou un festival qui rend hommage aux artistes sourds et handicapés). Dans ce cas, le développement de votre pratique artistique peut être la première étape vers un financement et des possibilités futures. Quoi qu'il en soit, les subventions du Conseil des Arts du Canada font bonne figure sur les curriculum vitae. Elles montrent que les professionnels de votre domaine - qui sont engagés pour évaluer les demandes - croient en votre projet et en vos capacités. Ces subventions sont particulièrement compétitives ; en obtenir une signifie que vous êtes compétent.  Le processus est compétitif, mais ne vous laissez pas décourager. Les demandes sont gratuites et le Conseil des Arts s'engage à soutenir les nouvelles voix. Parcourez le site Web : vous pourriez être admissible à titre d'" artiste en début de carrière ", un profil de candidat qui exige peu d'expérience et vous évite de rivaliser avec les vétérans qui ont perfectionné leur art. Le Conseil des Arts du Canada s'engage également à soutenir les voix sous-représentées. Il existe des possibilités particulières pour les artistes autochtones, sourds ou handicapés. Si vous avez un handicap ou si vous êtes confronté à des barrières culturelles ou linguistiques, vous pouvez bénéficier d'une " aide à la candidature ", où quelqu'un vous aide à assembler votre proposition. Bien que le processus de candidature soit long, il est simple : Présentez un projet. Fournissez un échantillon de votre travail. Créez un calendrier et un budget provisoires. Quatre ou cinq mois plus tard, les résultats sont là !   J'ai parlé à des personnes qui ont demandé des subventions du Conseil des Arts du Canada et à des personnes qui ont évalué des demandes du Conseil des Arts du Canada. J'en ai aussi obtenu une moi-même. Si vous souhaitez présenter une demande, voici quelques conseils que j'ai recueillis :   Commencez tôt. Des mois avant la date limite. Cela concerne à la fois la demande et votre projet. Avant de postuler, vous devez créer un "profil" qui, entre autres choses, montre que vous êtes engagé dans votre discipline. Le profil "artiste en début de carrière", par exemple, demande des preuves de "formation, expérience ou réalisations" dans votre domaine. Ensuite, une fois votre profil accepté, la candidature peut exiger de longues réponses à des questions complexes. Cinq cents mots expliquant comment votre projet apportera quelque chose de nouveau au genre et à vous-même : plus compliqué qu'il n'y paraît ! En outre, si vous commencez votre projet avant de postuler, vous aurez une meilleure idée de ce que vous proposez et de la manière de le proposer. Les projets peuvent prendre des formes inattendues ; vous voulez que votre budget couvre vos coûts. La rédaction d'une demande de subvention est une forme d'art. Commencez dès maintenant et allez-y doucement !  Ne soyez pas trop fantaisiste. J'ai entendu un évaluateur de subventions souligner l'importance de propositions de projets claires et sans prétention. Souvent, les artistes ont une compréhension intuitive de leur projet qui, une fois traduite sur papier, semble alambiquée ou ostentatoire. N'oubliez pas que les évaluateurs peuvent lire votre demande à la fin d'une longue journée, des heures après leur dernier café. Restez soigné et terre-à-terre. Vous vendez une proposition, pas un produit fini. Les évaluateurs sont aussi des artistes, et ils savent que les projets comportent des nuances et des fondements théoriques qui ne peuvent être entièrement exprimés dans une candidature. Ils savent que les résultats finaux peuvent être très différents de ce qui a été proposé au départ. Concentrez-vous sur la rédaction d'une proposition élégante et convaincante, même si cela implique de laisser de côté certains aspects de votre projet.  N'ayez pas peur de demander de l'argent. Les évaluateurs trouvent que les artistes émergents demandent souvent trop peu. Vous devez faire preuve d'une compréhension réaliste de la viabilité de votre projet. Ne soyez pas timide, soyez honnête sur le plan fiscal.  Dans l'ensemble, ne vous laissez pas décourager par un refus. J'ai entendu un évaluateur de subventions qualifier le processus de "loterie". Les évaluateurs, aussi ouverts et justes soient-ils, sont des êtres humains avec des préférences et des perspectives. Un projet rejeté n'est pas nécessairement un projet de qualité inférieure. Le rédacteur en chef d'une presse respectée m'a dit que l'un de ses auteurs n'avait pas reçu de subvention canadienne malgré des années de demandes. Pourquoi ? Qui sait ? Il s'agit d'un écrivain talentueux qui a publié plusieurs livres avec une presse respectée. Ce que je veux dire, c'est que le rejet, ou la peur du rejet, ne doit pas vous empêcher d'essayer. Continuez à foncer !   

Je m'appelle Fahmida et je suis diplômée de l'Université de Toronto en sciences de la vie. Je suis très enthousiaste à l'idée de faire partie de l'équipe de journalistes du CCO car cela me donne une plateforme pour partager mes expériences en tant que jeune diplômée. J'aurais aimé avoir cette possibilité pendant mes études, car j'adore apprendre des expériences des autres. La carrière et le parcours d'apprentissage de chacun sont différents. Mon parcours commence dans le secteur des soins de santé, où je travaille principalement avec des personnes âgées. J'ai hâte de partager des conseils et des histoires avec mes collègues diplômés et étudiants, en m'appuyant sur mes rôles actuels d'assistante dans un laboratoire de psychologie, de travailleuse dans une organisation communautaire et de bénévole. Ne manquez pas mes articles sur la façon de trouver un emploi, un stage ou de faire du bénévolat avec un diplôme en sciences de la vie.

Bonjour, je m'appelle Shoffana Sundaramoorthy et je suis étudiante en troisième année à l'Université Wilfrid Laurier.  Je me spécialise en communications, mais j'ai aussi deux mineures en sciences politiques et en psychologie. Je suis ravie de me joindre à l'équipe de journalistes étudiants/diplômés du CCO, car cela me permettra de développer mon intérêt pour l'écriture. Ce que j'aime le plus dans l'écriture, c'est qu'elle me donne la possibilité d'exprimer ce que je ressens sans aucune limite. Coucher mon esprit sur le papier est relaxant et constitue pour moi une seconde nature. En outre, je m'efforce d'écrire dans un but précis. Lorsque j'écris un article pour le CCO, j'espère qu'il trouvera un écho auprès d'un large public, qu'il s'agisse d'étudiants, d'amis ou même d'anciens élèves. Je veux utiliser la plate-forme pour parler de questions/sujets qui me tiennent à cœur et d'idées d'action pour ces questions. J'espère partager des ressources ou des idées précieuses qui résonnent profondément avec mon public tout en s'alignant sur les valeurs fondamentales de l'OCC.

Bonjour, je m'appelle Justin Andrews. Je suis un écrivain qui vit à Hamilton, en Ontario, et j'ai récemment obtenu une maîtrise en anglais en écriture créative de l'Université de Toronto. Mon travail a été publié dans des revues littéraires canadiennes et, actuellement, j'écris un roman (ou j'essaie de le faire, du moins !). En dehors de l'écriture, je passe mon temps libre à lire, à jouer à des jeux de société et à flâner dans les ruelles et les sentiers. Écrire pour l'équipe de journalistes étudiants et diplômés de l'OCC est significatif car je comprends la difficulté d'établir des liens professionnels substantiels, surtout dans la précipitation de la vie universitaire. En tant que journaliste diplômée du CCO, je serai ravie d'aider les étudiants à acquérir une expérience professionnelle et à trouver des carrières fructueuses. C'est un plaisir de soutenir une plateforme qui simplifie et démocratise un processus compliqué et souvent inaccessible.

Je suis une étudiante britannique de quatrième année à l'UBC, avec une majeure en littérature anglaise et une mineure en psychologie. Mon amour des voyages, de l'écriture et de la littérature m'a poussée à m'installer au Canada pour mes études universitaires, mais mon expérience dans le domaine de l'hôtellerie m'a également offert de nombreuses opportunités de travail dans le monde entier, de la gestion de villas de luxe en Espagne à la vie et au travail en Égypte. Mon objectif est de travailler un jour dans le journalisme et les médias, de créer un blogue de voyage et de combiner mes deux plus grandes passions ! Rejoindre l'équipe de journalistes étudiants et diplômés du CCO est important pour moi car, par le passé, j'ai eu du mal à m'y retrouver en tant qu'étudiant universitaire, à acquérir une expérience professionnelle liée à mon diplôme et j'essaie toujours de choisir la carrière de mes rêves. L'obtention d'un diplôme et le choix d'un objectif professionnel particulier sont décourageants et déroutants. Je comprends que de nombreuses personnes puissent ressentir la même anxiété à l'idée de faire une transition aussi importante. Je suis très enthousiaste à l'idée de rejoindre un groupe d'étudiants journalistes qui partagent les mêmes idées et dont l'objectif principal est de soutenir, de rassurer et d'informer ceux qui se sentent perdus ou intimidés par un avenir au-delà de l'université. En partageant mes réussites et mes expériences professionnelles et celles des autres, j'espère apporter un certain réconfort et un éclairage précieux à ceux qui se trouvent à une étape similaire de leur parcours universitaire.

En tant qu'Équatorienne vivant à 5 000 km de chez elle, l'adaptation à un nouvel environnement a été un véritable défi, mais c'est le premier pas vers la réalisation de mon rêve de devenir journaliste, un rêve que je caresse depuis que je suis toute petite. Le journalisme correspond bien à ma personnalité, car je suis ambitieuse, généreuse, réfléchie, déterminée et calme. Je crois qu'il faut se battre pour ce que l'on désire, quels que soient les obstacles.  Je suis étudiante à temps plein et j'entamerai à l'automne ma quatrième année à l'Université St. Thomas au Nouveau-Brunswick, à Fredericton, où je terminerai ma majeure en journalisme avec une mineure en communications. Je continue d'être motivée par mon amour de l'apprentissage et de l'écriture. Mon objectif est de devenir une femme exceptionnelle qui réussit dans la société d'aujourd'hui. Je veux devenir une journaliste professionnelle et reconnue qui donne du poids à la voix des autres.  Ma passion pour l'écriture éveille également ma curiosité et m'amène à explorer différents domaines de connaissance tels que les arts, les sciences et l'histoire. Je consacre mon temps à apprendre du monde extérieur car cela me fait grandir et comprendre les différentes situations dans lesquelles les gens se trouvent quotidiennement. C'est pourquoi, durant l'été 2019, j'ai été stagiaire à Diners Club International. À ce titre, je me suis engagée dans un projet communautaire tout en travaillant avec les ressources humaines pour améliorer l'expérience de leurs clients.  En tant qu'artiste et écrivain, j'ai écrit plusieurs articles aux côtés de The Aquinian en tant que reporter - sautant hors de ma zone de confort pour me connecter avec ma communauté. Depuis que la pandémie a frappé, j'ai dû adapter mes compétences journalistiques en ligne, mais même si de nombreux défis se sont présentés, je m'en suis sortie et cela en valait la peine.  Un nouveau chapitre de mon parcours professionnel commence maintenant en tant que membre de l'équipe de journalistes étudiants et diplômés d'Orbis, où je suis impatiente de continuer à me développer en tant que professionnelle. J'ai hâte d'explorer mes domaines d'études, de participer à des projets pour aider ma communauté et d'acquérir de l'expérience.